Le Harem

Après avoir été enlevée puis vendue dans le désert, je me retrouve dans un palais des milles et une nuit dans le sud libyen. Je me réveille dans les mains d'une masseuse sri lankaise. Voir De Sandra à Yasmina 2. Ce palais est en fait un bordel de luxe qui reçoit des hommes d'affaires.

Proposée le 1/12/2023 par Sucette

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Thème: SM, bondage
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Durant mon long séjour, j'ai assisté à des disputes et dès bagarres entre filles qui étaient sévèrement punies. Un jour donné, nous étions toutes réunies dans le grand salon en compagnie du maître des lieux et de ses sbires. Il y avait aussi le docteur véreux connu pour son sadisme.

Le ou les coupables réelles ou imaginaires étaient debouts, attachées nues au milieu de la pièce ou pliées dans un carcan. Parfois â genoux et recevaient habituellement le fouet ou la cravache puis étaient emmenées à l'infirmerie ou le docteur prenait la suite.
Il adorait les frapper sur le sexe, cravacher les seins, utiliser des pinces ou faire couler de la cire chaude. Il adorait les suspendre ou les attacher sur une roue. Il utilisait aussi l'électricité et filmait ses expériences. Il finissait par avoir des érections suffisantes pour pénétrer ses victimes. Alors pour elles, c'était un grand soulagement. Au bout de quelques jours, nous les retrouvions abattues, vidées, mutiques.

Régulièrement des groupes d'hommes d'affaires ou politiques arrivaient par avion ou hélicoptères. Le plus souvent des arabes du Moyen-Orient mais aussi des russes et des chinois.
Nous craignons particulièrement les russes car ils étaient violents avec les filles et assistaient volontiers aux séances spéciales du docteur.
Certains mangeaient et buvaient comme des porcs, drogués à la cocaïne. Ils commençaient par frapper et insulter pour créer un climat de terreur puis ils violaient et sodomisaient, il crachaient sur les filles et leur pissaient dessus.

Ils aimaient organiser des concours ou faire un bukkake de préférence sur une fille très jeune.

L'une d'elle m'a raconté que pendant que deux hommes étaient dans son vagin, un autre l'avait déjà sodomisé et que deux autres cherchaient à jouir dans sa bouche.

En ce qui concerne, j'ai eu la chance d'être une bonne nageuse et on nous demandait de faire des jeux saphiques en natation synchronisée que l'on pouvait voir depuis le salon où avait lieu ces orgies.
Nous pratiquions beaucoup de sports pour éviter le surpoids sévèrement puni par le jeun sévère et les travaux pénibles car nous étions très bien nourries mais aussi pour supporter la réclusion. Nous allions quotidiennement au hammam qui était composé d'une grande pièce avec fontaine et douche et des pièces obscures propices aux rapprochements et jeux divers.

Ces pratiques étaient encouragées et nécessaires particulièrement pour soigner les mauvais traitements.

La plupart de ces filles avaient été attirées par un contrat de travail dans l'hôtellerie ou la restauration puis enlevées, leur passeport et leurs affaires personnelles ont disparus. Elles venaient du Maghreb, d'Afrique noire, de l'Asie du sud est, d'Inde ou du Pakistan, des anciens pays d'Europe de l'est...
Toutes avaient connu la misère voire les mauvais traitements et les abus sexuels. Ce qui ne les empêchait pas d'être coquette et souvent gentille et généreuses.
De part mon histoire d'étudiante française choyée, j'avais une position à part. Souvent le maître m'invitait dans sa couche. Il disposait de télévisions en circuit fermé pour être informé de tout mais me demandait régulièrement mon avis.
Quand je partageais sa couche, c'était parfois avec mon amie ou une fille qui avait mon assentiment. Il aimait qu'on s'occupe de lui. Un pacha en somme. Avec son âge et son poids, il aimait qu'on le biberonne, le caresse longuement. Son sexe circoncis était large et veineux, terminé par un gros gland. Il aimait la douceur et nos jeux saphiques, sa langue épaisse et baveuse pénétrant nos bouche, ses gros doigts boudinnés s'immisçaient dans tous nos orifices.
Paradoxalement, il aimait nous boire et lécher nos clitoris, il cherchait à nous donner du plaisir.
Quand il avait jouis, nous attendions qu'il nous congédie ou qu'il s'endorme.

C'est sans doute la raison pour qu'il me libère en 2010 quand il a senti que la situation allait basculer mais ceci est une autre histoire

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