C'est bien moi Yaèll, je viens vous livrer la suite de cette incroyable histoire, de ma retraite en monastère à rebondissement! je ne pensais pas vivre des expériences aussi folles!
Proposée le 13/02/2023 par yaèlll
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
On me détache, on me traîne dans ma cellule, on me jette sur la paillasse,j'ai le cul en feux, je ne pense qu'à une chose dormir.Je n'avais encore pas fermé l'oeil que la porte s'ouvre, deux moines rentrent ils m'apportent un bol de soupe, c'est la moindre des choses, je les remercie ,mais les deux compères se ruent sur moi, je ne me défend même pas je n'ai plus de force.Ils me retournent comme une crêpe,l'un deux en veux encore à mon cul,il m'écarte largement les fesses et lèche le foutre qui en coule, pendant ce temps là l'autre sort sa queue et me l'a fout dans la bouche , elle sent encore mon cul de tout à l'heure, je m'exécute sans broncher. Celui qui me lèche la rondelle se lève, retrousse sa bure , me fait venir sur son gros ventre, me pénètre, son compère derrière, essaie aussi de renter sa grosse bite dans mon trou,ils sont deux dans mon cul maintenant, je ne sait plus où donner de la tête, je suis rempli.Ils me besognent comme cela un bon moment, ils se retirent enfin pour décharger dans ma bouche, je n'ai jamais bu autant de foutre.Ils prennent congé et maintenant je reste prostré sur ma paillasse,je m'endors enfin avec dans la pièce une odeur de cul et sueur mêlée.
Le lendemain matin je me demande si je n'ai pas rêvé, moi l'hétéro qui a baisé la moitié des filles de mon village et parfois leurs mères, ai-je viré ma cutie, je ne veux pas me l'avouer, mais j'ai pris un réel plaisir,je ne me connaissais pas tous ces vices.
On m'apporte mon petit déjeuner, cette fois on me laisse tranquille.Après ma toilette, je décide de me rendre chez le moine on va dire supérieur, c'est comme cela que je vais l'appeler.Non pas pour me plaindre (j'en ai mis un peux du mien)Je veux simplement connaître l'emploi du temps pour les jours à venir.Je frappe à la porte de sa cellule, on vient m'ouvrir, et là stupeur je vois deux hommes qui se ressemblent étrangement, je comprends que c'est son frère plus jeune, heureusement qu'il n'était pas de la fête hier . Le moine me donne le document que je lui avais demandé,je le remercie, je les salue et je pars pour visiter le reste du monastère.
En rentrant dans ma cellule le soir, je consulte l'emploi du temps et je m'aperçois que le supérieur agriffoné dans le bas de la page, c'est une invitation à dîner pour ce soir.je me dis que cette attention
venant de sa part est plutôt sympa,je pense que l'on va dîner avec tous les moines.
Me revoilà devant la porte de sa cellule je frappe, il m'ouvre , me fait entrer, je m'aperçois que le
couvert est mis , je suis surpris ,je pensais manger au réfectoire, je me suis trompé sur le but de son invitation.Il me propose en guise d'apéritif une liqueur à base de plantes,elle est forte,je ne suis pas assis que la porte s'ouvre de nouveau, c'est son frère, il me salue, nous nous installons sur le bord d'un large lit qui sert aussi de canapé, eh oui les cellules sont sparciates .Je ne sais quoi penser, je ressent un sentiment très étrange de partager ce dîner avec les deux frères.
Ils me servent un autre verre, je sens monter en moi une bonne chaleur et je me décontracte, le plus jeune me fait comprendre qu'il a chaud et retire carrément sa robe de bure, là je vois un homme musclé et membré comme son frère,le rouge me monte aux joues,mon sang ne fait qu'un tour, je suis encadré par ces deux hommes sur le bord d'un lit, à cause de cette situation , faut être honnête je bande depuis un bon moment, c'est étrange je ne me reconnaît pas, je me dis que le repas va être court.Je feins de me lever pour partir, mais c'est sans compter sur le programme que les deux frères ont prévus .Ils m'attrapent tous les deux et me pousse sur le grand lit,ils font voler ma bure et me revoilà à poil.
Je suis coincé entre les deux larrons, je ne résiste pas, le plus vieux me penche la tête sur sa queue , je décalotte son gland et je me met à le sucer avec une envie folle tel un dépravé.Le plus jeune en veux à mon cul, je lui tend, sans lâcher l'objet de mon désir, pour qu'il puisse me bouffer à sa guise,je me met à genoux toujours la bouche pleine.Quand il commence à m'enculer,le plus vieux me prend la tête pour rythmer mon va et vient sur sa queue, il m'envoie sa semence au plus profond de ma gorge, je fait un geste de retrait mais le lubrique me force à tout avaler.
C'est là que les choses se complique,on frappe à la porte, tout en suffoquant je retire sa queue de ma
bouche, les deux larrons se regarde surpris.Je pensais qu'ils avaient invité une tierce personne,mais
à leurs regards je compris que non. Le supérieur remis vite fait sa robe de bure et nous faisons de
même, j'essuie ma bouche d'un revers de manche où perlait encore du foutre.
Le supérieur ouvre, dans l'encadrement de la porte, apparaît une religieuse, jeune, la trentaine, elle à un physique plutôt agréable, elle porte une robe bleue de bonne sœur, sa taille est fine ,et ses hanches sont comme je les aime bien amples.Elle porte un document qu'elle tend au supérieur, comme moi j'ai le droit parler je lui demande ce quelle veux, elle explique que la mère supérieure l'envoie pour régler un problème de mur mitoyen, du monastère au couvent .Je ne savais pas qu'il y avait un couvent si près dommage. La jeune femme veux s'en aller, les deux frangins ne lui proposent même pas un rafraîchissement, je la retient par politesse, les deux lascars sont médusés par mon initiative.
Je lui dit que nous étions sur le point de dîner et que si elle voulait elle pouvait se joindre à nous. Elle décline notre invitation, je suis dépité, mais qu'elle prendrais bien un verre,Dieu soit loué.
Pendant que le supérieur va chercher sa bouteille de liqueur, je la détaille discrètement, elle est assise près de moi , elle est encore plus belle, avec des yeux vert et on devine sous son voile des cheveux long bruns, tout ce que j'aime.Là je me reconnaît , je suis bien un homme qui aime les femmes.
Le supérieur apporte sa bouteille, je vois que cette liqueur apéritive est de leur production.Alors trinquons, nous discutons tous les deux , je la dévore des yeux, elle s'en rend compte et me sourit. Les deux frères nous donnent des choses à grignoter, nous servent un autre verre.Je ne connaît pas la composition de cette liqueur, mais je sens en moi monter un désir très soudain, je bande, je regarde les deux frères, ils me sourient. Si cette liqueur agit sur moi je suis bien conscient
que la jeune nonne ressente aussi quelque chose.Elle a les joues rouges,elle se relève pour partir,et là , je ne sais pas si c'est à cause du breuvage de nos acolytes , je perd mon sang froid , tant pis, je l'a culbute sur le lit elle se retrouve à genoux le cul en l'air.Je me précipite sur elle, les frangins viennent me donner de l'aide et pour ce faire lui maintienne solidement les poignets.Elle se débat sans conviction ,elle émet des petits cris plaintifs c'est tout, je soulève sa robe et là devant moi, j'avais encore raison, elle nous montre un cul, que je qualifierai de magistral. Asuivre!
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