Réveillon

Pendant le reveillon, Madeleine se fait draguer à outrance. Elle hésite, mais son mari l'incite, à aller au rendez-vous de l'homme que l'inconnu lui a donné.

Proposée le 9/03/2024 par michelle2

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Histoire coécrite avec Linsee




À l'occasion, du repas du réveillon de la nouvelle année, Madeleine se fait draguer à outrance par ses partenaires lors des danses. Son mari, Alain, se dit, qu'ils sont là pour s'amuser et que le lendemain tout sera oublié. Lui, piètre danseur, préfère discuter avec ses voisins et voisines de table, pendant que sa femme, prend plaisir à danser. Ses cavaliers, dragueurs, deviennent moins tactiles depuis qu'ils sont surveillés du coin de l'œil par leurs femmes. Flattée Madeleine, semble sur un nuage. Edmond, lui, est le plus entreprenant de tous, cet homme aux tempes grisonnantes, sans se soucier de son épouse qui fait la même chose de son côté avec ses danseurs. Il serre très fort Madeleine dans ses bras, frotte son bassin contre celui de sa cavalière en lui murmurant des mots à l'oreille, ce qu'elle entend, la fait sourire. Madeleine qui se blottit contre l'homme, comme une fillette contre son papa.

L'heure tourne, les danses se succèdent, c'est Edmond qui a la priorité, il invite constamment Madeleine. La coquine est ravie se frotter, à cet homme qui parait viril. Il ondule du bas-ventre en la serrant très fort dans ses bras, les frottements continuels, provoque chez l'homme une érection qu'il ne peut cacher. Vicieusement, Madeleine en souriant, sans quitter des yeux son danseur, appuie fortement son bassin contre la verge tendue, et ondule comme une danseuse orientale. L'homme serre les dents, pose sa joue contre celle de Madeleine, elle sent son souffle chaud sur son cou. L'homme lui dit dans le creux de l'oreille :


-Tu fais exprès de t'appuyer contre ma queue hein, cela t'excite salope !


Madeleine éclate de rire, elle donne un coup de reins pour provoquer le bandeur malgré lui. La danse cesse, Madeleine rejoint sa place, elle est souriante, elle se penche sur son mari et lui dit :


-Oh mon chéri, comme je m'amuse, c'est fou, et toi !


Il répond :

-Moi, je me suis fait des amis, nous discutons de pleins de choses, je me régale, amuse-toi ma chérie, profites-en !



Madeleine se dit, qu'elle a carte blanche. Au micro, l'on annonce un tango choix des dames. Madeleine, reste un moment à table, elle boit son verre tranquillement. Lorsqu'une femme, l'invite, à danser. Madeleine reste sans voix, mais comme c'est la fête, elle accepte et suit, la femme sur la piste. La femme, souriante, l'enlace et la serre bougrement fort. Elle plaque son bas-ventre contre celui de Madeleine et en se frottant à elle dit :


-Vous faites bander mon mari, est-ce que cela est possible de me faire mouiller !


Madeleine ne comprend rien à ce que lui raconte la femme, elle fronce les sourcils. La femme ajoute :

-Edmond est mon mari, vous faites beaucoup d'effets sur lui, il vous désire tant, que je vous donne mon adresse, si une défonce mémorable vous tente, venez !


La femme se frotte contre Madeleine, qui ne peut refuser le contact. Elle soupire, sa culotte s'humidifie encore plus qu'avec Edmond. Les deux femmes ont le visage si près l'une de l'autre, que leurs lèvres se frôlent, les souffles se mêlent. La femme, discrètement, glisse sa main entre les deux corps et la passe plusieurs fois sur l'entrejambe de Madeleine qui frisonne. La femme lui murmure à l'oreille :


-Vous mouillez, je sens la moiteur du tissu, moi aussi cela m'excite, vous avez mon adresse ma chérie !


Une fois la danse terminée, Madeleine rejoint sa place, elle est soucieuse, la femme a raison, elle mouille fortement. Elle avale son verre d'un trait et son reverse un immédiatement, qu'elle vide cul sec. Quelques minutes se passent, Edmond revient l'inviter. Il se plaque contre elle et continue de se frotter à elle, sa verge reprend du volume. Madeleine lui parle de la conversation instructive, qu'elle a eu avec sa femme. Edmond lui dit sans détours :


-C'est une invitation à la baise, maintenant, c'est toi qui détiens la clé, je t'invite à venir. Sens ma queue comme elle a envie de toi !



Avec discrétion, Madeleine passe sa main sur le ventre d'Edmond et lui presse plusieurs fois la verge, elle dit :

-C'est moi qui te fais cet effet ?


On soufflant, Edmond répond :

-Oh oui, je bande pour toi, si j'osais, je te culbuterais sur une table et je te défoncerais comme une bête, sortant, veux-tu, j'en peux plus !


Madeleine hésite à la proposition d'Edmond, elle ajoute :

-Et ta femme, qu'elle est son rôle dans tout ça ?


Edmond répond :

-Oh elle c'est une dévoreuse, elle adore le sexe, elle participe aussi, viens, viens chez moi, tu auras des orgasmes comme jamais, tu en as eu !



La soirée se termine, Madeleine est soucieuse, pendant le retour, elle ne dit pas un mot. C'est plusieurs jours plus tard qu'au réveil, elle se lève, bien décidée de parler à son mari, il a déjà préparé le petit déjeuner. Elle prend place à table, se croise les doigts et les serre fortement en disant :


-Mon chéri, je dois t'avouer que pendant le réveillon, j'ai failli te tromper, un homme m'a proposé de sortir avec lui, eh bien, je regrette de ne pas l'avoir fait, j'ai d'ailleurs son adresse !



Alain la regarde comme un chien battu, puis, après un moment de silence, demande :

-Ah et tu m'avoues que tu le regrettes de ne pas l'avoir fait, c'est sympa pour moi ça !


Madeleine répond :

-Je n'ai pas voulu franchir le pas, par honnêteté pour toi, je n'ai connu que toi, et je dois dire, que question baise, tu es très classique, d'après ce que les maris de mes amies leur font, entre toi et eux, c'est le jour et la nuit :


Alain réplique un peu penaud :

-Donc si je comprends bien, tu veux connaitre d'autres pratiques sexuelles, avec le type du réveillon !


Madeleine baisse la tête et répond avec quelques trémolos dans la voix :

-Oui, je veux connaitre tout de l'acte, je te demande pardon d'être directe !


Alain la regarde avec tristesse et dit :

- Je te remercie pour ta franchise. Bon si c'est ton choix, je ne peux le contester. Il est vrai qu'au lit, je ne suis pas un grand baiseur. Donc que tu veuilles prendre un pied d'enfer, je ne suis pas contre, tu me raconteras dans les détails tes exploits, comme cela, je m'améliorerai !


Madeleine, surprise par les paroles de consentement de son mari, se jette dans ses bras et l'embrasse fougueusement. Rapidement, elle prend rendez-vous, chez Edmond.

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