Le réveil d'un autiste- 22. Les stagiaires.

Narcisse fait maintenant des stages d'informatique en présentiel, mais certain(e)s stagiaires ne se contentent pas de manœuvrer la souris, mais plutôt un autre animal, le bélier. Et ce bélier peut s'égarer ailleurs que dans leurs mains.

Proposée le 3/05/2023 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme

Un gîte renommé.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Les stagiaires : Gérard, Virginie et Kenza.

Les stagiaires de Narcisse.

Je m’appelle Gérard, le mari de Virginie. Nous sommes assez ouverts, question sexe et partageons parfois nos ébats avec Kenza, la meilleure amie de ma femme. Elle sert aussi de rabatteuse et nous trouve parfois des partenaires hors-pair, je ne sais pas comment elle fait.
Pourquoi j’accepte de n’être souvent que le mari passif qui regarde sa moitié se faire troncher par d’autres hommes ? Parce que la nature ne m’a pas bien doté et mes douze centimètres ne rassasient pas suffisamment Virginie. Ce n'est pas que ce soit une folle de sexe mais elle aime quand même bien ça et malgré qu'elle ne veuille pas me décevoir, je sais très bien que je ne la satisfais pas comme elle le voudrait.
Kenza vient de nous rendre visite comme d'habitude et commente sa nouvelle découverte.
-J'ai découvert un sacré étalon, et en plus il habite pas très loin de chez nous. Un bruit court depuis quelques temps parmi notre réseau du sexe de la découverte d'un véritable phénomène, mais comme souvent, il y a toujours un hic. Déjà pour pouvoir le rencontrer, il faut participer à un stage informatique où il donne des cours pour permettre aux néophytes ou plus de mieux pouvoir se servir d'un ordinateur et de permettre d’exploiter toutes les possibilités que l'on peut faire avec.

Je me suis donc inscrite à ce stage et j'ai découvert que ce celui qui donne les cours est un jeune homme qui n'a même pas vingt ans. Son comportement m’a paru un peu bizarre mais j'ai su plus tard que c'est un garçon autiste. Et c'est là que la sélection commence.
Il n'accepte jamais plus de dix à douze personnes par cession et en grande majorité, ce ne sont que des femmes qui comme moi veulent tenter leur chance, c’est à celle qui a le plus petit mini-short ou la jupe la plus courte, aucune n’est en pantalon.
Il passe entre nous pour nous prodiguer des conseils, corriger nos erreurs, et faire sa première sélection. Il nous prévient dès le début qu'il n'aime pas être touché, même pas par une poignée de main pour nous accueillir. Quand il se penche sur une fille et lui met une main sur l'épaule, cela veut dire qu'elle aura peut-être une chance, pour les autres, c’est cuit. Je ne sais pas si je ne me fais pas un film, mais je me demande si tel un étalon en rut, il détecte les femelles en chaleur rien qu’à leurs phéromones.
Ce premier obstacle franchi, la deuxième sélection a lieu après 22h00 à la piscine où d'autres filles et des couples qui n'ont pas participé au stage sont quand même acceptés car
à partir de cette heure-là, la piscine est réservée seulement à ceux et celles qui acceptent de se baigner dans le plus simple appareil et peuvent être ainsi autour du bassin.
Quand Narcisse fait son apparition, je me suis tout de suite rendu compte que ce qui pend entre ses cuisses a déjà une très belle proportion. Mais le plus rigolo et le plus extraordinaire est que c'est cet instrument qui fait lui-même la seconde sélection.
Narcisse déambule autour de la piscine et s'arrête devant chaque fille en croisant les bras sur sa poitrine. Il a un corps musclé, des abdos bien dessinés, mais c'est ce qui se passe juste en dessous que toutes et tous redoutent. Sans même se toucher, quand il trouve une fille à son goût, une croissance exponentielle fait de cette chose flasque qui pend entre ses jambes la plus belle bite qu'il m'ait été donné de voir. Déjà l'érection de cette verge dépasse l'imagination, prenant alors des proportions qui dépassent l'entendement. Je ne savais pas qu’un pénis pouvait s'allonger autant. Ce qui m'étonne beaucoup aussi, c'est la courbure que prend ce chibre qui défie la gravité en montant si haut que le gland touche pratiquement son bas ventre. Vous me direz, rien d'exceptionnel à cela, il n'est pas le seul à réussir une telle prouesse… Mais il lui suffit de se déplacer de quelques mètres pour voir décroître aussi rapidement qu'il s'était gorgé de sang son engin si la fille suivante ne lui plait pas. La chose se reproduit à chaque fois qu’il « sélectionne » une autre personne.

Une petite information que je ne vous ai pas précisée aussi avant, c'est qu'il est demandé aux personnes sachant à quoi elles risquent de s'exposer en s’inscrivant à cette formation d'aller à un laboratoire ou mieux, d’aller à la pharmacie du village pour passer un test anti-COVID par une préparatrice prénommée Lou qui en profite aussi pour faire des tests pour détecter les maladies vénériennes. Si tout est OK, elles auront la possibilité plus tard de coïter avec Narcisse sans utiliser de préservatif si elles le désirent.
Je pourrais vous en dire plus mais ça gâcherait le plaisir de la découverte, à savoir qu’il sélectionne deux filles à la fois avant de s'éloigner et de ne revenir qu'une heure plus tard avec des filles comblées qui se déplacent parfois avec une démarche de canard, les jambes écartées. Il recommence dans la soirée deux ou trois fois ce manège. J'ai d'ailleurs été dans la troisième fournée à mon grand soulagement, quand même un peu déçue, craignant de devoir me contenter des restes qu’auront bien voulu laisser ses partenaires précédentes.
Mais c'est comme si rien ne s'était passé pour lui. Il nous a prises à tour de rôle, nous faisant nous pâmer de plaisir jusqu'à ce que nous n'en puissions plus.

Après un tel éloge, Virginie et moi sommes partants pour tenter l'aventure. Nous nous inscrivons donc à ce stage et passons la première épreuve avec succès, Narcisse s’est mis derrière nous et a posé ses mains sur nos épaules.
Nous nous retrouvons donc dans la soirée autour de la piscine avec Kenza qui nous accompagne, attendant l'apparition de Narcisse. Kenza ne nous a pas trompé car quand Narcisse fait son apparition, j’admire ce corps d'athlète bien proportionné, musclé ni trop ni trop peu et quand il s'arrête devant nous, nous assistons à la rapide croissance de son sexe qui se gorge de sang et s’allonge tout en se redressant pour finir par devenir une énorme teub fortement recourbée vers le haut. Il me foutait déjà la honte au début car sa verge ou repos était déjà plus massive que la mienne en pleine érection. Mais là, nous avons sous les yeux une tige pharaonique, un véritable démonte-pneu !
Nous sommes donc les trois à le suivre, Kenza, ma femme et moi et il nous guide dans le sauna. Il s’assoie sur un banc en face de moi et bien sûr les deux filles se postent de chaque côté de lui, posant chacune une main sur ses cuisses. Elles ont à peine frôlé son entrejambe que sa bite se met à croître à nouveau. Elles ne peuvent résister à la tentation et les mains quittent les cuisses de Narcisse pour se saisir avec avidité de cette colonne de chair tordue. Les mains s'activent sur cet obélisque qui est si massif que leurs doigts ne peuvent en faire le tour. Je bande moi aussi sous le regard de Narcisse, il pourrait se moquer de moi et de ma petite queue mais il n'en est rien.
Quand elles se mettent à deux pour me faire une telle gâterie, je ne tiens pas plus de deux à trois minutes avant de me vider les couilles. Mais là ça fait bien vingt minutes qu’elles s’escriment à quatre mains et deux bouches avides sur sa poutre sans pour autant réussir à le faire cracher. Il leur repose alors une question :
-Que désirez-vous les filles ? Si vous le voulez, je peux jouir dans la minute mais il faut me dire avant ce que vous désirez, me prendre en bouche pour boire mon jus ou que je vous crépisse de mon sperme.
Il ne se mouche pas du pied et prend ses désirs pour une réalité. Je n'ai jamais vu un homme décidé s'il allait jouir ou non, quand on atteint le point de non-retour on n'a pas d'autre solution que de lâcher sa semence. Il ne peut pas décider quand même quand bon lui semble d'arriver à l'orgasme ?!
-Je veux te voir cracher, hein Kenza ? Elle m’a dit que tu es une vraie fontaine à foutre.
- Bien, alors mettez-vous à genoux devant moi mais ne gâchez pas la vue à Gérard, c’est bien ça ? Ordonne Narcisse en me regardant.

J’opine de la tête, il y a déjà longtemps que j’ai lancé ma gourme et que mon sperme a englué mes doigts. Soudain Narcisse grogne, « lâchez-tout, les filles »
Elles obéissent à regret et la lance à foutre monte et baisse comme animée d’une vie propre. Une goutte de pré-sperme coule du méat suivie quelques secondes plus tard d’un monstrueux jet de sperme si puissant que, bien que je sois à plus d’un mètre de lui, il retombe en grosses gouttes qui me maculent le bas-ventre. Putain ! Mais c’est qui ce mec ? Je n’ai vu ça que sur le net, une vidéo amateur intitulée : « Belles éjaculations au ralenti »
Il se saisit maintenant de sa verge pour la diriger alternativement sur Kenza et Virginie, les crépissant chacune d’une semence épaisse et visqueuse.
Nous le suivons maintenant au jacuzzi et la même scène recommence, je suis en face de lui et il est cerné par les filles. Il leur pose une question.
-On recommence ? C’est quand vous voulez.
-Bien sûr, que nous proposes-tu, bel étalon ? L’interroge Kenza.
-D’abord je rebande et ensuite on verra.

Et de nouveau, une érection pleine et entière érige dans le jacuzzi une colonne de chair que la diffraction de l’eau fait paraître encore plus monstrueuse. Les filles sont ravies et se battent presque à celle qui tiendra dans sa main le plus possible de ce chibre tordu. Il les laisse faire un bon quart-d ’heure comme si ce qui se passait sous la ceinture ne le concernait pas puis il s’assoie sur la margelle ce qui fait pointer vers le plafond ce jonc toujours aussi vigoureux. Elles recommencent leur manège mais il me fait un clin d’œil, m’invitant d’un mouvement de tête à venir participer.

A suivre : Les stagiaires de Narcisse.

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