On joue ou…

Ca fait un moment que nous échangeons nos envies coquines par texto ou plutôt par sexto. Après quelques temps sans échange, la flamme se ravive très vite, tellement vite qu’il nous faut nous voir physiquement.

Proposée le 9/05/2023 par Marcialus

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Cela fait un peu plus de deux ans que nous ne nous étions pas vus. Mais il a fallu d’un « bonjour, ça va? » pour raviver une tension.

Nos derniers échanges étaient constitués de sextos très chauds et la reprise de nos conversations allaient reprendre la même tournure. Jusqu’à ce que nous décidions de nous voir physiquement cette fois ci et de mettre en pratique quelques idées que nous avions eues.

Elle décide de m’accueillir chez elle.
Le temps de faire la route et d’arriver, me voilà fébrile, le doigt tremblant mais décidé à appuyer sur la sonnette.
Ding dong, en moins de dix secondes, qui m’ont paru bien plus longues, la porte s’ouvre. Je la découvre, magnifique. Une jolie brune, bien en forme m’accueillant en t shirt moulant et en culotte. La couleur est annoncée. Je passe le pas de la porte, referme la porte derrière moi.

Je saisis sa joue et attire sa bouche vers la mienne pour partager un succulent baiser langoureux.
Il faisait très chaud dans mon slip depuis que nous avions repris contact mais la température vient d’augmenter.
Elle saisit ma main et me dirige vers sa chambre. J’y découvre, dans une lumière tamisée par quelques bougies disposées en quelques endroits stratégiques, un bureau et une chaise, un placard, un grand lit deux places et deux tables de chevet.

Elle me regarde droit dans les yeux et me demande si je veux la prendre sauvagement maintenant sur le champ ou si je veux jouer un peu avant.
La température se rapproche sérieusement du métal en fusion.
En 3 microsecondes, des milliers d’images défilent dans mon crâne. La prendre sauvagement comme un porc jusqu’à pu soif dans tous les sens, dans toutes les positions, dans toutes les pièces de son appartement et par tous les trous jusqu’à ce que ça ne soit plus possible humainement et physiquement. Entre les deux propositions, le choix semble cornélien mais en fait non. Jouer avec ses nerfs, elle avec les miens. Chercher les points de frustration fleuretant avec la folie
J’aime jouer, lui répondis-je.
Je vois ses yeux frétiller.

Elle ouvre l’un des tiroirs de sa table de chevet et me regarde d’un air très malicieux. Je pose mes yeux sur le contenu de ce tiroir et j’y découvre plusieurs objets non destinés au moins de 18 ans. Un gode fuchsia, un autre plus petit et rose, 2 plugs bijoux en métal brillant. L’un serti d’un strass rond rose et l’autre serti d’un strass coeur bleu. Rien que ça.

Je plonge ma main et saisi le bijou bleu ainsi que le tube de lubrifiant. Je conduis ma belle vers son bureau et la positionne dos à moi. Je m’assois sur la chaise et lui fait comprendre de se cambrer en plaçant une de mes mains sur le bas du dos. La vue sur son cul me met dans une extase. La température à l’intérieur de mon slip vient de frôler la température de l’intérieur d’un volcan prêt à exploser.

Je dépose ma bouche sur l’une des deux parties les plus charnues de son anatomie, la fesse droite et lui lèche le contour de sa culotte. Je sens sous ma langue les frissons parcourir sa peau. Je coince l’ensemble de sa culotte dans sa raie afin d’en faire un string et ainsi dessiner un nouveau parcours avec ma langue.

J’écarte le tout afin d’avoir accès à de nouvelles contrées. Je dépose ma langue sur son anus pour l’humidifier avant d’y glisser mon pouce. Ma langue, elle, va poursuivre son travail en faisant de va et viens du clitoris jusqu’à la base de son petit trou. Une fois que je sens que le pouce a bien fait son travail, je laisse mon index et mon majeur prendre le relais, ma bouche toujours occupée au même endroit.

Pendant que les doigts de ma main gauche sont occupés entre ses fesses, ma main droite se desserre pour libérer le plug. Ma bouche arrête son travail de léchage et de succion. Le pouce, l’index et le majeur le saisissent par le strass et pose la pointe sur le centre de la fesse droite et le fais glisser le long du corps jusqu’à la bouche. J’exerce une pression entre les lèvres pour l’insérer et le lui faire lécher. Je le retire de sa cavité buccale, l’enduit de gel lubrifiant et hop direction le petit trou sur lequel je crache au préalable. Je présente le plug qui s’enfonce sans trop d’insistance. Je l’entends soupirer.

J’enlève sa culotte, me déshabille, et vais chercher dans le tiroir le gode fuchsia. Je lui saisis à nouveau la main et la dirige vers moi. Je m’allonge sur le lit et lui demande de se mettre au dessus de moi en sens inverse son bassin au dessus de mon visage. La vue sur mon gland bien dressé et bien gonflé ne demande qu’à ce que sa bouche vienne le happer, ce qu’elle fit. La sensation de bouche chaude et humide est exquis et j’avoue qu’elle s’y prend bien. Je sens sa langue tourner autour bien comme il faut. J’insère alors le gode dans son sexe extrêmement humide et commence des vas et viens. Je sens sa bouche faire des mouvements plus énergiques et plus excités. Je ressens aussi les vibrations de ses cordes vocales sur le bout de mon sexe à chaque petites expressions sonores libérées. La goder pendant qu’elle me suce est assez jouissif et le volcan qui se trouve entre mes jambes est prêt à exploser. Mais pour l’instant, c’est son entrejambe que je sens tressauter. Elle libère mon sexe et tente de reprendre sa respiration. Elle tente de me lécher les boules tout en me masturbant.

Je me retire de sous son corps et lui attrape les hanches. Je présente mon sexe à l’entrée de son sexe et commence à la pénétrer. Je ne vais forcément y aller molo. Je suis en ébullition. Et franchement, la voir camper dans cette position avec ce strass placé à cet endroit très stratégique et plus que motivant. Entendre mes reins claquer sur ses fesses sans compter ma main qui gifle de temps en temps ce cul magnifique, ne laisse présager le peu de calme qui règne dans ce lit. Et étant donné les bruits qui sortent de sa bouche, je ne me trompe pas. Je sens son sexe à nouveau vibrer de manière complètement désordonnée.

Mes mains glissent sous son t-shirt, viennent saisir ses seins dont les tétons se logent dans le creux de mes paumes. Je la relève pour l’asseoir sur moi afin qu’elle me sente au plus profond d’elle. Après quelques instants je la bascule à nouveau en avant, pose ma main sur l’une des ses épaules afin qu’elle soit cambrée un maximum. Je retire délicatement le plug pour ne pas la blesser et vais remplacer ce bijou par mon gland qui n’éprouvera aucun difficulté à le substituer. Et dans ce petit trou devenu très accueillant, je vais faire le même geste un long moment. Introduire le bout de mon sexe et le retirer, l’introduire et le retirer, l’introduire et le retirer, l’introduire à nouveau puis le retirer jusqu’à ce que la lave sortir en un jet puissant et saccadé pour finir par quelques introductions et retraits avec mon sperme en guise d’ultime lubrifiant.

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