Le réveil d'un autiste- 23. Les stagiaires

Narcisse doit assurer avec ses stagiaires. Ils (elles) découvrent que la réputation de ce jeune poney est amplement méritée. Que ce soit pour sa résistance, sa vigueur sexuelle ou l'incroyable engin toujours prêt à honorer ses fans de toutes les manières possibles et imaginables.

Proposée le 3/05/2023 par mlkjhg39

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme

Un gîte renommé.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Les stagiaires : Gérard, Virginie et Kenza.

Les stagiaires de Narcisse.

-D’abord je rebande et ensuite on verra.

Et de nouveau, une érection pleine et entière érige dans le jacuzzi une colonne de chair que la diffraction de l’eau fait paraître encore plus monstrueuse. Les filles sont ravies et se battent presque à celle qui tiendra dans sa main le plus possible de ce chibre tordu. Il les laisse faire un bon quart-d ’heure comme si ce qui se passait sous la ceinture ne le concernait pas puis il s’assoie sur la margelle ce qui fait pointer vers le plafond ce jonc toujours aussi vigoureux. Elles recommencent leur manège mais il me fait un clin d’œil, m’invitant d’un mouvement de tête à venir participer.

Suite :
Je dois dire que ça faisait un bon moment que je réfrénais mes bas instincts. J’aime les femmes mais ne dis jamais non à sucer une belle queue, et là, j’ai devant mes yeux un met royal. Je me rapproche donc, me positionnant entre Kenza et Virginie et pose ma main droite sur cette verge déjà en partie cachée par leurs petites menottes. J’ai pourtant largement de quoi faire avec ce qu’elles m’ont laissé. J’ai déjà tenu pas mal de verges, mais rarement une teub aussi massive. Je commence lentement à branler cette superbe bite, pendant que ses mains se posent chacune sur un sein qu'il commence allégrement à malaxer pour le plus grand plaisir des filles.
Pendant une vingtaine de minute, nous nous escrimons tous les trois sur cette cheville, trois bouches et six mains sucent et pétrissent son braquemard et ses couilles dodues. J’adore faire des « gorge-profonde » mais avec lui, j’y arrive tout juste, je n’ai jamais vécu ça ! Il exhibe une queue triomphale que je lèche, mordille, couvre de baisers, puis que je m'empresse d'engloutir, après quelques coups de langue sur son gros gland violacé. Il décide alors d’accélérer les choses. Il est direct, dominant, peut-être par son autisme ?
-Bien, le temps passe. Qui veut me chevaucher ?

Sans répondre, Kenza se redresse et le chevauche en amazone. Je me retrouve donc seul et me positionne à côté de lui mais je n’ai pas le même spécimen de teub. Narcisse d'un côté avec les muscles saillants, le torse puissant, sa belle queue épaisse et ses magnifiques couilles qui n'ont pas encore craché tout leur jus, et moi de l'autre avec ma petite bite. Kenza et Virginie décident de prendre en même temps dans leurs chattes nos chibres.
Celui de Narcisse avec ses proportions gigantesques oblige notre amie à une drôle de gymnastique pour se ménager, elle est dans un état qui lui ferait faire n'importe quoi mais pour elle, elle sait déjà de quoi il est capable. Virginie m'essore littéralement la queue. J’apprécie, souriant de bonheur. Je ne peux résister et crache mon jus, je sais qu'elle adore ça. Et que dire de Narcisse qui n'en a pas encore fini, il a une sacrée résistance, le gamin !

Virginie me quitte et se penche en avant, les mains posées sur la margelle du jacuzzi, offrant sa croupe et les belles rondeurs de ses fesses au regard du jeune mâle. Elle le drague grave.
- Eh bien, tu sais t’y prendre toi... Tu veux découvrir ma grotte ? Elle n’attend que toi et Gérard l’a bien lubrifiée.
-Je vois que tu ne m'as pas attendu, lui répond-t-il. Tu as envie de te faire baiser comme elle ?
Narcisse force Kenza à libérer son soc, il se lève, bite au vent et avec un naturel surprenant va pour prendre ma femme et se place derrière elle, lui bécote le cou sous ses rires, bien consciente de ce qui l’attend. Narcisse a dû décider que Kenza avait sa dose pour le moment. Virginie se laisse faire
- Tu es prête ?

Elle hoche la tête, le corps outrageusement cambré, laissant son joli cul bien rond offert sans défense. Kenza en profite pour lui embrasser les seins, ses lèvres glissent délicatement sur la peau de Virginie, sa langue toute baveuse sort de sa petite bouche pour titiller un téton, s'emparant totalement du centre du sein offert avec sa bouche pour le sucer voracement, comblant de plaisir ma compagne qui s'en mordille les lèvres.
Mais Narcisse, ses mains en appui sur le délicat postérieur, ne s’occupe pas de ce qui se passe du côté face, se préoccupant que du côté pile. Avec un visible effort et une remarquable lenteur pour ne rien abimer tant est encore serrée la moule de ma femme après mon alésage, il la tient par les hanches, elle ne peut retenir une grimace mais ne se plaint pas. Au contraire, elle exulte. Si elle éprouve de la douleur, de toute évidence, elle doit s’estomper vite. Son visage resplendit, irradiant de bonheur, comme apaisé. Maintenant un sourire béat s’épanouit sur ses lèvres maquillées de rouge et elle jubile comme une ado qui vient de se faire dépuceler.
-Oh mon Dieu, oh mon Dieu ! Je n’ai jamais connu ça ! Ne te fâche-pas Hervé, mais tu ne fais pas le poids à côté de lui, jamais mon minou n’a connu un tel gourdin. Ça c’est de la queue !

Et n’y tenant plus, elle projette son cul pour s’empaler le plus loin possible sur le membre turgescent. Narcisse balance quelques coups de reins si profonds que Virginie se dégage de son étreinte comme si elle avait pris une décharge électrique.
Mais elle-même en redemande aussitôt, car elle représente son sexe humide devant le braquemard qui n’aspire qu’à se mettre au chaud dans sa grotte de nouveau offerte. Cette fois-ci, il prend tout son temps pour faire coulisser son chibre à l’intérieur de l’intimité de ma femme. Sa chatte étroite et musclée accompagne maintenant à merveille le mouvement de ses coups de reins, gardant un contrôle total sur sa pénétration. Virginie râle, serrant une fesse de son amant de la main droite en le poussant vers elle, comme pour sentir encore plus profondément ce piston hors catégorie. Ce traitement lui procure plusieurs orgasmes sans pour autant que Narcisse ne faiblisse. Il a de la résistance le petit…
-Allons à côté pour la suite, suivez le guide.

Sans tenir compte des récriminations de Virginie, il se dirige vers une pièce où trône une sorte de matelas rond de grande taille. Il se couche dessus, en appui sur ses coudes et nous regarde avant de nous annoncer :
-Vous avez encore une heure, je ferai tout ce que vous désirerez si ce n’est pas trop extravaguant et dans le domaine du possible, je tiendrai jusqu’à ce que vous me demandiez de jouir, ce sera la dernière fois avec vous avant que je retourne faire mon choix à la piscine.

Il ne doute vraiment de rien, il ne connait pas mes deux folles, et si c’est comme ça, je vais en profiter aussi. Elles aiment bien me voir sodomisé par des amants de passage et je dois dire qu’une expérience avec un tel étalon me tarabuste depuis un moment.
Pendant bien vingt minutes, nous nous escrimons à tour de rôle sur son soc sans une seule fois le voir baisser pavillon. Deux chattes et trois bouches s’activent sur son sabre toujours aussi aiguisé. J’aime l’irumation mais les va et vient d’un tel gourdin dans ma bouche, ce n’est pas à la portée du commun des mortels et je manque plusieurs fois de rendre mon repas quand son zob dépasse ma glotte pour explorer ma trachée.
Nous voulons finir en apothéose par une sodomie en règle, Kenza et Virginie passent évidement les premières.
Kenza commence, ses mains posées sur le torse de narcisse aux muscles proéminents, elle est allongée sur le corps musclé de son amant, ses ongles s’enfoncent légèrement dans sa chair. Je suis face à la bite que je partage avec Virginie, on se la passe de bouche en bouche et en profitant pour s’embrasser quand soudain elle s’énerve.
- Vas-y, bourre-moi. Puisque c'est ce que tu veux !

Elle se redresse au milieu de nous, comme excitée à la vue du gigantesque engin qui va lui forcer son trou du cul. Narcisse se met à genoux, passe son bras sur le ventre de Kenza et l’attire à lui. Elle se laisse faire et s’installe, sentant le défonce-cul entre ses fesses. Les mains de Narcisse se placent de part et d’autre et écarte doucement les globes charnus pour que l’œillet brun et fripé devienne le point de mire en accès libre et l’objet de ses convoitises.

A suivre : Les stagiaires de Narcisse.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email