Innocente Océane Chapitre 7

Océane termine ses vacances après avoir été initiée par ses oncle et tante et aussi son voisin. elle reprend le train et c'est son papa qui vient la chercher. elle va utiliser ses compétences pour le séduire.

Proposée le 5/04/2023 par esperluette

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Innocente Océane

Chapitre 7

C’est bientôt la fin de mes vacances chez mon tonton. J’ai passé mes dernières nuits dans le même lit que mon oncle et ma tante et nous avons baisé plusieurs fois que ce soit avec mon tonton ou ma tata.

La dernière nuit j’ai été prise en double, avec la bite de tonton dans la chatte et le gode ceinture de tata dans le cul mais toute chose a une fin et je reprends le train aujourd’hui.

Je suis devenue moins craintive et je n’hésite pas à mettre une jupe à mi cuisse et un top qui laisse mon ventre à l’air.

Forcément, j’attire les regards, les voyeurs ne manquent pas dans ce wagon, mais je les ignore, ou enfin, je fais semblant, tout en jouant un peu de l’écartement de mes cuisses.

Je vois que j’en ai fait bander quelques uns, heureusement que le voyage ne dure pas trop longtemps sinon je ne sais pas ce se serait passé.

Enfin le train ralentit, je me lève et m’approche de la porte, dès l’arrêt je saute sur le quai, je vois papa qui est là. Je lui fais signe mais il ne m’a pas vue, je m’approche de lui.

- Alors papa, on ne voit pas sa petite fille ?
- Oh, pardon, je ne te reconnaissais pas, qu’est ce que tu as changé en quelque jours, que t’est il arrivé ?
- C’est à toi de deviner, papa chéri.
- Tu m’as manqué, ma chérie.
- Toi aussi, mon papa.

Il m’enlace et nous nous embrassons sur les joues, mais il me serre dans ses bras un peu trop longtemps pour un père qui embrasse sa fille.

Enfin nous quittons la gare pour le parking. Quand il m’ouvre la portière, je vois qu’il reluque mes cuisses sans vergogne le temps que je m’asseye.

Nous prenons tranquillement la route vers la maison.

- Alors mon petit papa, tu t’ennuyais de ta fifille ?
- Tu le sais bien !
- Et maman, ça va ?
- Ta mère ? Pas trop, ça fait trois jours que nous faisons chambre à part !
- Mon pauvre papa ! Lui dis je en posant ma main sur sa cuisse.

Il pose sa main sur la mienne et il la déplace lentement vers le haut. Tandis qu’il conduit, il jette des coups d’œil en coin sur mes cuisses.

- Ma chérie, jusque là je te voyais comme ma petite fille, maintenant je vois que tu es une vraie femme désirable, excuse moi si je te choque.
- Au contraire, papa, ça me fait plaisir, je suis flattée.

Il a enlevé sa main mais je continue de lui caresser la cuisse, je vois son pantalon gonfler tout doucement. Je remonte jusqu’au contact avec sa bosse qui grossit encore. Après mes expériences avec mon tonton et mon papy, ça ne me dérange pas de m’occuper de mon papa. Je le caresse par dessus son pantalon, il soupire.

Il y a un petit bois avant d’arriver, il ralentit et s’engage sur le chemin puis il s’arrête.

- Ah, ma chérie, je n’en peux plus.
- Ne t’inquiète pas mon papa chéri, je vais m’occuper de toi.

Je lui ouvre sa braguette, je lui sors sa queue, il bande fort et elle est de belles dimensions, je la caresse doucement, je la sens vibrer, je la serre dans ma main et je commence à le branler. Je fais des va et vient en le décalottant, son gland brille de jus.

- Ah oui, Continue !

J’abaisse ma tête et j’ouvre la bouche, je lui prends le gland que je caresse de ma langue pendant que je le branle. Il commence à grogner et fait onduler ses reins, je le suce plus loin et je lui serre bien la queue en le branlant, pendant ce temps ses mains viennent se promener sur mon corps, une sur mes seins et l’autre entre mes cuisses.

- Tu suces drôlement bien, je ne sais pas comment tu as appris, mmmmmm ! Je sens que ça vient !

Il me bloque la tête et je reçois plusieurs giclées de semence épaisse au fond de la gorge.
J’avale le mieux que je peux l’énorme quantité de sperme, il y avait longtemps qu’il n’avait pas baisé !

Il me relève et nous nous embrassons, nos langues s’emmêlent tandis qu’il me caresse partout. Enfin il est temps de repartir.

Dès que nous sommes rentrés à la maison, il me prend dans ses bras, il me fait des petits baisers partout sur le visage, les yeux, les joues, la bouche, le cou, ça me fait des frissons partout, il commence à me caresser les seins, il les malaxe, je sens mes tétons durcir et en même temps je sens ma culotte s’humidifier.

- Viens, papa chéri.

Je monte l’escalier, mon papa a les yeux rivés sur mes cuisses et mes fesses, je me penche un peu pour qu’il profite de la vue.

A peine dans la chambre, mon top, ma jupe et ma culotte s’envolent, puis aussitôt, le pantalon, le tee shirt et le slip de papa prennent le même chemin.

Il m’allonge, il commence à embrasser mes cuisses, il remonte sur mon ventre, ses baisers redescendent sur mon mont de Vénus, j’ouvre bien mes cuisses pour lui, il me fait des baisers délicieux sur ma fente, du haut vers le bas.

- Oui, papa, mmmmm, c’est bon !
Pendant qu’il me lèche, il s’astique la bite.

Il descend même sur mon périnée, jusqu’à mon petit trou, puis il remonte, ses baisers sont plus appuyés, je sens sa langue se glisser entre mes lèvres, elle remonte, j’ai des décharges électriques quand elle touche mon clitoris, il insiste,

- Ahhhh ! Arrête, papa ! Tu me fais trop jouir ! Ahhhh !

Puis sa langue redescend, elle pénètre mon vagin, va et vient de plus en plus vite.

- Papa ! Tu vas me faire mourir !

Je jouis encore plus fort et je me tortille sous sa tête.

- Viens, papa, prends moi !

Il se relève, il se glisse entre mes cuisses, son sexe se dresse fièrement, il le prend, il me frotte la fente tout du long, me faisant sursauter de nouveau, puis il s’introduit en moi doucement, sans cesser de me regarder dans les yeux. Il a rentré sa bite en entier, je me sens remplie, c’est si bon de sentir la bite de mon papa commencer à aller et venir en moi.

- Vas y, papa, plus fort !

Il commence à me donner des coups de reins, sa bite bute au fond de mon ventre, je l’attire sur moi et je noue mes jambes autour de ses reins, le lit proteste avec des bruits inquiétants. Je suis submergée par la jouissance tandis qu’il me secoue de plus en plus vite, il halète, il grogne, puis d’un coup il crie en faisant gicler son sperme au fond de mon vagin, me faisant jouir encore.

Nous restons allongés l’un sur l’autre sans bouger.

- Papa, je t’aime.
- Ma chérie je t’aime aussi.

Nous nous embrassons serrés l’un contre l’autre pendant encore un bon moment, puis nous finissons par nous séparer.

C’est la première fois que papa me fait l’amour, mais je crois qu’il va y avoir encore de nombreuses fois.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email