Onanisme et bord de route

Durant ma carrière professionnelle je me suis retrouvé à fantasmer sur la directrice d’un restaurant de luxe dans lequel j’officiais. Vu la beauté de cette femme, plus d’un(e) employé(e)s a dû jouir seul(e) en s’imaginant les pratiques les plus coquines qui soient !

Proposée le 20/11/2023 par Titlover37

Thème: Masturbation
Personnages: Solo
Lieu: Transport
Type: Histoire vraie

Nous sommes en 1999, je suis chef de partie dans un hôtel restaurant 4 étoiles, fardé de sa clientèle de nababs et autres sybarites. La directrice, Mme B. m’excite particulièrement, c’est une belle femme de dix ans mon aîné qui sait très bien arrivée à ses fins, elle est au fait de ses charmes naturels et sait parfaitement les utiliser à bon escient lorsque c’est nécessaire. Elle n'hésite pas à dandiner du cul quand il le faut, puis elle a ce petit quelque chose de la bourgeoise que l’on a envi de souiller, je l'aurais bien vu à genoux, torse nu dans un bukkake, en tout cas elle était de mes nombreux fantasmes du moment.

Lors d’un service aux heures du dîner elle se présente au passe d’envoi et me demande des plats vegans pour une table d’américains, voyant que cela me contrarie du fait que nous n'avons pas cette offre à la carte du restaurant, elle attends mes propositions et se penche afin de compléter le bon de commande, sa position est clairement orientée de façon à ce que j’ai une vue plongeante sur son décolleté, je peux clairement apercevoir ses seins bien galbés dans la dentelle de luxe, je n’arrive pas à la regarder dans les yeux, je bafouille trois idées de prestations culinaires pour ces clients facétieux et retourne à mon poste tout émoustillé.

Le soir en rentrant à la maison je suis particulièrement excité, je vais prendre une douche et essaye par la suite de chauffer ma petite amie, ne serait-ce qu’une petite pipe pour bien me détendre, madame n’est pas décidé, je passe la nuit sur la béquille.

Le lendemain, je suis sur la route pour retourner au restaurant. Je n'arrête pas de penser à la poitrine de ma patronne, j’imagine mon gland faire des va et vient sur son buste et me répandre sur le haut son torse, j’ai beau être au volant, le désir monte inéluctablement en moi, je commence à me caresser à travers le pantalon, j’ai rapidement une belle trique.
Il y a peu de monde sur la route. C’est plus fort que moi, il faut que je me branle ! Tout en conduisant je sort ma bite et commence à me masturber du bout des doigts, je sent le plaisir m’envahir, par sécurité je me range sur la bas côté, à l'entrée d’un champs, j’essaie de me mettre un peu plus à mon aise, j’attrape ma verge en érection à pleine main et continu les allers et retours régulier tout du long.

J’imagine madame B. me chevauchant en amazone, sa belle paire de seins entre mes mains, je les tète, les lèche, les pétri.

Des frissons commencent à parcourir mon bas ventre, mes muscles se raidissent, je sens mon scrotum se contracter, mon gland est gonflé à son paroxysme. J’active un mouvement vigoureux sur mon sexe bien ferme.

Dans mon fantasme, je la fait se mettre à genoux devant moi, je veux lui juter sur le visage et essuyer mon sexe sur ses tétons que j’imagine roses et parfaitement dessinés..
Je jouis. Mon foutre jaillit abondamment, j’explose littéralement, c’est incontrôlable, je m’éjacule jusque sur le torse, mon sperme blanchâtre et épais se répand sur mon sweat-shirt, sur mon jean et même sur mon manteau, j’ai la main dégoulinante. Il y a quelques voitures qui passent sur la route, je suis trempé, j’essaye de me nettoyer tant bien que mal avec un paquet de mouchoirs en papier qui traîne dans la boîte à gants.

Mme B. aurait pris une sacrée éjaculation faciale si cette scène issue de mon imagination avait été la réalité. Cette image me hantera toute la journée.

Durant la matinée, une fois sur mon poste de travail, j’ai dû m'absenter quelques instants aux toilettes pour une seconde séance onaniste, j’étais clairement obnubilé par mon imaginaire et cet orgasme matinal.

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