Kenza et Paloma veulent connaître le loup, et pourquoi-pas avec le jeune amant de leur tante, ce Claude de radio-campus avec sa réputation qui le précède, comme son énorme queue.
Proposée le 10/07/2023 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Beau papa.
Les jumelles, Kenza et Paloma.
Découverte de l’amant de la tata.
Mais le plaisir que j’éprouve à sucer cette tige de chair si veloutée me rends sourde à toute intervention extérieure. Au diable les convenances, seul compte ce bourgeon de plus en plus volumineux qui m’emplit de nouveau la bouche sous ma sensuelle fellation, mes seins s'écrasant mollement sur le bas-ventre tendu de Claude, je reprends ma caresse buccale, lui malaxant doucement les couilles. C’est un véritable régal de pétrir ses bourses entièrement lisses à la douceur d'une peau de bébé. Suçant avec délice la longue bite tout en pressant les testicules dans leurs gaines de chair, je me régale. Mais pour une meilleure compréhension de la suite, je laisse la parole à Kenza ou Paloma, les jumelles.
Suite : Kenza.
On ne s’attendait pas à ça ! Tomber sur notre tante en train de forniquer. Je sais que depuis quelques années, notre tante Lucie n’est plus la femme prude de ses débuts. Ce n'est pas la première fois que je l'espionne mais là, je la découvre avec un jeune garçon guère plus âgé que moi. Elle a remarqué notre présence mais après un instant d'hésitation n’en tient même pas compte. J'ai déjà eu des petits copains, mais ce que Lucie tient fermement entre ses mains est impressionnant. Comment un jeune homme si frêle peut-il avoir une Big-Cock digne d’un grand Black dans certains films pornos.
Ma sœur Paloma me prend la main pour essayer de m'entraîner hors de la pièce mais je résiste. J'y suis, j'y reste... Pour une fois que je peux être au spectacle sans me cacher, je ne vais pas m'en priver. J'assiste alors à l'éjaculation dantesque de cet inconnu. Elle est aussi monstrueuse que l'est sa queue. J'ai déjà vu ça dans quelques vidéos mais le vivre en direct est bien plus impressionnant. Ça me change des quelques gouttes que lâche mon petit copain et lui faudrait bien une semaine à se vider les couilles pour fournir autant de sperme que cet inconnu en un seul orgasme. Malgré ça, ma tante n'a pas l'air d'être rassasiée car elle revient à la source pour demander du rab. Elle doit savoir de quoi est capable son jeune amant car je constate, effarée, que sa verge reprend déjà du gourdin, sans jeu de mots. On dirait qu’elle a déniché un vrai étalon reproducteur. Je tire Paloma dans un coin sombre de la pièce pour ne pas les déranger. Ce n’est sûrement pas le cas de ma tante vu sa demande :
-Je veux que tu me défonce ma rondelle, j’aime trop quand tu m’exploses le fion !
Elle n’a pas mis longtemps à le faire reprendre vigueur avec sa bouche et ses mains expertes, Lucie se met en levrette, la tête dans les draps et écarte ses fesses de ses mains pour l’aguicher.
-Encule-moi, plonge dans ma grotte pour lubrifier le trou et ton gland et vas-y au fond !
Il obéit, prenant aussi sa mouille à la source avec ses doigts et un peu du sperme gluant sur Lucie avant de les introduire dans son anus, les uns après les autres, sans trop de difficultés. Ça ne doit pas être la première fois.
-Encule-moi petit poney, met ta queue d’âne à fond petit con, défonce-moi comme une salope que je suis devenue, encule-moi !
Il pose son gland mafflu contre sa rondelle. Je croyais qu’il allait y aller avec précaution, mais non… D’une seule poussée, il l’encule à fond, sans prendre de gants. Il doit lui avoir déchiré le cul tellement elle beugle, puis reste sans bouger, pris peut-être de remords d’une telle brutalité envers sa partenaire. Mais ce n’est pas de l’avis de Lucie.
- Aaarrrggghhh ! Putain de salaud ! Tu m’as cassé le cul ! Qu’est-ce que tu attends, petit merdeux ? Pistonne-moi le fion, tu viens de me déchirer l’anus, mais maintenant que c’est fait, vas-y à fond !
En même temps elle se branle d’une main le clitoris puis glisse ses doigts dans sa moule bien au fond pendant qu’il ne la pistonne comme une machine de longues minutes. Il doit avoir mal à la pine dans ce trou trop resserré.
Il sort enfin de son cul sous les engueulades de ma tante qui dit qu’elle a trop mal, que ça la brûle du cul, et s’introduit dans sa moule bien baveuse à souhait, prouvant qu’elle éprouve du plaisir à cette sodomie. Il la pistonne le plus vite possible, passant d’un trou à l’autre. Quand enfin il doit sentir monter son jus, il embroche d’un seul coup le cul offert et lui graisse les entrailles sous les remerciements de ma tante.
-Je ne suis jamais déçue avec toi, Claude, mon petit étalon à moi, tu m’as baisée comme personne, mais si tu ne l’as pas remarqué, nous avons des invitées non prévues. Elles n’ont rien manquées de tes prouesses. Que comptes-tu faire ?
-Pour aujourd’hui, rien, tu m’as vidé les burnes. Mais si tu es d’accord, et elles aussi, Je veux bien leur donner quelques cours d’éducation sexuelle. Je sais que tu vas t’absenter avec tes enfants ce weekend, si ça leur dit…
Et comment que ça me dit … Mais il va falloir que je travaille au corps Paloma pour la décider à me suivre, comme ça, elle fermera sa bouche et ne racontera pas nos frasques à nos parents ou à mon petit copain. J’ai retenu son prénom ; Claude. Claude ? Tiens-tiens… ça me dit quelque chose, se serait… Mais non, quand même pas… Le « Claude » de radio campus, si c’est lui, sa réputation le précède, comme sa queue vu sa taille peu commune.
Lucie habite une maison assez banale mais spacieuse. Nous avons donc invité Claude à nous rejoindre pendant son absence. Après avoir entendu sonner, je vais ouvrir. Je ne l’ai jamais vu habillé, et pour cause, mais il correspond à la description que je m’en suis faite. On dirait que le sort s’est acharné sur lui. Il n’est pas très grand, pas musclé, un visage encore poupin constellé d’acné qui lui donne l’air d’un gamin avenant que je peux enfin voir de près, il est souriant, sûr de lui, les cheveux courts. Un vilain petit canard quoi … Mais un canard avec une queue d’étalon !!!
Je l'embrasse sur la joue comme une bonne copine le ferait avec un garçon qu’elle connait depuis la maternelle et le fait entrer. Paloma nous attend dans le salon, on dirait qu’elle n'en même pas large. On s'installe dans les fauteuils du salon et faisons connaissance, la discussion est animée et agréable, la bière aidant, la glace se brise. La conversation dévie sur Lucie et notre rencontre fortuite. Claude reconnait et admet sans réserve.
-Oui les filles, je me tape Lucie, et depuis quelques temps déjà. On s’est connus dans des circonstances qu’il faudra lui demander, si elle veut bien vous les dire, je n’en dirai pas plus. Je n’ai plus grand-chose à vous cacher, vous vous êtes déjà bien rincer l’œil. Maintenant il y a deux solutions. Vous jouez les filles prudes, mais alors je me demande ce que je fais là, ou alors vous assumez. D’abord toi Kenza.
-Tu as raison Claude, je l’admets, ce n’est pas pour tailler une bavette que tu es là. Je suis sûre que tu aimes la chair fraîche, même si tu ne dédaignes pas des femmes plus matures. Je ne suis pas une oie blanche et j’ai même un petit copain, mais je dois bien reconnaître que le spectacle avec notre tante m’a donné faim, une faim d’ogresse. Et toi Paloma ?
-Moi ? Beeennnhhh… C’est-à-dire que, je ne suis pas comme ma sœur, avoue-t-elle. Je suis très réservée avec les garçons et ne suis pas allé plus loin que de caresser un sexe ou deux à travers leur pantalon.
-Si tu veux, on va y remédier aujourd’hui, lui promet Claude, mais c’est toi qui décideras, je ne veux pas te forcer. Je vais déjà m’échauffer avec ta sœur.
Il s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche, d'abord un peu bloquée par cette attaque directe, je lui rends son baiser. Je prends sa main droite et la pose sur ma poitrine, d’abord à travers mon chemisier, mais très vite sa main s’égare dedans pour me tripoter un téton qui ne tarde pas à darder sous ses caresses. Je suis plus petite que ma sœur mais j'ai une poitrine plus développée que la sienne. Il ne peut s'empêcher de jeter un œil dans mon chemisier blanc un peu trop déboutonné sur ma poitrine assez généreuse. Les bribes de dentelle qu'il aperçoit sont pleines de promesses et je suis sûre que des images troubles enflamment déjà son imagination.
Il ne s'embarrasse pas trop de préliminaires et en rien de temps mon haut est mon soutien-gorge se retrouvent au sol sous le regard un peu effrayé de ma sœur que tout aille si vite. je ne veux pas être en reste et fais passer par-dessus sa tête son polo. Il s'attaque alors à ma jupe en descendant la fermeture et la laissant choir sur mes pieds. Je me retrouve donc en string devant lui. Sous le regard comme fasciné de Paloma, il caresse mes hanches d'une main, mes seins de l'autre. Ce tableau excite terriblement ma sœur qui commence à se caresser.
Je me mets à genoux et déboutonne son pantalon, puis lui retire le caleçon qu’une énorme bosse déforme sur le devant. Ce corps de gamin me gêne un peu mais la promesse de cet énorme pénis envoie aux orties mes derniers doutes. Sous mes caresses, elle se raidit et se dresse encore un peu plus dans son caleçon si c’est humainement possible. Je pétris ses couilles, les serrant doucement. Le renflement que j’avais aperçu sous son pantalon n’était pas une illusion, je lui baisse de quelques centimètres ce dernier rempart et suis face à un chibre comme je n’en ai encore jamais vu. Je détaille longuement l’épi si épais d'une forme un peu triangulaire, très large sur le dessus et qui s’affine pour se terminer sur le dessous par l’énorme veine gonflée de sang qui irrigue les corps caverneux.
Mon Dieu !!! Ce mec est réellement monté comme un cheval ! Il a un sexe bien plus gros et grand que celui de mon petit copain ! Habilement, je libère entièrement ce sexe de taille plus que respectable, dur et tendu, et le caresses légèrement.
A suivre : Les jumelles, Kenza et Paloma. Confrontées à la « bête »
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