Après le BBQ la séance de slow échauffe les sensations et les envies se font ressentir un peu plus, nous nous retrouvons après la dance dans l'habitation de nos amis pour un moments chaud.
Proposée le 17/05/2023 par Rackham
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Nous nous embrassons sur la joue, son petit nez mutin frôle ma pommette, sa joue touche la mienne, sa peau est douce et sens si bon, je ne définis pas son parfum d'agrumes mais léger, elle le porte très bien. Je pose délicatement mes doigts sur son bras, le grain de sa peau est si délicat, se contact m'électrise.
J'ai toute les peines du monde à décrocher mon regard du sien, à un point telle que Christophe et Marylène me rappel à l'ordre en disant "Hé Stef, tu ne nous laisses dire bonjour aussi!" Baf, je dois me piquer un far, que si des voitures avaient pu emprunter la rue elles se seraient arrêtée croyant à un feu de circulation.
Christophe et Marylène se présentent à Judith (quel joli prénom) non sans nous rappeler (sur le ton de la rigolade cela va de soi) que nous étions des "invités au quartier". Je prends mon courage à deux mains et je dis à Judith en lui présentant mon bras, "viens puisque nous ne sommes que des invités, nous allons tenter de nous fondre ensemble dans la masse". Clin d'œil à Christophe.
Le contact de son bras avec le mien me donne des sensations de picotements qui parcours mon épiderme tout le long de mon bras, dans mon dos et remonte ma colonne, j'en ai la chair de poule, pourvu qu'elle ne le ressente pas, elle pourrait mal interpréter cette réaction épidermique.
Nous nous dirigeons vers la série de tonnelles installées pour palier à un risque d'averse, mais la météo devrait être de notre côté.
Nous nous installâmes ensemble, Judith à côté de moi, Chantal à son côté, Marylène en face de Judith et Christophe de moi.
J'étais aux "petits oignons" pour Judith, un peu trop peut-être, cela se remarquais, plus d'une fois Christophe m'a lancé un coup de pied sous la table, j'ai même "capté" un regard de Marylène plein de sous-entendu qui semblait dire " vas-y tu lui plais", le seul problème c'est que je suis d'une timidité maladive et j'ai beaucoup de mal à me lancer.
D'un coup après les différents passages au BBQ, au buffet de salade, J-M le disc-jockey monte le son et nous mais les habituelles danse qui font bouger les gens, je n'aime pas trop car je danse comme si mes pieds étaient dans la même chaussure, Judith me prends par la main pour m'entrainer, à contre cœur car cela ne va pas plaider en ma faveur je la suis, emboitant le pas à toute la smalah des voisins (une chance pour que je passe inaperçu, mais pas aux yeux de Judith ?).
Après le disco, viens la série de slows (j'aime mieux mais …), je me tourne vers Judith me penche à son oreille pour lui demander si elle accepte de danser avec moi, je me recule, son regard s'illumine et son sourire ne peux pas s'agrandir plus, cela me touche. Pour toute réponse, je n'ai que … ses bras autour de mon cou et son corps qui s'approche du mien à nous effleurer.
J-M est cool, il a mis une longue série, évidemment ce sont tous des couples qui habitent le quartier. Seul Chantal est restée assise, mais Christophe l'invite pour une danse (merci mon pote je n'aurai pour rien changer ma place).
Les slows se succèdent et nos corps se rapprochent de plus en plus, je dis à Judith combien il m'est agréable de passer la soirée en sa compagnie, que j'ai bien de la chance que Chantal l'ai invitée et que mon ami Christophe ai fait de même avec moi, en fait je les soupçonne d'avoir quelque peu manigancé notre rencontre, personnellement je ne leurs en voudrait pas, nous mettrons cela sur le coup du hasard, (pas si hasard que ça). Que j'apprécie beaucoup son parfum, mais pas besoin de beaucoup discuter, la suavité de sa dance éveille en moi des sensations qui me sont très difficile de cacher.
Le mouvement languissant de nos corps l'un contre l'autre échauffe mes sens, me met dans un état d'excitation que Judith ne peut et apparemment ne veux pas ignorer car elle presse son anatomie de plus en plus contre la mienne, sa cuisse s'insinue entre les miennes et mon membre en érection est enserrer entre nous. Le mouvement chaloupé de son bassin est d'une douceur et d'une précision extrême.
Sa poitrine ferme pressée par ses bras autour de mon cou et les miens enlaçant sa taille et ses épaules.
Sa tête est posée sur le haut de ma poitrine, ses cheveux caressent mon cou. Au vu du balancement de ses hanches elle doit apprécier cet hommage silencieux que je fais à sa personne, s'il en avait été autrement elle serait déjà partie ou m'aurai administré une gifle devant tout le monde.
La série de slows se termine à regret (à tout le moins pour nous), je la remercie d'un baiser sur la joue, quelques cheveux échappés du chignon se colle à moi par la transpiration et veulent me retenir, nous rejoignons nos places. Sans nous concerter, en nous asseyant nous rapprochons nos chaises, personne n'a rien remarqué (l'espoir fait vivre), tout comme notre séance de slow qui n'a échappé à personne non plus sauf s'ils étaient tous trop occupé de leurs côtés.
Nos cuisses entre fortuitement en contact, vous ne croyez pas celle-là non plus!!!
Christophe me demande un coup de main pour aller vider les BBQ et étaler les braises sur une zone de terre qu'ils ont aménagée pour les faire refroidir, à regret je m'éloigne de Judith.
Au retour vers ma place, Chantal, chargée d'un gâteau pour le dessert, m'apostrophe en chemin et me demande d'aller chercher chez elle des serviettes qu'elle a oublié de prendre, elle me précise que les portes sont ouvertes et m'explique où je peux les trouver.
Je me dirige vers l'habitation, monte à l'étage, rentre dans le logement, trouve la cuisine, trifouille dans l'armoire, trouve les serviettes en papier, j’éteins m'apprête à sortir de l'appartement, j'entends un bruit d'eau qui coule, je me dirige vers l'endroit d'où cela provient sait-on jamais un robinet mal fermé, une lumière filtre sous une porte, j'ouvre et tombe nez à nez avec Judith, elle pousse un cri strident d'un bond je suis contre elle, plaque ma main sur sa bouche.
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