Chronique des îles (Matilde et les hommes)

Loin des grandes métropoles, loin des hivers froids et rugueux nous avons pour quelques uns d’entre nous grandis sur ces îles tropicales aux eaux turquoises, bordées de cocotiers; Nous appelons ces endroits nos petits paradis sur terre. C’est sur une des ces îles que j’ai rencontré Matilde.

Proposée le 25/04/2023 par Alexandra

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Fantasme

Chronique des îles
( Matilde et les hommes)



Nous n’échappions pas aux prémices de l’amour, à la découverte de notre sensualité. Même loin de tout, isolés comme nous l’étions sur notre petite île tropicale, notre « petit paradis » comme nous aimions tous la nommée.

Nous étions une poignée de jeunes, des gars des filles, tous dans la vingtaine. Nous aimions profiter de ce que la vie nous offrait de meilleur.

Il y eu d’abord les rencontres sur des plages de sables blancs où nous avions plaisir à nous baigner à moitié nus, laissant le soleil caresser la peau bronzé de nos corps. Nous étions jeunes mais déjà la nudité des corps des autres exerçait de réels plaisirs sur nous tous. Il y avait toujours d’autres gars puis des filles aussi. Nous aimions nous retrouver tous les weekends au bout de la plage. Un peu à l’écart des touristes venus de tous les coins de la planète. C’était un véritable plaisir de retirer tous nos vêtements et plonger dans la mer chaude.

C’était aussi l’occasion de découvrir le corps des autres. Nous nous observions. Parfois nos corps se frôlaient. Les sensations étaient vives et je voyais bien que certains d’entre nous étaient excités. Je sentais parfois le sexe d’un autre homme contre mes cuisses, la pointe des seins fermes des jeunes femmes glisser sur la peau de mon dos. Nous étions « cool »comme si nous avions apprivoisés la nudité, mais en réalité, les femmes rêvaient aux hommes et les hommes bandaient à la vue des ces beaux corps nus des jeunes femmes. Les hommes se gardaient bien de montrer leur érection en se tenant sous l’eau jusqu’à la taille.

Mais d’autres plaisirs insoupçonnés se profilaient avec le temps.

Ainsi, un bel après midi lors d’une de nos rencontres, mon ami Georges sortit soudainement de l’eau et couru vers les dunes de sable. Son corps nu attira les regards de tous et provoqua en moi de petits frissons. Je le vis de dos, nu, courir et disparaître derrière la dune.

Je décidais de le rejoindre pour voir ce qui se passait. Je couru derrière lui pour le rejoindre. Et là, étendu sur le sable, je me rendis compte qu’il s’était brusquement retiré, gêné sans doute par l’érection qu’il arborait. Cela ne fit qu’attiser le désir qui parcourait mon corps tout entier. Il avait fermé les yeux et j’en profitais pour admirer son jeune corps nu. Son érection majestueuse trônait au bas de son ventre et mon regard se posa sur l’organe.

Quelle beauté! Que ce soit le corps d’une femme ou celui d’un homme, j’avais toujours éprouvé une attirance, une excitation. Le désir de les caresser s’emparait de tout mon être et j’attendais depuis fort longtemps le moment idéal pour m’y jeter corps et âme.

Son érection demeurait le clou de ce spectacle. Une belle tige à la peau douce surmontée d’un gland bien ferme parcouru de frémissements. Cette longue et ferme tige semblait posséder sa propre vie.

Je m’approchai de lui doucement. Il ouvrit les yeux. Il me fixait, allongé sur le dos, les jambes légèrement écartées, appuyé sur ses coudes. Sa tige durcie pointait vers le ciel. Il était bel et bien excité. Je regardais cette belle érection et me mis à bander également. Il me fixait des yeux comme pour me supplier d’approcher. Je me mis à genoux entre ses jambes et mes lèvres se posèrent sur le gland bien dur de son érection. Je me mis à le sucer, le prenant de plus en plus profondément dans la bouche.

C’était merveilleux, j’en éprouvais une sensation inédite. J’eu aussi envie qu’il me prenne également comme je le faisais. Mais il resta allongé sur le dos, profitant de chaque instant, passif. J’allais de plus en plus vite puis me retira pour le prendre dans la main et le masturber. Tâter ce sexe gonflé de sang fut un réel plaisir, un plaisir dont je l’avoue, j’avais à maintes reprises rêver. J’avais l’habitude avec ma propre bite mais là le plaisir je le tenais dans une main. Ce ne fut pas long qu’il éjacula son plein sur son ventre.

Je pris mon érection puis me masturba à mon tour.

Ce fut une première pour tous les deux et chaque fois que nous revenions sur cette plage avec les copains et les copines, nous profitions toujours d’un court moment pour nous éloigner derrière les dunes pour de nouvelles expériences.

Cela ne passait pas inaperçu et rapidement des curiosités furent éveillées.

C’est ainsi, qu’un jour, quelques semaines après notre premier échange, nous nous retrouvâmes sur le sables, nus et bandés à nous procurer de petits plaisirs. Cette fois cependant nous avions la nette impression d’être observés.

Comme presque tous les dimanches nous nous retrouvions sur cette petite plage isolée pour nous amuser nus dans l’eau, nous n’avions plus aucune gêne à arborer notre nudité, les filles comme les gars. Les caresses sous l’eau devenaient de plus en plus fréquentes. Cela faisait partie des prémices de l’amour et éveillait notre libido.

Remarquant que nous étions observés, nous redoublâmes de vigueur, nous prenant mutuellement, l’un après l’autre, fellation sur fellation. Les langues léchaient les érections, remontaient vers le gland pour s’engloutir dans la bouche.

Nous l’avions vite repérée, c’était Matilde. Une bien belle fille aux formes généreuses à la peau laiteuse et aux cheveux longs d’une teinte presque blonde. Ses seins dodus attiraient les convoitises de tous et sans doute de certaines femmes également. L’envie irrésistible de les palper nous envahissait tous. Ses lèvres pulpeuses en avaient fait rêver plus d’un.

Elle nous observait sans se cacher, étendue sur le sable fin d’une dune avoisinante. Elle faisait partie de notre petit groupe et, comme nous elle ne portait rien. Elle avait sans aucun doute remarqué nos escapades derrière la dune. Curieuse, elle était venue voir ce que nous y faisions.

Je me demande bien qu’elle fut sa réaction en me voyant suçant la bite de Georges. Elle ne semblait pas du tout effarouchée se contentant de nous observer.

Ce petit manège se répéta les semaines suivantes. J’adorait me faire sucer par Georges en sachant être observé par Matilde. Ce n’était qu’un petit plus dans notre plaisir. Nous en profitions pour mettre un peu de piment dans le spectacle. L’un sur l’autre en position 69 chacun léchant l’autre jusqu’à la jouissance.

Matilde ne montra jamais de surprise mais semblait prendre plaisir à nous regarder. Fidèle au rendez vous, nous la retrouvions semaine après semaine.

Les rencontres hebdomadaires changèrent quelque peu suite à la découverte de Matilde. Ainsi, lorsque nous nous retrouvâmes tous nus, dans l’eau, les touchers devinrent plus fréquents. Les hommes frôlaient les femmes et les mains se promenaient un peu partout.

Matilde plongeait sous l’eau pour y trouver une belle bite à sucer. Je crois bien que tous les gars y eurent droit. Elle s’approchait d’un gars et attirait son membre bien dur vers sa bouche pour un fellation qui durait le temps que durait sa respiration. Puis elle remontait pour emplir ses poumons et replongeait de plus belle pour passer au suivant. Je la vis un jour branlant deux gars sous l’eau. Je n’osais m’y mettre à mon tour de peur d’être rejette par les scrupules de certains mais j’en avais bien envie.

Personne ne se plaignait. Mathilde, elle, continuait à venir observer nos ébats derrière la dune.

Au cours des mois qui suivirent, elle s’approcha de plus en plus jusqu’à venir s’asseoir à nos cotés. Elle semblait prendre son pied à nous observer. Elle porta même une main forte à George en attrapant mon sexe pour le porter aux lèvres de George.

Puis, comme cela devait arriver, elle se pencha sur George , prit mon érection dans une main, et se mit à sucer et lécher la tige de Georges. Au début tout alla très lentement, puis elle accéléra le tempo, leva la tête pour se pencher sur mon érection. Elle nous pris tous les deux, passant de l’un à l’autre. Et, sentant venir l’extase, elle releva la tête, ferma les yeux et serrant dans chaque main nos bites dures, elle nous branla jusqu’à la jouissance, le sourire aux lèvres, se mordillant la lèvre inférieure légèrement.

Nous venions de franchir une nouvelle étape et élargir notre petit groupe de la dune. Matilde nous avoua qu’en nous observant ces dernières semaines, elle ne rêvait que de fellations. Elle s’imaginait devant un groupe de plusieurs gars, nus et bien bandés, caressant leur bite et les amenant à la jouissance. Elle venait d’assoupir un fantasme. Elle adorait le sexe des hommes et décida de ne plus jamais s’en passer.

Chaque semaine, les baignades tournèrent en une véritable orgie de plaisirs. Les filles empoignaient les érections sous l’eau, les gars caressaient leurs fesses ? Les doigts se faufilaient dans chaque orifice. Tout le groupe prenait plaisir d’une façon ou d’une autre.

Matilde profitait de ces rencontres hebdomadaires pour développer son art, assoupir ses désirs.

La dune devint le palace de la fellation et Mathilde y trônait en maitre de cérémonie.

La semaine suivante, lorsque Georges et moi nous rendîmes à la dune, Jules un de nos amis s’y tenait debout, nu comme nous tous, la queue bien enfoncée dans la bouche de Matilde, agenouillée devant lui, elle lui donnait une fellation, serrant d’une main se testicules. La tête de Matilde allait et venait sur cette bite à grande allure. Nous arrivions juste au moment où Jules retira son sexe de la bouche pour éjaculer sur Matilde.

Elle remarque notre présence, se leva et vint s’agenouiller devant nous. Elle recommença son manège, prit nos testicules dans les mains et attira nos sexes qui durcissaient rapidement vers sa bouche.

Elle leva la tête vers moi et me demande de sucer Georges pendant qu’elle lui donna une fellation du tonnerre.

« J’ai bien aimée vous voir vous sucer mutuellement, et j’en ai rêvé toutes les nuits en me masturbant » me dit-elle « J’adore vous regarder en pleine action , je deviens folle on voyant les bites disparaître dans le bouche d’un autre homme »

Je pris l’érection de Georges et fit glisser ma langue le long de son membre bien dur, ma bite bien enfoncée dans la bouche de Matilde qui me suçait de plus belle.

Jules s’approcha retrouvant son érection et se pencha sur nous. Observant nos ébats, il se masturba doucement pour garder sa tige bien raide, attendant son tour. Matilde se fit un plaisir à l’attirer plus près en le saisissant par la queue. Elle le suça à son tour.

Matilde semblait prendre un plaisir fou avec nous trois. Fellation sur fellation, elle suçait, léchait passant d’une bite à l’autre, serrant dans les mains celles qu’elle n’avait pas dans la bouche. Jules s ‘aventura sur la bite de Georges et se mit à le sucer. Une vraie orgie de bites en bouche.

Malgré plusieurs tentatives de caresser les seins et les fesses de Matilde, rien ne marchait. Elle ne se laissait pas toucher. Ce qu’elle aimait, les fellations, les bites gonflées à block.

La curiosité des autres du groupe l’emporta et chaque semaine nous étions plus nombreux sur la dune. Mathilde était aux anges. Plus il y avait de gars, plus elle appréciait.

La baignade n’était qu’un préambule. Nous en profitions tous pour faire monter le plaisir et le désir. Puis peu à peu des couples se formaient et montaient vers la dune.

Le mois suivant, nous nous retrouvâmes derrière la dune, six gars, debout et bien bandés. Matilde passait de l’un à l’autre, empoignant les érections les portant à sa bouche. Un sexe dans la bouche et deux autres dans les mains qu’elle branlait tout en suçant une troisième.

Bien entendu, les autres filles du groupe se rendirent compte que plusieurs hommes se rendaient derrière la dune. Que se passait-il. La curiosité l’emportant, elles se rendirent à la dune, toutes nues et découvrirent le spectacle qui s’offrait à leurs yeux.

Six hommes nus, debout, les verges bandées et une Matilde agenouillée profitant comme elle l’aimait de toutes ces bites.

Ce jour là, les autres filles se regardèrent et d’un seul coup dévalèrent la dune pour porter main forte à Matilde. Elles se mirent à genoux et toutes se retrouvèrent devant un gars pour leur donner une fellation.

Vu du haut de la dune, la scène devait être extraordinaire : six gars nus, se tenant debout, bien bandés devant six filles nues agenouillées, leur donnant une fellation. L’interaction se poursuivit pendant un certain temps. Puis les femmes se retournèrent, présentant leur arrière train aux hommes qui en profitèrent pour les pénétrer.

Matilde s’était éclipsée et observait les ébats du haut de la dune. Pour elle, un seul objectif : la fellation.

Puis, peu à peu tout bouscula. Une vraie orgie de couples et de trios. Mais Matilde aimait par dessus tout regarder George, Jules et moi se sucer mutuellement. Elle intervenait pour des fellations mais ne se laissait jamais toucher. Elle léchait, suçait, tâtait sans retenue aucune. Elle ne vivait que pour les gros sexes bandés qu’elle savait caresser comme pas d’autre.

On la surmonta vite « la Reine de la fellation »

Pour elle, tous les hommes adoraient se faire sucer. Et elle avait bien décidé d’en profiter au maximum. Aucun des hommes n’avait d’objection Notre petit groupe en redemandait et chaque semaine les orgies reprenaient de plus belle.

Comme j’avais été retenu ce dimanche, j’arrivais un peu en retard. Il n’y avait personne dans l’eau. J’imaginais bien que tout le groupe s’était déjà rendu à la dune. Je m’y rendis aussitôt.

Wow ! j’y découvris un spectacle remarquable. Une chenille s’était formée, des corps nus à la queue leu leu.

Jules debout se fessait sucer par une des filles agenouillée devant lui les jambes légèrement écartées, assise sur la tête d’un autre gars qui lui léchait le vagin, couché lui sur le dos. Annabelle, une autre de notre groupe lui donnait une fellation, accroupie entre ses jambes, le derrière relevé se faisant lécher le cul par Georges qui lui même profitait d’une langue dans le derrière d’une autre fille. Elle même en profitait pour le branler fermement.


Du jamais vu. Matilde observait la scène du haut de la dune. Deux gars étaient étendus sur le dos à ses cotés qu’elle branlait tout en observant la scène. N’y tenant plus je vins me planter devant elle, la queue bien raide qu’elle se mit à sucer comme elle aimait le faire.

Nous étions tous arrivés à un point de non retour. Le sexe nous sortait par toutes les cellules de nos corps. Orgies sur orgies, nous passions nos dimanches à la dune. Il ne restait que la semaine pour imaginer et rêver à ce qui allait se passer le dimanche. Nous n’étions pas à court d’idées et certainement pas lassés de ces plaisirs.

La vie continua de plus belle. Tous les dimanches nous nous retrouvions et cela dura très très longtemps.
(à suivre)

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