Alice et les ouvriers

Alice est une femme mature qui n’a de cesse de trouver des plans pour se faire prendre par plusieurs hommes bien membrés. Robert, son mentor, la conduit sur un chantier de construction où la cheffe veut offrir une femme à ses ouvriers pour calmer leurs ardeurs. Elle devient leur exutoire sexuel

Proposée le 15/04/2023 par hannibaal

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Groupes
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Robert est le mentor de ton activité sexuelle insatiable. Tu adores la baise, le cul, les bites, les chattes, le foutre. S’en est devenu une obsession pour toi et tu ne recules devant rien pour te faire chibrer, te transformant en hyper salope lorsque l’occasion se présente.

Donc, dès que Robert déniche un plan cul, en particulier avec des partenaires multiples, tu es toujours partante, bien excitée rien qu’à l’idée de te faire démonter la chatte, le trou du cul ou la bouche.
A une condition que tu avais fixée à Robert :

« je suis d’accord avec tout ce qu’on voudra de moi, je veux bien être une vide couille, mais j’exige que ce soit toujours par des gros chibres qui jutent fort et beaucoup ! Tu sais bien que j’adore voir des belles bites qui giclent leur foutre comme la tienne ! »

D’ailleurs, assez souvent, Robert te demande de te masturber devant lui pendant qu’il se branle en te regardant faire, et ça te fait mouiller et jouir un max de voir sa longue queue éjaculer à longs jets visqueux.

Et justement, un après midi, où bien excitée d’un « face to face » avec lui, Robert te fait une proposition :

« écoute j’ai une amie chef de chantier chez Vinci qui, chaque premier mercredi du mois, fait venir une pute pour éponger les ouvriers. Elle n’est pas disponible mercredi prochain. Alors, grosse salope comme tu es, aller là-bas faire la pute pour vider des paires de burnes bien pleines devrait te convenir, non ? »

te dit-il en se branlant la queue les yeux rivés sur ta chatte.
Toi, très excitée par sa branlette :

« Ooooooh ouiiiiiiiiiiii !!! Faire la puuuuute pour des grosses biiiiiiites qui giiiiiiiclent !!!!! Tu sais que je suis une grosse saloooooope !!! Alors ouiiiiiiiiiiii !!! Dépêche toi de balancer ta purée !!! J’ai envie de jouiiiiiiiir !!! J’en peux pluuuuuuus !!! »

lui réponds tu, tes doigts te ramonant furieusement le con. Et lorsqu’enfin il éjacule à grands jets de sperme, tu expulses des giclées de mouille de ton vagin :

« ouiiiiiii !!! Ouiiiiii !!! Ouiiiiii !!! Je jouiiiiiiiiiis comme une grosse truiiiiiiiiie !!! Ouiiiiiiii !!!! Ouiiiiii !!!! Ouiiiiiii !!! »

Rendez-vous est pris pour le mercredi suivant et c’est Robert qui te conduit avec sa voiture. Comme il te l’a commandé, tu t’es bien rasé la chatte et juste passé un petit imperméable sous lequel tu es complètement à poil. Vous êtes accueillis par Michelle, l’amie cheffe de chantier de Robert. Une blonde dans la cinquantaine assez plantureuse au regard vicelard.

Elle vous guide dans un mobilhome au mobilier spartiate : un lit, une table basse, quelques chaises et une banquette contre le mur du fond. Divers ustensiles traînent ça et là : des cordes, un fouet, une cravache, des godes volumineux, un gode ceinture et une série de godes anals.

« J’espère que tu es bien une grosse salope qui n’a peur de rien, parce que mes gars ont des goûts assez spéciaux pour se vider les burnes. Et quand ils se sont essoré les roubignoles sur une grosse truie vide couilles, ils travaillent bien mieux. Moi, je participe, mais ils ne me baisent pas. Cheffe oblige. Et je veille à ce que ça ne dégénère pas. Tu verras, je les connais tous bien. Il n’y a que de la bonne grosse bite vigoureuse et bien spermeuse. Tu ne seras pas déçue … Robert, toi soit tu restes assis sur la banquette pour regarder, soit tu sors ! Comme tu veux ! »

Robert décide de rester et s’assied sur la banquette pour vous observer :

« Je veux voir comment cette grosse chienne d’Alice va se faire démonter. Ça ne te dérange pas si je me branle un peu en même temps ? Ni si je fais quelques photos pour qu’elle fasse voir à son mari comment elle s’est faite sauter ? Il adore voir ça !! Et cette vieille salope adore se faire voir !! »

Elle :

« Non pas de soucis !! En plus j’adore m’exhiber … Allez on y va. À poil toi la pute !! »

Obéissante, tu enlèves ton imper, pendant qu’elle même retire sa combinaison de travail. Elle apparaît en guêpière, ses gros seins nus aux larges auréoles juste soutenus en dessous par une armature. En bas, elle ne porte pas de culotte, laissant voir sa moule ouverte et soigneusement rasée. Enfin une paire de bas résilles complète sa tenue de dominatrice.

Elle s’approche de toi et te suspend les bras levés au plafond maintenus par deux cordes. Puis elle t’oblige à écarter les jambes et te rive les pieds aux sols attachés à deux anneaux.

« T’as les nibards qui tombent, la pute ! Mes mecs ne vont pas aimer ça ! Ils vont pas bander ! Et j’aime pas quand leur grosse queue ne trique pas et ne gicle pas ! On va remédier à ça ! »

Elle noue un cordage autour de chacun de tes seins qu’elle lève ensuite vers le haut pour les fixer aux anneaux qui maintiennent tes mains. Tes nibards sont du coup tirés assez fortement et tu es maintenue par eux autant que par tes bras. Ainsi, une fois attachée et immobilisée, tu es prête à être offerte aux sévices sexuels des ouvriers du chantier …

« Entre Malik ! Et fous toi à poil ! »

Le type, jeune dans les 25 ans, quitte sa combinaison et quand il baisse son caleçon, une belle bite ornée de deux grosses couilles apparaît. Putain que tu aimerais la faire gicler celle-ci, mais malheureusement elle ne bande pas et reste désespérément molle.
Michelle :

« c’est comme d’hab ! Tu ne bandes pas connard ! Pourtant tu aimes ça, les vieilles moules de salope ! Les bien baveuses ! À genoux devant elle, batard ! J’ai ce qu’il faut pour toi ! »

Elle attrape la cravache qu’elle fait lentement glisser entre les lèvres de ta chatte. Le contact du cuir froid sur ton clito te fait immédiatement mouiller, laissant un filet de mouille qui fait luire le cuir. Tu gémis en te tortillant un peu et Michelle poursuit quelques allées venues fouillant ta vulve aux lèvres largement ouvertes.

« Regarde comme elle mouille cette vieille pute ! Ça devrait te plaire une vieille moule écumeuse comme celle de cette grosse truie ! »

Soudainement, elle retourne l’ustensile et enfonce profondément le manche dans ton vagin. Bien à fond. Tu ne peux retenir un gémissement de plaisir, comme quand tu te godes pour te masturber, allongée sur ton lit :

« Oooooooooh ouiiiiiiiiiiiiii !!! »

« Ferme ta gueule connasse !!! »

t’ordonne Michelle en te giflant sévèrement.

« Regarde moi cette pute ! T’as vu tout ce que je lui ai enfilé ! La taille du con qu’elle a ??!! Tu sais qu’elle a dû en prendre des coups de chibres pour être aussi profonde ! Putain la salope ! C’est plus un vagin, c’est un garage à bite !! »

Puis te retirant le manche du vagin :

« vas y ! Fais toi plaisir ! Bouffe lui la cramouille à cette truie !! »

Se plaçant derrière lui, Michelle lui cingle le cul à coup de cravaches. Et presque miraculeusement, son chibre se redresse pour devenir une belle grosse pine qu’il branle avec application.

« Oooooh ouiiiiiiiii patroooonne !!! Fouettez moi encore !!! Plus foooort !!!! Ouiiiiiiiiii !!! »

Ce faisant, il glisse sa tête entre tes cuisses et commence à te bouffer voracement la chatte. Sa bouche te happe et sa langue te lape. Ton clito est en feu quand il le suce avidement. Tu écartes les cuisses autant que tu peux pour lui faciliter le passage de sa langue qui s’enfonce dans ton con. Tu n’es pas loin de jouir et tu arroses sa figure de mouille qui te coule abondamment de la cramouille.

Il enfonce trois doigts bien profond dans ton vagin dilaté et il te fouraille le conduit en te masturbant par de rapides vas et viens qui te font te tortiller de plaisir.
En plus, tu écarquilles les yeux pour regarder son gros mandrin bandé, qu’il branle furieusement, et qui te donne vraiment envie.

« Ouiiiiiiiiii encoooooore patroooooone !! Ouiiiiiiiii !!!! Puuuuuuutain je vais jouiiiiiiiir !!!!! »

crie-t-il en se levant d’un bon et se masturbant encore plus vite. Michelle lui cingle le cul et les roustons encore plus vite.
Et d’un coup, dans un râle sauvage

« haaaaaaaaaaannnnnnn !!!!!! … »

tu vois gicler son foutre blanc de la fente de son gland turgescent qui t’inonde le ventre.

« Tiens sale pute !!! Prends mon jus de couilles !!! T’es qu’une vieille salope que j’arrose de mon foutre !!! T’es qu’une truie !!! Une putain de vide burnes !!! Je te pisse ma jute dessus sale chienne !!! … »

Il se rhabille rapidement, le cul strié de marques rouges, tout en ayant beaucoup de mal à remballer sa queue encore raide comme un bâton.

« Bon allez dégage Malik maintenant ! Et dis à Djibril et Hassan de venir !! »

dit-elle en allant s'asseoir sur la banquette à côté de Robert.
Tu la vois dézipper son jean et en extraire sa longue bite un peu fine qu’elle avale goulûment. Robert est raide en quelques vas et viens, ce qu’elle observe avec satisfaction.

« J’aime bien te sucer toi ! Tu l’as bien longue et pas trop épaisse ! En plus ta jute et bonne ! »

lui dit-elle

« Bon ! Mais pendant ce temps là tu me doigtes »

poursuit-elle en écartant les cuisses en grand. Elle attrape la main de Robert et se glisse deux de ses doigts dans le vagin en se penchant de nouveau sur sa queue qu’elle gobe à nouveau. Tu entends la porte s’ouvrir derrière toi et deux personnes entrer.

« Cette pute est à vous !! Vous en faites ce que vous voulez !! Toi Djib, avec ta bite d’éléphant, pas par derrière hein ! Tu vas lui déchirer la rondelle ! Vu la taille du con qu’elle a à force de se faire défoncer, par devant ça devrait passer ! »

« oui patronne !! »

entends tu derrière toi alors que Michelle reprend sa pompe sur le chibre de Robert.

En effet, lorsque le grand black qui vient face à toi baisse son futal et son slip, un sexe au repos énorme apparaît. Et lorsqu’après s'être un peu branlé tout en frottant son gland contre ta chatte, sa queue est devenue raide, c’est encore plus impressionnant. Plus de 25 cm et au moins 5 de large. Et tu es tellement excitée par la lèche de Malik qui t’a éjaculé dessus avant que tu aies pu jouir, que tu n’attends que de te faire perforer par ce mandrin énorme.

Il prend sa queue et la frotte sur tes lèvres bien grasses qui s’ouvrent. Il tire son manche et engage le gland dans l’entrée de ton vagin gorgé de mouille.

« Vas- y enfile moi ta grosse bite dans le conduit ! Enfonce toi bien à fond dans ma chatte ! Baise bien la pute au gros cul ! Défonce moi avec ta belle queue et profite de ma vieille moule pour bien jouir ! »

Il pousse d’un seul coup et s’engouffre dans ton manchon brûlant, te remontant jusqu’en haut de l’utérus.

« Waaaaouuuuu … mais elle est énorme ta bite ! Elle rentre même pas complètement dans mon vieux con de pute … ramone moi bien le conduit avec ton gros manche ! Nique bien ta vieille salope ! Hmmmmmm ! C’est bon d’être défoncée par ta grosse biroute ! »

Dans le même temps, tu sens un gland appuyer contre ta rondelle et s’enfoncer progressivement dans ton cul. Elle n’est pas très volumineuse car elle pénètre ton conduit anal sans difficulté, mais très longue car elle n’en finit pas de t’enculer au plus profond de tes entrailles. Tu contractes tes sphincters pour mieux masser cette longue tige qui te tringle le trou du cul.

« Ooooooooh ! Tu sens comme c’est serré, chaud et moelleux quand tu encules mon cul de vieille truie. Il pompe bien ta queue hein ?! Mon cul l’aspire bien à fond ton chibre !! Tu vas jouir et vider tes couilles dans mon trou du cul de pétasse, hein ?! Tu vas me remplir de foutre !! »

Djibril et Hassan te pilonnent comme des fous, un dans le con, l’autre dans le cul. Leurs bites sont si dures et si virulentes que tu te sens soulevée du sol à chaque coup de tringle.
Djibril retire son braquemart jusqu’à l’entrée de ton vagin, puis il se renfonce profondément et te pilonne de petits coups rapides bien au fond de ton utérus. Tu adores ça et tu ne vas pas tarder à jouir. Ta mouille coule à flot sur ses roustons et ses cuisses.

Hassan bien accroché à tes hanches, te ramone le conduit rectal à grands coups de bite de plus en plus rapides.
Les deux sont de plus en plus excités et te forniquent en redoublant d’ardeur, au bord de l’éjaculation.

« Putain de sale truie … container à foutre … ma bite va t’exploser ton con de grosse pute … je vais vider mes couilles dans ton cul de vieille salope … pétasse de garage à bite … je vais te remplir le con de foutre connasse … »

Sur la banquette, Robert a sorti son chibre de la bouche de Michelle et lui gicle son sperme sur la figure en se branlant furieusement. Tu adores tellement le regarder se vider les roustons et son foutre jaillir en longs jets impétueux, que tu en es presque jalouse que se soit sur elle qu’il se vide et non sur toi comme d’habitude.

Mais tu n’as pas le temps d’y penser plus longtemps, car les deux types qui te forniquent sont de plus en plus fous furieux du mandrin. Leurs coups de queues dans ta cramouille et dans ton cul sont si violents que tu décolles du sol à chacune de leurs poussées. Ton vagin et ta rondelle sont écartelés par leur bite imposante.

Et dans des râles bestiaux de taureaux en rut tu les sens se vider en toi provoquant ta double jouissance à en perdre presque connaissance.

« ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! Je jouiiiiiiiiis !!! Ouiiiiiii !!! Je sens vos jets chauds au fond de mon cuuuuuul et de ma chatte !!!! Encooooore du sperme !!!! Ouiiiiiiii !!! Je jouiiiiiiis !!! Ouiiiiii !!! Viiiiiiide touuuuuuut dans mon cuuuul de grosse salooooope !!! Rempliiiiiis mon con de grosse truiiiiiiiiiie … putain !!!!! Oooooooooooh !!!! Je jouiiiiiiiiis comme une foooolle … ça s’arrête paaaaaas !!! Ouiiiiiiiii !!! …. »

Pantelante, suspendue par tes mains et par les nichons, tes jambes ne te portent plus lorsqu’ils démanchent leur chibre de toi. Leur jute chaude mélangée à ta mouille abondante s’écoule sur tes cuisses de ton cul et de ton vagin en feu.

Michelle se lève du canapé et s’approche de toi la cravache à la main

« alors t’as bien joui vieille salope ?! T’es qu’une grosse outre pleine de foutre ! Tu dégoulines de jute comme une truie démontée par des bites bien juteuses ! Mais t’es là pour servir de vide couilles, connasse !! T’as bien compris … »

te crie dessus Michelle en te cinglant le cul, les cuisses, les seins et la chatte à coup de cravache.

« Oooooh ouiiiiii Madame !!! Cravachez-moi ! Faites moi mal ! Je le veux ! Vous allez encore me faire encore jouir »

Très excitée par la punition qu’elle t’administre, elle se branle la chatte de deux doigts qui vont et viennent dans sa cramouille accompagnés de bruits de succion mouillée. Dans un dernier coup de cravache sur ton cul, elle jouit enfin dans un cri perçant …

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