Mis au défi de concrétiser l'attirance que j'éprouvais pour les garçons après avoir été traité de "honteuse", d'homo refoulé, je me suis offert à lui
Proposée le 17/01/2024 par Sacha
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Adolescent, j'appréciais les branlettes entre garçons, sous la douche, au lit ou au fond des bois. Mais j'en voulais plus, il m'en fallait plus, je fantasmais en songeant à un accouplement entre garçons, à une fusion charnelle complète, à une jouissance l'un dans l'autre.
Mon fantasme préféré était d'offrir mon cul et de me faire prendre. Heureusement, l'occasion n'a pas tardé à se présenter. Enfin j'allais découvrir la voluptueuse sensation qu'un homme peut éprouver à avoir une bite au cul.
Et puis, peut-on décemment refuser à un ami bien intentionné le plaisir de vous enculer ?
À toutes fins utiles j'avais pris une douche avant de venir dîner chez lui, au cas où ... La fois d'avant il m'avait avoué quand je partais: "Ah ! si seulement je pouvais t'enculer !". Je m'étais donc particulièrement bien astiqué la rondelle, tout espoir n'étant pas perdu.
Mais les vrais amis savent aussi joindre le geste à la parole. Il avait réveillé mon fantasme, et je me voyais déjà en mec pris par un mec, je dirais même: prise. Après tout, je pourrais être sa petite femelle. Plus âgé que moi, il avait quarante ans et j'en avais vingt, il devait savoir s'y prendre avec un jeune mâle en rut, il avait su m'allumer et n'ignorait rien de mon attirance pour les garçons, lui-même ne faisant pas mystère de la sienne.
Au dîner il y avait un couple gay, et lui et moi qui n'étions pas en couple, qui même ne nous étions jamais accouplés. Du moins pas encore. Il lui était juste arrivé â l'occasion d'effleurer mes fesses comme par mégarde de ses mains baladeuses. Un jour, tout excité et soucieux de lui faire plaisir, j'ai baissé mon short et bien cambré mes fesses nues, qu'il a caressées et pelotées. Il n'est malheureusement pas allé plus loin, il m'a dit qu'il voulait juste me faire bander, ce que sa main experte en la matière put aisément vérifier.
J'étais donc en bonne compagnie. L'une des conversations, au dîner, porta sur le passage de Sade affirmant que la sodomie passive est plus voluptueuse que la sodomie active, "puisqu'on jouit à la fois de la sensation du devant et de celle du derrière; il est si doux de changer de sexe, si délicieux de contrefaire la putain, de se livrer à un homme qui vous traite comme une femme ...".
Lors du repas il se vanta auprès de ses amis de m'avoir déjà peloté les fesses, et poussa la provocation jusqu'à me traiter de "honteuse", d'homo refoulé. C'en était trop. C'est alors que je lui répondit "chiche !".
Le couple gay invité s'étant retiré dans la chambre d'amis, il ne me restait plus, à cette heure tardive, qu'à partager sa chambre ... et son lit. Dans la pénombre nous nous sommes déshabillés, et une fois nus, chacun a pu jouir du spectacle si excitant de la queue de l'autre en érection.
Puis nous nous sommes rapprochés, nos queues se touchaient et frétillaient de plaisir et d'excitation. Il me jeta sauvagement sur le lit en empoignant mes fesses. Longuement, à n'en plus finir, nous nous sommes caressés et branlés. La sève montait, il m'intima l'ordre de me retourner, de m'allonger sur ventre.
Ses caresses sur mes fesses me rendaient fou de plaisir et de désir, surtout quand il me caressait l'intérieur des cuisses, frôlant ma bite bien tendue. Il me demanda de mieux cambrer mes fesses, de mettre mon petit trou mieux en évidence, jambes bien écartées, je n'en pouvais plus, je trémoussais, je dandinais du cul pour mieux affoler et appeler sa queue, il commençait à me traiter de salope tout en me taquinant l'oeil de bronze, mon petit trou qu'il avait lubrifié et qui se dilatait pour l'accueillir.
Sa queue s'aboucha enfin langoureusement à ma rondelle avant de venir enfin en moi, de me baiser, mon cul ne demandait plus que ça, enfin un homme, un mec me prenait en levrette, m'enfilait par derrière, m'enculait et dans un râle lâchait en moi sa semence, au moment où sa main me fit gicler sur ses draps tout mon fourreau. Enfin j'avais changé de sexe, contrefait la putain et je m'étais livré à un homme.
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Commentaires de l'histoire :
Sacha
Merci Jean. Oui, contrefaire la putain, "se livrer à un homme qui vous traite comme une femme", que de délices insoupçonnées !
Posté le 20/03/2024
Jean
Je confirme, Sade a bien raison quand il affirme que la sodomie passive est voluptueuse. Se faire prendre en levrette est un vrai délice!
Posté le 14/02/2024
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