Un jeune américain à Chicago au prise avec la Mafia qui se fait soigner par sa mère, il arrive ce qui ne doit pas arriver.
Proposée le 10/04/2016 par Balista
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Dans Chicago année 1920, un jeune homme de 18 ans Matéo et sa mère se trouve confronté à une situation difficile. Le père de Matéo, Mario, est mort il y a 3 ans sous les balles du gang de Batista et le milieu désire mettre Maria au « travail » pendant qu'elle a encore une valeur marchande. Matéo sous la protection d'un sage vietnamien a appris les arts martiaux, il a passé récemment son 8ème dan de Sosacho.
A un certain printemps, alors qu'il traverse w. Monroe street avec sa mère, ils se retrouvent face à un groupe de Mafiosi qui manifestent clairement leurs mauvaises intentions :
– Matéo, le Boss veut que ta mère se remette au « travail », cède la nous et tu peux trouver une place dans l'organisation.
Ce que ces Mafiosi ne savent pas, c'est que Matéo voue à sa mère un amour profond tant du coeur que des tripes.
– Je pense qu'ils vous faudra venir la chercher, répond-t-il
– Fais pas l'idiot, tu perds une bonne chance et tu n'as aucune chance contre nous 3.
Matéo à sa mère :
– Viens, on va vers cet immeuble pour éviter d'avoir un ce ces pourris dans le dos.
Les 3 mafiosi, des petits couteaux, plus en gueule qu'en capacité, habitué à dresser des femmes qu'un homme qui a les caractéristiques d'un guerrier avancent prudemment, le couteau à cran d'arrêt
.
La bataille s'engage, Matéo élimine le premier d'un coup de pied chassé dans le bas ventre du premier à se présenter tout en évitant la charge du second en lui retournant le couteau vers son ventre et l'éventre, mais il ne peut éviter que le troisième lui donne un coup de couteau dans le ventre. Avant que l'autre renouvelle son attaque, il lui prend le bras et le déboite complétement et lentement lui plante le couteau dans le coeur. Se retournant vers le premier qui se tient son bas ventre, il lui dit :
– Alors Giorgio, tu veux vivre ?
L'autre en réponse, voyant que du sang apparaissait sur le devant du pantalon, se rue avec le couteau pointé en avant en direction du ventre, mais il ne sent que le vide pour sa lame. Alors il ressent une
douleur vive à son poignet armé, la lame de Matéo, lui tranche pratiquement le poignet, têtu, il essaye de faire passer sa lame dans la main gauche quand une grande douleur le prend au niveau des reins, Mateolui a planté son couteau dans les reins en l'immobilisant.
– Tu vois, Giorgio, tu as eu tort d'insister, te voila invalide à vie.
– Cio, Idioti continue-t-il en s'adressant au trio défait, dite à Etore, votre Capo, que si il veut la guerre, il n'a qu'à recommencer, mais cette fois ce sera lui que je viendrai chercher.
– Viens Mam, on rentre, il ne faut pas trop trainer dans le coin, et un peu plus loin, demain, on déménage au QG..
– Mais tu saignes, on va chez le Doctor.
– Luigi, c'est aussi un pourri, il serait bien capable de finir, ce que ces 3 pourris n'ont pas réussi, en m’empoisonnant. Tu recoudras cette blessure.
– Mais je ne l'ai jamais fait ! Je pourrais te faire mal !
– Il y a un début à tout et je ne suis pas trop douillet avec la souffrance. Viens !
Il se dirigent vers leur appartement qui est derrière une porte blindée.
Une fois rentrés, Matéo sent le contre-coup de la bagarre et affaibli, il s'affale sur son lit.
– Mon chéri, je vais te soigner, mais il faut que je mette une alèse sous toi pour ne pas trop salir le lit.
– Mams, aide-moi à me déshabiller, avec ce coup de couteau que j'ai reçu, je n'arrive pas bien à le faire.
– Bien sur, mon fils. Je suis fière de toi comme tu as fait front à ces fripouilles et les as battu lui répond-elle en défaisant son pantalon et en tirant sur son boxer.
Le fait de sentir les mains de sa mère sur son bas ventre a réveillé le serpent qui se dresse fièrement.
– Hum mon fils, qu'est-ce que tu es bien fourni, dit-elle en l'admirant.
– Excuse moi mère,mais cela doit être à la suite de la bagarre, je suis tout contracté.
– La blessure n'est pas profonde, je pense qu'il n'est pas nécessaire de coudre, mais je peux faire un pansement adhésif qui réunira les bords de la blessure, mais pour ce faire, il faut que je désinfecte et surtout que je te rase, sinon, quand je vais enlever le pansement tu vas avoir une épilation douloureuse. Je cherche le nécessaire.
Maria commence à passer le blaireau de son fils entre le nombril et la blessure en faisant bien attention de ne pas en mettre dans la blessure et armée du rasoir enlève tout ces poils. Ensuite pour procéder à la suite, elle est obligée de prendre le gros saucisson de son fils dans la main gauche tandis que de l'autre elle met la crème à raser et fait de même. Elle s'aperçoit que ce saucisson devient de plus en plus dur et volumineux.
– Mams, tu peux lâcher, je pense que cela tient tout seul, dit Matéo qui est un peu gêné de la réaction de son corps au touché de sa mère.
– Quand même avec cette lame, je n'aimerai pas abîmer cette belle pièce, rétorque-t-elle.
Elle continue de lui tenir la carotte.
– Voila, maintenant, c'est propre et net, Je te mets un peu de miel pour désinfecter, arrêter le flux de sang et cicatriser, un peu de gaze et pardessus un pansement adhésif bien large. Il ne faudra pas faire pour un moment de mouvement brusque, dit-elle en se penchant en avant et elle donne un petit bisous sur le bout du gland du sexe de son fils.
– Voila, tu as été bien sage et courageux pendant les soins.
– Oui, mais maintenant que je suis excité, cela me tire fort dans la blessure, alors qu'avant c'était pas du tout fort.
– Attends mon grand guerrier, je vais te faire quelque chose que je n'ai pas fait depuis la mort de ton père, je pense qu'après tu ne seras plus excité.
Sans complexe, elle prend le gland dans sa bouche et l'avale en mimant une pénétration vaginale.
– Maman ! Qu'est-ce que tu fais, s'écrie Matéo.
– Apprécie mon fils et détends toi, cela fait longtemps que je ne l'ai pas fait.
– Mais je suis ton fils !
– Bouge pas, c'est pas bon pour ta blessure, je le sais que je suis ta mère, mais je ne vais pas te laisser souffrir avec la trique que tu as, mais je vais te calmer ton excitation et me faire plaisir en même temps.
– Quoi ? Tu vas me dire que tu y prends plaisir à me sucer ?
– Tu sais mon fils, je n'ai pas le coeur de connaître un autre homme que ton père, mais cela me manque beaucoup, dit-elle en continuant d'astiquer cette belle tige.
– C'est horriblement bon et cela fait longtemps que je fantasme sur toi. Tu sais, je suis pas attiré par les femmes de mon age, mais par les femmes mures et toi tu es la plus belle que je connaisse.
– Attends mon fils, ceci, c'est juste pour faire descendre la pression.
Cependant, simultanément, son ventre la trahit et lui suggère que de pousser l'aventure plus loin, comblerait un énorme vide tout en restant dans la famille.
– Maman, je viens, dit Matéo, sentant un raz de marée monté de ses reins (ou plutôt de ses couilles)
– Viens mon fils, donne moi ta crème.
Ne pouvant tenir plus longtemps devant une situation qui lui échappe, Matéo explose dans la gorge maternelle.
– Voila, cela devrait te décongestionner, maintenant reprend des forces, dit la mère en avalant la mayonnaise filiale.
Le lendemain à son réveil, la mère en peignoir, vient et soulève le drap, ce qui crée
automatiquement un supplément appréciable à l'érection matinale.
– Tu ne vas quand même pas me dire que c'est moi qui ait provoqué ceci, dit-elle en montant du doigt la bite de son fils
– Et qui veux-tu que ce soit, tu es dans tous mes fantasmes et je ne peux les contrôler.
– C'est vrai que ton attirail me fait aussi fantasmer, cela fait longtemps que je n'en ai pas vu de si belle, même ton père était moins bien fourni que toi. Mais c'est pas le tout, il faut contrôler comment se porte la blessure, dit-t-elle en tirant brusquement sur la bande adhésive.
– Aie
– Petite nature, hum cela se présente bien, mais il faut que je renouvelle la compresse.
Un fois les soins finis, elle constate que le sexe de son fils se dresse toujours fièrement et elle lui demande :
– Tu n'as pas mal ?
– Non, quoique cela commence de nouveau à tirer, dit-il en espérant de subir le même
traitement.
– Bon, je vais te faire le même traitement que hier.
Courageusement Matéo :
– Non, seulement si le plaisir est partagé !
– Quand même, je suis ta mère !
– Aussi quand tu me suces ? Tu en as aussi besoin que moi, je te sens encore toute tendue par les événements de hier, pendant la nuit, tu rêvais et c'était pas à piquer des hannetons.
– Je veux bien, mais oral seulement.
– Oui, Maman, j'en rêve depuis longtemps de te faire connaître le 7ème ciel en te léchant ton minou.
– Ne serais-tu pas un peu prétentieux ? Dit-elle en enlevant sa culotte et elle se met en 69 avec sa progéniture.
Pour la première fois, Matéo a le sexe de sa mère devant les yeux, il voit cette belle forêt d'astrakan, luisante de plaisir, il hume ce parfum qui s'en dégage, ce qui a comme effet de lui décupler son érection. Doucement, il pose sa langue sur les bords du sexe et commence à lécher, ce gout un peu vinaigré, aigre doux est merveilleux, puis il découvre ce petit monticule qui émerge à l'extrémité du sexe, comme une petit e bite, il la prend entre ses lèvres et dépose un baiser respectueux et doucement commence aussi à le lécher.
– Ouah ! Dit sa mère, comme c'est bon, je ne l'ai jamais eu aussi bon.
Elle commence à entamer une espèce de danse du ventre, mais seulement de bas en haut et vice versa. Frottant sa moule sur cette bouche affamée. D'un coup, après tant d'années, l'orgasme la foudroie d'une manière inattendue, mais malgré cela, elle continue sa turlute jusqu'à extraire la béchamel de son fils. Elle sens les jets frapper les fonds de sa glotte, rien à voir avec ce qu'elle a connu jusqu'à ce jour et pourtant elle en a eu des bittes. Matéo continue à se régaler d'une cyprine abondante qui coule dans sa bouche. Finalement les deux se séparent heureux et repus.
– Je n'ai jamais connu une sensation si forte, est-ce la force de l'interdit ? Demande la mère en se penchant amoureusement sur son vaillant fils.
– Avant que la tension remonte, il faut que l'on dégage d'ici avant que l'artillerie arrive. Je vais demander à quelques amis du dojo de venir nous accompagner et aussi à notre capo. Pendant que je téléphone, prépare le petit déjeuner, on part dans environ une heure.
Boueh ! Pense Maria, il commence à prendre ses responsabilités comme un vrai homme, en fait c'est un vrai homme.
Le soir, après une traversée sans problème, ils se retrouvent tous au QG avec le Capo Bertoncini pour l'accueillir.
– Alors petit, tu as des problèmes avec les flagottis ?
– Ouai, il y en avait 3, mais des minables, ils sont les 3 hors service pour un bon bout de temps, une épaule démise, un avec le ventre à l'air, un autre les tripes à l'air et le dernier avec un rein poinçonné grave, mais j'ai aussi été touché à l'aine.
– Grave ?
– Non, mais gênant !
– Ici, je ne pense pas qu'ils viendront te chercher, ce serait un suicide collectif pour eux, mais pourquoi voulaient-il t'attaquer ?
– Moi pas spécialement, mais ils parlaient de remettre ma mère au travail. Je n'ai pas supporté ceci.
– Ah ! Les salauds, c'est vrai que c'était une de leurs meilleures gagneuses, mais ils auraient pu respecter le marché de ton père.
– Quoi ? Ma mère a déjà « travaillé »
– He ! Oui, c'était même une super arpenteuse du bitume jusqu'à ce que ton père la rachète.
– Ça C'est une surprise !
– Oui, je comprends, mais je peux t'assurer que depuis, elle n'a jamais recommencé, je le saurai. Tu as une mère hors du commun.
Matéo, un peu décontenancé par ces révélations retrouve sa mère dans leur chambre.
Hypocritement, il lui demande :
– Mams, Tu ne veux pas me raconter un peu ton histoire ?
– Si tu veux, mais promets-moi de ne pas être fâché et de toujours m'aimer et me respecter.
– Mams quoiqu'il puisse arriver, tu seras toujours la première dans mon coeur, tu le sais bien, je n'ai pas qu'une mère, mais j'ai la meilleure des mères, la plus belle, la plus aimante et dévouée. Comment penses-tu que cela puisse être autrement.
– Mon chéri, on verra ça au prochain chapitre.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
coquin
Le sentiment que c'est écrit par un ado ou un jeune adulte qui ne connais le sexe par you porn. Attention je ne cherche pas à insulter l'auteur.Moi même cela fait plus e 20 ans que j’essaie d'écrire un roman érotique qui tien la route.
Posté le 4/05/2016
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email