Une auto-stoppeuse bien délurée.

En revenant de la foire, nous avons pris en stop un couple de backpapers, en pleine campagne et avons vite sympathisés. La demoiselle n'était pas farouche et très heureuse de faire connaissance avec la France profonde.

Proposée le 4/09/2023 par Sucette

Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme

Par un bel après midi, nous rentions de la foire un peu éméchés, quand au détour d'un virage , nous vîmes deux marcheurs sac au dos. La route était déserte et il faisait chaud. Mon beauf assis à ma droite me dit de mes prendre pour les avancer. Les sacs dans le coffre les voici a l'arrière en compagnie de mon cousin. Nous decouvrimes une jolie fille avec un bandana, un débardeur qui ne cachait rien de sa poitrine un sarouel attaché par un lacet et tenu aux chevilles, des sandales en cuir complétait l'ensemble. Adapté à la chaleur, élégant mais les sandales pas adapté à la marche....
Rapidement, nous avons vu que le gars et elle n'était pas ensemble. Un concours de circonstances les avaient réunis pour la route mais ils allaient dans des directions différentes.
Lui, un grand échalas réservé un peu intello. Nous rigolions beaucoup dans la 504. D'entrée de jeu, mon cousin a mis son bras sur ses épaules sans qu'elle réagisse puis sur son sein libre de toute attache, ensuite il le massait et soulevant le tee shirt, nous montra sa poitrine, sa bouche s' empara d'un téton, la fille mis sa tête en arrière et ferme les yeux, mon cousin défit la ceinture et glissa la main . Elle voulait, il baissa le pantalon et planta ses doigts dans la vulve. Elle gémit de plus belle. Son accolyte lui enleva le débardeur et s'empara a son tour du sein libre, sa main vont rejoindre celle de mon cousin et chercha son clitoris.
Pas si manchot l'intello. Mon beauf m'indiqua le parking des chasseurs pas très loin de chez nous. Désert à cette époque et bien ombragé. Un couverture au sol et la petite se mit à genoux. A tour de rôle, nous présentons nos bites à sucer. Une vraie pro. Elle y mettait tous son cœur,et vas y que je lèche le gland, que j, aspire et que je m'enfonce jusqu'à la garde. Mon beauf n'y tient plus, échauffé par le Streep tease, il lâche tout sur sa poitrine. Mais elle continue à le sucer. Mon cousin lui la redresse et l'allonge sur le capot, il frotte son gland à l'entrée du vagin puis s'enfonce à fond, il labouré la petite puis ralentit et recommence. Elle halète, geint et prend son pied.
L'orgasme la foudroie quand mon cousin se reprend sur son dos.
Je la tourne et entreprend un cunni, son clitoris est rouge, un gros bouton écarlate mais elle en veut encore.
Nous décidons de faire une pause et sortons le casse dalle et la chopine. Seul l'intello n'a pas baiser aussi, elle le déshabille, l'allonge sur son duvet et le suce doucement. Une fois opérationnel, elle s'accroupit et se l'enfile. Mon beau-frère vient se faire sucer puis avec mon aide l'aide à coulisser sur le mandrin improvisé, nous la lâchons puis la relevons... Nous la retournons, allongée sur lui, à genoux, et commençons à lui caresser l'anus, nous salivons dessus puis nous suce , nous utilisons nos doigts pour préparer la sodomie et sentons sa verge.
Pour pouvoir la pénétrer, nous lui demandons de deculer, je me présente devant son anus inexploré, pousse un peu, je lui demande d'en faire autant, un pet plus tard mon gland l'a pénétré. Je savoure cet instant,la laissant s'y habituer, puis je me recule un peu avant de recommencer. Mon pubis est maintenant sur son cul. Elle trouve ça agréable, différent et me demande maintenant de bouger lentement. Elle goûte et apprécie la sodomie. Son accolyte ayant debandé, je décide d'inverser les rôles. Je la prends sur moi. Mon cousin se fait sucer puis se présente devant son vagin. Elle en a envie, elle ne l'a jamais. Depuis le début nous avons toujours été très respectueux, lui apportant un maximum de plaisir et de sensations. Il la pénètre doucement, je sens sa verge progresser. Arrivée au fond, il fait de petits va et vient. Elle se sent remplie. Elle n'est plus qu' sexe. Le summum de la luxure est atteint. Elle est épuisé et nous demande d'arrêter.
On se nettoie rapidement avec l'eau des gourdes et nos mouchoirs. Un peu gêné tout de même, nous rhabillons et nous ous désalterons aussi. Puis nous reprenons la route pour les déposer à la prochaine gare.
Lessivé, nous avons rejoint nos familles. Cela est resté une parenthèse inoubliable mais nous n'en avons plus jamais parlé.
Une drôle d'auto stoppeuse quand-même.... Nympho sans doute.

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