Cécile s’est réveillée et semble un peu jalouse que Magali ait pu profiter de Jean-Paul. Les deux filles vont emmener leur invité dans la chambre et ce qu’elles vont lui proposer va s’avérer une expérience assez insolite mais jouissive pour les deux amies.
Proposée le 6/02/2023 par Inconnu808
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Thème: Homme dominé
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Cécile, Jean-Paul et Magali - partie 2
« Cécile ?? Mais je croyais que tu dormais ??
- Donc le simple fait de dormir t’autorise à coucher avec lui ? lui demanda Cécile en feignant d’être énervée.
- Mais tu ne le connais même pas !
- Et alors ? On est chez moi, sur mon canapé.
- Mais…
- Il n’y a pas de « mais ». Pousse-toi de là. »
Et elle écarta Magali de Jean-Paul.
Jean-Paul était entre les deux. Il était encore nu, le pantalon baissé jusqu’aux chevilles. Sa queue était redevenue flasque, avec un peu de sperme dégoulinant sur le côté. Quant à Magali, elle ne portait plus rien non plus et avait, surtout, le visage entièrement recouvert de foutre.
« Mets-toi sur le côté et laisse-moi faire. »
Et elle empoigna la bite de Jean-Paul et la fourra dans sa bouche.
« Mais ?? Qu’est-ce que tu fais ?? »
Cécile ne répondit pas et la regarda tout en suçant le membre de Jean-Paul, le tout avec un sourire jusqu’aux lèvres. Magali semblait comprendre. Elle s’affaissa légèrement sur le dossier du canapé, posa le bras à côté de l’épaule de Jean-Paul et devint spectatrice. Jean-Paul appréciait effectivement la vue et l’expérience mais il avait peur de ne pas pouvoir bander de nouveau.
Cécile continua ses mouvements pendant un certain temps. Elle mettait beaucoup d’intensité et Jean-Paul appréciait et n’eut pas à s’inquiéter longtemps de pouvoir retrouver sa vigueur.
Magali, de son côté avait commencé, presque sans s’en rendre compte, à descendre sa main le long de sa cuisse.
Cécile, qui avait quitté le regard de son amie pour se concentrer sur le sexe sur de Jean-Paul, revint vers elle et, constatant son excitation, leva la tête et lui demanda si elle aimait ça :
« Haha, j’aurais dû me douter que tu m’embêtais.
- Tu en reveux un peu ?
- Carrément ! »
Magali se déplaça vers l’entre-jambes de Jean-Paul et lapait délicatement le bout de son gland.
« Putain… lâcha-t-il. »
Cécile regarda Magali avec un grand plaisir et eut, semble-t-il, une idée.
« Dis-moi, ma chérie. Qu’est-ce que tu dirais de poursuivre tout ça dans ma chambre ?
- Si tu veux, oui. »
Elles se levèrent ensemble, suivie par Jean-Paul.
« Non, toi, tu restes là », ordonna Cécile. »
Jean-Paul se doutait que quelque chose avait germé dans l’esprit de la jeune fille et se rassit.
Les deux amies se dirigèrent vers la chambre. Il se passe bien une bonne dizaine de minutes au cours desquelles Jean-Paul entendait des bruits de tiroir. Il réfléchissait en se touchant la queue de temps à autres à ce qu’elles pouvaient bien manigancer.
« Tu peux venir ! »
Jean-Paul se leva pour aller les rejoindre et fut accueillie par deux ensembles de lingerie du plus bel effet.
« Wow ! Vous êtes superbes !
- Merci, répondit Cécile. Allonge-toi sur le lit. »
Jean-Paul s’exécuta. Cécile et Magali se placèrent de part et d’autre du lit et, tandis que Magali se penchait sur lui pour le regarder avec un grand sourire et commencer à l’embrasser, il sentit que Cécile avait pris son bras pour l’attacher aux barreaux du lit.
« Qu’est-ce que vous faites ?
- Chut, laisse-toi faire, mon chéri. »
Magali continua d’embrasser Jean-Paul pendant que Cécile se chargeait de l’attacher. Il n’avait pas réagi mais n’était pas forcément à l’aise à l’idée d’être attaché de la sorte.
Cécile ouvrit ensuite un tiroir et en sortit un bâillon qu’elle appliqua sur la bouche de Jean-Paul. Elles n’avaient eu aucun mal à l’immobiliser.
« Tu es à nous, mon mignon. J’espère que tu es endurant et que tu peux jouir plusieurs fois de suite car on a faim. »
Jean-Paul les regardait avec un air de supplication. Il aurait pu être excité mais le fait de devoir être à la merci de ces deux filles qui voulaient le forcer à se donner pour elles autant de fois qu’elles le souhaiteraient le terrifiaient.
« Tu peux commencer », dit Cécile à son amie.
Magali se plaça sur le visage de Jean-Paul et se frotta la chatte sur son nez tandis que Cécile se dirigea vers sa bite de nouveau retombée. Elle dut s’employer un peu plus que d’habitude pour le faire regonfler car Jean-Paul semblait subir les effets de sa situation.
« Ça te plaît, mon joli ? Deux filles rien que pour toi. »
Magali se touchait les seins en montrant son plaisir tandis que Cécile avalait autant qu’elle le pouvait.
« Mmmh ! Mmmh !
- Tiens… Je crois qu’il essaye de communiquer avec nous. »
Cécile lui ôta un instant le bâillon pour l’écouter.
« C’est du viol, ce que vous me faites !
- C’est bien possible, lui répondit-elle. »
Et elle lui remit le bâillon. Jean-Paul gigotait dans tous les sens. Heureusement qu’il était solidement attaché. Magali prenait toujours beaucoup de plaisir mais voulait sa part du gâteau et se leva pour rejoindre son amie. Elle donna au membre de Jean-Paul le même traitement que Cécile juste avant. Et peut-être même plus encore. Jean-Paul tenait bon. La partie avec Magali l’avait considérablement vidé mais il restait extrêmement dur et Jean-Paul essaya de nouveau de parler.
« Qu’est-ce qu’il a, encore ? », dit Cécile, en commençant à s’agacer.
« Je vais bientôt jouir !
- Ah ! Bah ça va commencer à devenir intéressant. Mets le paquet, ma belle. Vide-le encore et n’en laisse pas une goutte ! »
Magali la regarda avec un air d’approbation et s’activa. Elle y mit toute son énergie. Jamais elle ne laissait le sexe de Jean-Paul sortir de sa bouche. Et quand elle sentit celui-ci se gonfler de plus belle, elle le plaça tout au fond de sa gorge et laissa Jean-Paul se déverser encore une fois.
« Mmmh…
- T’aimes ça, hein ? lui lança Cécile. »
Elle lui ôta de nouveau son bâillon pour l’entendre.
« Maintenant lâchez-moi. Ça commence à me faire mal.
- C’est que le début, ça. »
Elle lui replaça le bâillon et demanda à Magali d’aller chercher de quoi faire tenir leur invité. Évidemment, celle-ci ci connaissait l’appartement de son amie comme sa poche et savait où aller et quoi chercher. Elle revint rapidement avec une plaquette dans la main et un verre d’eau.
« Ça, mon joli. C’est du Viagra. Tu vas en prendre et nous allons passer une folle nuit ensemble. Tu n’auras pas le choix car si tu ne le fais pas nous te laisserons là demain matin au lieu de te relâcher. »
Ce disant, elle lui défit le bâillon, le plaça à côté, lui mit une pilule dans la bouche et lui versa un peu d’eau dans la bouche qu’il se résolut à avaler.
« Bien. Maintenant, nous allons retourner dans le salon et toi tu vas nous attendre ici. Tu nous appelleras quand les effets se feront sentir. C’est compris ?
- Oui. »
Jean-Paul se sentait totalement impuissant. Il voulait crier mais il n’osait pas, ne sachant à quoi s’attendre de la part des deux jeunes filles.
Celles-ci partirent effectivement en direction du salon et il se retrouva ainsi tout seul, attaché au lit de Cécile.
« Putain, mais c’est quoi cette situation ? pensa-t-il. En même temps, c’est terriblement excitant. Mais en même temps elles sont folles et je vais pouvoir éjaculer indéfiniment. Déjà la deuxième fois m’a fait mal. Je crois que je vais devoir prendre mon mal en patience et attendre qu’elles aient fini. Enfin si elles finissent un jour. »
Jean-Paul rumina ainsi dans sa tête pendant près d’une heure avant de voir sa queue se redresser comme par enchantement. Il n’avait jamais pris de comprimé de ce type avant et était vraiment surpris de l’effet que ça faisait.
« Euh… Cécile ! Magali ! Je crois que c’est bon ! »
Les deux filles arrivèrent en souriant et en se dandinant.
« Mmmh… C’est vrai que c’est pas mal, dit Cécile. Tu veux essayer ? dit-elle à son amie.
- Allez. »
En une seconde, Magali se plaça au-dessus de Jean-Paul, attrapa sa bite et la plaça à l’entrée de son sexe à elle.
« Euh… Attends, on devrait peut-être mettre une capote, non ?
- Non, ne t’en fais pas. On prend toutes les deux la pilule et on fait régulièrement des tests. Et toi, je suppose que si ça fait longtemps que tu es avec ta copine, tu dois être clean, n’est-ce pas. »
Effectivement, c’était le cas. Jean-Paul ne dit rien, Magali le dévisagea puis se retourna et enfonça la verge bien dure en elle.
« Oh putain que c’est bon… » lâcha-t-elle.
Pendant près d’une heure, les deux filles se relayèrent au-dessus de Jean-Paul pour monter et descendre. Visiblement, elles ne se lassaient pas. Elles remettaient régulièrement du lubrifiant sur leur intimité pour éviter les brûlures avant de repasser à l’action.
Au bout d’une heure, Jean-Paul ne put davantage se retenir et lâcha de nouveau tout son foutre alors que Magali était au-dessus.
« Tu peux rester là où tu es je pense. Vu ce qu’on lui a filé, il est pas près de se dégonfler. »
Magali acquiesça et reprit tout de suite les mouvements de bassin au-dessus de Jean-Paul, alors que des filets de sperme dégoulinaient de sa chatte.
« Vas-y, fais-le jouir encore. Après, ce sera mon tour. J’aimerais bien qu’il jouisse un peu en moi. »
Magali resta ainsi à monter et descendre en laissant la queue de Jean-Paul sortir de temps en temps pour que Cécile puisse la lécher un peu. Cette fois, Jean-Paul céda assez rapidement et il fallut à peine cinq minutes pour que tout sorte.
« Allez bouge maintenant. C’est à moi. »
Magali se leva. Une cascade de foutre tombait le long de ses cuisses.
« Donne-moi le lubrifiant. »
Elle en recouvre allègrement le membre de Jean-Paul et le fit rentrer lentement dans son cul. Il lui fallut peu de temps pour que celui-ci s’ouvre entièrement. Cécile semblait prendre beaucoup de plaisir car elle resta une bonne demi-heure à aller et venir. Parfois elle laissait la bite sortir pour remettre une dose de lubrifiant puis la faisait replonger presque immédiatement tout au fond de son petit trou.
« Bordel qu’est-ce que c’est bon ! »
Jean-Paul prévint qu’il était au bord de la jouissance et Cécile s’activa de plus belle en accélérant les mouvements jusqu’à ce qu’elle sente sa queue gonfler d’un coup. Elle s’arrêta alors, accueillit celle-ci au plus profond de son cul qui probablement n’avait jamais été ouvert à ce point et laissa Jean-Paul se déverser une fois de plus. Son sperme était chaud et faisait du bien à Cécile.
« Bon. Je crois qu’on va pouvoir le libérer, non ?
- Mmmh… Peut-être. Je t’avoue que moi aussi j’aimerais bien avoir une deuxième dose comme toi. »
Ce disant, elle regardait la chatte de Magali d’où perlaient encore quelques gouttes de Jean-Paul. Elle était restée au-dessus de lui et son amie put admirer le trou béant qui lui servait désormais de postérieur. Cécile regarda Jean-Paul droit dans les yeux, elle lui promit que c’était la dernière et elle empoigna sa verge pour la rentrer de nouveau en elle.
Il se passa bien encore une bonne demi-heure avant que leur invité n’éjacule une énième fois et ne remplisse encore le trou du cul de Cécile.
Les deux filles étaient heureuses. Il était à peu près 4 heures du matin et elles détachèrent Jean-Paul.
« Vas-y, tu peux partir », dit Cécile.
Jean-Paul les regarda sans dire un mot, retourna prendre ses affaires dans le salon, se rhabilla et partit. Évidemment, il voulait rentrer chez lui, malgré ce qui s’était passé avec sa copine. Heureusement, les effets de la pilule s’estompaient et sa queue commençait à dégonfler. Il avait mal. Il avait pris beaucoup de plaisir, c’est vrai mais son sexe lui faisait horriblement mal.
En arrivent, il trouva sa copine endormie sur le canapé. Il alla s’asseoir à côté d’elle pour l’embrasser. Celle-ci se réveilla d’un coup.
« Tu étais où ? J’étais morte d’inquiétude. Excuse-moi, je n’aurais vraiment pas dû faire ce que j’ai fait.
- Ce n’est pas grave, c’est fini. »
Sa copine le regarda avec un grand sourire, l’embrassa puis le regarda.
« J’ai envie de toi. »
En disant cela, elle se leva du canapé et se plaça à genoux devant lui. Elle défit son pantalon et sortit sa queue pour la mettre dans sa bouche.
Jean-Paul ne sut pas vraiment où, hormis l’amour qu’il portait à sa copine, il trouva l’énergie de répondre à son acte. Elle le suça assidûment pendant plusieurs minutes avant que de longues giclées ne se déposent au fond de sa gorge. Jean-Paul avait mal mais cacha sa douleur car il savait que cela lui faisait plaisir.
Sa copine se leva, ouvrit la bouche devant lui pour lui montrer qu’elle avait bien tout avalé et se leva en lui souriant.
« Je t’aime.
- Moi aussi. »
Puis ils allèrent se coucher et s’endormirent.
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