Histoire Erotique

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Le harem de Patrck, Murielle y passe.

Emilie, ma promise, voudrait que je décoince sa soeur Murielle. Je n'ai même pas besoin de mettre un scénario en place. La porte coincée du sauna me livre complètement nu à sa vue. Ses soins pour me rafraîchir font le reste. Ensuite, c'est "popaul" qui entre dans la danse...

Proposée le 28/11/2020 par mlkjhg39

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


LE HAREM DE PATRICK
20ème EPISODE

Murielle y passe.

Murielle monte dans sa chambre et je me dirige vers le hammam au sous-sol, laissant ma serviette à l'extérieur, je rentre dans la pièce surchauffée et ferme la porte.
Ca fait vingt minutes que je sue par tous les pores de ma peau mais quand je veux sortir la porte reste bloquée.
Je crie bien dix minutes avant que Murielle ne m’entende, soudain j'entends ses pas sur les marches.

- Oh mon Dieu, que se passe-t-il Patrick? Que puis-je faire?
- La porte s'est bloquée, peux-tu m'ouvrir?
Elle arrive à décoincer la porte et je sors complètement nu rouge comme une écrevisse.
- Ca va Patrick? Je vais mouiller une serviette et essayer de te rafraichir.
- Oui et non, j'étais en train de cuir.

Je m'étends sur le ban de massage pendant que Murielle revient avec une serviette mouillée bien froide et c'est là qu'elle réalise que je suis à poil.
Je la regarde et pense que c'est le moment de profiter de la situation.
Je lui souris et la supplie:

- Vas-y, rafraichis-moi, je me sens pas bien.
Et je fais semblant de tomber dans les pommes. Murielle se précipite et me tamponne le corps avec la serviette.
Pour une fois, à cause du gros coup de chaud que j'ai pris, mon sexe s'est ratatiné et a pris une dimension inusité pour moi qui ne frappe pas trop Murielle sur le coup quand ses mains arrivent à cette partie de mon corps.
J'essaie de détourner mon esprit pour éviter de bander le plus longtemps possible.
Murielle remouille la serviette et la pose sur mon bas-ventre, je déclenche ma libido et arrive en un temps record à obtenir une érection moyenne.
Murielle retire la serviette et découvre la bête exposée à sa vue.

Récit de Murielle :
- Euh, Patrick, euh... Tu es... euh, oh mon Dieu! OOooooooohhhhhh bonté divine!
M'écriais-je en laissant échapper la serviette.
- Oh qu'elle engin, c'est une véritable bite de cheval!

Je suis bouche bée devant une queue comme je n'en ai encore jamais vu avant.
Le sexe de Patrick est énorme, il est monté comme un âne ! J'avais déjà remarqué il y a quelques instants sa verge au repos qui était déjà de bonne taille mais là, elle a doublé de volume!
J'essaye de contrôler ma respiration mais c'est difficile. La scène sous mes yeux est irréelle et malgré cela je n'arrive pas à détacher mes yeux de sa queue qui mesure déjà au moins vingt centimètres et qui est d'une épaisseur énorme, presque monstrueuse avec une paire de couilles bien pendante.

Je suis presque choquée et forcée d'admettre qu'Emilie avait raison, la teub de Patrick est réellement hors-normes.
Déjà bien raide, la barre de chair dévoile tous ses plis, ses veinures, la peau rose luisante du gland.
Je ressens une palpitation agiter ma chatte. Je n’aurais jamais pu imaginer que voir la queue raide de Patrick rendrait ainsi mon sexe si humide et si chaud.
Le membre géant continue de se dresser et de palpiter sur son estomac comme la progression d’un serpent. Je m’agenouille doucement près de lui, essayant de ne pas regarder son sexe. Mais je ne peux me retenir et glisse ma main vers le bas de son ventre pour toucher son organe.

Je pose mes doigts sur sa queue, et la caresse. Elle est douce et très chaude, et durcit encore doucement sous mes caresses.
Je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts! Mon mari est bien membré, et avant lui j'ai eu de nombreux amants bien montés mais la queue que je voie ne ressemble à rien de ce que je connais, je soupèse l'engin ... oh !!!!Pas mal !!
Je le prends en main et l'agite doucement. Je ne peux m’empêcher de regarder ce membre énorme pendant que je commence à le masturber lentement, gémissant doucement quand je déplace ma main sur toute la longueur surdimensionnée de son barreau qui continue de grandir et grossir encore.

Je suis si choquée que je veux retirer ma main de sa queue mais Patrick pose sa main sur la mienne qui entoure la chaude virilité fièrement dressée de mon futur beau-frère.

-Huummm, c’est bon ! Pourquoi veux-tu arrêter ?
- Mais je ne peux pas faire ça à Emilie!
Mais je ne peux m'en empêcher. Je ne sais pas ce qui me pousse à agir ainsi, ma chatte est trempée, mouillant complètement ma culotte, je peux à peine réfléchir de mes actes. Je regarde maintenant ouvertement l’énorme pal, grimaçante pendant que je fais aller et venir ma main droite sur la grosse tige.
Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit encore dans ma main, il doit faire au moins 22/23 centimètres maintenant.
Pendant quelques instants je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine.
Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat.
C’est très doux, pas désagréable. Je pose mes lèvres sur son gland, quelle douceur ! Je le suce entre mes lèvres.
Ma langue ne reste pas inactive et s’enroule autour du gland soyeux. J’ouvre ma bouche en grand et prends le monstre qui durcit toujours… J’absorbe lentement le gland en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents.

- S'il te plaît continue, Murielle, je vais beaucoup mieux!
- Euuuhhh…il me semble que la forme revient! Je lui rétorque en regardant son bas-ventre. Mais prends ton temps.

J'enroule mes doigts étroitement autour du membre tressautant, fais glisser ma main qui ne peut se fermer complètement à la racine tellement elle est épaisse.
Patrick se cambre, ses deux mains sous sa tête.

- Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Je sais que tu en meurs d’envie, suce- moi!

Graduellement, je laisse mes lèvres glisser sur sa grosse biroute, absorbant cm après cm cette trique géante et palpitante.
Je m’arrête quand j'ai absorbé les 3/4 du mandrin, réalisant que je ne peux en avaler davantage.

Excitée je commence à sucer la queue extrêmement dure, m’émerveillant sur la rigidité fabuleuse de cet engin. J'avance davantage mon visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires autant que je peux, mourant d’envie de prendre en bouche la totalité de cette colonne charnue.
La queue énorme réagit par un grossissement supplémentaire en taille et en raideur si c’est encore possible.
Mes doigts sont serrés comme ils peuvent sur la base de son membre. Je commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner ma langue autour du gland, l’arrosant de salive. Je suis comme une folle et pendant dix minutes je l'astique de toutes les manières que je connais.
Sa respiration s’accélère. Il va jouir ! Soudain les paroles de ma sœur me reviennent sur les performances de Patrick.
Non pas dans ma bouche, ce n’est pas possible ! Je ne pourrai pas supporter la dose qu’il va m’envoyer. Comment avaler son volume de foutre ? Il faut que je m’arrache de sa queue monstrueuse. Affolée, je l’entends crier :

- Ça va partir!
Il me repousse pour retirer précipitamment sa bite de ma bouche. Le bout est gros, si gonflé qu’il a du mal à ressortir. Il halète maintenant, je sens les pulsations de son chibre me battre les lèvres quand il se retire.
Et brusquement, je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mes deux mains attrapent sa queue, j’ouvre grande ma bouche, j’enfonce tout jusqu’au fond, jusque dans ma gorge au moment où le premier jet part.
Il me remplit, j’ai l’impression de suffoquer, je ne peux pas tout avaler.
Aussitôt arrive la suite, encore plus copieuse que la première, un jus épais et crémeux, les jets sans fin se succèdent, le foutre remplit le peu de place libre laissé par son membre dans ma bouche et qui me distend les lèvres, coule sur mon visage, liquide gras et blanchâtre qui reste autour de mes lèvres et qui descend lentement en filets sur mon menton.

Tout mon ventre n’est que pulsations et tremblements. Maintenant, je commence à goûter son sperme, un peu salé, mais onctueux et agréable. Des deux mains, je pompe la queue pour faire monter les dernières gouttes, je tourne encore ma langue autant que je le peux autour de la queue pour tout lécher jusqu’au bout, pour ne rien perdre de ce liquide.
Puis, c’est avec regret que je sors la verge de ma bouche, et je la couvre encore de baisers avant de la relâcher. Et c’est alors que je jouis. Une jouissance d’une force exceptionnelle, unique, jamais ressentie.

Un cri monte du fond de mon ventre, des décharges électriques me traversent et j'ai une jouissance phénoménale, je ne tiens plus sur mes jambes.
Patrick s'assied sur le banc et me tire vers lui, ma chatte à l'aplomb de sa bite toujours aussi raide, il écarte d’une main ma culotte trempée.
Malgré ce qu'il vient de décharger, il bande toujours comme un taureau. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes parois intimes, passe un premier obstacle de chair.
Il pénètre, doucement. Gros comme il est, Patrick doit savoir qu’il lui faut de la douceur. Mais il doit aussi sentir qu’il ne rencontrera aucune résistance, bien au contraire.

Je suis béante et ressens son entrée. Je suis la plus réceptive possible. Je baisse mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement de ce pal de chair.
Je me sens comblée, remplie et pourtant d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que ma chair ne se rebelle. Comment ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses.
Son gland bute un peu plus haut et boute mes chairs plus intimes encore. J’ouvre mes yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre. Il me chuchote à l’oreille : ¬

- Ton sexe est très doux, c’est très bon…
- Viens !
Un dernier effort et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter contre le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie.
Mon sexe est complètement investi, ne peut plus rien accepter. Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explose dans ma tête, dans mon ventre. Quelle verge exceptionnelle. C’est une merveille cette chose là. Il suffit de demander pour être servie…
J’ai le sentiment qu’elle ne va pas s’arrêter d’enfler. Sa longueur et son diamètre m’impressionne.
-Patrick … Oooh… Patrick, pardonne-moi, mais je suis tellement excitée, et je t'ai entendu tellement faire jouir Emilie que je ne peux plus résister! Oh mon Dieu, tu as une bite si grande et si grosse que tu me remplis complètement! Je n'ai jamais ressenti cette plénitude! Oooohhhh que c'est bon! Putain qu'elle est grosse!

Récit de Patrick
Elle commence des va et vient sur ma bite dressée qui accepte avec joie ce nouveau vagin bien humide et chaud.
Contrairement à sa sœur, plus étroite, mon pénis se sent parfaitement à l'aise dans sa chatte plus large et plus profonde.
Ses mouvements s'accélèrent comme si elle recherchait une nécessaire jouissance pour se libérer. Je lui attrape et lui caresse ses gros seins en lui recommandant:
- Doucement Murielle, profite bien de ma queue, apprivoise-là avec ton sexe, fais-toi plaisir…ouiiiii comme ça…

Mais c'est trop fort pour elle et après quelques minutes ou elle essaie de maitriser le mouvement de son cul, son corps commence à trembler.
Je bloque son début de jouissance et lui conseille:

- Murielle, tourne autour de mon pieu. Je veux te voir quand tu auras ton orgasme mais je ne veux pas que ma bite sorte de ton sexe! Soulève-toi légèrement et tourne autour comme sur un pivot!

Lentement, elle fait comme je lui demande, puis elle repose ses mains sur ma poitrine pour recentrer sa chatte sur mon axe et se laisse tomber en arrière sur mon pieu. Je lui retire son haut et attrape ses gros seins lourds, je tire sur ses tétons et elle frissonne en réponse à cet étirement de ses chairs.
Je me soulève en la prenant par la nuque et prends ses lèvres en cherchant sa langue qu'elle me donne volontiers. Puis j'aspire son mamelon gauche dans ma bouche et je mords son long téton dur.

- OOooooooohhhhhh…que c'est boooonnnnnn, Patrick, Continue… oh ouiiiii… oui Patrick, c'est merveilleux! Qu'est ce que je te sens bien! Donne-moi toute ta bite! J'y suis presque ! Oui, j'ai besoin de ta grosse queue ! OUIIIIIIIIII ! AAAAAAHHHHHHHH…

Et son orgasme envahit de spasmes son corps qui se tend et se raidit sous ce plaisir à la limite de la douleur. Elle se laisse tomber sur ma poitrine pour profiter des dernières contractions de son vagin sur ma pine au summum de sa raideur.
Enfin, elle soulève la tête et sourit en me remerciant:

- Oh Patrick, c'est incroyable! J'ai cru un instant que tu allais entrer dans mon utérus au moment ou mon orgasme à éclaté! Merci pour ce plaisir que tu m'as donné.
- Je veux que tu prennes un pied d'enfer, que tu libères ton corps de tes frustrations passées et que ta sexualité exacerbée se libère.
Une larme perle au coin de son œil et elle commence à sangloter.
- Stop! On ne pleure pas dans ces moments là! Et ta chatte! C'est un puits de plaisirs ou l'on se noie volontiers dans ce jus bouillonnant. Et sans oublier qu'elle est parfaitement à la taille de ma poutre qui se languie de la prendre et de lui donner encore du plaisir. Je pense que nous devrions continuer de faire connaissance dans un endroit plus approprié, comme ta chambre!
- Continuer ? Mais...
- Assurément, nous devons continuer. En fait, ne crois pas que j'ai vraiment commencé. Pour ce premier round, c'est toi qui a tout fait!
Elle me regarde incrédule, et elle commence à se soulever pour se libérer de ma pine qui est toujours étroitement liée a sa chatte mais je la maintiens fermement.

- Ne bouge pas! Attrape mon cou et surtout ne quitte pas ma bite qui ne veut pas perdre une seconde cette merveilleuse grotte!

Avec un regard mi-choqué mi-surpris et craintif elle me laisse faire. Je me lève avec elle toujours bien empalée sur ma queue et mes mains sous ses fesses.
Je remonte l'escalier et lentement je la fais rebondir sur ma teub plus que nécessaire pour monter les marches.

Sur la sixième marche elle ferme les yeux et se serre plus fort contre moi, puis elle gémit à chaque nouvelle marche. Juste avant que je n'atteigne le palier elle crie:

- Oh mon Dieu, ça recommence…ça revient… Oooh mon Dieu j'y crois pas! Ouiiiii, c'est ça ! OOOUUUIIIIIIIII… PUTAIN, OUIIIIIII! AAAHHHHHHHH, ENCOOOOORE….AAAGGGRRREEEEEE! Ooooohhhhh…ça continue…. Oh Patrick, je n'ai jamais joui comme ça avant ! Comment peux-tu ….. Oh mon Dieu!

En effet, sa chatte continue de vibrer sur ma bite alors je prends tout mon temps pour me diriger vers les escaliers du 1er étage. Des gémissements de plaisir, modulés en fonction des pressions de ma pine s'échappent de ses lèvres. Elle halète et gémit désespérément quand je ressens de nouveau ses muscles vaginaux compresser ma queue.
Murielle enfouit sa tête dans ma poitrine et elle commence à pomper sauvagement sa chatte sur mon sexe dur et gonflé.
Ses ongles labourent mon dos quand j'arrive sur les dernières marches et qu'elle hurle :

- AAAAAAHHHHHH..HHHHHOUUUUUUU… OUIIIIIIIIIIIIII! Mon Dieuuuuuuuuu!

Et elle s'effondre sur moi pendant que je la retiens fermement et me dirige vers sa chambre.
Je l’assois sur le bord du lit, la repousse sur le dos en tenant ses jambes que je pose sur mes épaules. Elle me regarde avec des yeux vitreux.

- C'est mon tour maintenant ! Et je ne m'arrêterai pas avant que tu me demandes grâce sous tes cris de jouissance!
- Mais...J'AI...Je te jure que jamais ! Jamais! Je n'ai demandé grâce à un homme!
- Qui vivra verra!

Je pousse ses cuisses vers elle en les écartant et je commence lentement à la baiser en donnant des longs coups me retirant jusqu'à ce que mon gland soit au bord de ses lèvres déjà bien rouges, avant de lentement pousser entièrement ma grosse bite de nouveau au fond de sa chatte.
Je reste un moment immobile puis je déplace mes hanches dans un mouvement giratoire, écrasant son clitoris entre nous alors que mon gland boute le col de son utérus.

- Oh, Patrick! Qu'est ce que c'est bon de te sentir dans mon corps, Patrick, c'est incroyable la façon dont ta bite frotte mon vagin, je la sens partout! Oh s'il te plaît n'arrête pas! Donne-moi encore du plaisir.

Tu penses que je vais encore la faire jouir! J'adore tellement voir les femelles qui gueulent sous leur orgasme! C'est à ce moment là quelles sont les plus belles! Je redonne des petits coups de reins en enfonçant mon phallus de quelques centimètres seulement puis, tenant ma bite d'une main je fais aller mon gland le long de sa fente rouge et dégoulinante de cyprine.
Je folâtre sur son clito et je caresse sa raie des fesses du bout des doigts en accentuant ma pression progressivement, tant devant que derrière sur sa corole brune. Je constate avec plaisir que çà lui fait de l'effet car je sens de nouveau son vagin se contracter sur le bout de ma queue qui glisse doucement en elle.
Mon pouce gauche trouve son clitoris et je le frotte gentiment en continuant mes allers et retours dans sa merveilleuse chatte. Ses contractions sont de plus en plus fortes et rapides. Elle recommence à crier :

- Oh Patrick, c'est si bon, je suis presque, Ouiiiii là ! Oh oui, c'est tellement...OH NON ! Vas-y prends moi fort et vite!
- Tu vas trop vite ma petite Murielle. Je veux que tu apprécies vraiment d'avoir une belle queue qui te fouille la chatte. Pour moi, "tout va bien" j'ai tout mon temps pour jouir de ton corps!

Elle remue son cul pour se faire baiser plus vite mais je la maintiens à mon rythme. Maintenant, en désespoir de cause, elle plaque sa main sur sa chatte et commence à se branler elle-même.
Je tape sur sa main et la lui tire vicieusement loin de sa chatte.

- Ooooooh, nooonn, Patrick dit-elle en pleurnichant de frustration, regardant mon nœud s'agiter devant elle et en gémissant doucement, elle me supplie:
- Patrick! Baise-moi fort! Plus fort…putain de salaud! Vas-y!
Elle saisit mon membre et le maintien contre sa fente. Je la prends par la taille et pousse lentement.

-Ouaaaaaaaaah t'es gros!

Sa fente s’écarte peu à peu et le temple avale doucement le malabar de chair.
La progression continue, je ressors de quelques cm mon mandrin et replonge brusquement.

- Mon dieu qu'elle bite, tu me remplis entièrement, ouiiiiiiiii casse-moi tout, défonce- mooooooooooooooi.!! Putain! BAISE-MOI! J'en peux plus! Enfourne ta grosse bite à fond! Fais-moi mal! Mais baise-moi! BAISE-MOI, NON DE DIEU!

Instantanément, je lui enfonce mon pieu violemment à fond pour la faire gueuler et je commence à la marteler sans pitié à coups de queue bien dure. Murielle satisfaite commente en criant:

- Ouiiiii, c'est ça! AAaahhhh qu'elle est dure et longue ta bite! Putain t'es monté comme un âne mon salaud! Mais qu'est ce que j'aime! Huuuummmm…Aaaahhhhh, la vache! Ça y est je vais jouiiiirrrr! Continue…continue…continue…

Ses jambes encerclent ma taille pour m'emprisonner profondément en elle. Je décide de varier les plaisirs et me relève, toujours avec Murielle empalée pour lui faire l’amour debout. Fermement calé sur mes pieds, je m'empresse de glisser mes deux mains sous ses fesses afin de la maintenir, Murielle s'accrochant désespérément à moi pour ne pas tomber, s'empalant profondément sur ma verge dressée qui la perfore.

- Oh mon Dieu, putain, tu me transperce avec ta bite de cheval, Patrick!
Solidement agrippée à moi, elle agite vivement ses hanches, tout en râlant de plaisir dans mon cou où elle a niché son visage. – Oh oui !... C'est terrible, lance-t-elle. Je sens ton gros bout jusqu'au fond de mon ventre, tu perfores mon utérus, je suis complètement dilatée par ton monstrueux chibre!...

Pour mieux la tenir, je crochète mes doigts dans ses fesses charnues. La position est très fatigante et je la cale contre la porte pour continuer à la faire aller et venir sur mon pénis bandé. Elle hurle, surprise de mes ressources. Fatigué de cet effort physique intense, je reviens vers le lit et la repose, toujours en elle.

Récit de Murielle.
Au fur et à mesure de ses coups de reins, je découvre toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de Patrick rentre une nouvelle fois dans mon vagin. J' hurle à n’en plus finir, mon corps tremble, je vibre réellement. Patrick me décoche un sourire et continue à me faire l’amour de plus belle.
Le rythme s’accélère, je ne peux tenir, je crie de plus en plus, ses mains accrochent mes fesses, me forçant à accélérer, sa queue me pénètre complètement, je vais de jouissance en jouissance. Je n’avais jamais imaginé qu’une queue pouvait me faire tant jouir.

- Je jouiiiiiisssssssss! Ouiiiii! Je jouiiiiiisssssssss! AAAAHHHHhhhhh, ouiiiiiiiiii!


Récit de Patrick.
Son corps se tend comme un arc et elle hurle sa jouissance en me plaquant contre elle.
Son orgasme diminuant, elle essaye de reprendre sa respiration mais sa tête ne commande pas encore bien son corps car les muscles de sa chatte tremblent toujours autour de mon sexe.

- C'est bien Murielle, c'est beaucoup mieux! Tu commence à jouir presque bien! Mais je pense que tu peux faire encore mieux!

Et immédiatement je lui repousse ses jambes et je tire son corps plus près du bord du lit pour que ma bite pénètre fermement à l'intérieur de sa chatte maintenant grande ouverte pour accueillir mon engin.
D'elle-même elle prend ses mollets pour les tirer de chaque coté de sa tête. A ma première poussée dans son con, elle gémit de nouveau :

- Oh mon Dieu, Patrick, tu vas si loin que tu vas finir par me casser en deux ! Oooh, ta bite est si énorme... oh oui, j'ai besoin d'elle... oh Dieu, baise-moi encore, Ouiiiii, reprend ma putain de chatte! Je deviens nympho mais je m'en fous! Je veux ta bite! Ta belle et grosse bite!

Et je me remets à l'ouvrage et la pilonne pendant au moins trois minutes en ne tenant pas compte de ses gémissements ou de ses cris. Quelques instants plus tard, elle commence à sentir son orgasme arriver.

- Oh...Oh...Oh...Oh...Oh...Oh... Ouii! Ouii! Ouiiiii!
Quand je sens son orgasme éclater dans son vagin, j'attrape ses hanches et je me plaque violemment contre elle au moment ou son corps se tend.
- OH OUIIIIIIIII! JE JOUIIIIISSSSS! ENCORE…ET ENCORE… JE JOUIIIISSSSSSS! PUTAIN DE BIIIITE! AAAAAHHHHHHHHHHHH……….
Et elle s'écroule dans les "vapes".

Lentement, elle récupère et me regardant elle dit faiblement :

- Putain, t'es le dieu de la baise, Patrick, je n'ai jamais été baisée comme ça avant ! Oh mon Dieu, Qu'est ce que tu m'as fais jouir! Mais je n'ai toujours pas senti ton foutre ! Comment peux-tu tenir aussi longtemps?
- Eh bien… j'ai un très bon contrôle de ma bite. Je m'intéresse plus au plaisir de ma partenaire qu'au mien. Et pour tout t'avouer, Emilie m'a fait une pipe d'enfer ce matin et vidé mes couilles au max!

Je ne sais ce qui passe dans sa tête quand je lui rappelle sa sœur Emilie mais elle se met à crier :

- Oh mon Dieu, Emilie ! Qu'ai-je fait ? Je viens de baiser comme une folle avec le fiancé de ma sœur ! Je suis une belle salope ! Oh mon Dieu, elle ne va jamais me pardonner!

Je la retourne pour la mettre à quatre pattes et la reprendre en levrette. Elle n'en revient pas avec quelle rapidité je la pistonne mais apprécie cette position.

- Maintenant c'est à moi et je n'arrêterai que lorsque ta chatte sera remplie de mon foutre!
Et crois moi que tu vas le sentir mon sperme brulant!
- Mais...... Ooooohhhhh…. oh Dieu je te sens bieeeennnn! Si bien comme ça! Oh... Patrick... tu ne...Arrête ! Je ne peux pas faire ça à Emilie!

- Salope! Tu as eu ton compte toi! Au moins cinq orgasmes tonitruants grâce à ma bite ! Maintenant c'est mon tour de jouir!

En quelques secondes elle oublie Emilie et me prie même de la baiser encore plus fort.

Cinq ou six minutes plus tard, mes couilles se préparent au feu d'artifice alors je glisse ma main droite autour de sa hanche et attrape son clito.
Immédiatement, Murielle atteint un nouveau palier sur l'échelle de son plaisir en criant :

- Oh mon Dieu, ce n'est pas possible! Tu vas me faire jouir de nouveau ! Je sens que tu vas venir, éjacule en moi, donne-moi ton sperme en offrande… Fais-le, Patrick, fais-le ! Baise la sœur de ta fiancée et donne-moi toute ta semence! Plus fort, baise-moi plus fort ! Je veux ton sperme ! Donne-le moi, donne-le moi ! OUIIIII! CA Y EST! TU ME DONNES TON SPERME! Que je sois damnée… mais putain… que c'est bon te sentir ton jus remplir ma chatte! Et je Jouiiiisssss sur ta bite! OH PUTAIIIIIINNNNNN!

Ma jouissance la fait se cabrer. Un long cri inhumain s'échappe de sa gorge.

- Ouiiiii, prends le mon foutre! Tu le voulais! Et bien tiens! Prends-en encore!

Ma verge, enfoncée complètement en elle et comprimée par ses contractions de plaisir a effectivement explosée et je lâche tout mon foutre au fond de son vagin, comme un geyser puissant et incontrôlable, mon sperme jaillit en saccades répétitives, aspergeant copieusement le vagin dans lequel ma queue est fichée.

J'envoie une énorme giclée, puis une deuxième puis une troisième très abondante avant que je ne retire vivement mon pieu et le présente devant son visage.
Sa chatte déborde d'une quantité incroyable de sperme. Je continue à éjaculer pendant un temps qui me parait interminable, envoyant des giclées sur ses lèvres, son front, ses cheveux. Cela n'en finit plus… Tout son visage est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore.
Quand j’ai fini de me vider les couilles elle souligne, espiègle :

- Oh mon Dieu, mon chéri, mon amant ! Pas un seul mec avec qui j’ai baisé n’a été capable de me faire autant jouir et ta charge se semence est tout bonnement monumentale!...Mais tu ne débandes donc jamais? Ta queue a à peine débandée après deux éjaculations incroyables. Comment peux-tu faire ça?

Je ne réponds pas et l'embroche à nouveau d'un violent coup de reins, avant de m'immobiliser.
J'en ai presque mal aux couilles et sûr de n'avoir plus rien à juter, je me mets à la ramoner comme un fou et nous gémissons tous deux dans la communion de nos sexes.

Mais je n'en ai pas encore fini avec elle pour aujourd'hui…

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