Une nouvelle histoire (suite 2)

On avance. Et on entre dans le vif du sujet. Deux femmes pour un seul homme. Un combat qui débute. Dans lequel tous les coups sont permis. Mais pour le moment, rien ne dit qui va gagner..... (Il est préférable de lire les textes dans l'ordre pour comprendre)

Proposée le 15/02/2023 par Dominancy540

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Après leur retour du centre commercial, il n'y avait quasiment pas eu d'interactions entre eux. Ils avaient mangé ensemble et il avait prétexté avoir du travail pour s'isoler dans son bureau. Et le soir fut encore pire.

A la nuit tombée, on sonna à la porte. Elle alla ouvrir. Et se retrouve nez à nez avec la vendeuse du magasin de lingerie.

« Ah bonsoir ! Alex n'est pas là ? » lança cette dernière avec un grand sourire.
« Si si... dans son bureau.... » elle ne savait pas quoi répondre. Et elle fut encore plus troublée quand elle remarqua la tenue de sa vis à vis. Un trench coat beige ouvert. Et en dessous une simple guépiere, des bas et des talons.

« Ah parfait ! Je viens chercher ma commission » et elle lui envoya un clin d'oeil plein de sous entendu. Comme si elles étaient de vieilles copines.

A son corps défendant, Claire ne put s'empêcher de haïr cette femme. En quelques secondes, elle était devenue une rivale. Ni plus ni moins. Et elle détestait perdre. Bien qu'elle sache qu'elle allait perdre cette première manche. Dix minutes avant, elle était encore à peu près décidée de ne rien céder à cet homme.

Là, dans son esprit tout bascula. Comme on bascule un interrupteur. Non seulement elle allait lui donner ce qu'il cherchait mais elle lui ferait oublier cette petite brune arrogante. Elle était chez lui. Il n'avait pas besoin d'elle.

Malgré tout, la vendeuse entra et se dirigea directement vers le bureau. « Elle connait les lieux » se dit Claire. Elle frappa et entra sans attendre d'être invitée. Et avant qu'elle ne ferme la porte, elle l'entendit dire « Je viens chercher mon cadeau Monsieur.... ».

La porte fermée l’empêcha d'entendre la réponse. Elle referma l'entrée et elle décida de se rendre dans le salon. Avec un seul désir : celui de savoir ce qui allait se passer dans ce bureau.

Elle n'eut pas longtemps à attendre. En quelques minutes à peine, une série de gémissements équivoques se fit entendre. Accompagné d'un bruit répétitif de chair qui claque. D'un cul qui claque comme elle le devinait.

Cette petite salope avait l'air d'aimer recevoir la fessée. Ce qui lui rappela qu'elle aimait ça elle aussi.... Et il lui fallut peu de temps pour être excitée à son tour. Cette femelle gémissait sans retenue. Elle le faisait surement pour la narguer. Et ça marchait.

Sa main s'égara entre ses cuisses et quand elle comprit qu'elle ne pourrait retenir cette envie, elle se rendit dans sa chambre. Qui avait un mur commun avec le bureau.

Elle verrouilla la porte pour être sure de ne pas être dérangée. Et en quelques secondes, elle se retrouva nue, cuisses ouvertes, sur son lit. Sa main se fit plus précise entre ses jambes. Les gémissements avaient cessés et elle l'entendit dire « suce moi mieux que ça ».

Elle s'imagina à la place de l'autre, à genoux, sa bite dans la bouche. Elle n'avait pas eu d'envie sexuelles depuis plus de 2 mois, elle n'avait rien fait du tout avec un mec depuis plus de 3 mois. Alors cette poussée de libido fut libératrice.

Rapidement, ses doigts s'insinuèrent en elle. Elle profitait, les yeux fermés, de ce plaisir qui viendrait assez vite. Elle l'entendit crier. Un ordre. Sec et sans appel. « Qu'est ce que tu es ? »
Et cette trainée répondit « je suis une salope ! ». Suivi d'un « Encore ! » de sa part et d'un « JE SUIS UNE SALOPE ! » presque hurlé par une voix brisée par le plaisir.

Et juste après, le bruit d'un meuble qui claque en rythme contre le mur, signe de la bestialité et de la puissance des coups de reins qu'il devait lui mettre. Et ce rythme régulier lui provoqua son orgasme. Elle s'imaginait à 4 pattes, prise, baisée. Sans retenue. Elle serra les lèvres pour être sur que personne ne l'entende jouir.

Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu d'orgasme. Il l'épuisa presque. Ses doigts étaient trempé de cyprine. Elle en profita avant de reprendre ses esprits. Elle réalisa qu'elle ferait mieux de sortir de sa chambre si elle ne voulait pas qu'ils réalisent ce qu'elle faisait pendant leurs ébats.

Elle était en train de se rhabiller quand elle l'entendit dire « Tu es une vraie chienne » et la fille répondre « Putain, j'adore quand tu m'encules comme une chienne.... ». Elle se fit la remarque que passer au dessus de cette fille allait être dur car son cul à elle était vierge. Mais cette pétasse l'énervait tellement qu'elle se promit de ne pas se laisser arrêter par ça.

Elle finit par sortir de la chambre en tout discrétion. Les gémissements et les bruits de baise durèrent quelques minutes encore puis elle l'entendit lâcher son cri bestial, typique d'un homme qui jouit.

Elle était dans le salon quand elle entendit la porte de son bureau s'ouvrir. Puis le bruit de la porte qui se ferme et celui, typique, des talons qui tapent le parquet. Elle fut surprise de voir arriver Marie, car elle venait de se souvenir de son prénom.

Elle vit d'abord son grand sourire. Puis, juste après, elle remarqua que son visage était plein de sperme. Elle en avait vraiment partout, dans les cheveux jusqu'au menton. Et cette pétasse lui souriait, heureuse de lui montrer ce qu'elle avait obtenu, elle. Comme un défi du style « tiens, essaye de faire mieux que ça petite ».

« Alex m'a demandé de te dire qu'il va rester à travailler dans son bureau très tard. Il y a tout ce qu'il faut dans le frigo pour te préparer à manger. Inutile de l'attendre. Bonne soirée » et encore un clin d'oeil, du seul œil non barré de sperme.

« Bonne soirée » lui répondit elle. Elle faillit ponctuer cette phrase d'un pétasse.
Puis Marie se dirigea vers la porte et partit.

Elle resta seule, dans le salon, à s'interroger. Mais au bout de 30 secondes, elle prit sa décision. Elle se rendit dans sa chambre puis dans la salle de bain. Avec le rasoir que lui avait offert l'autre pétasse. Que le combat commence.......

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