Transport en commun. Chaud !

La galère des transports en commun par grosse chaleur n'a pas que du mauvais. Surtout si vous vous retrouvez en sandwich entre deux ravissantes femmes. Petit récit emprunt d'une part de réalité...

Proposée le 27/11/2023 par verseau29

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Thème: Homme dominé
Personnages: FFH
Lieu: Transport
Type: Fantasme

17h00 je quitte le bureau il faut très chaud. Mes collègues de travail, en majorité des femmes, ont cette chance de pouvoir mettre des robes ou des jupes. Avec cette éternelle question qui nous hante, nous les hommes, qu’y a-t-il dessous ? Peut-être rien d’ailleurs ! et si j’étais à leur place ça serait sans rien dessous.
Pour l’instant une seule obsession, rentrer me mettre nu et plonger dans la piscine. Mais avant cela… l’épreuve des transports en commun. Je colle de partout. Beurq ; moi qui suis du genre maniaque, toute cette odeur de sueur me remplit les narines. L’arrêt de bus est en plein soleil…. décidément ! Les gens qui attendent doivent être dans le même état que moi ! leur regard en dit long, tout le monde semble exténué par ces conditions météo exceptionnelles. Encore une fois j’envie la gente féminine pour la diversité qu’offre leur garde-robe. Court mi-long, échancré dos nu, texture légère et fine. D’ailleurs, en parlant de fine, j’avoue que certaines étoffes laissent deviner les dessous. Sympa ! C’est même curieux qu’à l’heure du choix de la tenue vestimentaire le matin, ces femmes qui passent beaucoup de temps à rechercher la meilleure harmonie qui soit, ne fassent pas plus attention à la couleur des sous-vêtements ! Honnêtement, pour ce qui me concerne, cette erreur stratégique matinale me convient parfaitement. Voyeur un jour, voyeur toujours ! Sur le banc une femme est assise jambes croisées les yeux rivés sur son téléphone. Elle semble regarder quelque chose avec beaucoup d’attention. Elle ne textote pas. Dommage qu’elle soit assise car ces jambes sont longues et fines. La jupe à carreaux semble courte en plus ! Le Chemisier blanc et léger fait ressortir son teint hâlé et ses cheveux noirs. Sympa
Ah…enfin le bus ! Faute de galanterie, c’est un réflexe je laisse toujours passer les dames devant, ce qui ne se fait pas dans un escalier ; que ce soit pour le monter ou le descendre l’homme doit toujours passer devant ! Bref les trois marches du bus ce n’est pas non plus les marches du phare des baleines !
La robe bain de soleil passe, suivit d’une jeune en jean, bon, et la brune qui vient de percuter que c’est son bus et qui à faillit m’envoyer embrasser la porte du bus !
-Mais je vous en prie…. Pas sûr que le dernier mot soit sorti de ma bouche, réflexe, habitude allez savoir ou tout simplement mon côté amateur de ce qui est beau, mes yeux sont scotchés sur sa jupe, qui, comme je m’en doutais est courte, même plus courte que je ne l’espérais ! Mais surtout et là j’en suis ravi, dans sa hâte d’attraper « son bus » en ancrant la sangle de son sac sur son épaule, ce dernier à attrapé par malice un quoi de sa jupe pour la relever sur le côté ! Et de mon côté ! Lui dire ? impossible cela sous-entend que j’ai regardé ! Pour ce que j’ai pu voir, justement je n’ai rien vu. Enfin je m’entends. La réponse à cette fameuse question du début ! qu’y a-t-il dessous ? ben là ; je n’ai rien vu et pourtant j’ai parfaitement vu le haut de sa cuisse jusqu’à la hanche. Ou alors c’est un tanga porté très haut. N’empêche que madame à de belles jambes…Je lui emboite le pas. Les gens tardent à s'installer, je suis derrière elle tout proche. Malgré l’heure tardive, je sens son parfum fruité qui l’entoure. Je regarde son dos. Tiens à priori pas de signes de la présence d’un soutien gorge. Décidément …Elle trouve une place assise ... pas moi, le bus repart dans un démarrage assez brutal qui me déstabilise un peu vers la belle brune - pardon, excusez-moi- pas d’mal et un magnifique sourire illumine son visage. Je m’accroche à la barre à côté de son siège, avec une vue dominante sur cette femme ravissante. Je suis jaloux de la femme assise sur son travers droit. Elle n’a pas remarqué la jupe de ma brune relevée et n’y prête pas attention. Alors que si j’avais été à sa place…Mes yeux se promènent, quand, enfin ils découvrent encore quelque chose qui va me combler. Oui le chemisier est léger, ample et fin, mais il est surtout très échancré et ma position me laisse une vue imprenable sur ses seins. Comme je les aime. Juste ce qu’il faut et je devine surtout que les sommets sont légèrement dirigés vers l’extérieur…. Je vais devoir détourner mon regard si je ne veux pas être trahi !
Plus facile à dire qu’à faire…mes yeux se perdent et je me perds aussi. Tout doucement mais de façon irrémédiable je sens mon sexe réagir aux images envoyées par mon cerveau…La situation devient un peu délicate. Nouvel arrêt, nouveaux passagers. Ma belle brune se lève pour céder sa place à une personne plus âgée. Sympa ! L’espace vital de chacun est réduit à sa plus simple expression. Le bus redémarre et à nouveau j’ai failli écraser cette charmante voisine. D’ailleurs elle s’est fait surprendre et s’accroche à la barre à la hâte. Nous sommes face à face, nos mains sont proches sur la même barre sans se toucher. Et pourtant je la sens toute proche. Mais son autre main est encore plus proche d’un endroit qu’il conviendrait de ne pas trop effleurer. En effet elle soutient son sac par le dessous et je sens le dos de sa main effleurer ma braguette à chaque secousse ou mouvement du bus. La promiscuité, son sourire, ses contacts involontaires me mettent dans un état second. Elle me regarde régulièrement, en alternance, sol, plafond vitres et moi. J’ai, à chaque fois, le droit à un sourire. Je n’en peux plus, je suis très dur.
Nouvel arrêt, changement d’agencement, on monte on descend les cartes sont redistribuées, ma belle brune me tourne le dos, mais je ne sais par quelle magie elle est quasiment contre moi. Sauf que derrière moi il y aussi…la robe bain de soleil. Non, ça ne relève pas de la torture, mais il faut bien comprendre qu’à cet instant précis, le bande comme une bête en rut, que les fesses de la brune à la jupe à carreau ont remplacées le dos de sa main, et que derrière moi je sens dans mon dos la généreuse poitrine de la robe bain de soleil.
Tiens la brune sort son portable…un SMS. Voyeur oui, curieux aussi trop tentant. Message de Cécile :
-tu fais toujours la gueule ? Ma brune répond à une vitesse incroyable.
-Non TK ! il fait trop chaud pour ça !
-comme tu dis… en plus on est serré comme des sardines dans ce bus…
Je n’avais pas fait attention mais les mouvements de la brune et de la robe bain de soleil sur leurs portables sont en rythme… non ! mes deux voisines de bus se connaissent et se textotent !
-oui comme tu dis on est serré mais peut y voir certains avantages lol
-Voir ? tu vois quoi ?
-Je vois rien mais ça favorise les rapprochements, et je peux te dire qu’en ce moment il y en a un qui semble apprécier !
- non ! j’y crois pas ! tu fais ta p’tite salope ?
-oui et il semble apprécier ; le pauvre doit se sentir très serré dans son fût !
-et toi ? comme d’hab la chatte à l’air ?
- yes ! je commence même à me sentir humide…
-mdr…mais attends ..tu parles du mec qui est dans ton dos ?
-oui 1 m 80 cheveux très court
-te retourne surtout pas car moi je suis derrière lui ! le pauvre ! il est prisonnier !
-comme tu dis ! prisonniers de deux salopes…
-tu le chauffe ?
-pas besoin il est chaud bouillant le pauvre. Il bande tellement qu’il va exploser dans son caleçon !
-arrête ! comment tu sais ?
-devine !
-tu le touche ?
-oui
-comment ?
-avec mes fesses…
Je n’en reviens pas mon cœur tape si fort que j’ai l’impression que tout le monde peut l’entendre. Et je suis là. Que faire ? Parler ? agir ? Leur faire comprendre que je les ais démasqués ?

En tout cas, la situation a changé. Je ne suis plus le vilain obsédé, mais la victime ! Tout ce qui m’arrive est de leur faute ! Que faire ?
-tu compte en faire quoi ?
-je ne sais pas, continuer à le chauffer !
-humm
-il essaye de te toucher ?
-non..pas d’bol je suis tombé sur « gentleman » mdr
-gentleman ! qui bande !
-oui c’est vrai…
-fais-lui comprendre que t’en veux un peu plus !
-j’hésite.
-aller fait pas la timide ! on est trop serré pour que ça se remarque !
-d’ac

Quoi d’ac ? que va--telle faire ? non ! c’est pas possible ! je rêve pincez-moi ? Ma brune vient de passer gentiment le dos de sa main sur ses fesses et en profite pour me caresser avec la paume de la main. Et la retire tout doucement et reprend sa discussion.
-c’est parti !
-dis-moi
-J’ai relevé ma jupe derrière et j’en ai profité pour tâter le sujet. Il est mûr ! mdr
-trop bon !
Quoi ? j’ai bien lu ? Il faut que j’en ai le cœur net. Voir, c’est impossible trop serré. Aller… on y va. Je descends une main en direction de ma poche. Le pouce dans la poche pour tenter de libérer de l’espace pour mon sexe gonflé et les autres doigts en dehors pour… mon dieu, oui elle l’a fait. Je sens la douceur de sa peau sur le dos de mes doigts…c’est divin…et effectivement je ne perçois à cet endroit aucun brin d’étoffes.
-yes !
-quoi ?
-il me caresse le cul !
-hum ! t’es une petite cochonne toi !
-non : pas cochonne ! opportuniste !
-et moi dans tout ça ?
-ben t’avais qu’à mieux regarder à l’arrêt de bus !
-tu l’as repéré à l’arrêt de bus ?
-oui, et j’ai même commencé à le chauffer en montant dans le bus !
-comment ?
-le coup de la jupe relevé par le sac !
-ah oui ! je vois …ça marche !
-Alors que fait-il ?
-c’est très agréable !
-putain je n’ai pas d’bol !
-pas d’bol ? qui est plaqué contre son dos ? fais preuve un peu d’imagination ma grande !
Oui effectivement, je vous en prie ne vous retenez pas ! faite preuve d’imagination ! Je continue ainsi à caresser les fesses de ma brune tandis que je sens toujours la poitrine de la femme derrière-moi. Combien de temps vais-je tenir d’un tel traitement ? La brune reprend son dial avec la robe bain de soleil…
-tu peux m’aider ?
-comment ?
-je veux sentir sa bite !
-t’es folle ?
-non, en manque
-tu ne sais pas comment il va réagir !
-je prend le risque mais vu ce que je sens il ne devrait y avoir de blem
-donc ?
-Essai d’ouvrir sa braguette.
-Putain tes cinglée toi…
Plus d’échange, ma brune reste stoïque pendant que je lui caresse les fesses…plus de dial sur les GSM, quand soudain je sens une main de ma robe bain de soleil se poser sur ma hanche. Je ne bouge pas, ce n’est pas le moment de l’effrayer. Sa main continue sa progression vers l’avant et se perd dans ma poche. Aille elle est dans l’impasse ! Madame est une connaisseuse ! Elle vient de trouver mon sexe qui cherche désespérément une issue. Elle caresse mon gland à travers les tissus…Mon cœur fait un chrono ! J’en ai presque la tête qui bourdonne. Ce n’est pas possible elles sont connectées et synchro ! Ont-elles déjà fait subir cela à un autre homme ? La brune vient de passer une main derrière ses fesses et commence à me baisser la braguette. Chose faite, elle s’immisce dans le pantalon à la recherche de la chose. Ses doigts rencontrent ceux de sa copine et dans une dextérité inimaginable elles réussissent à libérer son sexe hors de son caleçon. La brune saisit ma tige en englobant le gland et sort le tout en dehors de mon fût. La robe bain de soleil ressortit sa main de ma poche et vient dans le caleçon pour me sortir les couilles. Je n’en peux plus, je suis là entre deux femmes la bite à l’air tandis que la brune fait des allers-retours discrets sur ma tige avec la main. Ma voisine de derrière me caresse les couilles avec une extrême douceur...c’est divin.
Je ne peux pas rester comme cela sans rien faire. A mon tour le passe une main derrière mes fesses et commence à caresser le sexe de ma partenaire arrière à travers la robe. Elle semble très réceptive et s’avance en se plaçant encore plus contre moi.
Elle est tellement proche de moi que je sens son souffle dans ma nuque. Je suis au paradis. Ma voisine de devant me masturbe et je caresse celle de derrière, et le tout au beau milieu d’un bus bondé.
Soudain j’entends murmurer à mon oreille la voix de madame robe bain de soleil.
-faites-moi mouiller monsieur….
Sa robe est courte et le chemin d’accès à son sexe est très facile. Mince elle a une culotte. Je remonte le long de son pubis et une fois l’élastique passé je replonge en direction de ses lèvres. Madame est adepte du sexe lisse ; et un doigt commence à trouver sa fente. Faite moi mouiller ? Mais madame est déjà trempée ! C’est délicieux chaud et humide. Quelques aller et retour dans sa fente et soudain je sens que devant il y a un changement de stratégie. La brune à lâchée ma bite reprise en main par ma compagne de derrière qui se rapproche une fois de plus de mon oreille en me disant
-moi c’est Cécille et devant Sabrina.
-enchanté…enfin c’est ce que je voulais répondre mais je crois que rien n’est sorti de ma bouche.
Je sens alors la main de Cécille empoigner ma tige avec force et maintenir son dernier mouvement vers l’arrière. Cela à pour effet de tirer fortement sur le frein de mon gland qui à du doubler de volume. Elle abaisse maintenant mon sexe à l’horizontal droit devant. Je sens les fesses Sabrina englober mon sexe tandis que Cécille vient de me pousser le bassin avec le siens. Mais ! Sabrina vient poser ses doigts sur mon gland et semble lui indiquer le chemin à prendre… Instinctivement l’ai un mouvement de recul.
-t’inquiète on est clean ! On fait un test à l’hôpital tous les mois, on est infirmières. (Me murmure Cécile). Et joint sa déclaration à un nouveau mouvement de bassin. Comment est-ce possible? Je sens ma bite enculer Sabrina d’un seul mouvement. C’est rentré sans efforts. Je n’en peux plus, je sens que je vais éjaculer. Un « non » étouffé sort de ma bouche trahissant mon incapacité à retenir mon foutre. Une première salve vient de remplir le cul de Sabrina, quand elle décide de s’avancer, le sexe à l’air envoi un second jet qui vient d’arroser ses fesses. Cécille vient de reprendre mon sexe en main et continue de me branler tandis que de son autre main elle repousse mes doigts plantés dans sa chatte… Elle lâche alors mon sexe douloureux et recouvert de sperme en me disant.
-dépêchez-vous de remettre de l’ordre ! nous on descend !
Je sens alors le bus freiner et se ranger. Il s'ensuit un très fort mouvement de foule. Je remballe au plus vite mon sexe sans aucuns soins. Je vois Sabrina s’éloigner dans l’allée quelques tâches de foutre sur sa belle jupe tandis que Cécille en me doublant me flanque une claque sur la fesse en me doublant !
-Au plaisir, bonne soirée !
Je Bus redémarre, je suis agrippé à la barre, il n’y a quasi plus personne dans le bus si ce n’est cette dame assise plus loin qui me dévisage.
Je tourne la tête pour regarder dehors et je me rends compte que j’ai loupé mon arrêt depuis un bon moment ! Merde !
Je me baisse pour ramasser mon sac. Oups ! Il est recouvert de sperme ! Je rougi et je relève la tête, la dame me regarde toujours, mais cette fois avec un léger sourire…Ce n’est pas possible ! elle ne peut pas voir vu la scène !
Nouvel arrêt je me précipite vers la porte je suis devant la dame. J'essaye de cacher mon sac comme je peux. Je suis rouge pivoine. Les portes s’ouvrent ! Au moment de sortir je la regarde une dernière fois et elle me fait un signe du menton en regardant en direction de mes jambes.
Je sors et je me retrouve sur le trottoir je baisse les yeux… non ! Le pantalon à pris cher aussi….

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