Après avoir raconté à sa soeur son aventure au cirque, Agnès est invitée chez un couple d'amis qui ne lui a pas tourné le dos suite à son divorce. Elle accepte pour se remettre de ses émotions.
Proposée le 3/07/2023 par 4Fab
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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
Les explications fournies par Agnès laissent Michelle sans voix. Bouche bée, ses yeux sont rivés sur les photos étalées sur la table. Un moment après qu’Agnès ait terminé de parler, ayant retrouvé ses esprits, elle lâche :
- Tu es une belle cachottière. Moi qui te croyait coincée
- Arrêtes, je ne suis pas comme ça se défend Agnès
- Quoi qu’il en soit, je ne te savais pas aussi dévergondée, renchérit la cadette.
- J’étais sidérée, je ne savais plus où j’avais la tête se défend l’aînée.
- Tu t’es fait piéger comme une midinette mais n’en parlons plus adoucit la cadette. Et maintenant, que vas-tu faire ?
- Je vais passer une semaine à la campagne, chez des amis qui ne m’ont pas tourné le dos lors de mon divorce. Je pars demain.
Le lendemain, après un voyage en train des plus ennuyeux, elle est attendue à la gare par Bernard et Chantal qui l’embrassent dès la descente du train
- Bienvenue, lancent-ils joyeusement.
- Merci de m’accueillir répond Agnès en souriant.
Bernard est un ancien collègue de son mari. Ils sont plus vieux qu’elle, 70 ans tous les deux, mais ils ne les font pas. Bernard a les cheveux blancs coupés à la brosse, grande stature avec un très léger embonpoint tandis que Chantal a les cheveux coupés au carré colorés roux, et arrive à l’épaule de son mari.
Étant au courant de son divorce, Agnès a été quelque peu surprise lorsque Chantal lui a téléphoné pour l’inviter à passer une semaine chez eux.
- Ça va te changer les idées avait-elle insisté et Bernard est tout à fait d’accord avec moi.
Le temps de charger la valise dans le coffre, et après une quinzaine de minutes de trajet, Bernard stationne la voiture dans l’entrée de garage d’une belle grande demeure. A l'intérieur, Agnès est séduite par les meubles et la décoration.
- Je dois te dire que demain après-midi tu seras seule car j’ai un rendez-vous et Bernard va à son club. Mais si tu veux, tu peux l’accompagner s' il n’y voit pas d’inconvénient indique Chantal
- Aucun, ce sera avec plaisir, convient Bernard avec un grand sourire. Il n’y a pas de problème, j'aime le faire découvrir à de nouvelles personnes.
- Tu fais partie d’un club demande l’hôte.
- Oui, acquiesce-t-il.
Le lendemain, après le déjeuner, Chantal part à son rendez-vous tandis qu'Agnès et Bernard prennent le chemin du centre-ville. Au cours du trajet, elle questionne
- C’est quel genre de club
- Un club de seniors dont je suis le trésorier et Chantal la présidente, révèle-t-il.
Ils arrivent à destination devant un local qui était auparavant un magasin de meubles, lui explique Bernard avant de pousser la porte. L’attention d’Agnès est alors attirée par une plaque qui mentionne “Club Debout avec un bleu”.
- C’est ton club, demande-t-elle.
- Tout à fait, affirme-t-il.
- C’est un drôle de nom. Qu’est que ça veut dire réplique-t-elle intriguée.
- Entres, je vais t’expliquer.
A l’intérieur, assis sur un grand canapé, quatre septuagénaires dont l’un lance à leur entrée.
- Ah, quand même. Tu as mis le temps. On a eu peur que tu ne viennes pas.
- Nous sommes partis plus tard et vous savez que je n’ai qu’une parole, je ne vous laisserai jamais tomber rassure Bernard qui présente ses amis.
Arthur, petit bonhomme bedonnant, Joseph, de taille et de corpulence normale, Simon, un homme athlétique et Paul, un grand échalas qui à l'annonce de son prénom rétorque
- Surnommé Paulo le petit gros, provoquant un éclat de rire général.
- Bonjour Messieurs, moi c’est Agnès annonce-t-elle un peu surprise par cette réaction.
Elle jette un regard à la pièce où devant le canapé est installée une table de salon en bois, deux fauteuils d’un côté et de l’autre de la table, un bahut en bois et un grand écran. Sur le côté de l’entrée, un évier. En revenant sur les amis de Bernard, elle se rend compte de leurs regards impudiques. Pourtant, ce n’est pas sa tenue puisqu’elle porte un long tee shirt évasé qui tombe sur un legging, dissimulant son derrière. Mal à l'aise, elle se retourne pour sortir lorsqu’elle entend Joseph tonner
- Bernard, y en a marre, on en peut plus.
Surprise, Agnès fait demi-tour et reste médusée. Devant elle, les quatre gaillards ont le pantalon sur les chevilles et l’engin au garde-à-vous.
- Mais, qu’est ce que vous faites bégaie-t-elle
- Bienvenue dans notre club ma p’tite dame rigole Paul
- Bernard, qu’est que ça veut dire bredouille-t-elle
Il lui explique alors que la première fois qu’ il l’a vue, il n’a pensé qu’à une chose : un jour je vais la sauter. Après son divorce, il s’est décidé et en a parlé à ses adhérents.
- Mais… commence-t-elle.
Les mots restent en suspens car les hommes se sont rapprochés et Agnès sent des mains sur ses fesses qui sont palpées, soupesées, empoignées tandis que d’autres agrippent et pelotent ses seins.
- Arrêtez. Bernard, fais quelque chose, implore-t-elle en essayant vainement de retirer les mains baladeuses.
Mais Bernard a fait également tomber le pantalon et il s’astique le manche en la regardant se débattre tout en l’informant que le but unique du club est de niquer des jeunettes moyennant rétribution et que le nom du club fait référence à un sexe en érection couplé à la prise de viagra.
- Aujourd’hui, on va baiser une chaudasse d’âge mûr gratuitement s’esclaffe-t-il.
Ragaillardis par ces paroles, les mâles se font plus pressants et, avec brutalité, ils redoublent d’activité.
- Non, arrêtez, vous me faites mal supplie Agnès.
- A genoux, tu vas nous sucer ordonne Bernard.
Devant la résistance de la sexagénaire, il lui tire les cheveux pour qu’elle s’agenouille et la gifle pour qu’elle ouvre la bouche qui est aussitôt comblée par sa longue tige fine. Simon et Joseph en profitent pour se faire branler tandis que Paul et Arthur apprécient le spectacle en se tirant sur le gourdin.
- Putain, elle est plus que douée ironise Bernard.
- C’est à mon tour dit Paul en présentant un sexe de petite taille mais très large.
A sa vue, Agnès écarquille les yeux et s’effraye
- C’est beaucoup trop gros
- Mais non mon trésor, tu vas ouvrir grand la bouche et tout va bien se passer rassure-t-il. Dans ces conditions, il lui prend la tête et force le passage entre ses lèvres. Lorsqu’il commence son va-et-vient, des larmes coulent sur les joues de l'infortunée car la douleur est intense au niveau de ses commissures.
- Voilà, c’est fait, se satisfait-il. Tu es la première qui avale la moitié de ma bite. T'es vraiment une sacrée suceuse.
Puis vient le tour d’Arthur qui, sous un ventre proéminent, cache un sexe de petite taille qu’elle n’a pas de mal à engloutir, ce qui fait rigoler le bonhomme
- Après le gros morceau, voilà le petit qui te fera reposer ta bouche.
C’est ensuite le tour de Simon, puis de Joseph, avec des sexes de taille et de proportions normales, qui lui font penser à celui de son ex-mari. Tous, à tour de rôle, ils enfoncent leur bite dans sa bouche jusqu’à la garde, sauf celle de Paulo qui est trop grosse.
- C’est une vraie bouffeuse de queues s’esclaffe Joseph en lui maintenant la tête jusqu’à ce qu’elle suffoque.
- T’as raison répond Arthur mais je veux la voir à poil.
Sur ces mots, ils la relèvent et, sans ménagement, lui enlèvent ses vêtements, Agnès se retrouve nue au milieu de 5 mâles excités par la vue. Tant bien que mal, elle cache ses seins et son sexe mais déjà des mains pétrissent ses fesses
- Elle est encore vachement bien foutue siffle l’un
- Elle a un gros cul mais encore bien ferme répond un autre.
L’un des cochons lui attrape les bras, découvrant ce qu’elle cache
- Dommage que ses seins ne sont pas plus gros constate un autre
- Et ce buisson. Enfin une chatte pas rasée et c’est une vraie blonde se réjouit un quatrième.
Après cette inspection, Agnès n’est plus qu’une chose, sa résistance est complètement brisée et elle s’abandonne aux mains de ces vicieux. Ses fesses sont pétries, écartées pour que son petit trou soit léché. Ses seins sont malaxés et ses tétons mordillés et gobés tandis que sa chatte est bouffée et pénétrée par les doigts boudinés d’Arthur.
- Assez joué, je vais lui bourrer la chatte s’emporte Paul. Tenez-la fermement et écartez-lui les jambes
La pauvre femme est alors soulevée du sol et maintenue par les épaules par Simon tandis que Bernard et Joseph lui ouvre en grand les jambes. Paul s’avance entre ses cuisses et lui attrape les hanches avant de la pénétrer d’un coup. La douleur est si intense qu’elle hurle et que des larmes jaillissent mais rien n’arrête ce sadique qui la pilonne avec un grand sourire.
- Je vais t'agrandir ton garage à bites promet-il.
Après quelques minutes de ce traitement, Agnès ne ressent plus rien. Elle est ensuite amenée vers le canapé sur lequel elle est allongée. Chaque homme s’introduit en elle avec plus ou moins de vigueur, plus ou moins profondément. Elle est ensuite mise à quatre pattes sur la table de salon où elle est fessée et prise en levrette. Puis, Joseph dit en s’allongeant :
- Prenons cette salope ici sur le sol.
Tel un automate, elle s'empale sur son membre dressé et prend dans chaque main la bite de Paul et d'Arthur pendant que Bernard et Simon se relaient dans sa bouche.
- Elle aime ça la garce, s'enchante Simon.
Au bout de quelques minutes, Bernard se met alors derrière elle, la penche en avant et rejoint la queue de Joseph dans son con. Agnès pousse alors un cri.
- Vas-y, fais la couiner cette cochonne s’amuse Arthur.
- C’est incroyable qu’elle puisse prendre deux bites dans sa chatte s’épate Paul.
- Ah, j’en peux plus. Je vais jouir ralle Simon qui relève la tête d’Agnès pour lui enfoncer sa queue avant de décharger sa semence dans sa bouche lui provoquant des hauts-le-cœur avant d’essuyer sa bite sur son visage.
Pendant ce temps, Bernard se retire et inonde ses fesses et son dos de sperme tandis que Joseph jouit en elle. La voilà maintenant à genoux devant Paul et Arthur qui accélèrent leur mouvement de va-et-vient jusqu’à ce qu’ils crachent leur jus sur son visage et sa poitrine.
Goguenards, les cinq débauchés contemplent leur trophée maculé de leur liqueur.
- Lèves la tête, ouvres la bouche et tires la langue commande Bernard avant de prendre une photo. C'est pour notre collection. Il lui lance alors une serviette de bain
- Tiens, nettoie tout ce sperme, c’est dégueulasse. Je te raccompagne pour te doucher, poursuit-il.
Pendant ce temps, les autres se sont rhabillés et d’un air satisfait lâchent avant qu’elle ne sorte
- Vous serez toujours la bienvenue.
Arrivée chez Bernard, elle entre dans la maison, poisseuse de la tête aux pieds, et croise Chantal qui constate avec un sourire
- Je vois que vous vous êtes bien amusés
- Oui chérie et encore merci pour ton idée, c’était fantastique
- Tu savais pour le club réagit Agnès déboussolée
- Bien sûr répond Chantal. J'en suis la présidente et, si tu veux savoir, je lui ai même donné ma bénédiction pour te baiser à condition qu’il te traite comme une salope.
- C’est ce que nous avons fait. Tiens, regardes cette photo témoigne son mari.
Il montre à sa femme la photo qu’il a prise d’Agnès dégoulinante de sperme.
- Une vraie putain bonne à servir de vide-couilles. Va te doucher et Bernard te raccompagnera à la gare, tu n’as plus rien à faire chez moi conclut Chantal.
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