Agnès (2)

La suite des aventures de la visite d'Agnès au cirque à la recherche de son mari furieux, en compagnie de deux clowns qui l'invitent à participer à un spectacle.

Proposée le 24/02/2023 par 4Fab

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Les deux hommes enlèvent le reste de leur tenue de clown et se placent devant elle, nus, caressant leur sexe. Agnès, toujours en lingerie, a les yeux fixés sur leur bas-ventre.
- Tu aimes ce que tu vois. Mets-toi à genoux, tu les verras de plus près avance Buto.

Pour la deuxième fois, elle s’oppose en disant qu’ils pouvaient être ses fils mais sous le ton autoritaire de Bibo, elle s’exécute. Agenouillée, elle se soumet aux envies des clowns en branlant leur tige en même temps. Malgré sa répulsion, elle constate qu’elles sont presque identiques et qu’elles sont plus longues que celle de son mari mais moins épaisses. Machinalement, ses mains se referment, descendent et remontent sur leur membre et elle ne peut quitter des yeux leur gland qui disparaît et réapparaît à chaque mouvement
- Elles te plaisent. Je suis sûr que tu aimerais y goûter savoure Bibo
- Non, je ne peux pas proteste-t-elle
- Ne fais pas ta mijaurée, une femme avec ton expérience aime sucer réplique Buto tout en agrippant sa tête et approchant son sexe de sa bouche qu’elle garde fermée. Forçant légèrement, il finit par le glisser entre ses lèvres
- Pour quelqu’un qui ne voulait pas, tu n’as pas mis longtemps à l’avaler rigole-t-il en pénétrant plus profondément sa bouche.

Lasse, Agnès se soumet et, à tour de rôle, lèche leur colonne de chair, gobe leur gland tout en massant leurs testicules qu’elle trouve énormes. Elle entend la satisfaction des 2 hommes ce qui, bien qu’elle essaye de se le cacher, l’émoustille
- Je savais qu’elle était douée remarque l’un.
- Une vraie bouche à pipes rétorque l’autre après qu’elle les ait pris en bouche en même temps.
Ces propos et la vue de ces 2 verges bien dures l'aiguillonnent tant qu’ elle ressent des picotements dans le bas du ventre.

Puis, après un moment de ce traitement, Buto la relève et lance
- Il est temps de voir ce que cache ta jolie lingerie
Il se place alors derrière elle et lui dégrafe son soutien-gorge libérant ses seins aux aréoles brunâtres que le clown s’empresse de peloter à pleines mains sans ménagement tandis que le second, agenouillé devant elle, lui retire sa culotte dévoilant un épais buisson blond, ce qui entraîne un sifflement de Bibo
- Cela fait des lustres que je n’ai pas vu autant de poils
Il glisse alors sa main entre les jambes de la sexagénaire et se réjouit
- Putain Buto, elle est trempée. il est temps qu’on prenne soin d’elle.

Il se lève et avise une bâche qu’il jette sur une botte de paille avant d’y coucher Agnès.
-Il y a longtemps que je n’ai pas bouffé une chatte si fournie dit Bibo avant de plonger sa tête entre les jambes de l’infortunée tandis que son acolyte lui pétrit les seins, lui mordille les tétons durcis par l’excitation. Elle commence à pousser de légers gémissements qui ont pour effet d’enhardir les 2 compères jusqu’à ce qu’un cri déchire la pièce laissant Agnès pantelante.

N’ayant cure de la torpeur dans laquelle elle est plongée, Bibo la pénètre sans effort et Bubo lui enfonce sa queue dans sa bouche. L’un la fourre à grands coups de boutoir tandis que l’autre lui baise la bouche comme une chatte, enfonçant sa bite au plus profond de sa gorge, lui coupant parfois la respiration. Soudain, Bubo se retire et dit avec fermeté
- Allez, c’est à mon tour de la labourer. Viens par ici et mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton gros cul

Quelque peu malmenée, la pauvre femme est prise en levrette par un Bubo excité. Elle peut sentir son membre la pénétrer au plus profond d’elle-même et ses bourses lui battre les fesses. Fou d’excitation, il la fesse, fessée qui arrache des cris de douleur vite étouffés par la bite du second débauché qui va-et-vient dans sa bouche jusqu’aux couilles.
- Regardes comme elle m’avale la queue s’exclame Bibo.
- Et toi, regarde ce gros cul rougi. Elle aime être baisée par 2 jeunes mâles vigoureux se ravit Bubo avant de s’enlever brusquement et de demander à Agnès de se coucher sur le dos.
- Bibo, écartes lui bien les jambes pour ouvrir en grand sa chatte lance-t-il avant de la pénétrer avec 2 doigts, puis 3, 4 avant que sa main ne disparaisse dans le con écartelé d’Agnès qui supplie
- Arrêtez s’il vous plaît, vous me faites mal
- Une vieille chatte comme la tienne ne demande qu’à être ouverte s’esclaffe Bubo qui commence à la pistonner avec sa main maintenant enfoncée jusqu’au poignet.
Des larmes coulent sur les joues d’Agnès qui se sent comme une poupée aux mains de ces 2 pervers. Toutefois, bien qu’ humiliée, elle ne peut contenir le plaisir qui commence à monter en elle et, bientôt, pour la deuxième fois de l’après-midi, elle explose de jouissance à la plus grande joie de ses 2 sadiques.

Bibo se couche alors que la botte de paille et commande
- Allez, empales-toi sur mon manche
Exténuée, elle ne peut faire un mouvement et c’est avec l’aide de Buto qu’elle se retrouve allongée sur la poitrine de Bibo à califourchon sur sa queue tandis que lui-même se place derrière elle et pousse son gland dans sa chatte.
- Mais qu’est-ce que vous faites, réagit Agnès.
- On remplit ton garage à bites lance hilare Buto en donnant un violent coup de reins.
A chaque assaut, sa queue pénètre intégralement la pauvre femme qui sanglote et qui halète
- Arrêtez, je n’en peux plus
Les 2 débauchés continuent leurs charges jusqu’à ce qu’Agnès jouisse pour le troisième fois.
Ils se retirent alors, la laissant à bout de souffle sur le dos, les jambes écartées.
- On lui a vraiment défoncé la chatte constate Buto.
- Il y aura plus de place pour la queue de son mari ironise Bibo

Les 2 clowns se placent alors de chaque côté d’Agnès qui a du mal à reprendre son souffle et se branlent jusqu’à ce que jaillisse leur semence qui couvre le visage de leur soumise.
- Voilà un aussi joli masque que les nôtres rigole Bibo.
- Si tu veux encore t’amuser avec des jeunes, on est là encore 2 semaines lance Buto.

Une fois revêtus de leur costume, ils la laissent seule. Elle trouve un morceau de tissu pour se débarbouiller le visage, se rhabille et retrouve finalement son mari attablé à la terrasse d’un café qui constate
- Tu as l'air éreintée chérie.
Honteuse, elle lui tait son aventure, prétextant qu’elle est fatiguée à cause de la chaleur.

Revenue à la réalité, elle tire un enveloppe d’un tiroir
- Tu veux savoir pourquoi j’ai divorcé, c’est à cause de cette photo et de ce qui l’accompagnait profère-t-elle en la lançant à sa sœur.
Michelle l’ouvre et découvre une dizaine de photographies des prouesses d’Agnès en compagnie de Bibo et Buto, avec un petit mot :
“Vous êtes très photogénique, signé Guido”.

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