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Vacances en gîte

Alain et Léa ont loué un gîte pour leurs vacances Mais Léa va découvrir que leur loueur est un séducteur auquel elle va succomber au grand dam de son mari Alain

Proposée le 27/03/2023 par esperluette

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Alain et Léa ont loué un gîte à la campagne, leurs enfants sont adultes et indépendants et ils partent tous les deux se détendre.

A leur age, ils n’ont plus la fougue de leur jeunesse, le désir s’est un peu émoussé même s’ils s’aiment toujours.

Ils arrivent chez Robert qui occupe un côté de la maison, l’autre moitié est réservé au gite. Robert les accueille avec sympathie, c’est un sexagénaire un peu bedonnant au visage Ouvert.

Il leur fait visiter et ils font l’état des lieux, le gîte est très bien entretenu et lumineux. Ils se disent qu’ils vont être bien.

Robert les invite à boire un rafraîchissement, ils acceptent tous deux une bière que Robert leur apporte sur la terrasse.

Ils font connaissance et échangent leurs prénoms, et discutent de banalités, la route, le temps, un peu la famille.

Tandis qu’ils discutent, Léa voit que Robert ne la quitte pas des yeux, elle ne sait comment se mettre, elle porte une robe d’été courte et à bretelles, elle ne sait comment cacher ses cuisses ni la moitié de ses seins dépassant de la robe.

En même temps est a des frissons de se sentir désirée par cet inconnu, il y a longtemps que ça ne lui était pas arrivé.

Il parcours son corps de la tête aux pieds, s’arrête à ses seins et à ses cuisses, la tension est telle qu’elle ne peux s’empêcher d’entrouvrir ses jambes, au grand plaisir de Robert qui lui décoche un grand sourire. Quand elle s’en aperçoit, elle referme vite ses cuisses, mais il a sans doute vu sa culotte. Apparemment Alain n’a rien vu et sirote sa bière calmement.

Enfin ils rentrent pour ranger leur matériel et faire le lit, puis elle prépare le repas, repensant encore à leur loueur.

- Dis donc, Alain, comment tu le trouves, Robert ?
- Il a l’air gentil, pourquoi ?
- Tu n’as rien remarqué ?
- J’aurais dû ?
- Il m’a déshabillé du regard, si tu veux savoir.
- Tu te fais des idées. Et puis tu es très belle, c’est normal qu’il te regarde. En plus il est tout seul.
- Bon, si tu le dis.

Elle n’insiste pas. Ils se mettent à table, puis après le repas, ils regardent un peu la télé mais ils sont fatigués et ne tardent pas à aller se coucher, surtout qu’ils ont prévu une longue promenade le lendemain matin.

Les voilà revenus de leur balade qu’ils ont terminé par un petit resto, Alain décide d’aller faire une petite sieste dans la chambre. Léa préfère rester sur la terrasse et s’installe sur un transat. Elle bouquine un peu.

- Bonjour Léa. Vous avez fait une bonne promenade ?
Léa sursaute et se retourne.

- Oh, excusez moi, je vous ai fait peur.
- Ce n’est pas grave, Robert. Oui c’était super, merci.

Léa voit qu’il la détaille encore.

- ça me fait plaisir d’avoir une si jolie femme ici, ça me change.
- N’exagérez pas, Robert.
- Si, si, vous n’imaginez pas comme je suis sensible à votre beauté.
- Arrêtez, vous me troublez.
- Vous avez vu mon jardin ?
- Oui, nous l’avons vu en arrivant, il est très beau.
- Merci. Si vous voulez le voir de près vous pouvez venir.
- Merci, ça m’intéresse.
- Et votre mari ?
- Oh, il est parti faire la sieste.
- Bon, tant pis pour lui.

Ils se dirigent vers le jardin, ils parcourent les allées bordées de fleurs, Robert, mine de rien a posé sa main sur son épaule pour lui montrer ses planches de haricots verts et de salades.

De temps en temps, Léa s’accroupit pour sentir les arômes du thym, et d’autres aromates. À chaque fois Robert en profite pour reluquer son entrecuisse.

Ils approche de la cabane de jardin, Robert a glissé sa main de l’épaule vers les hanches, il lui caresse les reins puis le haut des fesses. Au moment ou Léa essaie de se dérober, Robert l’enlace.

- Qu’est ce que vous faîtes, Robert ?

Il ne répond pas mais il pose ses lèvres sur celles de Léa, elle essaie de le repousser mollement, il y a longtemps qu’on ne l’avait pas embrassée et elle finit par se laisser faire, elle ouvre ses lèvres et les langues se cherchent et se trouvent, ils s’embrassent longuement avant que Robert l’entraîne dans la cabane.

Il y a tout un ensemble d’outils rangés d’un côté et un vieux canapé de l’autre. Robert la serre contre lui, lui faisant sentir son sexe sur son pubis. Après leur baiser, Léa est un peu perdue et se laisse faire pendant qu’il l’allonge, lui retrousse sa robe et lui baisse sa culotte.

Il pose sa main sur sa fente et commence à la caresser.

- Non, non, arrêtez, c’est pas bien !

Mais il continue, il lui explore la fente d’un doigt et il la pénètre, elle est humide.

- Arrêtez, c’est pas bien, ahhhh ! Salaud ! vous allez me faire jouir ! Ohh ! C’est si bon !

Il la branle d’un doigt, puis deux, elle mouille de plus en plus. Il sort sa bite et il lui met dans la main, elle commence à le branler lentement, il a une queue assez courte mais d’un bon diamètre.

Ils se branlent mutuellement un moment, enfin Robert vient se placer entre ses cuisses et présente son gland contre la fente, il pousse, le sexe pénètre doucement, il fait son chemin dans le vagin pas habitué à un pareil engin.

Il commence à la pistonner doucement, elle gémit, elle se laisse aller à son plaisir pendant qu’il la besogne de plus en plus fort, elle commence à crier sa jouissance, il accélère encore, les pubis se cognent et Léa est secouée comme un pantin.

Puis d’un coup il bloque sa queue au fond de son ventre et il lui injecte son foutre en plusieurs giclées, ce qui la fait jouir encore plus fort.

Ils restent collés l’un sur l’autre et s’embrassent encore avec passion. Enfin Robert ressort sa queue et Léa se lève. Elle prend conscience des réalités tout d’un coup.

- Ahhhh, qu’est ce que j’ai fait. Moi qui n’ai jamais trompé mon mari ! Quelle honte.

Elle remet sa culotte et rajuste sa robe.

- Cette nuit, je laisserai me porte ouverte, quand ton cocu dormira tu pourras venir.
- Sûrement pas ! Ah ! Quelle bêtise j’ai fait !

Elle file pour se prendre une douche et faire disparaître son forfait. Apparemment, Alain n’a pas fini sa sieste.

Puis la journée continue, pendant l’après midi, le repas et la soirée, Alain semble taciturne, mais comme ça lui arrive souvent, Léa ne s’en formalise pas, elle repense souvent à son abandon et se sent coupable d’avoir pris tant de plaisir.

Ils se couchent de bonne heure chacun dans son coin, visiblement Alain ne manifeste aucun désir.

Léa a du mal à dormir, elle s’en veut encore, elle se retourne souvent dans le lit. De son côté, Alain semble s’être endormi, il ronfle légèrement. Machinalement Léa a glissé sa main entre ses cuisses, ses doigts se promènent sur son sexe sans y penser mais ça réveille son désir. Elle commence à se masturber, elle a besoin de jouir mais elle n’ose pas trop bouger ni gémir.

Elle n’en peut plus, elle se lève le plus silencieusement possible, elle quitte la chambre, Alain continue de ronfloter, elle sort en fermant la porte silencieusement, elle hésite, puis elle va vers l’entrée de Robert, elle pousse la porte, entre, elle voit la silhouette de Robert dans le noir, il approche.

- Je savais que tu viendrais, je t’attendais.
- Salaud, tu m’as trop fait jouir tout à l’heure !
- Et tu vas encore grimper aux rideaux, ma cochonne !

Il l’embrasse, elle se sent fondre dans ses bras, il l’entraîne, il lui enlève sa nuisette et sa culotte et il l’allonge sur son lit. Il lui écarte et il lui remonte les cuisses, il commence à lui manger l’abricot, il pointe sa langue dans son vagin puis il remonte sur son clitoris qu’il aspire, elle est prise de tremblements et elle couine, il redescend et renfonce sa langue, il la branle avec sa langue et il lui lape son jus abondant, il descend plus bas et il lui fait une feuille de rose, elle n’arrête pas de jouir.

Il se relève et se place entre ses cuisses, il présente sa bite, il la pénètre d’un seul coup.

- Ahhh ! Oui ! Baise moi bien, elle est bonne ta queue, vas y fort !

Il commence à la labourer à grands de coups de reins, elle lui répond en accordant son rythme et en le tenant par les fesses. Puis par moments il sort sa queue et la renfonce d’un coup dans la chatte béante, lui faisant pousser des cris sauvages.

Puis il recommence à la pilonner, il va de plus en plus vite, elle couine la bouche grande ouverte, enfin il se bloque et il éjacule sa semence dans son vagin brûlant.

Alors qu’il va se retirer elle le retient.
- Reste en moi, baise moi encore !

Sa bite a un peu ramolli, aussi elle lui masse avec les muscles de son vagin, elle le sent se regonfler et il recommence ses va et vient.

Cette fois ci il va tout en douceur, ils restent leurs bouches collées ensemble et leurs langues suivent le mouvement de flux et de reflux du sexe qui la fouille.

Il finit quand même par accélérer quand il sent qu’il va jouir, il inonde une nouvelle fois son utérus de plusieurs jets puissants.

Il finit par se retirer, Léa se décide à regret à se lever, elle remet sa culotte et sa nuisette, elle embrasse Robert et elle s’en va, toujours à pas de loup.

Elle se recouche le plus doucement possible. La lumière s’allume soudain.

- D’où tu sors ?
- J’ai été aux toilettes.
- Tu me prends pour une quiche ? Il y a plus de deux heures que tu es partie. Tu t’es bien fait baiser ? Dis moi.
- Non ! Non !
- Alors, déjà, cet après midi, je vous ai vu vous embrasser, puis rentrer dans la cabane où vous avez baisé, je n’ai rien dit, j’ai cru que c’était accidentel, ça peut arriver, mais que tu y retournes cette nuit, ça dépasse les bornes ! Je ne savais pas que j’avais épousé une salope. D’ailleurs tu pues le foutre. Bon il va falloir que je m’y fasse.

Léa ne dit rien, elle laisse passer l’orage.

- Bon, enlève moi donc ta chemise, pour une salope ça ne pose aucun problème. La culotte aussi.

Léa fait non de la tête mais son mari la saisit par l’élastique et tire. Quand elle glisse sur les cuisses des filets de sperme s’étirent entre la chatte et le fond de la culotte.

- Eh bien, qu’est ce qu’il t’a mis ! Tu t’es bien fait troncher, salope !
- Je sais que je n’ai pas d’excuse, il m’a réveillé ma libido et je n’ai eu qu’une envie, qu’il me baise et me fasse jouir.
- Il t’a fait jouir ?
- Comme une malade ! Tu as raison, je suis une salope. Je ne sais pas si tu pourras me pardonner.
- Je ne sais pas ce que je vais faire de toi. En attendant, tu vas continuer. D’abord tu vas me sucer ! Ouvre la bouche !
- Je l’ai jamais fait !
- Eh bien il n’est jamais trop tard !

Il l’enjambe et lui présente son sexe à demi mou, elle lui gobe le gland et commence à le sucer.

- Branle moi en même temps.

Elle n’a pas d’autre choix que de lui obéir et il ne tarde pas à bander ferme. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres en la faisant rentrer le plus possible.

- Écarte les cuisses que je te baise, tu m’as excité grave.

Il pointe son gland contre la chatte gluante et il la pénètre sans effort vu son contenu. Léa gémit, elle est encore sous l’effet de ses jouissances précédentes. Alain commence à la pistonner, sa pénétration provoque des flics flocs en coulissant dans le foutre qui ressort et dégouline.

- Mmmm ! Oui, baise ta salope ! Vas y ! défonce moi ! Fais moi jouir, j’ai encore envie !
- Tu n’es bonne qu’à ça, de te faire défoncer, tu veux des bites, tu vas en avoir !

Il continue de la pistonner dur, la bite engluée de foutre, elle gémit de plus en plus fort. Il la secoue comme un sac de patates, le lit couine et craque, les seins de Léa dansent une folle sarabande qu’elle essaie de freiner en les empoignant.

Enfin Alain lui donne un dernier coup de reins et se vide à grandes giclées au fond du vagin qui déborde et dégouline le long de ses fesses sur le drap froissé.

Ils reprennent leur souffle petit à petit, il se retire enfin de la chatte rouge vif.

- On réglera tout ça demain, maintenant, dors.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

humeuriste06
Contrairement à certains commentateurs j'ai apprécié ce récit où le mari va devenir un candauliste cuckold ! Didier
Posté le 8/08/2023

Anonyme
Suite et fin le mari vend sa salope de femme à un Mac arabe qui l'a prostitue dans un bordel de Tanger.Voila comment finisse les salopes.
Posté le 29/03/2023

Anonyme
Suite et fin le mari vend sa salope de femme à un Mac arabe qui l'a prostitue dans un bordel de Tanger.Voila comment finisse les salopes.
Posté le 29/03/2023


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