Candaulisme en famille. 4 : Paul boit la coupe jusqu’à la lie.

Paul a tenté le diable avec son fils et maintenant il ne peut plus revenir en arrière. Sa femme Christine vient se coller contre la porte du placard pour qu'il assite en gros plan à l'outrage ultime. Axel va enculer sa belle-mère, ce qu'elle a toujours refusé à son mari.

Proposée le 14/04/2021 par mlkjhg39

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Candaulisme en famille.
Chapitre 4 : Paul boit la coupe jusqu’à la lie quand son fils encule sa femme.

-Viens !
Christine le saisit par son épée tendue et le mène comme un chien en laisse devant les portes du grand placard qui sert de dressing. Elle s’agenouille devant lui et reprend une fellation digne d’une professionnelle en gros plan devant les yeux de son mari qui n’en croit pas ses yeux. Il la traite de salope en silence. Il est si jaloux qu’il n’arrive même pas à bander devant le spectacle torride.
-À toi maintenant, mais commence par m’aléser le fion avec tes doigts !
Elle c’est relevée, Axel ne sait pas trop comment s’y prendre, il caresse tout son corps, l’embrasse, suce les tétons dardés et après de longs préliminaires la retourne, posant ses deux mains sur la porte du placard qu’elle fixe d’un regard de défi. Ensuite il s’assoit, le dos appuyé sur les portes, pose ses mains sur les fesses de Christine et l’attire à lui. Il commence à lui sucer la chatte avant de dévier petit à petit entre ses cuisses, suivant le périnée de la langue pour aboutir sur l’anneau fripé qu’il explore. Il essaie même de la faire entrer dans le saint des saints. Mais il n’y a que la pointe qui réussit l’exploit. Il trempe ses doigts dans la chatte contenant encore leurs débordements et les ressort poisseux à souhait puis teste avec le majeur la résistance de l’anus de Christine. Il est étonné avec quelle facilité son doigt disparait dans l’antre musclé qui arrive à le retenir quand elle serre son sphincter.
Après quelques essais, un deuxième, puis un troisième doigt rejoignent le premier. Christine se trémousse sur sa main comme atteinte de la danse de Saint Guy en gémissant doucement. Pour Christine, le besoin, devient de plus en plus fort, son bas-ventre se crispe, elle n’a jamais éprouvée aussi fortement l’envie qu’à cet instant de sentir l’énorme bite au gland turgescent disparaître dans son fondement. Elle ne désire plus qu’une chose, c’est de se faire enculer par lui, même si elle doit en souffrir. Axel c’est relevé, il plie un peu les jambes pour enfiler son dard dans la chatte pour l’oindre lui aussi en quelques allers-retours de foutre et de cyprine avant de le présenter au trou déjà dilaté par le plaisir à venir.
Il pose son gros gland contre l’anus et pousse doucement pour franchir la barrière. Christine est si excitée qu’elle l’aide dans sa progression en reculant sa croupe mais le défonce-cul plie sous l’effort.
Il continue la poussée et elle hurle de toutes ses forces quand enfin sa rondelle cède et laisse passer le gland qui une fois l’obstacle franchi se gorge à nouveau de sang. Axel ne bouge plus de peur de la blesser mais quand dans un souffle, elle lui murmure dans une grimace de souffrance :
- J’ai trop mal, arrête par pitié !
Il ne lui obéit plus.
-Trop tard, j’ai trop envie !
Il avance son bassin pour rester au contact du corps qui le fuit et quand elle ne peut plus bouger, collée contre la porte, il s'enfonce lentement mais régulièrement dans son colon, écartelant littéralement la rondelle qui n'avait jamais subi d'assaut réussit. Elle n’est plus vierge du cul et c’est son beau-fils qui étrenne cette voie ! Au fur et à mesure qu’il enfonce cet énorme engin dans son cul, elle a de plus en plus mal, des larmes coulent sur ses joues mais pour lui, elle acceptera tout.
Quand les couilles battent mollement contre sa chatte, elle réalise qu’il est parvenu à faire entrer la totalité du pieu dans son fondement. Un sourire sur les lèvres, encore hallucinée par l’intromission d'un tel gabarit dans son anus, elle repousse Axel et écarte le plus possible les jambes pour que Paul puisse voir en gros plan la réussite de son fils.
Paul en veut à Christine qui lui refuse cette voie depuis son échec et maintenant il voit en gros plan la verge de son fils ramoner le fondement de sa femme. Quelle humiliation…

Après s’être arrêté un court instant, Axel commence à lui limer le cul, d'abord doucement, puis en accélérant progressivement la cadence. A chaque aller-retour, Christine déguste en râlant car la souffrance dépasse tout ce qu’elle avait pu imaginer.
Mais Axel est devenu sourd à ses cris et ses suppliques et continue inlassablement à lui défoncer la rondelle, sa bite s'enfonçant profondément dans le rectum de sa victime consentante. Il faut un long moment à Christine pour que le plaisir qui s'était instantanément envolé dès les premiers centimètres de sa bite, laissant place à une souffrance inéluctable, ne revienne peu à peu. Axel est devenu comme fou et la démonte littéralement par de fougueux coups de reins. Elle ne retient pas ses cris de douleur puis gagnée par le plaisir qui monte, elle cherche à augmenter son plaisir par un frottement très rapide de sa fente et de son clito avec sa main droite. Elle jouit du cul pour la première fois de sa vie envoyant des jets de cyprine sur la porte du placard.

Paul a un mouvement de recul quand une part de liquide arrive à franchir la barrière pour atterrir sur lui, comme pour le narguer car il n’a jamais réussi à lui faire connaître un tel orgasme. Après ses joutes précédentes, Axel a l’éjaculation paresseuse, sa bite atteint une cadence infernale contre laquelle elle ne peut rien faire que subir et attendre. Le chibre écrase la rondelle propulsant l’énorme gland très loin dans les intestins de l’imprudente, lui ramonant littéralement les boyaux. Il arrive enfin au plaisir mais ne veut pas se vider dans son cul.
-Espèce de salope ! Je veux que tu me finisses avec la bouche !
Il décule et la force à se baisser pour lui présenter son gros chibre. Elle a du mal à le prendre en bouche, sa verge est toujours aussi gonflée et l’odeur et le goût ne sont plus les mêmes mais il n’en a cure. Il la prend par les cheveux et la force à lui gober son braquemart près à cracher. La course de la langue le long du membre, les lèvres serrées sur la hampe, le souffle chaud de sa respiration et la moiteur torride de sa bouche sur la pine font monter inexorablement son plaisir.
Mais Paul ne peut plus en supporter d’avantage et ouvre à toutes volées les portes du placard :
-Espèce de salopard ! T’as pas bientôt fini de te taper ma femme…
-Papa ! Mais…que…

Mais il ne peut plus réfréner sa jouissance, il bloque son mouvement de va et vient le long de sa queue et repousse la tête de Christine, faisant jaillir son épi triomphant à l’air libre.
Il éjacule en disant des mots sans suite, couvrant les cheveux et le visage de sa belle-mère sous le regard courroucé de son père de longs filaments de foutre dont elle se délecte en les récupérant avec ses doigts pour les porter à sa bouche. Elle jette un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de ses exploits et l’embrasse sur la bouche puis se tourne vers son mari pour lui annoncer :
-Tu avais raison Paul ! Inutile de chercher plus loin. Si tu es toujours d’accord, je ferai l’amour autant qu’il me plaira avec ton fils, c’est un sacré bon coup, hein Axel, tu es partant ?
-Ben…Euh… Si papa est d’accord, je serais bien bête de dire non !
Et ils s’esclaffent de rire…….
Paul est pris à son propre piège et bien qu’il bougonne, il ne peut nier que la vue des ébats de sa moitié avec son fils a fini par le faire bander malgré lui. Peut-être pourra-il participer un peu ? Elle acceptera sûrement de lui tailler une pipe pendant que son fils lui défoncera la chatte ou le cul ?
Va savoir….
De toute façon, la messe est dite. Et au moins ça reste en famille…

A suivre…

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