Un chagrin d'amour

Léa est désespérée, son copain vient de la jeter, elle arrive en pleurs, mais ses parents vont la consoler en lui montrant qu’elle peut compter sur leur amour

Proposée le 17/02/2023 par esperluette

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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Un chagrin d’amour

Léa revient de la fac, elle a le visage ravagé, des larmes ruissellent sur son visage. Sa maman se précipite.
- Qu’est ce qui t’arrive, ma chérie ? Viens t’asseoir.
Elle l’emmène vers le canapé ou son papa est assis. Elle la fait asseoir à coté de son père et s’assied à coté d’elle.

Léa sanglote entre ses parents.
- Qu’est ce qui se passe ?
- Heu, heu, mon, heu, copain, heu, m’a quittée, bouh, hou…..
- Vous vous êtes disputés ?
- Non, même pas, mais tout à l’heure, heu, je l’ai vue en train d’embrasser, heu, une pétasse en la tenant par les fesses. Hou, hou….
- Tu n’as pas essayé de lui parler ?
- Si, mais il m’a jetée, quel salaud !
- Ma pauvre chérie, on va s’occuper de toi, pour te faire oublier ton malheur.

Ils la serrent entre eux deux et ils la bécotent sur les joues. Leurs lèvres remontent vers ses yeux, ils lui boivent ses larmes et lui embrassent les paupières, elle se calme doucement et ne sanglote plus trop.

Ils continuent de l’embrasser doucement, sa maman lui caresse l’épaule tandis que son papa a posé sa main sur son ventre. Elle a encore quelques sanglots qui la remuent mais elle se détend sous les caresses de sa maman et de son papa.

Elle se dit qu’elle ne devrait pas les laisser faire mais elle sent une chaleur irradier son ventre et elle les laisse agir. Elle leur abandonne son corps, elle a confiance à ses parents et c’est si agréable.
Puis les baisers se rapprochent doucement de sa bouche, les lèvres de sa maman frôlent celles de Léa, puis viennent se poser dessus, sans appuyer au début.

Elle frémit, elle répond au baiser en tournant légèrement la tête vers sa maman, le baiser est plus appuyé, elle passe ses bras autour du cou de sa maman, ses lèvres s’ouvrent et laissent passer le bout de la langue de sa maman. Le baiser devient plus torride, les langues s’enroulent et vont d’une bouche à l’autre, elles se sucent avec gourmandise.

Son papa a aussi approché ses lèvres et elle se tourne vers lui pour lui donner sa bouche, ils jouent ensemble de même façon, enfin elle attire ses deux parents, bientôt les trois bouches se touchent et les langues commencent à jouer ensemble, par deux ou par trois.

Elle oublie son chagrin et elle sent son sexe s’humidifier involontairement.
La main de sa maman descend sur sa poitrine dont les tétons commencent à pointer sous le chemisier blanc. Elle les caresse par dessus le vêtement, ce qui fait soupirer sa fille. Son papa lui caresse le ventre jusque sous les seins qu’il effleure avant de redescendre sur son pubis par dessus son jean. Léa soupire, elle écarte un peu les jambes pour lui faciliter le passage.

A chaque glissade de la main paternelle entre ses jambes, elle tend son pubis et elle gémit doucement.

Sa maman fait glisser sa main sous le chemisier pour lui caresser la poitrine, puis elle lui remonte pour lui enlever, Léa lève les bras pour qu’elle puisse lui retirer, ensuite sa maman lui dégrafe son soutien gorge qui ne soutient rien vu la fermeté de ses seins tout ronds comme des pommes d’amour.

Elle pose ses mains sur les rondeurs élastiques et les malaxe doucement, arrachant des gémissements à sa fille chérie, puis elle pose sa bouche sur le mamelon qui pointe fièrement, elle le suce, et, juste retour des choses, c’est la maman qui tète sa fille.

Elle est rejointe bientôt par le papa qui profite du téton disponible pour le sucer aussi. Les tétons ne tardent pas à doubler de volume et à durcir sous l’effet des bouches avides.

De temps en temps, la bouche de sa maman quitte le sein pour venir se poser sur ses lèvres, elles s’embrassent fiévreusement en échangeant leurs langues et leur salive.

Enfin le papa quitte à regret le sein pour ouvrir la ceinture du jean, il abaisse le zip et il retire à grand peine le jean serré qui moule les jambes de sa fille.

Aussitôt retiré, il lui embrasse les cuisses, puis remonte sur son pubis qu’il embrasse à son tour.
Puis il la prend dans ses bras et la soulève, il l’emmène dans la chambre parentale et la dépose sur le grand lit. Sa maman les suit en se déshabillant en même temps.

Il se penche et l’embrasse tout en lui caressant les seins. Sa maman vient entre ses cuisses, elle lui enlève sa culotte de dentelle toute mouillée, elle voit qu’elle est entièrement épilée, ce qui était un souhait de son ex copain.

Elle pose ses lèvres sur la vulve humide, Léa soupire et gémit quand la langue maternelle se glisse le long de la fente. Sa maman lui entrouvre la vulve entre deux doigts et vient lécher le clitoris qui gonfle à vue d’œil, Léa commence à pousser des râles assourdis par la bouche de son papa qui l’embrasse toujours.

Puis la langue redescend et vient visiter l’entrée du vagin, elle le pénètre le plus loin qu’elle peut le faire avec sa langue, ce qui déclenche une éruption de cyprine qui mouille toute la bouche de sa maman. Léa a les yeux fermés, elle écarte largement les cuisses pour sa maman, elle se laisse caresser et elle sent la jouissance monter lentement dans son ventre.

Sa maman maintenant explore d’un doigt son puits d’amour, Léa réagit aussitôt en gémissant de plus en plus fort, puis un deuxième doigt vient visiter la gaine brûlante, les doigts s’agitent et c’est un feu d’artifice dans le corps de Léa quand ils s’attaquent à son point G, elle pousse un grand cri en fermant brutalement ses cuisses, et ça continue quand sa maman fait aller et venir ses doigts tout en lui pinçant le clitoris de son autre main.

Quand elle ouvre les yeux, c’est pour s’apercevoir que son papa est tout nu, il tient son sexe en main, c’est la première fois qu’elle voit la bite de son papa, elle est bien plus imposante que celle de son ex, il promène son gland sur ses seins, laissant une trace humide sur la peau blanche.

Léa lui saisit la bite, elle commence à le branler, faisant grogner son papa. Au fur et à mesure qu’elle l’astique, elle la sent grossir et durcir.

Il lui reprend et il va se placer entre ses cuisses, sa maman ouvre les rideaux du théâtre de l‘amour de ses deux mains, son papa présente son gland.

- Va doucement, papa, elle est grosse.
- Oui, chérie, papa va aller doucement.

Au fur et à mesure que le gland force son passage dans le vagin étroit, Léa se sent remplir bien plus qu’avec son ancien copain, elle serre les dents de peur, mais tout ce qu’elle sent c’est une sensation d’être enfin complète, elle sent une chaleur monter dans son ventre, son papa commence des va et vient lents mais profonds, ça lui fait des sensations inconnues jusqu’ici qui irradient dans son corps.
Il commence à aller plus vite, la bite coulisse bien grâce à la cyprine qui la lubrifie.

- Oui, papa, vas y, c’est bon, vas y fort !

Pendant que son papa la pistonne, sa maman lui tripote le clito, elle le fait rouler entre ses doigts, Léa pousse des petits cris, subjuguée par l’action de ses parents.
Son papa accélère encore, il la pilonne, elle est secouée par ses coups de reins sur le lit qui couine sous l’effort. Elle le tient par les fesses et le serre le plus fort qu’elle peut.

Elle sent un nouveau feu d’artifice qui monte dans son corps, son papa lui donne de grands coups de reins il commence à grogner et se bloque au fond de son vagin avant de lui injecter un premier jet de sperme, puis il lui donne des nouveaux coups de reins à chaque nouvelle giclée qui lui remplit la matrice, elle jouit comme jamais, c’est le bouquet final, il n’en finit pas de se vider en elle.
Il s’écroule sur elle et ils s’embrassent de nouveau, quand il veut se retirer elle le retient.

- Reste, papa, je veux encore te sentir en moi.

Ils ne bougent plus pendant de longues minutes collés l’un contre l’autre tandis que sa maman les caresse doucement tous les deux.

Sous l’action du vagin qui masse la bite de son papa, celle ci reprend de la rigidité, il recommence de s’activer lentement d’abord, puis de plus en plus fort, Léa pousse des cris inarticulés tandis que les pubis claquent l’un contre l’autre et que le lit couine bruyamment. Son papa se met à grogner en sentant sa jouissance arriver, il injecte une nouvelle série de giclées de sperme contre l’utérus de sa fille qui jouit encore plus fort.
Enfin il se retire, libérant l’énorme quantité de sperme qu’il a éjaculé et qui dégouline entre les cuisses de Léa.

Elle reste allongée entre son papa et sa maman, un peu dans le vague et assouvie.

- Maman, je t’aime. Papa je t’aime.

Ils lui sourient et l’embrassent tous les deux.

Léa est heureuse, elle a perdu un amant qui ne savait pas bien la baiser, mais elle en a trouvé deux autres, experts, et qui ne l’abandonneront jamais.

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