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Ces âges (26/46) que l'on dit brûlant

Mary et Henri ne se connaissaient pas. Habitants très proches l'un de l'autre. Ils vécurent à du 300 à l'heure. Leur amour était fusionnel. Énormément de personne aurait voulu connaître pareille passion.

Proposée le 7/06/2023 par chtibilout

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Ces âges (26/46) que l’on dit brûlants…

J’aurai beaucoup de plaisir à vous raconter mon histoire…

Je devrais même dire mes histoires…

Je m’appelle Henri Devaux et j’ai 46 ans – Divorcé depuis
11 mois.

Je suis expert-comptable et de ce fait, je suis amené à partir en mission un peu partout dans le pays.

Lors d’une mission, on me demanda si j’avais besoin d’une secrétaire pour dactylographier mes rapports d’expertises.

« C’est une bonne idée. » répondis-je.

« Cela allégera ma facture et je pourrai partir plus tôt. »

Trois minutes plus tard, la secrétaire fit son apparition.

Tudieu qu’elle était jolie

Mignone, petite, mais vraiment ravissante.

« Bonjour Monsieur » me dit-elle avec un large sourire.

« Bonjour Mademoiselle.
Voici le manuscrit de la première partie de mon rapport. »

« Pas Mademoiselle, Madame svp »

« Et bien bonjour Madame » dis-je avec un demi-sourire.

« Depuis mon divorce, c’est Madame … puisque je ne suis plus Mademoiselle »

C’était dit d’une façon très sérieuse.

Ce fut notre premier contact.

Les quelques propos que nous échangeâmes furent anodins.

La secrétaire me demanda mon adresse pour son fichier fournisseurs.

Oui, les experts sont des fournisseurs… de services.

Mary s’exclama :

« Ça alors !

Vous habitez à deux rues de chez moi »

« Le monde est petit, Mademoiselle. pardon, Mary »

Mary enchaîna :

« Pas de mondanités dans notre travail, il n’en sera que plus gai »

« OK, moi c’est Henri »

Nous échangeâmes un large sourire et je poursuivi mes investigations.

Cette interrogation de la part de la secrétaire devait revêtir une très grande importance par la suite…

N’ayant pas terminé mon expertise, je pris rendez-vous pour dans 2 jours…

Au jour dit, la journée se passa sans relever la tête de notre travail.

A part quelque banalités, rien de spécial.

Rien de spécial ? Voire !

Il m’arrivait de reluquer la petite secrétaire toute mignonne dans sa mini (très mini) jupe.

Mes pensées vagabondèrent.

Tiens, c’est vrai ; avant-hier elle portait une jupe longue…

Mon portable sonna et je ne pensai plus à cette jolie (drôlement jolie) femme.

18 heures, tous les employés étaient partis (sauf ma secrétaire)

J’étais en train de terminer la rédaction de ma facture quand le directeur vint me voir.

Nous discutâmes des très petites améliorations souhaitées dans l’organisation du contrôle interne.

« Personnellement Monsieur Devaux, je suis très content de votre audit.

Je vois que la situation est saine et que tout va bien.

Aussi, je désire vous inviter à diner.

Vous aussi Mary – vous l’avez bien mérité.

On m’a rapporté que vous n’hésitiez pas à rester plus tard pour votre travail. »

« Monsieur Devaux, je vois votre facture…

Je vous ai fait un chèque et j’ai arrondi la somme.

Le voici. »

Je lu la somme avec 4 zéros.

« Nous pouvons partir diner. » dit le Dirlo.

Nous enfilâmes nos manteaux et partîmes.

Mary était une convive très agréable.

Je voyais bien que son patron en pinçait pour elle mais Mary ne faisait rien pour l’encourager.

Après un très léger digestif :

Cognac pour le Directeur :

Eau de villée pour la secrétaire et moi.

Nous sortîmes du restaurant.

On se dit au revoir.

Le directeur monta dans sa voiture et démarra en trombes.

Je me dirigeais vers mon auto garée plus loin.

Mary s’apprêtait à se rendre à son arrêt de bus quand elle me dit :

« Excuse-moi Henri,

Comme tu habites à deux rues de chez moi, cela te dérangerait-il de me ramener ?

Un peu surpris, je lui répondis :
« Pas du tout, ce sera avec plaisir »

Elle fut étonnée de me voir lui ouvrir la portière…

« Ce n’est pas mon ex-mari qui aurait eu cette prévenance… »

Je me mis en route

Je constatai alors que Mary avait ouvert son manteau.

Je puis admirer ses cuisses et ses jambes, des jambes extraordinairement bien faites.

J’eus une pensée salace : qu’est-ce que ça doit être bon de se trouver entre ses jambes vous ceinturant le dos.

Nous étions arrivés chez elle.

Je l’aidai à descendre de voiture

Sa mini-jupe ne cachait presque rien de ses jambes. De les revoir fit légèrement enfler ma verge…

Mary me dit :

« Puis-je t’inviter à entrer prendre un verre ?

Ce sera ma façon à moi de te remercier de m’avoir ramené chez moi ? »

« Tu es certaine ?

Tu ne dois pas te sentir obligée… »

Nous étions arrivés devant sa porte, elle me fit un beau sourire en me disant :

« Entre, fais comme chez toi »

Je pensai : - chez moi, je te ferai l’amour illico.

« Installe-toi »

« Je vais préparer les boissons :
Martini on the rock. Ça vous va ? »

« Ce sera parfait pour moi Mary mais plus de vous entre nous, tu peux continuer à me dire tu. »

Mary me tendit mon verre.

Elle allait d’assoir quand elle se mit à pleurer…

Je me levai et lui dit :

« Allons, allons, c’est quoi ce gros chagrin ? »

Elle renifla en me disant entre deux sanglots :

« Quand je te vois si gentil avec moi, je pense à mon mari qui me battait.

A ce monstre qu’il était devenu.

A sa brutalité quand il me faisait l’amour.

Un vrai sale porc !

Je devrais même dire quand il me sautait sans ménagements… »

Ses sanglots reprirent de plus belle et elle vint se loger dans mes bras en mettant sa tête sur mon épaule…

« Ne pleure plus. Je suis là »

Ses yeux de biche plongèrent dans les miens.

Je la serrai plus fort dans mes bras et l’embrassai sur la bouche…

Nos lèvres s’ouvrirent et nos langues se mélangèrent.

Elle embrassait divinement bien.

Sa bouche avait un goût de framboise.

Elle me donnait la trique…

Je sentais mon sexe gonfler contre son abdomen.

Au lieu de s’écarter, elle appuya plus fort son ventre contre le mien

Certainement qu’elle savait qu’elle me comprimait le sexe…

Cette promiscuité m’excitait.

La bandaison papa, ça n’ se commande pas (dixit Brassens)

Le sang affluait plus vire dans ma verge, la faisant encore enfler.

Je me mis à bander plus fort…

Je ne sais pas ce qui me prit de lui dire en la fixant dans ses yeux de velours :

« J’ai envie de toi »

« Moi aussi !»

D’avoir entendu sa réponse me troubla ; J’en eus des sursauts dans la queue.

Je pris Mary par la main et lui dit :

« Viens, conduit-nous à la salle de bain «

Sa main sera plus fort la mienne.

Ses pleurs avaient cessé.

Elle ferma les rideaux de la fenêtre, ouvrit les robinets de la baignoire et me dit :

« On peut se laver ».

Nous nous déshabillâmes et nus tous les deux, nous entrâmes dans le bain.

Je bandais ferme car son corps était une vraie invite à l’amour.

Elle me poussa vers le bas en me disant :

« Assieds-toi. »

J’étais en train de m’assoir quand elle me de dit :

« Et bin dit donc ! En voilà un bel engin ! »

« Ouvre les jambes, je vais m’asseoir.

Fais la petite chaise. »

Elle s’assit entre mes jambes en appuyant son dos contre ma poitrine.

Ce qu’elle compressait surtout, c’était mon érection !

Elle prenait encore un peu plus de volume parce que comprimées par une paire de fesses bien fermes !

Elle me regarda avec un air coquin et me dit :

« Qu’est-ce que je vais me régaler… »

Elle se leva, se tourna vers moi et commença sa toilette vaginale.

Elle n’avait aucune honte ; je pense même qu’elle éprouvait du plaisir à écarter ses cuisses pour y rentrer ses doigts.

Je me relevai et la pris dans mes bras.

Nous nous sommes embrassés plusieurs fois

Son ventre contre le mien m’excitait beaucoup.

Ses mains savonneuses entourèrent mon sexe et elle me dit :

« Laisse-toi faire, c’est moi qui vais te laver »

Ses mains savonneuses commencèrent un très doux va et vient.

Elle me décalotta et fit tourner ses doigts en anneaux autour de mon gland.

Vraiment, ses caresses me chauffaient beaucoup,

Mon excitation avait encore monté d’un cran.

Cela picotait dans ma queue.

Et je reçu de la pomme de douche un jet d’eau glacée sur mon guerrier…

Cela refroidi mes ardeurs

Sa main se referma sur mon membre et elle me dit :
« Maintenant, elle est toute propre.

Je me la réserve pour tout à l’heure… »

Ça promettait – surtout avec une nénette de 26 ans, moi qui en avais 46 !

Elle se revêtit d’un pull-over beaucoup trop grand pour elle.
Il lui descendait à mi-cuisses.

Perso, je restai nu de la regarder si mignonne.

Elle me prit par la main et m’entraîna vers sa chambre.

Mobilier sommaire mais choisi avec goût

Le lit était fort grand.

Je lui dis en riant :

« Eh. On pourrait y courir un cent mètre !

« Tu ne crois pas si bien dire » me dit-elle avec un sourire coquin.

On se coucha.

Elle mit sa tête sur ma poitrine.

« Fais-moi oublier les brutalités de mon ex-mari. »

J’ouvris son pull-over, sa poitrine était magnifique.

Ses seins étaient bien fermes et ses tétons bandaient déjà.

Je les pris tour à tour dans la bouche pour les sucer, les téter, les lécher.

Je les aspiraient en serrant mes lèvres

Mary eut un petit gémissement.

« On voit que tu aimes la Femme avec un grand F »

« Oui, j’aime votre corps.

J’aime vos cuisses qui nous enserrent et nous gardent en vous.

J’aime vos doigts qui nous saoulent de caresses.

J’aime votre langue qui nous titille partout.

J’aime vos lèvres et votre bouche qui nous font tant jouir.

Comme dit la chanson : ‘’ femmes je vous aime’’ »

Elle releva la tête de ma poitrine, plongea son regard dans le mien et me dit :

« Caresse-moi, fais-moi du bien.

Entre tes doigts dans ma chatte. »

« Tes désirs sont des ordres chérie »

« Oui, je veux être ta chérie »

Je la crochetai à vive allure mais tendrement

« Entre plus profond ton doigt ; non, deux doigts
dans ma fente.

Remonte jouer avec mon clitoris. »

Je lui obéi.

Elle avait de petits sursauts très plaisants

Je descendis en la léchant entre les seins, sur le nombril

Puis plus bas sur son sexe.

Mary eut un grand frisson.

« C’est bon ce que tu me fais.

Continue, suce-moi le clito, fais-le jouir par de grands coups de langue.

Tu sans comme il bande ? » »

« Oh Henri je vais partir. Ah Ahhh,

Ça y est.

Je pars, je joui. »

« Remonte m’embrasser ; mes lèvres ont envie des tiennes !

La rusée, je remontais vers ses lèvres quand elle prit ma verge pour se la caler dans le vagin.

« J’en ai envie depuis le jour où je t’ai vu pour la première foi. »

« Vas-y, baise-moi.

Ramone-moi.

Pilonne-moi.

Avec une bite pareille, je vais bientôt jouir une deuxième fois. »

Elle poussait son bassin à la rencontre du mien…

J’étais empalé dans sa chatte et je n’en pouvais plus !

Me retenir de jouir me serait bien vite impossible….

Son vagin m’aspirait ; il avait de grandes contractions.

Très excitantes ces contractions.

Elle me serra plus fort entre ses jambes croisées dans mon dos.

Elle me dit :

« Maintenant, lâche tout.

Crache tout ton foutre.

Emplis-moi de ton sperme, jouis bien à fond. »

Elle précipita plus fort son vagin sur ma queue enflée, et douloureuse de se retenir.

« Mary je vais, je vais jouir, je jouiiiiis

Comme c’est bon.

il y a longtemps qu’une femme ne m’avait fait jouir comme ça ! »

Tes ondulations m’ont fait juter. Je ne pensais pas que ce serait autant et aussi fort. »

« Donne-moi tout, arrose bien ma fleur…

Je sens ton jus tout chaud m’emplir le con. »

Inouï le plaisir que Mary me donnait.

Ses gestes,

Ses paroles érotiques.

Ses mouvements lascifs.

Tout cela avait décuplé ma jouissance.

Comme on dit vulgairement :

« Elle m’a bien vidé les couilles »

Mary remis sa tête sur ma poitrine et me dit :

« Tu étais tellement pris par ta jouissance que tu n’as même pas remarqué que je jouissais en même temps que toi.

« D’ailleurs, tu dois avoir de la cyprine sur ton ventre. »

Avec un Kleenex, elle retira les traces de sa jouissance.

Après une demi-heure de baisers tendres, de mots doux échangés, Mary mis sa tête sur mon ventre,

Elle prit mon sexe dans la main, l’embrassa et l’aspira dans la bouche.

Sa bouche était brûlante.

Mary commença - pour la plus grande joie de mon sexe - une fellation époustouflante.

Sa langue tournait autour de mon gland.

Elle avait des aspirations multiples

Elle décalottait la tête de mon membre.

Il devenait plus rouge sous la pression de ses doigts.

Le genre et le nombre de caresses que Mary me prodiguait était très excitant.

Je sentais des fourmis dans mes testicules.

Je n’allais pas tarder à tout donner…

Ma semence semblait être à l’entrée de mon vit. Il n’attendait plus qu’un geste

Ce geste, Mary me le donna d’une grande aspiration avec sa bouche serrée sur mon gland.

Un grand chatouillement dans mon sexe me prévint que j’allais jouir

Bien serré dans sa bouche, je léchais tout.

Elle avalait mon jus au fur et à mesure qu’il sortait de ma verge.

Pendant ma très forte jouissance, Mary n’arrêta pas

de m’aspirer.

de me sucer,

de me téter

de faire tourner sa langue sur mon méat crachant son foutre.

Elle termina par me lécher comme jamais on ne m’avait léché, sucé.

Elle titilla une dernière fois mon dard.

Dard qui l’avait emmenée au septième ciel.

Dard qu’elle aimait faire jouir.

Dard qu’elle aimait faire juter et tout boire

Dard qu’elle aimait faire glisser dans sa gorge jusqu’à me faire demander grâce.

Dard qu’elle faisait jaillir pour mon plus grand plaisir (et le sien)

Dard qu’elle aimait sucer jusqu’à ce qu’il lui expédie tout.

Jusqu’à ce qu’elle ait bu tout mon foutre, tout mon jus…

Ses savants attouchements savaient comment faire jouir son partenaire

Savaient comment lui faire cracher sa semence, son onctuosité…

Je senti qu’elle aimait avaler mon sperme… Jusqu’à la dernière goute…

Blottis dans les bras l’un l’autre, nous sombrâmes dans le sommeil.

On s’endormit paisiblement.

* * *

Deux mois passés, après plus de cent jouissances non-stop, Henri épousa Mary.

Leur voyage de noces les vit pratiquement revenir à quatre pattes.

Le premier jour de la reprise du travail, il y eut un hold-up à la banque.

Mary fut tuée dans l’échange des coups de feu entre les malfrats et le personnel de sécurité.

L’analyse balistique prouva que l’arme meurtrière appartenait aux gangsters.

On les retrouva à la frontière après un banal contrôle de routine

Ils écopèrent de 20 ans mais cela ne fit pas revenir Mary.

Henri ne s’en remis jamais.

Il mourut de chagrin l’année suivante.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
très joli rcit ien écrit une fin un peu tragique (mais c est la vie ) la vie n est pas toujours rose merci
Posté le 7/06/2023


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