C'est le récit pratiquement authentique de ma première expérience , encore très jeune, rapide mais très intense. Souvenirs d'un printemps et d 'un été ultra chauds.
Proposée le 9/03/2024 par Etoiledesneiges2000
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie
C’était il y a pas mal d’années, au début des années 70. J’avais entre 17 et 18 ans et essayé à la fois les petites amies et les petits amis sans me fixer bien sur la direction à prendre. J’étais prêt à tout essayer, y compris en prenant des risques. A la fin du printemps et au début de l’été, il faisait très chaud cette année-là.
Un dimanche matin, très calme dans cette petite ville de province où il ne se passait jamais rien, je me suis senti particulièrement excité, bandant pour un rien, juste une petite pensée ou une photo. J’aurais pu me débrouiller tout seul comme je l’avais fait de nombreuses fois, mais là l’excitation était trop forte. Je savais par les conversations de lycée, qu’il y avait des toilettes publiques situées dans un des parcs de la ville où se trouvaient des hommes en recherche d’aventures, discrètement, à cette époque beaucoup moins libérée que maintenant. Un ami m’avait dit qu’il avait essayé cet endroit et qu’il s’était bien amusé.
Je décidais de me changer de manière à être habillé très « comme il faut » mais en laissant toutes les opportunités ouvertes : un jean en velours noir sans slip en dessous et un sous pull noir également sans rien en dessous. C'était au cas où j'aurais rencontré des amis ou des voisins bien que le parc soit situé assez loin de notre appartement.
Je me dirigeais vers le parc. Déjà cette balade était très excitante, entièrement nu sous mes vêtements très sages. Dans un premier temps, je ne vis rien ni personne. J’étais un peu déçu et je refis un tour complet du parc. La deuxième fois, un homme m’aborda, la quarantaine, c’est-à-dire deux fois mon âge, plutôt bien habillé et agréable à regarder. Il me demanda si je venais souvent ici. Par précaution, je lui dis que non et que j’habitais dans les environs. Après s’être séparé, je vis un banc tranquille très bien dissimulé aux regards pas très loin des toilettes publiques. Je m’y assis quelques instants. L’homme vint m’y rejoindre rapidement. Il s’assit à côté de moi et réengagea la conversation. Il faisait très bon et une certaine langueur m’envahit en même temps que je glissais à moitié sur le banc. Cette pose lui facilita l’approche.
Soudainement, il posa sa main à plat sur ma braguette comme par inadvertance. Cela provoqua immédiatement une érection spectaculaire que je ne pouvais dissimuler. Il me demanda de le suivre dans une des toilettes fermées. Je lui répondis que j’aurais préféré une voiture et un endroit calme en dehors de la ville. Il n’avait pas de voiture, au moins pas à proximité ou il ne voulait pas s’en servir. Je le suivais donc dans la cabine. Il n’y avait apparemment personne d’autre dans le parc.
Là, curieusement, il d’abord fit preuve de timidité, me pelotant au-dessus des vêtements, m’embrassant dans le cou, il s’aventura sur mes fesses, puis devant où la bosse de mon érection était particulièrement visible. Il continuait à tourner autour du pot, si j’ose dire, en me laissant chauffé à blanc. Puis il se décida et ouvrit ma braguette, mon sexe jaillit brutalement et il me dit que j’étais bien monté. Il commença à me branler doucement sans même sortir mes couilles. Ni tenant plus, je décidais de prendre l’initiative, j’enlevais mon sous-pull et baissait mon jean jusqu’aux chevilles, me retrouvant ainsi complètement nu face à lui. A cette époque j’étais carrément appétissant et dans un deuxième mouvement je caressais son entre jambes. Là, soudainement libéré, il ouvrit sa braguette et je sortais son sexe et ses couilles que je commençais à travailler. Il était bien membré lui aussi mais il y avait quand même une différence de 25 ans entre nous.
Il se mis à me peloter entièrement y compris dans les recoins les plus secrets, décalottant mon gland, enfonçant un doigt dans mon petit trou, puis s’attaquant aux couilles, aux seins, il était déchainé à tel point que j’avais du mal à lui rendre la pareille. Il explora mon dos, puis mon ventre avant de descendre de nouveau vers les couilles. Il me demanda si j’avais déjà sucé un homme, si je m’étais fait sucer ou si je m’étais fait prendre. Je lui répondis que non, ce qui eut comme effet de l’exciter encore plus, il prit mon sexe dans la bouche quelques instants (c’était ma première fellation). Je voulais lui rendre la pareille, mais aussitôt que je me suis attaqué à ses couilles et à sa queue, il partit d’une énorme éjaculation, envoyant du sperme partout, y compris sur mes chaussures, en même temps qu’il donnait des coups de rein dans le vide et qu’il me criait presque : « N’arrête pas, n’arrête pas !! Vide-moi les couilles !».
J’avais peur qu’après un tel orgasme, il ne parte en me laissant en plan, aussi je pris les devants et je le suppliais « s’il vous plait, faites-moi jouir ! ». Il ne se fit pas prier et commença à me branler en même temps qu’il enfonçait un doigt dans ma chatte d’homme. Je tins moins d’une minute à ce traitement et envoyais une magnifique giclée de sperme dans la porte de la cabine.
Il me dit qu'il allait sortir en premier et que j'attende quelques instants. Effectivement, il sortit, mais un deuxième homme était tout près de la porte, ils échangèrent quelques mots et le deuxième homme entra dans la cabine avant que je n'ai pu en sortir. Il n'avait pas l'air agressif mais plutôt autoritaire. Je m'étais rhabillé. Il me dit simplement :"Etale toi! Baisse ton pantalon et lève ton pull". Devant son autorité naturelle, je m'exécutais. Il m'évalua comme un objet en commentant d'une manière vraiment crue:" Jolie queue, belles couilles, mais surtout un ravissant petit cul qui ne demande qu'à se faire prendre". Je n'étais pas préparé à aller jusque là, aussi je pris la seule décision logique. Je me saisi de sa queue qu'il tenait déjà à la main et je le branlait aussi fort aussi vite que possible en passant ma main entre ses cuisses et sous ses couilles. Il jouit rapidement, pas assez rapidement à mon gout, mais ça suffisait pour qu'il soit hors jeu le temps que me rhabille et que je quitte la cabine. Le premier était toujours là à quelques pas et j'ai toujours eu l'impression que le premier m'avait "vendu" au second.
On se sépara sans se regarder, puis je quittais la ville sans y revenir. J’appris quelques années plus tard que les toilettes publiques avaient été détruites.
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Commentaires de l'histoire :
Sacha
Beau récit, mais amours de pissotières. C'est franchement plus excitant pour un homme de se retrouver nu dans un lit avec un autre homme, de s'accoupler et de baiser. En tout cas quand on se sent très attiré par les hommes. J'en parle en connaissance de cause.
Posté le 20/03/2024
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