Cal a enfin pris sa décision et va demander la main de Béa, l’expression « Jusqu’au bout du monde » va prendre tout son sens. Mais Cal devrait bien s’occuper de quelques chose d’aussi futile que l’entretien de ses dents car il pourrait vivre des aventures encore bien chaudes.
Proposée le 14/06/2023 par Stan23JR
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Yaël, Les dents de la luxure
18 Novembre 2022 (Cabinet dentaire du Dr Franklin)
A la suite des épisodes en Normandie (Épisode Xena), Cal s’était mis en route pour l’Alsace, la nuit allait être longue.
Il avait plus de 8h30 de route à faire, sans compter les pauses, pour rallier Benerville - sur - mer jusqu’à Hunawihr, son village natal où habitaient toujours ses parents.
C’était un important pan de son histoire, son village de 500 habitants, où tout le monde se connaît, son église où il jouait souvent derrière étant petit, ses petites ruelles étroites, ces vignes où il avait connu ses premiers amours mais aussi son premier job d’été.
Mais aussi ces maisons et ces volets très colorés, éloignant toute morosité et que dire du parc des cigognes et des loutres ainsi que du jardin des papillons exotiques, Max demandait toujours à y aller à chaque fois qu’il venait rendre visite à ces grands-parents.
Cal savait très bien pourquoi il voulait se rendre auprès de ses parents déjà pour avoir leurs avis même si il savait qu’ils allaient être heureux pour lui, ils s’entendaient à merveille avec Béa qui était bien avant qu’ils ne soient ensemble comme une fille pour eux.
Béa avait eu la douleur de perdre sa maman très jeune et dès la première fois où elle était venue avec toute la bande à Hunawihr, sa maman l’avait tout de suite pris sous son aile, il savait que Béa l’appelait souvent pour avoir son avis.
Et que dire de son père, Béa était très patiente et donc ne voyait aucun problème à passer des heures sur une barque à pêcher, Cal n’arrivait pas à rester en place, lui. Son père était toujours content quand elle était là et l’embarquait au moins une journée à la pêche.
Ensuite la raison suivante qui prédominait c’était que Cal voulait offrir à Béa la bague de sa grand-mère maternelle, il était très attaché à cette notion d’héritage familial.
C’était donc la bague que son grand-père avait offert à sa grand–mère, qu’il tenait en héritage de sa famille, son oncle Martin (en hommage au père de l’église Luthérienne) qui était l’aîné de la famille en avait donc hérité et l’avait offert à son épouse Anne - Marie.
Mais ils n’avaient eu que des filles et ces cousines avait toutes reçus des bagues de fiançailles de la famille de leurs époux ou achetés par leurs futurs maris.
Ce fut donc sa tante qui la conserva jusqu’à son décès, il y a 4 ans, d’un cancer.
Elle avait voulu en accord avec son mari, le léguer à leur filleul : Cal.
Cette bague en or, sertie en argent avait trois anneaux en verres, elle datait du Ier Empire puisqu’elle avait été conçu en 1809 par le bijoutier Emeric Schaeffer du côté de Colmar, elle symbolisait toute l’histoire de sa famille et il serait heureux que Max en hérite un jour.
C’est vers 7h du matin qu’il arriva dans le village de ses parents, les rues étaient toujours aussi étroites pour circuler mais il réussit à garer sa voiture devant le portail ouvragé.
Il savait que ses parents étaient là car ils venaient de rentrer de leurs visites à un couple d’amis du côté de Barcelone.
Joseph et Aurore Liénard furent très contents et un peu perplexes de tomber sur leurs fils unique devant le portail.
Cal aurait pu se servir de sa clef mais il trouvait cela déplacé de pénétrer chez ses parents alors qu’ils dormaient encore et sans les prévenir.
La maison de Hunawihr était une maison typique alsacienne avec ses murs en colombage mais elle était atypique de par sa couleur vert pomme, elle était sur trois étages, au rez-de chaussée : la cuisine, la salle à manger, le salon et une des chambres, au premier était l’étage des parents avec leur chambre, leur salle de bains, leur bureau et la bibliothèque.
Enfin au dernier étage, notamment dans la partie mansardée, l’ancienne chambre de Cal, sa salle de bain et son bureau ainsi que la salle de jeux où se trouvaient les consoles de jeu et les jeux de société.
Depuis son départ, sa chambre avait été transformée en chambre d’ami avec par conséquent un côté plus mature et moins personnel.
Avant d’aller faire un sommeil bien réparateur dans son ancienne chambre, encore tout excité, il expliqua à ces parents les raisons de sa visite surprise.
Ses parents, après l’avoir écouté attentivement, se sourirent puis c’est son père qui se lança en premier :
- Mon premier sentiment et cela va peut - être te surprendre, c’est enfin ! Avec ta mère on s’est déjà dit durant des années que tu allais te mettre avec Béa, puis vos chemins ont pris des virages personnels différents, vous vous êtes mariés chacun de votre côté, avez fondé une famille pour finalement mieux vous retrouver et là je pense que beaucoup ont du te le dire mais vous êtes pas très discrets, enfin si vous cherchiez à l’être, c’est raté du moins pour nous.
Quoi qu’il en soit, ta mère et moi on est très heureux pour vous deux mais vraiment vous avez pris votre temps !
- C’est étonnant, cette expression : « enfin » je l’entend souvent, lui répondit Cal dans un grand éclat de rire, j’ai réalisé enfin on m’a un peu aidé à comprendre que je repoussais cette étape pour de mauvaises raisons, que je devais faire le deuil de mon premier mariage et des raisons de cet échec pour aller de l’avant et mon avenir c’est Béa et notre famille finît - il les étoiles pleins les yeux, avant de rebondir sur un dernier point : comment ça pas discret ? Ne me dites pas que vous avez vu quelque chose de trop intime.
- Non ne t’inquiète pas, le tranquillisa sa mère, disons que tu as toujours beaucoup parlé de Béa et ça je peux te dire agaçait beaucoup Manon, je le voyais bien, une mère voit certaines choses et j’ai aussi remarqué qu’à partir de début 2020, tu parlais de plus en plus de ta future femme. Dis moi tu te souviens de début décembre 2021, vous deviez partir à une conférence en Grande - Bretagne je crois, tu nous a déposé Max pour le weekend avant de prendre la route.
Effectivement il voyait très bien où elle voulait en venir, ils avaient bien une conférence à Londres mais après ils s’étaient rendus dans le cottage de Gemma et Randall pour les confronter (Épisode Gemma).
- Tu te rappelles que vous êtes montés au grenier pour que tu lui montres tes maquettes de train et d’avion ? Eh bien l’heure du repas approchant je suis montée pour vous prévenir et qu’elle n’a pas été ma surprise quand avant d’atteindre le dernier palier, je vous ai vu en train de vous embraser passionnément contre le mur du fond, je suis bien sûr redescendus discrètement.
- Ta mère m’en a parlé juste après et j’étais certain que vous alliez officialiser rapidement, bon pour le coup vous l’avez fait trois mois après mais on se demandait quand tu allais sauter le pas, pour nous c’est du pareil au même, Béa fait partie de la famille depuis bien avant que vous soyez ensemble, j’appréciais beaucoup Manon sincèrement mais je trouve que Béa et toi vous vous complétez parfaitement, preuve en est : tout ce que vous avez déjà réussi professionnellement.
C’est vrai il y a eu des circonstances particulières mais c’est aussi par votre travail que vous en êtes là.
- Ton père a raison, tu sais que, dès la toute première fois où je l’ai rencontrée, cet petite m’a tout de suite plu et tu sais à quel point je suis exigeante humainement, mais elle avait cette force et cette fragilité à la fois qui te touche et puis elle est franche et directe un peu comme moi, quelque part même si je ne suis pas sa mère, je me reconnais en elle.
Tu sais aussi que je ne suis pas de ces mères qui poussent leurs fils unique à leur donner beaucoup d’enfants.
Nous aimons plus que tout Maxou et Brittany fait partie de la famille aussi, nous la traiterons comme si elle était notre petite-fille mais j’avoue qu’un autre petit enfant ne me déplairait pas.
- Pour moi, il est important d’avoir votre avis, de savoir que j’ai raison de vouloir me relancer dans le mariage parce que je crois que mon divorce avec Manon m’a fait plus de mal que je ne voulais bien le croire.
- Je vais te rassurer sur un point reprit sa mère, tout va bien se passer, parce que tu regardes Béa comme je regarde ton père et elle aussi, j’ai surpris son regard une fois, elle t’aime c’est sûr et ça je le sais parce qu’elle me l’a dit : elle t’admire plus que quiconque parce que tu es là où tu en es à la seule force de ton travail alors qu’elle a tout hérité même si elle a fait un travail formidable aussi. Et là c’est bien plus privé mais j’y ais aussi vu un désir très ardent de sa part et fils, sois un peu plus discret stp, par moment on dirait le loup de Tex Avery quand tu la regardes.
- Cal, tu as notre bénédiction, je ne pense pas que tu vas aller demander la main de Béa à son père en prison, donc la prochaine étape c’est de te remette la bague de ta marraine, elle serait si fière de toi.
Écoute va te coucher, je me charge d’aller le chercher à la banque aujourd’hui.
Cal était vraiment épuisé, il fila donc dans son ancienne chambre se coucher et ne se réveilla que vers 15h.
Il eut une surprise très émouvante en se levant, non seulement son père avait récupéré la bague mais il était passé chercher son propre frère, le parrain de Cal, tonton Martin avait bien vieilli depuis la dernière fois qu’il l’avait vu mais il avait toujours cette prestance et cette droiture qui faisait qu’il imposait le respect partout où il allait.
Ils se tombèrent dans les bras l’un de l’autre très ému.
- Je me souviens comme si c’était hier quand ta marraine m’en avait parlé, c’était un peu après ton divorce et à cet instant là on savait déjà pour tu sais quoi lui dit- il avec encore beaucoup de douleur dans la voix en faisant référence au cancer.
Je me rappelle, elle avait tout vu avant tout le monde, elle savait que tu allais rebondir et elle semblait déjà avoir décelé que la femme de ta vie était la petite Béa.
Quelle femme prodigieuse et quel parcours ! Vous faites vraiment la paire tous les deux, j’espère que je vivrais encore assez vieux pour voir les petits frères ou les petites sœurs de Max.
La soirée fut fabuleuse et égaillé de plein de vieux souvenirs, c’est le cœur plein d’espoir qu’il reprit la route le lendemain matin en direction de Paris.
Manon dut le constater quand il récupéra Max avant de prendre la direction de la Gare de l’Est, son ex-femme avait dû se rendre compte de quelque chose mais elle préféra ne pas l’embarrasser à le questionner, il était sûr que sa future femme (enfin il l’espérait) lui raconterait tout en détail.
Il était heureux de l’évolution de leur relation, ce n’était pas évident juste après le divorce mais ils avaient trouvé le moyen d’être heureux chacun de leur côté.
Il était heureux qu’elle donne une petite sœur (ils connaissaient déjà le sexe) à Max et il espérait que bientôt Béa et lui en feraient de même.
Ils prirent l’ICE à la Gare de l’Est tôt le lendemain matin, Max était tout excité de prendre le « train super super rapide » et puis il allait retrouver sa super copine Brittany pour jouer ensemble.
La petite rousse avait déjà le tempérament de sa mère, elle n’était pas du genre à se laisser faire et elle ne laissait personne s’en prendre à Max, elle était très protectrice (elle avait quelques mois de plus que lui).
Le trajet en TGV allemand dura un peu plus de 8h, Bradley avait envoyé son chauffeur les récupérer, ils allaient dîner chez lui et sa nouvelle femme Susan avec qui il avait eu ses deux jumeaux Brody et Brock.
Ces hôtes furent amusés à la vue d’un Cal qui avait du mal à tenir en place, eux aussi allaient se douter de quelque chose.
Ils leurs souhaitèrent bon voyage, Bradley fit une longue accolade à sa fille (comme pour Manon, il devrait faire bien attention à ne pas trop prendre la place dévolue à Brad).
Ils décollèrent de l’aéroport de Berlin-Schönefeld en début de soirée, les enfants ne tardèrent pas à vite s’endormir, le vol allait être long, Cal lui tarda un peu pour pouvoir passer un coup de fil à Béa (du fait des 7h de décalage horaire avec Berlin).
Elle était très excitée de retrouver ses enfants et de le retrouver, elle avait déjà prévu tout un programme à Phu Quoc mais avant ils se retrouveraient sur le tarmac de l’aéroport Tamsonhat à Ho-Chi-Minh ville (ancienne Saïgon).
Ils repartiraient ensuite avec le jet vers Ken Giang sur l’île de Phu Quoc.
Il s’endormit ensuite, les rêves peuplés de plage de sable blanc, de coucher de soleil sur une colline luxuriante où il enlaçait sa belle pendant que les enfants jouaient.
C’est Tamira qui le réveilla, il ne restait que 4h de vol sur les 12h du vol, l’hôtesse de l’air avait toujours l’air aussi belle, ils discutèrent un peu avant de réveiller les enfants pour le petit déjeuner, il ne put s’empêcher de remarquer la bague qu’elle portait à sa main gauche.
Il la félicita et elle le remercia car c’était aussi grâce à lui, elle était fiancée depuis peu au copilote Will Sharp qui était justement sur ce vol avec le commandant Trenton.
Ils s’étaient mis ensemble fin 2019 et allaient se marier dans six mois, au début du printemps.
Ils réveillèrent les petits qui avaient eux aussi bien dormi, il était content de ce petit déjeuner partagé avec les enfants dans la bonne humeur, toute le monde était excité à l’idée de retrouver Béa, surtout Brittany qui n’avait pas vu sa mère depuis environ deux semaines.
Il était 18h00 locales quand ils atterrirent a Ho-Chi-Minh Ville, Brittany courut tout de suite se jeter dans les bras de sa mère, c’était un moment très tendre entre une mère et sa fille, Max vint ensuite se greffer et enfin Cal qui échangea un doux baiser avec sa belle rousse sous les beurk des enfants qui partaient dans un sacré fou rire et sous les yeux d’une Tamira très émue par ce tableau familial idyllique.
Le vol vers Ken Giang ne dura qu’une heure à peine, la maison louée par Béa se trouvait au bord d’une plage qu’ils auraient pu privatiser mais ils n’étaient pas ce genre de riches qui s’accaparaient le sol qui n’était pas le leur, du coup des touristes et des locaux pouvaient profiter de la plage devant chez eux.
Ils s’étaient installés sur l’une des plus belles plages de l’île : la plage Sao avec ses lignes de sable blanc à perte de vue, d’une eau ultra transparente et bordée de cocotiers, le tout à 35 minutes en voiture de la capitale de l’île.
La maison avait tout le confort nécessaire, Cal fut ravi de goûter à nouveau à la cuisine vietnamienne qu’il connaissait bien du fait de son ancienne appartenance à une famille vietnamienne, ce fut un régal de déguster de succulents plats à la sauce locale : un bon bò bùn avec ces nems (en vietnamien cela ne se dit pas comme cela), un phò (le bouillon traditionnel).
Leurs retrouvailles, entre Béa et lui, furent très chaleureuses, une fois les enfants couchés, ils firent l’amour tendrement sans faire trop de bruit pour ne pas réveiller leurs petits trésors, il ne pourrait jamais se lasser de ce corps, ces courbes délicieuses, ce grain de peau si doux, la pureté de ses boucles rousses étalée sur son oreiller ou encore la courbure de sa croupe qui damnerait même un prêtre.
Il la regarda dormir longtemps, qu’est-ce qu’elle était belle, mais bon la journée du lendemain était chargée alors il finir aussi par s’endormir.
Et donc après un petit déjeuner bien solide, ils commencèrent leurs périples : le matin ils allèrent voir les animaux au safari de Phu Quoc, les animaux en très bonne santé gambadaient en semi - liberté dans une nature luxuriante.
Brittany et Max était très excités à chaque fois qu’ils voyaient une autre espèce d’animal, ils s’extasièrent beaucoup devant les girafes notamment.
Le midi, ils déjeunèrent dans un restaurant de fruit de mer au bord de la côte, le crabe était vraiment délicieux surtout fait à la façon vietnamienne, avec un peu de bière locale.
L’après-midi fut plus ludique, consacrée notamment à des visites tel que les plantations de poivre de l’île d’où ils repartirent avec une quantité astronomique de poivre pour toutes la famille pour un montant de 650 000 Dong.
Ils prirent ensuite la direction des fabriques de Nuoc Mam (la saumure de poisson) que Max et lui connaissaient bien car c’était l’un des condiments vietnamien les plus utilisaient.
Malgré la très forte odeur, Cal était content que son fils découvre comment était fabriqué ce condiment utilisé si souvent, les enfants furent très intéressés et posèrent beaucoup de questions, que Cal qui parlait couramment la langue de son ex-femme traduisit, il fut même très fier de voir Max traduire à Brittany les explications du guide.
Béa vit qu’il en était très ému et serra sa main pour lui montrer qu’elle aussi était heureuse de l’évolution de Max.
Ils finirent la visite de la journée par le marché nocturne de Ken Giang où ils achetèrent beaucoup de choses n’étant pas contraints par les limitations de bagages, ils dînèrent sur le marché où leurs furent servis un Bùn Gieu (un bouillon de vermicelle de soja avec de la tomate et des miettes de crabe), après avoir goûté une succulente soupe d’asperge en entrée.
Ils écumèrent l’île pendant encore trois autres jours et Cal cherchait encore le meilleur moment pour faire sa demande, ce fameux soir vint le dernier soir après une visite avec les enfants dans les montagnes de Phu Quoc, ils étaient revenus sur la plage de Truong Beach pour admirer le coucher du soleil.
Ce soleil se couchant sur une mer cristalline, les enfants jouants sur le sable blanc était vraiment le tableau idéal, le moment était parfait, il se tourna de façon déterminé vers sa belle.
Il prit son courage à deux mains et se lança :
- Béa, ma toute belle, ma reine, tu te rappelles m’avoir demandé jusqu’où j’irai pour toi le soir, le fameux soir du 23 décembre 2019 et que je t’ai répondu jusqu’au bout du monde; Eh bien nous sommes au bout du monde. Je t’ai suivi dans cette fabuleuse aventure sans jamais le regretter et je ne voudrai jamais qu’elle ne s’arrête.
Je viens de vivre les plus belles années de ma vie, nous formons une famille unique avec Brittany et Max.
J’ai beaucoup hésité, j’ai pris du temps à me rendre compte et on m’a un peu aidé à comprendre que je repoussai ce choix pour de mauvaises raisons et aujourd’hui plus rien ne s’oppose à ce que je vais te demander.
Il plaça donc comme de coutume son genou droit à terre et plongea sa main droite dans son pantalon pour un sortir la boîte de la bague, il se tourna vers sa Béa qui avait laissés couler librement ses larmes de joie, II ouvrit la boîte et s’exclama :
- Mon amour, la femme de ma vie, veux- tu passer l’éternité à mes côtés ? Veux- tu devenir mon épouse jusqu’à la fin de notre vie ?
Il lui fallut quelques secondes pour se reprendre mais elle exprimait déjà sa réponse par ses hochements de tête.
- Oui Cal, mon chéri, 1 million de fois Oui, je veux être ta femme pour aujourd’hui, pour demain, dans 50 ans et jusqu’à la toute fin, Je t’aime plus que tout, je veux lier mon histoire à jamais à la tienne, je veux que nos familles ne fassent qu’une, alors je te le redis encore Oui mon amour.
C’est un Cal très ému et un peu tremblant qui lui passa le bague au doigt.
Il se releva et combla l’espace entre eux pour un baiser passionné, sous les applaudissements des touristes autour, dont certains avaient filmé la scène, ils n’allaient pas tarder à être les stars des réseaux sociaux.
Les enfants attirés par le brouhaha revinrent vers leurs parents qui les prirent contre eux pour un beau câlin collectif.
Sur le chemin du retour, ils expliquèrent aux enfants ce que cela impliqué et que très bientôt ils seraient vraiment frère et sœur, ce qui enchantèrent les enfants et se montrèrent encore plus pressés que leurs parents.
Et comme devinait par Cal, ils devinrent les stars des réseaux sociaux, même s’il pouvait regretter la perte de leur intimité et se dirent que finalement que la déclaration de Cal serait enregistré pour l’éternité et puis cela faisait assurément une sacrée publicité pour le groupe car ils étaient partout : Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram mais aussi Tik Tok.
Ils reçurent des félicitations de partout en fonction des fuseaux horaires, le mariage allait devoir être à la hauteur de la demande.
La soirée fut très heureuse avec les enfants et la nuit fut très agitée pour nos tourtereaux, il adora faire l’amour à Béa habillée seulement de sa bague de fiançailles.
Ils récupérèrent finalement dans le vol retour vers Paris de leur folle mais courte nuit, après une dernière journée à Phu Quoc.
Ils décollèrent directement de Ken Giang à 22h heure locale (4h du matin heure de Paris) pour atterrirent au Bourget douze heures plus tard.
Ils eurent une méga surprise en arrivant sur le tarmac, un véritable comité d’accueil les attendait, tout le monde avait fait le déplacement, les parents de Cal avait battu le rappel : Tonton Martin, les tantes de Béa mais aussi tous leurs ami(e)s étaient là.
Le service d’ordre de Spittrain avait tenu éloigné les journalistes loin du tarmac afin qu’ils puissent monter dans leurs véhicules et se rendre au Pecq où ils eurent une seconde surprise : la maison avait été décoré et une sacrée soirée se préparait pour fêter leurs fiançailles.
Ce fut une soirée mémorable et tellement heureuse que Cal garderait toute sa vie en mémoire.
Béa et lui firent leurs premières apparitions publiques en tant que jeune fiancés quatre jours plus tard lors de la réception des plus importants dirigeants d’entreprise Français par le Président de la République a l’Elysée, ils furent la coqueluche des journalistes et des photographes et particulièrement Béa qui était resplendissante dans sa robe bleu azur de chez Coco Chanel.
Ils discutèrent encore de ces deux soirées avec Manon et Alex quand ils furent invités à déjeuner chez eux à Levallois - Perret un dimanche de là mi-novembre.
Il put le constater, les deux femmes s’entendaient à merveille, cela parlait déjà de la réception du mariage d’un côté et de choix de maternité de l’autre côté.
Le terme était prévu pour début janvier et Alex semblait étonnamment serein alors qu’il s’agissait de son premier enfant, Cal s’en étonna auprès du dentiste qui lui répondit qu’il avait commencé son internat de médecine aux Urgences des Hôpitaux de Paris et que donc rien ne pouvait le perturber après cela.
Manon lui dit qu’elle le savait pour la demande car elle ne l’avait jamais vu aussi sérieux et agité à la fois, de plus il n’arrêtait pas de vérifier l’épaisseur de sa poche intérieur gauche toutes les cinq minutes montre en main, c’était franchement louche.
Béa confirma cette impression tout au long de leurs vacances, à la fin elle finit par se demander s’il allait finir par se jeter à l’eau.
Pour le déjeuner, c’est Alex qui s’y collait : il avait préféré des plats de chez lui (Montpellier), en entrée ce serait une fougasse aux fritons : c’est une pâte à pain enrichi en margarine, résidus de lard et du poivre, cela ressemblait à une tourte de forme rectangulaire avec trois fentes de chaque côté.
Pour le plat, il avait préparé une macaronade, à base de macaroni donc mais avec de la viande cuite telle que de la chair à saucisse et du poisson.
Il sortit un rosé de sa cave à vin : un Cartagène du Mas Julien cuvée 2020 qui se buvait vraiment très bien, Manon elle avait un cocktail sans alcool (grossesse oblige).
L’ambiance était très bonne, le repas était succulent par contre Cal fut prit d’une vive douleur dans les gencives en mordant dans sa fougasse, il sentit que quelque chose avait « pêté » et du sang coula dans son assiette.
Alex très calme le prit directement en charge, il attrapa deux mouchoirs de table pour faire une compresse sous ses lèvres et le conduisit à son bureau ou se trouait un mini-cabinet de dentiste.
Il installa Cal sur le siège pendant que Béa et Manon observaient depuis l’entrée, il sortit divers instruments et se mit à observer sa gencive, après avoir nettoyé le sang avec son tuyau.
Il lui fit même une radio avant de faire quelque chose sur ces dents que Cal ne pouvait pas voir avant de lui expliquer à lui et aux femmes :
- En gros, il semblerait que l’un de tes anciens plombages s’est cassé, il devait déjà être fragile et en mordant dans la fougasse, il a éclaté.
Avec la radio j’ai pu voir qu’il n’y avait pas d’autres problèmes.
Par contre je n’ai pas la matériel dans mon mini-cabinet pour te faire un vrai plombage, là je t’ai mis un provisoire pour pas que tu es mal et que ça s’arrête de saigner.
Il faudra faire remplacer le plombage, je l’aurai bien fait moi - même mais j’interviens toute la semaine à la faculté dentaire.
Le mieux c’est que je te dirige vers un des mes confrères ou consœurs, je pense savoir qui justement, je lui passe un coup de fil et je te préviens.
Va te reposer dans le canapé en attendant, l’antalgique que je t’ai donné devrait te shooter un petit peu.
Il réapparut à peu près cinq minutes plus tard :
- Je t’ai obtenu un rendez-vous avec une de mes consœurs à Asnières-sur-Seine, le Dr Yaël Franklin, elle a toujours des rendez-vous tardifs pour les cadres ou cadres supérieurs qui travaillent tard, donc tu as rendez-vous à son cabinet demain à 19h30.
- Ah oui, elle super sympa et très douce explicita Manon avec un éclat que Cal ne connaissait pas, je l’ai rencontrée lors de la Convention Nationale Dentaire de Dijon en début d’année dernière.
- Je renchérirai dit Alex en disant qu’elle est aussi très pro et très compétente, on est tous les deux diplômé de la faculté dentaire de Paris Cité, elle est sortie trois ans après moi mais je connais certains de ses camarades de promo et je connais aussi très bien son premier tuteur professionnel.
- Bon mon chéri, ne t’inquiète pas, je viendrai demain avec toi lui dit Béa, je sais que les dentistes, désolé Alex, ce n’est pas ce que tu préfères et que cela te rend toujours nerveux et puis après le rendez- vous, on ira manger en extérieur.
La nouvelle Directrice d’Agence m’a parlé d’un très bon poké bar qui vient d’ouvrir à Courbevoie et pour toi ils font aussi d’excellente soupe termina- t- elle en lui caressant tout doucement sa joue désormais endolorie.
Cal finit par s’endormir dans le canapé probablement shooter par les antidouleurs que lui avait donnés Alex, la fin d’après - midi fut quand même plaisante.
Le lendemain après une journée de travail où la bouche de Cal l’a quand même lancé, ils se rendirent avec Béa à Asnières.
Le cabinet était très bien implanté dans une rue cossue à l’opposé de la mairie, à l’Ouest du square du Maréchal Leclerc, entre les rues Mariceau et de Colombes.
C’était une maison particulière en style art nouveau comme beaucoup de bâtiment de la ville, sur la droite de la grille se trouvait une plaque en laiton où était inscrit : Cabinet Dentaire, Docteur Yaël Franklin, Diplômé de la faculté de Paris Cité, ancienne interne des hôpitaux de Paris.
Juste en dessous se trouvait un bouton pour sonner.
Une fois fait, la caméra bougea légèrement avant que le portail ne s’ouvre, dis donc il était bien sécurisé ce cabinet.
Ils avancèrent jusqu’à l’entrée du cabinet où c’est le docteur Franklin qui les accueillit, la secrétaire était partie à 18h.
Elle portait sa blouse blanche de médecin mais elle portait en dessous ses vêtements de ville et apparemment elle aimait beaucoup le mauve.
En effet, elle portait une robe Priscilla de chez Sezane, c’était une robe longue dos nu avec encolure ronde qui se nouait à l’arrière, la couleur de la robe était mauve avec des motifs fleuris blanches.
A ces pieds elle avait un modèle fabriqué en Italie, les ballerines pointues à bride Gae de chez Scarosso en daim violet.
Elle était très sympathique et le mit tout de suite en confiance, Alex lui avait expliqué le problème mais elle lui fit tous les examens nécessaires avant de lui demander de choisir la teinte qu’il voulait pour son inlay core.
Elle le rassura en lui disant qu’elle pouvait le détendre avant les soins en lui mettant le MEOPA à base d’azote sur son nez et sa bouche.
Le produit fit tellement de miracle qu’il se retrouva dans un état comateux où il semblait mélangé la réalité avec ses rêves : un instant il voyait le Dr Franklin s’employait dans sa bouche, l’instant d’après il la voyait embrasser sauvagement Béa tout en la caressant sensuellement, il voyait les mains de Yaël caresser les seins bien laiteux de sa future femme par dessus son haut transparent.
Il finit par retomber dans les vapes, mais même dans un état comateux, il sentait que quelqu’un était en train de lui offrir un bon traitement à sa queue en bonne et due forme.
On le suçait doucement, ce n’était pas Béa car il l’aurait reconnu, il avait si souvent goûté à sa bouche.
La c’était quelque peu différent, la personne qui le suçait enfoncer moins loin sa bite comme le faisait sa promise mais ses coups de langue étaient toujours très bien placés.
Il tenta d’ouvrir un œil, il espérait juste que ce n’était pas un mec avec des couilles bien pleine, une chevelure rousse mais pas le même éclat que sa belle, une robe dos nue.
Le Dr Franklin s’occupait aussi du bien-être de ses patients, pas seulement de leurs dents, elle se décala légèrement et il vit clairement.
Elle le branlait de ses doigts graciles, tout en gratifiant son méat de bon petits coups de langue, avant d’essayer de le prendre plus profondément dans sa bouche, il se retint autant qu’il put pour ne pas esquisser le moindre geste mais cela devint de plus en plus dur.
Et finalement après une tentative de gorge profonde plus lointaine, il finit par avoir un léger spasme, ce qui la fit réagir :
- Bonjour Cal, vous voilà de retour parmi nous, lui dit- elle tout en continuant tranquillement à le branler, votre future femme m’a dit de commencer sans elle a déguster votre bonne bite, elle avait un coup de fil à passer, elle va vite nous rejoindre.
Vous avez un nouveau plombage tout neuf au fait, tout s’est très bien passé, vous avez été très docile.
- Et vous aimez profiter de patient bien docile chez docteur ? Vous êtes une petite traînée ! Je suis sûr que ces rendez- vous tardifs avec des hommes et des femmes d’affaires c’est pour vous faire bien tringler comme une chienne !
Sa queue dans sa main avait encore grossie suite à ces mots.
- Exactement cher monsieur, si vous saviez le nombre de cadre ou de cadre supérieur qui de un prenne pas bien soin de leurs dents et de deux qui ont besoin de se soulager, j’aime soit partager un moment de tendresse avec des femmes d’affaires ou être traitée comme un vulgaire objet par les hommes d’affaires que je reçois, j’aime quand ils me prennent durement par tous les trous soit contre mon bureau soit sur le siège de dentiste et puis le sperme c’est bon pour la blancheur des dents.
Votre future femme m’a promis une bonne partie à trois donc on va bien être gentils et l’attendre.
Elle se remit à sa douce besogne pour le plus grand plaisir de Cal jusqu’à que ne revienne Béa.
Entrant dans la salle d’auscultation, Béa put voir Yaël à l’œuvre sur son futur époux, celui-ci semblait beaucoup aimer sa gâterie et donnait régulièrement des coups de bassins, cela commença à bien l’émoustiller, elle se décida à venir les rejoindre mais avant elle se débarrassa de ses vêtements et s’avança vers eux.
La bite de Cal dans la bouche chaude de Yaël grandit encore plus en voyant approcher sa femme entièrement nue à l’exception d’un mini-string, de ces dim-up et de ces talons.
Il l’observa venir embrasser Yaël à pleine bouche tout en le fixant du regard puis elle commença à déshabiller la dentiste en faisant glisser sa robe sur ces ballerines pour faire apparaître sa belle lingerie.
Un body en soie modèle Gabriella de chez Studio Pia, en soie et tulle brodée, sa poitrine était rehaussé et galbé, de plus les finitions étaient en plaqué or 24 carats, elle était majoritairement mauve sauf les parties tressés sur les côtés qui était en orange, l’arrière en mode string était très appréciable.
Après s’être bien embrassés, Béa dirigea Yaël vers Cal qu’elles avaient un peu délaissés, elles se placèrent à genoux, parallèle l’une à l’autre et alignée au niveau de son mât qui bandait fièrement.
Elles lui donnèrent des coups de langue à tour de rôle, avant de le prendre profondément dans leurs bouche l’une après l’autre.
Cal était vraiment au paradis, les deux rousses s’occupaient de son membre turgescent pendant que lui de ses deux mains testés la résistance de leurs deux trous, sous leurs gémissements.
Mais Béa était vraiment la plus perverse, elle n’hésitât pas à enfoncer bien profondément le pénis de Cal dans la petite bouche de la dentiste, tout en le regardant dans les yeux comme si elle lui faisait ce beau cadeau.
Il fut ensuite le moment de passer aux choses sérieuses, elles déroulèrent à l’aide de leurs bouches le préservatif sur le vit de Cal avant que Yaël ne vint s’empaler dessus en écartant juste la ficelle de son body.
Notre alsacien en avait profité lui pour lui baisser ses bonnets et les lui triturait avec force, tout en embrassant sa future femme, qui s’était placée à côté de lui.
Mais le couple ne résista pas à ces deux gros globes laiteux qui se balançaient sous leurs yeux, ils prirent chacun un sein en bouche sous les cris de plus en plus forts de la deuxième rousse qui inondait littéralement le bas ventre de Cal.
Béa, toujours aussi perverse, préparait déjà le terrain pour la suite, elle doigtait déjà à deux doigts le cul de Yaël pendant que lui même en faisait de même entre ces fesses.
Ce ne fut plus que soupir et gémissement pendant de longues minutes puis Béa monta sur le siège du dentiste après l’avoir totalement couché, elle embrassa et caressa les seins de Yaël, tout en donnant ses deux trous à lécher et à doigter par son homme.
Ce dernier ne se fit pas prier et lécha sa fente totalement dégoulinante avant de lui faire une feuille de rose digne de ce nom tout en lui doigtant à plat sa chatte.
La douceur et la tendresse avec Yaël contrastait avec le léchage et le doigtage de sa chatte et de son trou du cul par Cal.
Mais à force, son envie de se faire enculer prit le dessus et elle prit la place de Yaël mais cette fois-ci la bite de Cal s’enfonçait plus au sud, néanmoins la dentiste ne restait pas en reste parce qu’elle léchait la fente humide de Béa en même temps qu’elle se faisait ramoner le fion.
Elle n’hésitait pas à sortir la queue du rectum de Béa pour le sucer toute de suite derrière ou le lécher de haut en bas tout en se doigtant furieusement les trous.
Elle voulait elle aussi se faire enculer comme une chienne et donc dés que la future femme de notre alsacien partit dans un bon orgasme anal à faire exploser les murs par ces cris, elle voulut à son tour se faire exploser le conduit anal.
Elle s’installa donc dos au beau brun et face au siège du patient, elle écarta d’elle - même ses deux globes fessiers pour faciliter le passage de la grosse queue de Cal.
Il passa ces bras par dessous son ventre et la serra fortement contre lui pendant qu’il la sodomisait et que Béa lui triturait fortement les seins tout en l’embrassant.
Mais la future mariée vit que son futur époux était au bord de la rupture et qu’il se retenait d’autant plus pour que la dentiste puisse avoir son orgasme à son tour, elle se décida à l’aider un peu en entrant carrément quatre doigts dans le con de la dentiste et remua de toutes ses forces.
Cette méthode finit par venir à bout de la résistance de Yaël, qui partit dans un sacrée orgasme presque aussi phénoménal que la femme de la vie de Cal tout à l’heure.
En attendant, ne pouvant se retenir plus longtemps, il eut juste le temps de ressortir pour se répandre dans la bouche très accueillante de sa future épouse une très grosse quantité de liquide blanchâtre tout en poussant un gémissement d’animal blessé.
Il lui tenait la tête pour faire bonne mesure mais elle n’en avait pas besoin car elle le suçait jusqu’à la moelle et lui extirpa toute la sauce qu’il avait en stock.
Une fois fini, elle vint embrasser Yaël et lui transféra toutes la quantité de sperme qu’il lui restait en bouche.
Ce baiser de sperme donna des idées à Cal qui plaça sa queue pas encore tout à fait molle entre leurs deux bouches et leurs fit nettoyer tout le sperme sur l’ensemble de la longueur de sa tige.
Cette scène il l’avait joué plein de fois mais c’était toujours un pur extase de voir deux belles femmes et ici deux belles rousses à demi nues en train d’aspirer les dernières traces de foutre encore présentes sur son mât et de lui rendre totalement neuf.
Après cela l’intermède dura quelques secondes puis Yaël attira Béa dans son bureau où elle l’a coucha sur le divan qui se trouvait dans un coin de la pièce, Cal lui prit place sur le siège de bureau de la dentiste pour admirer ce spectacle saphique.
Cal se dévêtit entièrement avant de se rasseoir dans le fauteuil en cuir afin de pouvoir tranquillement se branler sans la moindre entrave vestimentaire car, sous ses yeux, une Yaël à quatre pattes avec sa croupe callipyge bien relevée s’employait à lécher à chatte humide d’une Béa qui n’hésitait à en rajouter pour se chauffer elle, mais aussi son futur mari.
Elle tirait fortement sur ses pointes et se léchait les doigts comme si elle lui suçait sa bite dont elle connaissait par cœur le goût et la texture.
Cal se branlait en cadence au rythme des caresses de ces deux comparses, tantôt lent quand elle faisait preuve de plus de douceur tel que les baisers mouillés de Béa sur le mont de Vénus de Yaël et tantôt plus rapide quand la même Béa doigtait farouchement chacun des trous de Yaël, la faisant crier de plaisir.
Heureusement que les vitres étaient en double vitrage sinon toute la nuit Asnieroises aurait profité de ces cris de louves blessés.
Elles allaient d’orgasme en orgasme, Cal attendit qu’elles terminent de se donner un plaisir mutuel dans la position de la cisaille, chatte contre chatte avant de revenir en jeu.
Béa fut la plus rapide, elle positionna Yaël couché sur le divan, les deux jambes écartés au maximum et ouvrit de ses doigts fins les grandes lèvres de la dentiste afin que son futur mari s’y engouffre de façon agile et ferme.
Il enchaîna les coups de bite vifs et puissants avant de ressortir et de s’insérer aussi fortement dans le trou plus secret en dessous, il choisit donc d’alterner les trous pour le plus grand plaisir de la seconde rousse qui continuait à crier son plaisir jusqu’à atteindre un nouvel orgasme.
Il passa ensuite à sa future femme pour un coït plein de rudesse et de tendresse, il avait placé les jambes de Béa à la verticale, le long de son cou contre son torse, il commença alors à lui baiser la chatte mais il avait besoin de ses lèvres.
Alors il mit Béa dans une position totalement acrobatique, pliée en deux.
Il pouvait désormais l’embrasser et étouffer les nombreux cris de plaisir de Béa qui sentait sa bite taper au fond de sa matrice et ces fouilles cognait contre sa fente totalement humide à chaque coup.
Le divan était rempli de la cyprine de Béa.
Elle aussi finit par avoir un orgasme bien fort juste après que Cal ait tiré fortement sur son téton gauche, c’était toujours un plaisir merveilleux de sentir les parois de la femme qu’il aimait se contracter fortement et à plusieurs reprises grâce à ses coups de queue.
Il sentit clairement ses jambes se décoller et ses yeux se révulser sous la violence de l’orgasme.
Cal, lui, n’avait pas encore joui une seconde fois et il savait ce qu’il voulait faire ensuite.
Il ressortit de sa Béa et se dirigea vers le bureau qu’il tapota de sa main en regardant les deux femmes, Yaël comprit la première après s’être bien doigté pendant la baise de Cal et Béa, alla se placer à quatre pattes sur le bureau en montrant bien son cul.
Béa ne voulut pas être en reste et voulut faire la même chose, Cal assis dans le fauteuil profita du spectacle des rousses dandinant leurs culs prêt à être sodomiser, tout en s’embrassant comme des lesbiennes.
Notre alsacien se remit debout et sans perdre de temps, commença à enculer la dentiste tout en sodomisant Béa de ces doigts, il était le maître de la situation, le maître de leurs plaisirs mêmes si ces coquines se doigtaient mutuellement par en dessous.
Il alterna les anus pendant de très longues minutes faisant monter de plus en plus son plaisir et à plusieurs reprises il sentit les deux femmes avoir un orgasme anal, sa bite était bien au chaud.
Mais il finit par atteindre le point de non retour, il ressortit et les fit tourner sur le bureau avant de se branler furieusement devant leurs visages qu’il remaquilla à l’aide de son foutre bien épais.
A bout de force il s’effondra dans le fauteuil pendant que ces deux cochonnes se léchaient leurs visages pleins de sperme chaud puis elles vinrent le nettoyer, la tête penchée vers le bas et le cul en buse.
Cela avait été une sacrée visite chez la dentiste mais ils prolongèrent la soirée en allant manger ensemble au nouveau poké bar de Courbevoie : le Pokawaï.
C’est au cours du dîner que Béa leurs dit qu’elle avait remarqué quelques chose dans le regard de Manon quand ils en avaient parlés la veille (Cal n’avait donc pas rêver) et donc après que son futur promis s’était endormi shootée par les médocs, elle avait cuisiner le couple de Levallois - Perret jusqu’a découvrir ce qu’il s’était passé dans le relais château de Neuilly-Crimolois (a l’Est de Dijon) lors de cette fameuse convention.
Yaël avait très fortement rougie à ce souvenir où Cal apprit que son ex-femme avait une attirance pour les femmes et les parties fines à 3 ou plus, il la connaissait délurée avant son mariage mais il tombait un peu des nues.
Et donc Béa, forte de ces informations, avait décidé de voir si la dentiste céderait à ces avances, ce qui bien sûr s’était avérée juste puisque sitôt Cal dans les vapes, elles s’étaient embrassées et caressées (la encore Cal n’avait pas rêvée).
Par contre la non plus il ne rêvait pas, les deux femmes avaient retirés leurs chaussures et le branlait sous la table à l’aide de leurs pieds.
Il eut bientôt une trique d’enfer, ce qui décidément inspirer beaucoup sa future femme qui se décida de se lancer dans un jeu du docteur très original :
- Dites moi docteur commença Béa en s’adressant à Yaël, que pensez- vous en tant que médecin de la grosseur dont souffre mon époux, elle empoigna fermement la bosse de Cal sous son pantalon, et cela semble le faire très souffrir.
- Permettez moi chère madame que je fasse une palpation toute professionnelle, lui répondit Yaël tout en palpant à son tour la bosse.
Je suis gêné par toute ces couches de tissus, Monsieur, veuillez svp baissez votre pantalon que je puisse continuer mes manipulations.
Heureusement que la table avait une grande nappe car Cal se retrouva avec le pantalon sur les chevilles et deux femmes qui le branlaient doucement, il tenta de rendre ces soupirs le plus inaudible possible mais elles ne l’aidaient pas franchement.
- Alors docteur, votre diagnostic, demanda ingénument Béa, que pouvez- vous faire ?
- Votre mari souffre d’une érectus maximus, je pense que cela va requérait un stimuli oral.
- Faites donc docteur, tout ce qu’il faut pour sauver mon époux rétorqua Béa devant un Cal quasiment hilare devant son jeu d’actrice.
Yaël regarda si personne ne regardait et directement plongea sous la table où elle prit directement sa queue dans sa bouche chaude.
Elle gonfla la bouche pour bien le sucer, elle salivait énormément pout bien l’humidifier, par contre il allait falloir qu’elle fasse moins de bruit même si personne n’avait encore remarqué leurs manèges à tous les trois.
Les gens croiront que la deuxième femme est partie aux toilettes alors qu’elle faisait une fellation d’enfer à notre ami Cal.
Après quelques minutes d’un traitement divin, elle remonta discrètement pendant que Cal remontait son pantalon.
- Alors docteur, êtes- vous parvenus à extraire le venin prononça Béa toujours à fond dans son rôle.
- Non pas encore madame mais j’ai un traitement que je peux lui administrer tout de suite aux toilettes, si monsieur le veut bien, cela sera rapide je pense, finit - elle en regardant un Cal au bord de l’implosion.
- Si tu penses que c’est la meilleure solution ma chérie, je vais faire cela pour nous mon amour, enchaîna Cal dans un jeu de rôle digne des dramas de la télé, des trémolos dans la voix.
Yaël dirigea alors Cal à l’étage du dessous, où se trouvaient les toilettes.
A peine arrivée, elle releva totalement sa robe, écarta son body où Cal pénétra à fond dans son cul, il dut néanmoins mettre ces mains devant sa bouche pour pas qu’elle crie trop fort.
La scène était si érotique : le miroir lui renvoyant son image en train de sodomiser une rousse qui n’était pas sa future épouse dans les toilettes d’un restaurant alors que n’importe qui pourrait entrer.
Cal ne se fit pas prier, elle voulait un quicky, elle allait l’avoir; il prit énormément d’amplitude pour l’enculer.
Les coups claquaient avec force et pour aller plus loin, il lui avait écarté totalement les jambes et avait carrément penché la tête presque dans le lavabo.
Les claques sonores qu’il lui assénait sur les fesses finirent de l’achever, il lâcha toute sa semence dans son trou du cul pendant qu’elle aussi prenait son pied.
Il ne lui laissa pas le choix, il referma son body devant son anus et remis sa robe avant de l’entraîner hors des toilettes.
Mais désormais habituée de ce genre de bruit, Yaël lui fit comprendre que deux personnes prenaient leurs pieds dans la réserve.
Un peu voyeur, ils ouvrirent légèrement et tombèrent nez à nez avec Béa en train de sucer un des employés qui se retenait au tuyau au dessus de lui tellement la pipe devait être bonne.
Quand elle les vit, elle leur dit de façon tout à fait normal :
- Ah vous êtes là, j’ai promis à Jimmy ici présent une bonne gâterie si il trouvait une solution pour pas qu’on vous dérange pendant que le docteur Yaël t’administrerait ton traitement mon chérie.
- Tu as bien fait ma future femme, Docteur vous devriez l’aider un peu avec votre technique de stimuli oral imparable.
Pour le serveur, c’était Noël en avance car deux belles rousses se partageaient son pénis devant un mari bien consentant.
Il ne tint pas trop longtemps finalement et se déchargea en grosse giclées sur les visages des deux rousses.
Yaël qui apparemment n’en avait jamais assez, lui proposa de les rejoindre après son service et Cal lui dit qu’il allait qu’à aller finir la soirée chez eux.
La nuit fut mémorable notamment pour les deux femmes qui eurent droit chacune leurs tours à une double en bonne et due forme.
Au moment de s’endormir à une heure bien avancée de la nuit, la queue encore fichée dans le cul de sa future femme qui était elle en face de Yaël couchée contre le torse de Jimmy qui avait usé et abusé de ses deux trous bien accueillants, Cal se dit que si son mariage avec Béa devait être souvent comme cela, il était prêt à se marier sur le champ.Merci
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