Marcie est photographe professionnelle en avion. Ce jour-là, elle m'invite à capter une série de photos au-dessus d'un camp de naturistes. Mais une trombe d'air bouleverse le Cesna et la séance et finit par un atterrissage dans un bain d'argile et sous les yeux médusés des outardes de la Côte-Nord.
Proposée le 12/10/2023 par El Niño
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Atterrissage en catastrophe!
Marcie, je suis tombé amoureux d’elle, tout juste trois jours après l’épisode des films pornos benêts au club échangiste. Je l’ai revue chez Métro au comptoir des pâtisseries. Elle s’achetait des chaussons aux pommes pour fêter un anniversaire. C’est du moins ce qu’elle m’a dit. J’ai eu de la misère à la reconnaître en jeans délavés et blouson de cuir. En fait, je l’ai reconnue par ses grosses lunettes qui lui dévoraient le nez et sa coiffure carrée en forme d’époussette à meubles. Elle m’a souri. J’ai failli m’enfuir. Mais le souvenir de la serviette blanche s’effondrant à côté de la mienne et une lointaine odeur de sexe m’ont vite remis les yeux dans les trous et mon sexe en position exiguë.
- Tu aimes les chaussons aux pommes, toi aussi?
Elle a dit ça de sa voix creuse de fumeuse et en relevant ses fonds de bouteilles. Pourquoi est-ce qu’elle ne les fait pas ajuster ses montures?
- (Décidément, elle n’est pas jolie habillée)…
- Oui, mais je préfère les Bostons à l’érable. C’est plus juteux à l’intérieur et quand on les mange, on en a sur le nez.
Je glousse seul de ma blague. Elle ne rit pas. Elle prend une bouchée de son chausson et se met à deviser sur ses composantes. Le taux de sucre, celui de la confiture de pomme, celui de la pâte semi-feuilletée. Elle accompagne ses explications par une gestuelle de confiseuses professionnelle. Je reconnais là le cerveau de la photographe surprise à décrire sa baise comme une partie de hockey entre les Bruins de Boston et le Canadien de Montréal. Elle est bandante quand elle se perd en gestes et que je revois cette sacrée serviette en danger de glissement trois jours plus tôt.
On se retrouve à la table carrée des dineurs du midi. Elle revient sur la photographie aérienne. Elle a un contrat le lendemain pour caractériser l’estuaire de la rivière Outardes. Je connais bien l’endroit pour l’avoir fréquenté il y a une vingtaine d’années.
- C’est juste à côté du club les Charlots.
- …
- Les Charlots, c’est un camp de naturistes. La ville de Ragueneau projette de construire des glissades d’eau à cet endroit, alors je dois leur fournir des photos en plan pour avancer dans leur projet.
Elle me dit ça, toujours en guidant les mots de gestes évocateurs pour les faire résonner plus fort. Je repense à Marcie gesticulant devant le film porno. Je revois le strip rythmé par le bombardement de mes questions. Mon jeans est subitement trop petit.
- Si ça t’intéresse, y a une place dans l’avion. Et puis tu pourrais me donner un coup de main pour manipuler le matériel. Le pilote est trop con pour m’aider. Il me déteste.
J’accepte, bien sûr. Pour la ballade en avion et pour … le camp de nudistes. Aussi pour la vue à la verticale, comme celle que je capte avec mon drone. Voir d’en haut ce que l’on voit mal d’en bas. En 3 D. J’aurai l’impression d’être dans l’œil de Google Earth Pro. Et peut-être un peu pour la fille aux fonds de bouteille glissant sur le nez, finalement. Je sens encore le moulage de ses fesses dans mes mains. On verra bien. Pas d’attente.
Le pilote est un mufle, en effet. Pas un mot, pas un salut. Il est payé aux heures de vol et a reçu le plan par courriel. Il nous en donne copie. Je les lis sur l’épaule de ma photographe aérienne. Son halène dégage une odeur de menthe. Ça sent le sexe encore. Je regarde l’appareil. Je ne vois pas comment…
Nous montons dans l’avion sur le tarmac du petit aéroport de Pointe-Lebel. Entre les 2 banquettes-passagers, l’appareil dispose d’une trappe qu’il suffira d’ouvrir pour installer la caméra. Le monomoteur s’arrache du sol dans un bruit d’enfer. Nous survolons un moment d’abord la grande pointe de Manicouagan, puis tournons rapidement sur l’aile droite pour virer en direction de la Rivière-aux-Outardes. Au loin, la rive sud, puis à l’ouest le village Innu Pessimit. Et bientôt à droite, les Outardes. Avec la sortie de la conduite forcée du barrage hydroélectrique Outardes 2 d’Hydro-Québec.
Marcie a déjà ouvert la trappe. Sa coupe carrée a éclaté en mille pointes hirsutes. Elle installe la caméra sur son socle et déverrouille le système de gyrocompas qui annule l’effet des vibrations. De voir le paysage défiler ainsi donne un peu le vertige. J’ai les yeux qui cherchent les repères visuels habituels. Marcie exulte. Elle est dans son élément ici. Méthodique. Tout à son travail. Le cerveau est là. Je n’existe plus. Elle a attaché ses grosses lunettes pour ne pas les voir piquer du nez vers les épinettes qui défilent tout en bas.
Je la regarde faire. Jeans étroits, camisole échancrée aux épaules, je me dis que si elle se penche encore, elle va tout montrer de sa poitrine. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Pourtant je crois bien en avoir aperçu un avant de monter dans le Cessna 150. J’ai pourtant les yeux pour ce genre de détail. J’aime l’idée qu’elle l’ait fait exprès. Machinalement, je jette un regard circulaire pour l’apercevoir. Je surveille le pilote, écouteurs sur les oreilles, complètement absorbé par ses instruments.
J’aime le moment. Vrombissement d’enfer du moteur, le vent s’engouffre par le puit d’air. Sa camisole ondule et j’ai les yeux qui cherchent déjà les courbes découvertes plus tôt au club échangiste.
(…)
Mais on va où là avec cette histoire? Elle est où l’histoire de cul annoncée? Un Cessna 150, c’est minuscule. Que peut-on faire avec un pilote bougon qui râle sur tout et sur rien? Il est de trop, faudrait s’en débarrasser! Mais attendez, vous n’avez rien vu. Car au-dessus de l’ancien lit de la rivière asséchée, l’air chauffant sur les tables de marbre poli du fond, un violent courant jet propulse l’avion dans ce qui semble être une trombe. Le monomoteur part dans une vrille ascendante. Je me retrouve cul par-dessus tête dans les bras du pilote qui gigote comme un fou pour se libérer de ma présence impromptue. Je réussis à m’extirper de l’impasse pour lui permettre de reprendre les commandes. Je pars à la recherche de Marcie. Elle est disparue!
- Marciiiiiie!
- …
- Marciiiiie!
- Iciiiii!
- Où là?
- Làààà…
Évidemment qu’elle est là. Là sous l’avion. Pendue comme un chevreuil pour le temps du faisandage et s’accrochant de toutes ses forces au bord de la trappe. Je n’ai pas le temps de regarder son sein droit sorti le temps d’une suite de clins d’œil de la camisole, ni ses jeans déboutonnés, ni son string rose!! …. Non, je suis dans l’action, moi... Nullement bandé, nullement excité. Excité, oui. Énervé, oui. Je l’empoigne donc par un bras comme dans un étau. Il ne faut pas qu’elle glisse. Pourtant sa peau moite me donne du fil à retordre. Faut pas que ça glisse!
Elle grimace de peur. Euh, soudain, Je ne la reconnais pas. D’où vient cette beauté? Elle n’était pas là au départ. Je songe à me présenter et à lui donner mon no de téléphone. Mais non!! C’est Marcie!? Ma photographe aérienne qui joue à effeuiller la marguerite. Elle a perdu ses lunettes! Bon Dieu! Elle aurait dû les perdre avant, ses foutus fonds de bouteille!! Je sens soudain mon caleçon se remplir et mes forces se démultiplier. Mais attendez! Sa camisole se met soudain à faseyer brutalement comme un drapeau dans un coup de vent. Je la vois, la camisole, frémir, s’ouvrir, se déchirer, puis s’envoler comme papillon au printemps. Je veux la retenir. J’aime cette camisole rose. Non je ne la veux plus. Je la regarde un instant jouer au lépidoptère et s’éloigner comme pétale de rose à l’automne.
Wow! Regardez-la, ma Marcie. Délunettée. Décamisolée. Comme elle est belle! Ses seins frémissent dans le vent, sautillent dans les courants d’air, prennent des allures de fruits délicieux. Ici une poire par vent de côté, puis là une pomme par vent de front. Deux bleuets leur poussent en périphérie. Ils sont rouges puis …murissent. Ils deviennent bleus! Merde, c’est l’hypothermie qui la gagne. Je dois la tirer de là. Vite! Je tire. Je tire.
Mais ses jeans s’accrochent à une pièce du fuselage. Je tire. Ils décrochent! Dieu que c’est beau des pantalons qui s’envolent. On dirait l’albatros aperçu l’autre jour au zoo de Granby. Oui, mais majestueux, celui-là. Pas le tas de plumes défraîchies et amorphes qui n’a pas du tout impressionné les enfants. Oui je sais, occupe-toi de cette pauvre femme qui gigote comme une truite pendue à ta ligne au lieu de triper sur ses culottes. Ses seins sont bien bleus maintenant. C’est joli des boutons bleus. On dirait des bleuets. Je tire donc. Son string semble vouloir tenir, lui. Bon tant pis, je la tire quand même dans un dernier effort. Merde, le vent le lui arrache. La mince petite bête fait 100 tirebouchons devant mes yeux ébahis. Avez-vous déjà vu papillonner à 300 mètres d’altitude une mini-culotte rose autographiée Barbie 2023? Fascinant!
C’est donc une belle princesse flambant nue qui atterrit en catastrophe dans mes bras. Le pilote a les yeux catastrophés. Sur le moment, je crois que c’est à cause de la princesse Barbie à poil. Non, il tremble. Il semble égaré. Il regarde Barbie, mais n’en semble pas vraiment excité. Je donne un coup d’œil au-dessus de son épaule. Nous volons très bas, Trop bas. Un voilier d’outardes traverse l’écran. Bizarre, on n’entend plus le moteur. L’eau de la rivière défile comme un film muet mais en accéléré sous le cockpit.
- Qu’est-ce qui se passe?
- Crisss! On a un problème.
Et il me montre du menton l’hélice qui ne tourne plus. Il se dirige vers un haut-fond. Je connais l’endroit. Je sais qu’à marée basse, la batture peut servir, d’urgence, à une sorte de piste d’avion. Cahoteuse, évidemment, avec des roches erratiques par-ci par-là et des variations de dénivelé. Mais ça ira. Peut-être. Il dirige son appareil vers l’île des Sœurs. À un kilomètre ou deux du village et la même chose pour le vieux quai de Ragueneau. D’ailleurs je vois le grand obélisque blanc qui, tel un gigantesque doigt d’honneur, semble nous indiquer l’endroit. L’avion roule dans la boue. Le pare-brise se couvre d’argile. Les roues nous enrobent de vase. Ma princesse Barbie, encore figée d’inquiétude près de la trappe, se transforme peu à peu en pâtisserie grise. Le vent l’avait effeuillée là-haut, l’argile la rhabille ici-bas. Quelle image jolie! Une métaphore à noter avec une étoile pour la publier dans ma prochaine mention Facebook. Oh ça vaudra beaucoup de «likes», comme disent les Français.
L’appareil roule en brinquebalant sur la piste improvisée puis s’arrête. Silence de marre oubliée. Nous nous regardons tous les trois. Je ne reconnais plus ce qui semble être une femme devant moi. Je la devine à ses courbes.
- Marcie? Ça va?
- Ouin…
La statue d’argile a parlé. Son pied m’arrive à la figure. J’en profite pour vérifier si ses orteils sont encore peints en rose Barbie comme au club échangiste.
- Oh Marcie, c’est bien toi?
- C’est qui, Marcie?
- Une amie à Loco Locass et Wikipédia.
C’est bien elle, je la reconnais à ses questions et à sa voix de fumeuse qui ne fume pas. Bien oui, elle m’a avoué qu’elle ne fume pas. Moi qui croyais que toutes les Françaises fumaient comme des chandelles de pannes d’électricité.
- Toi, tu parles des fois avec une voix de canard, je dis pas que tu es un canard.
Oh! Oh! Elle est fâchée mon ex-Marcie. D’ailleurs sans lunettes, elle semble parler aussi bien à moi qu’au pilote grognon. Ce dernier est le premier à mettre pied à terre dans la gadoue. Il cherche comment dépêtrer son appareil avant la marée montante.
- Je vais vite essayer d’aller au village pour trouver de l’aide avant la prochaine marée..
Pas facile. C’est une rivière ici et il devra nager. Mais je ne suis pas fâché de le voir partir. J’essaie de deviner les humeurs de ma Barbie argileuse. Je compte bien lui prêter mon aide pour la laver. Imaginez mon émoi. Les forces éoliennes l’ont déshabillée. Les forces aquatiques l’ont rhabillée et maintenant mes forces à moi vont la dépouiller à nouveau. Dans la liste des plaisirs amoureux, je dois cocher haut.
Alors que le pilote-râleur s’éloigne au loin, je l’entraîne vers une dénivellation remplie d’eau. Je m’assieds sur une roche et la regarde piétiner dans l’eau. Puis je la rejoins. J’ai le goût de lui enlever le moule, qui déjà commence à former une croute grise. Par quoi Commencer? Je lui fais des yeux. Ronds comme ses grosses lunettes. Ils sont bleus. Je lui dessine un nez avec 2 petits trous, puis des joues, puis des oreilles. Puis une bouche avec des lèvres charnues, que j’aurais pourtant dû reconnaître plus tôt. Curieux comme de sculpter un corps nous le révèle davantage.
L’argile en descendant sur son anatomie dessine des arabesques. Je lui fais un cou et des épaules. C’est beau des épaules de statue moulée. Je me sens créatif. Je suis un artiste. C’est au beau milieu d’un parc naturel d’oiseaux migratoires, le parc Nature de Pointe-aux-Outardes que je joue au modeleur. Et je réalise soudain que nous devons être au centre de convergence de toutes les lunettes d’approche d’observateurs d’oiseaux migrateurs et de …catastrophes aériennes. On doit même avoir alerté les services d’urgence, pompiers volontaires, premiers répondants, Sûreté du Québec… Je dois faire vite pour terminer mon œuvre avant l’arrivée de la cavalerie. Quelques outardes se sont rapprochées. Elles cacardent entre elles. Curiosité ou appétit?
Je ne le dis pas à ma Marcie myope, qui doit me voir dans un halo un peu abstrus. Elle a eu très peur. Un peu en état de choc, la fille. Je la serre contre moi. Dans le petit bassin naturel, je repère un trou de glaise un peu en retrait et me rappelle qu’un centre de thalasso thérapie fait des choux gras de cette glaise particulière à la péninsule Manicouagan, à quelques kilomètres. Je l’y attire et nous nous y laissons glisser. C’est froid et chaud. Elle avait choisi cette journée ensoleillée pour les photos. Le trou de boue est donc accueillant. Je me déshabille à mon tour près de l’avion et glisse dans la fange. Elle rit de sa grosse voix de basse. Nous nous y vautrons comme des porcs.
Baiser dans la bouette. Un vieux fantasme de mâles primitifs, que nous sommes tous un peu restés, avouons-le. Je fais un test à l’aveugle. Je veux la goûter sans voir, comme un nouveau crû. Je me vois glisser vers quelque chose de vaguement humain. Glisser est le bon mot. C’est gris. Ça se distingue à peine de la marre ambiante. Ça vous donne deux petites fentes séparées par 2 autres plus petites et une autre quelques centimètres plus bas, plus large et qui bouge un peu. Puis, plus bas encore, deux monticules surmontés chacun d’un mignon petit piton. Plus bas encore, une faible dénivellation entourée d’un léger rebondissement. Plus bas encore, mes mains tâtent la sculpture mobile, en mesure chaque centimètre, chaque rondeur. On sait comment déshabiller une femme, mais comment on fait avec une momie argilée?
Je me colle à elle. Sur elle. À côté. Sur. Sous. Sur encore. Je me la glisse entre les jambes. On se la fait tourner sur le ventre, sur son dos comme un ballon de plage. On tire. On pousse. On repousse. On étire les doigts, les pieds, le nez, alouette. On la fait tourbillonner autour de sa bite. On se fait des tentacules glissantes, pinçantes, massantes, fouinantes. Criss que c’est bon le sexe dans la gadoue. En apesanteur, on est comme des lutteurs en plongée. Prises de bras, prises de jambe, clé de bras japonaise. Prise du sommeil. Prise de sexe. Doigts chercheurs, doigts trouveurs. Dans la gadoue, les doigts ont tous les droits.
J’ai l’éperon gris qui palpite dans le brouillard d’humidité qui s’est formé sur l’estran exposé crûment au soleil. Le dos gris s’allonge. Mes mains y atterrissent pour y sculpter des hiéroglyphes. Ses fesses grises font le salut au soleil du midi. Mon sexe s’y empresse, s’y vautre. Peut-il franchir la petite passe plus sombre qui l’invite. Puis-je? Il s’avance, prêt à plonger. Puis-je vraiment? Un souvenir me hante. Un jour, j’ai baisé dans des circonstances analogues dans … un bain de mousse et de savon. C’était… C’était… Mais la pauvre fille s’est retrouvée dans une clinique le lendemain pour se faire donner une prescription anti-échauffaison…
Les outardes cacardent plus fort. Elles me semblent de plus en plus proches. Marcie me présente son cul luisant. Tout ça l’a excitée vivement. C’est une fille d’aventure et d’adrénaline. J’ai eu une amante comme ça, jadis. Elle baisait à bailler d’ennui au lit, mais quand je la poussais vers quelque chose de nouveau et de défiant, c’était une vraie bombe. Une fille qui a besoin que son mec soir un héros à tous les jours. Pas facile.
Le cul étalé au soleil, j’aperçois l’une de ses mains s’agiter entre ses cuisses. Elle ouvre ses lèvres pour y introduire un doigt, puis un autre. Elle se masturbe fermement. Ses tétons plongent à tour de rôle dans l’argile qui émet de petits bruits de succions. Je pense à filmer la scène avec mon iPhone. Mauvaise idée dans cette boue. Elle commence à gémir de plaisir.
Les outardes maintenant sont tellement près qu’on peut les entendre marcher dans la boue. Elles semblent murmurer entre elles. Elles ne cacardent plus. Elles parlent en sourdine. Je lève la tête.
- (…) Merde!
Nous voici encerclés de …zombis! Gris! Le club de nudistes au complet!! Ils nous regardent par des trous d’yeux. Enrobés de boue, eux aussi! Je cherche les formes. Des femmes, des hommes. Une dizaine. Des sexes d’hommes, branlés par des mains impétueuses, pointent vers le soleil. D’autres mains s’agitent au bas de ventres ronds. Des yeux encavés sont verrouillés sur les doigts de ma momie à moi. Leurs yeux me scient la pudeur. Ils attendent que je m’exécute. Marcie attend aussi l’exécution et elle me déploie son cul pour la réception. Myope, elle ne se voit pas au centre d’une bacchanale improvisée. Elle devient bavarde à son tour et imite leur démarche lourdaude en branlant des fesses. Ma bite frémit d’envie et secoue sa boue.
Alors elle se saisit sauvagement de ma queue pour me branler sans retenue.
Je crois qu’elle a deviné mon moment d’hésitation, car elle a pris les commandes…
- Lave ta queue, le Niño, et défonce-moi.
(À suivre)
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Commentaires de l'histoire :
El Niño
Dans la suite de ce récit, je donne le nom de ce centre de thalassothérapie dont les substrats thérapeutiques sont exportés dans le monde entier.
Posté le 27/12/2023
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