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LES AUTO-STOPPEUSES

En revenant de son travail, Jean 39 ans charge deux bien jolies auto-stoppeuses. Elles vont lui faire connaître la fornication à grande échelle et ce, pour leurs divins plaisir à tous les trois...

Proposée le 16/06/2023 par chtibilout

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Les auto-stoppeuses

Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée.

Je m’appelle Jean.

39 ans

Célibataire

Ce jour-là, terminé mon audit d’expert-comptable, j’avais décidé de rentrer directement à la maison.

Pas d’arrêt au bar du coin

Ni rien d’autre

Je n’avais qu’une envie : dès mon retour : prendre une douche, diner, dodo.

Le destin allait en décider autrement.

Je venais de prendre l’autoroute direction Mons quand j’aperçu deux jolies femmes faire du stop.

C’étaient de bien jolies filles…

J’arrêtai sur la bande des pneus crevés et leur : - dit – « Montez ! »

« C’est bien aimable de votre part Monsieur : Allez-vous à Mons ? »

« Oui mesdemoiselles. J’y habite. »

Elles se mirent à rire toutes les deux.

Je les regardai dans le rétroviseur.

Des chevelures époustouflantes qu’elles avaient ces filles.

Une rousse de feu et une noire de geai

« Vous ai-je dis quelque chose d’incongru ? »

« Non Monsieur mais nous sommes des femmes mariées.

Nous avons décidé de faire une virée entre filles et ce, pour nos 25 ans.

Nous sommes nées le même jour.

Deux de nos amies sont déjà rentrées chez elles mais perso, nous continuerons à faire la fête.

J’ai sauté sur l’occasion en leur disant :

- « Je vous invite à goûter mon château Briant hawaïen.
Vous m’en direz des nouvelles. »

Leur façon d’accepter ne manquait pas de piquant :

« Avec des frites alors ? »

« Va pour les frites avec un Bourgogne de derrière les fagots !

Mon prénom, c’est Jean et vous ?

La blonde me répondit :

« Moi, c’est Annie et ma copine s’appelle Berthe > Mais elle n’a pas de longs pieds.

Cette référence historique nous fit rire tous les trois.

Entre temps, nous venions d’arriver sur le parking GB de Mons. Je leur dis :

- « En route pour les Châteaux Briant et les ananas »


Mes achats terminés, on se remit en route direction mon domicile

Je descendis de voiture et leur ouvrit la portière.

- « Vous avez du style Monsieur Jean. » me dit Annie la rousse…

- « Oh là , plus de vous entre nous, on marchera à tu et à toi ! »

Une fois entrés, on se mis à l’aise.

Les filles se proposèrent pour éplucher les pommes de terre pendant que je préparais les steaks.

Alors qu’ils cuisaient doucement, je descendis à la cave et en remontai mon fameux Bourgogne.

Les frites furent versées dans l’huile à 140° pour 4 minutes de cuisson.

J’en profitai pour dresser la table et remplir les verres à vins.

Ensuite, terminer la cuisson des frites à 180° pendant 3 minutes…

« Goûtez-moi ce nectar les filles ? »

« Woooh, ce n’est pas de la bibine dit Berthe.

Mon père n’en vendait pas de pareils dans son commerce de vins et spiritueux….

Le repas fut fort gai. Les filles paraissaient légèrement pompettes.

« Délicieuse ta préparation hawaïenne Jean… » me dit Annie.

Elles m’aidèrent à desservir la table et Annie me dit :
« On fait quoi maintenant ?»

Comme je venais de mettre un cd de musique d’ambiance,
je répondis :

« On danse ! - Qui veut le premier slow ? »

Annie répondit :
« danse avec Berthe, moi je ferai des photos souvenir… »

Je pris Berthe dans mes bras et fut immédiatement envoûté par son parfum.

Son ventre était collé au mien et la danse prenait une tournure légèrement érotique.

Érotique ? Mon œil ! Berthe se frottait carrément sur mon ventre…

Elle murmura à l’oreille : - « Ce que tu es dur… »

En effet, ses frottements m’avaient donné la trique.

Entendant cela, je considérai la circulation au feu vert, je me fis glisser plus fort sur son mont de vénus.

Berthe me dit d’une voix presqu’inaudible : - « Continue, c’est très bon ! »

Je répondis : « C’est vrai, tu me fais bander »

Elle ajouta en s’appuyant plus fort : - « C’est bien vrai, je te fais du bien ? Mince ton engin grossi encore… »

Le slow terminé, elle alla s’assoir sur le divan et s’emmitoufla dans mon grand plaid.

Comme je vins à côté d’elle, elle partagea le plaid avec moi.

Aussitôt je senti sa main se poser sur mon sexe.

Elle le serrait, le relâchait pour le serrer à nouveau au travers de mon pantalon.

Annie devait être au courant car elle me dit en s’asseyant à mes côtés :

« Elle sait s’y prendre Jean ? »

Je répondis : - « Oh oui ! »

En disant ces mots, je senti la main de Berthe descendre ma fermeture Éclair.

Sa main se faufila sous l’élastique de mon slip.

Elle saisit ma verge à pleine main.

Elle commença de doux mouvements de va-et-vient.

Je senti la main d’Annie venir caresser mes testicules
J’étais aux anges.

« Doucement les filles, vous allez me faire jouir ! »

Les filles me répondirent en cœur :

« Mais c’est ce que nous voulons Jean ! »

« Alors, au diable le plaid qui nous donne trop chaud.

Je veux vous rendre la pareille et veux voir mes doigts pénétrer votre intimité.

Vous sentez mes doigts entrer en vous et caresser votre clitoris avec mon pouce ? »

- « Annie me dit appuie plus fort quand tu passes sur mon clito ».

Berthe pressa ma main sur son sexe et me disant :

« Je vais… Je v… Je jouis Jean, je jouis !!! »

Elle avait écarté ses cuisses en pressant ma main sur sa chatte.

J’avais la main trempée de cyprine.

Au moment de jouir, Berthe avait lâché mon sexe.

Annie qui malaxait mes jumelles pris la relève en me serrant dans la main…

- « Continue Annie, je vais bientôt éclater dans ta main. »

- « Non Jean, pas dans ma main… »

Elle se pencha et me pris dans sa bouche.

Elle me faisait une fellation du diable.

La douceur de ses lèvres et les aspirations de sa bouche déclenchèrent mon plaisir.

Je jutai à tout va dans cette bouche si chaude et accueillante.

Annie insistait, elle me pompait la bite comme jamais.

Au fur et à mesure de mes jaillissements, Annie avalait
tout en me dégustant comme si elle buvait un doux nectar.

Elle n’arrêta qu’à la sortie de ma dernière goutte de sperme qu’elle lécha avec gourmandise.

Oww les filles – surtout toi Annie – mon plus grand désir est de vous lécher toutes les deux jusqu’à votre jouissance.

Berthe me répondit :
- « Jean, tu m’as déjà fait jouir…

Occupe-toi d’Annie…

Pendant que tu la branleras, que tu la lècheras, que tu la pénètreras de tes doigts et de ta langue ; je te remettrais en forme.

Je te sucerai comme jamais.

Tu te sentiras gonfler dans la bouche.

Par mes petits coups de langue, par mes léchouilles et mes caresses sur tes couilles, je te ferais jouir, jouir, jouir. »

Et c’est ce qui se passa.

Je branlais Annie qui gémissait doucement.

Mon sexe gonflait sous les succions de Berthe qui me dit :

Changement de programme : ta verge est dure assez, fais lui l’amour …

Annie s’était redressée…

Elle me releva de ma position à genoux et vint s’empaler sur mon mandrin en me tirant pas les fesses.

Elle commença des mouvements de va-et-vient et venait à la rencontre de mon sexe avec détermination.

Elle me voulait profond en elle.

Elle me dit : - « N’arrête pas je viens… Ooopohh , donne-moi tout…
Lâche tout ton jus dans ma fente.

Fais -moi jouir très fort.

Vas-y, pilonne-moi à fond. »

A ce moment, Berthe serra mas couilles et déclencha ma jouissance.

je sentis mon sperme gicler dans la vulve d’Annie qui criait « Que c’est bon, que c’est bon. Que c’est bon. »

Ses cuisses s’ouvrirent encore plus ;

- « Vides toi à fond Jean.

Donne-moi tout, tout, tout. »

Comme tu me fait jouir Jean, c’est dément ! »

Suite aux caresses de Berthe, malgré ma jouissance, je n’avais pas débandé.

Berthe pris ma verge dans ses doigts en disant :

- « mais c’est qu’il en veut encore le coquin. »

Annie fut remplacée par Berthe qui me dit :

- « A mon tour. »

Elle m’enjamba, se saisir de ma pine et se l’introduisit avec beaucoup de facilité tant elle était mouillée.

Elle commença une chevauchée diabolique en tournant son sexe sur le mien. Je n’allais pas tenir très longtemps à ce rythme.

Berthe jouit la première en s’écrasant sur mon sexe.

Je sentais sa vulve me faire des serrements de plaisir sur mon membre.

Je me lâchais et arrosait sa fleur avec fougue et impétuosité…

- « Ah oui, Jean, crache ton foutre.

Donne-moi tout ton jus.

Pine-moi bien, vas bien profond.

Je sentirai mieux ta crème si tu me la rentres plus loin.

Ahh Ahh Ouiiiiiiiiiiiiiii ! OOhhh Oh oui,comme je joui fort !!!

Tu m’as fait repartir une deuxième fois. »

- « Les filles, vous m’avez tellement branlé, sucé, léché, pompé, que je suis vidé comme une prune desséchée. »

« Ça t’a plu ? »

« Oh Oui mes chéries, je n’ai jamais connu une telle soirée ! »

« Vous savez les filles, il est 23 h passées, si vous dormiez ici ? »

« Vrai Jean ? On peut ? »

« Évidemment que vous pouvez ! »

Nous avons rassemblé nos vêtements et sommes montés dans ma chambre avec un halte à la salle de bain.

Elles prirent un de mes pyjamas mais ne prirent que la veste qui leur arrivait à mi-cuisses.

Elles ne boutonnèrent pas leur veste.

Je pouvais admirer leurs seins mignons à croquer.

Rien que de les voir mes donnait de légers picotements dans le sexe.

Quand elles entrèrent dans la chambre Annie s’écria :

- « Chic, il n’y a qu’un lit !

Comme je les invitais à se coucher, elles me dirent :

- « Toi, tu te mets entre nous deux ! »

Dès la lumière éteinte, elles posèrent leur tête sur ma poitrine.

Leurs mains – qui la gauche – qui la droite – se posèrent sur mon sexe qui se mit à avoir de petits sursauts.

Heureusement qu’on serait dimanche demain…

La nuit risquait d’être ardente et très mouvementée.

D’autant plus qu’elles me dirent :

« Il fait trop chaud, au diable les vestes et toi Jean ? »

J’avais compris, je me mis nus également.

Quand je me remis au lit, Berthe déclara :

« Mais c’est qu’il a une belle grosse bite – rien que pour nous deux ! »

Elles me firent mettre à genoux et mimant de s’embrasser Annie me dit :

Glisse ta queue entre nous lèvres :

Elles firent glisser leurs lèvres sur mon engin tout en me donnant de petits coups de langues.

« Et les filles, vous me faites tellement bander qu’à ce rythme, vous aller me faire jouir »

« Mais Jean, nous l’espérons bien »

« Au moment ou mes digues se rompirent, c’était à celle qui recueillerait mes jaillissements.

Elles eurent chacune leur part…

Elles m’avaient essoré la verge.

Je me devais de les faire jouir l’une après l’autre.

J’aspirais tellement bien leur clitoris que cette nuit-là, j’avalais mon comptant de cyprine.

Leurs cris de plaisir me comblaient de joie.

Je suçais Annie qui commençait à jouir dans ma bouche.

Elle lâchait sa cyprine en écrasant son sexe sur ma bouche.

« N’arrête pas, c’est trop bon »

Pendant que je rentrais ma langue dans le vagin d’Annie,

Berthe venait de réussir à ma faire jouir une fois de plus en me branlant, en ne suçant.

Elle en avait plein les mains et plein la bouche.

Elle avala tout.

« J’aime boire ton jus Jean… »

Berthe, la main encore poisseuses de mon sperme, commença par la lécher.

Elle n’arrêta que lorsque sa main fut propre de toute trace de ma jouissance.

Elle ne stoppa qu’à la dernière goutte.

Ce fut un nettoyage complet.

Elle m’embrassa sur la bouche et me fit connaître le goût légèrement salé de mon foutre.

Cette nuit fut déclarée Byzance dans mon journal intime…

* * *
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Commentaires de l'histoire :

Alefa
Récit extrêmement excitant! A partir du fantasme classique pour les routards, voici une jolie histoire qui va faire rêver, et bien plus encore, bien des hommes et sans doute des femmes. Merci!
Posté le 29/02/2024


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