Après avoir charrié belle-maman, je la regarde d'un autre œil, ses formes m'envoutent, cette femme au cœur sensible, m'étourdit de plus en plus. J'ai du mal à me contrôler. Une fois qu'elle est en cuisine, je la suis.
Proposée le 30/01/2023 par lounabelle
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Comme j'ai affirmé que belle-maman avait un beau cul, j'ai un peu honte de moi, car elle si puritaine, je suis certain que je l'ai froissé. Elle me dévisage en rougissant, ses yeux clairs, me font un effet terrible. La petite fossette qui se forme sur son visage lorsqu'elle sourit me fait fondre. Le repas reprend, les rires aussi, lorsque je prend quelque chose sur la table, je lui frôle la main volontairement en lui faisant un petit clin d'œil coquin. Elle rougit comme à chaque fois que quelque chose la trouble.
Je lui saisit la main, la lui caresse longuement, je la regarde dans les yeux et dit :
-Belle-maman, vous avez de très belles mains, surement aussi des doigts de fée !
Sa timidité lui fait baisser la tête, je lui donne plusieurs petits baisers sur le dos de la main avant de la lâcher. Cloé me donne un coup de coude et dit en riant :
-Mais le coquin drague ma petite maman !
Je me penche vers elle et lui dis :
-Tu sais ma chérie, si elle dit oui, je ne dis pas non, elle est très désirable ta petite maman comme tu dis !
Cloé fronce les sourcils et réplique :
-Mais tu es incorrigible Marc !
Juliette relève la tête, elle se pose des questions, et finit par demander :
-Qu'est-ce qui se passe ma chérie ?
-Eh bien ton gendre dit si tu lui dis oui, il est partant?!
Juliette une moue et demande :
-Partant pour quoi ?
Cloé est très étonnée que sa maman ne comprend pas l'allusion :
-Pour coucher maman, pas pour faire du tricot !
Juliette écarquille les yeux et devient rouge pivoine, elle se lève de table et dit toute troublée :
-Je vais préparer la salade !
En la regardant partir, mes yeux ne quittent pas sa croupe qui se balance naturellement à chacun de ses pas. Cette femme me fait de plus en plus d'effet. Je trouve le prétexte de manque de pain pour la rejoindre à la cuisine. Elle est penchée sur la table de travail, elle prépare la salade. Je ne peux m'empêcher de l'enlacer, et me coller contre ses fesses. Elle se redresse et dit en tremblant :
-Mais qu'est-ce que vous faites ?
Pour toute réponse, je lui donne plusieurs petits baisers sur ses épaules dénudées et sur la nuque. Je la sens frémir fortement, je lui dis à l'oreille :
-Belle maman, vous êtes si désirable que vous me faites chavirer?!
Juliette se retourne brusquement, elle me regarde dans les yeux et dit avec calme, mais avec une certaine inquiétude dans la voix :
-Je vous rappelle Marc que je suis la maman de votre femme !
Je la serre fortement contre moi, nos bassins sont collés l'un à l'autre, j'ajoute :
-Je suis sincère, lorsque je dit que vous êtes désirable voir plus même !
Les yeux de Juliette s'emplissent de larmes, et elle me dit :
-Marc, ne me persécutez pas, je vous en prie, je suis surprise de votre comportement !
Je desserre mon étreinte, je viens de prend un râteau magistral. Je la lâche enfin, non sans lui donner un gros baiser sur le front. D'un revers de la main, elle essuie les perles salées qui coulent sur ses joues. Je rejoins la table avec le pain en main.
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