Cul à l'air

Un collègue fort sympathique, plus âgé d'une vingtaine d'années, s'est mis en tête d'initier aux plaisirs entre hommes le jeune gay refoulé que je suis encore. Un peu, je veux bien, mais jusqu'où ira-r-il?

Proposée le 7/07/2023 par Sacha

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

La ville de province où je venais de débarquer, alors âgé de vingt-cinq ans, avait, entre autres charmes, celui de compter quelques collègues qui semblaient assez bien disposés à mon égard.

L'un d'entre eux en particulier, dont je ne devais apprendre qu'un peu plus tard le goût prononcé pour les "amitiés particulières", voulut sympathiser avec moi, m'invita plusieurs fois au restaurant, sans pour autant rien entreprendre avec moi qui aille au-delà. J'avoue que cela ne me déplaisait pas, cette relation ambiguë, mais cela m'intriguait un peu.

Moi-même, j'avais bien fantasmé à l'âge de quinze ans sur un bel éphèbe du même âge lors d'une colonie de vacances, beau comme un dieu. Je passais et repassais matin et soir devant les douches pour le voir tout nu, son corps m'obsédait, je rêvais de caresser ses fesses, ses cuisses, de prendre sa queue dans ma bouche, de la sentir gonfler, mais non, rien de tout cela ne s'est passé. Le soir, pensant à lui, je me masturbais dans mon lit avant de dormir.

Donc, mon cher collègue à tenu à m'inviter, mais chez lui cette fois, pour son anniversaire, en me précisant que nous ne serions que tous les deux, entre hommes.

L'idée m'excite, et j'accepte volontiers l'invitation. Va-t-il prendre une quelconque initiative?

Le repas terminé, je l'ai aidé débarrasser la table. On remet dans la cuisine les reliefs du festin, cuisine exiguë où les rapprochements physiques sont inévitables, il me semble sentir mes fesses frôlées par des mains baladeuses. Ma main aussi parfois s'égare, je me prends au jeu, j'ai cru le sentir bander au moment où il m'a serré contre lui. Il est venu par derrière, em me disant qu'on allait retourner dans le salon. Mais j'étais alors loin de me douter que le véritable festin était encore à venir !

Il me propose ensuite un digestif et me parle de son talent de photographe. Pourquoi pas moi comme modèle de nu? Il me suffit, me dit-il, d'aller l'attendre, nu et sur le ventre, dans sa chambre. J'y vais, et j'attends. Il arrive avec son appareil, me demande juste de redresser un peu les fesses - "lève ton cul" - et me mitraille de photos dans la pénombre, tout en me félicitant pour mes fesses bien rebondies et, me dit-il, "irrésistibles".

Je n'en demandais pas tant pour bander, sachant l'effet que je lui faisais, en rajoutant en dandinant du cul. Je me découvre exhibitionniste, bandant dès qu'un mec me mate tout nu, quand j'offre sans vergogne mon cul à sa vue, fesses écartées. Je m'apprêtais à me rhabiller, la séance photo étant terminée, lorsque je sens que des doigts amis me pelotent les fesses, s'introduisent dans ma raie, palpent mes couilles et prennent d'autorité ma queue bien dure en main, tout en me sussurrant : "Mais c'est que ça l'excite, cette petite salope !". Puis il enduisit ses doigts d'un gel et se mit à taquiner ma rondelle, qui se dilatait à mesure. Au doigt expert s'attardant sur mon œil de bronze succéda son gland qui me rendait fou, ou plutôt folle, épousant mon petit trou, poussant un peu, se retirant, insistant dantage.

Puis il m'encula comme une reine, j'étais devenu, disait-il, sa petite femme si bonne à mettre, sa princesse, sa pute.

Nous avons joui en même temps, lui dans mon cul, moi dans les draps, tant il me branlait bien en même temps qu'il m'enculait.

À l'aube nous avons remis ça. En 69. Sentir sa queue dans ma bouche et la mienne dans la sienne, c'était une véritable communion. Et encore, ce n'était là que le prélude d'autres invitations en tous genres ....

Comme c'était bon !

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