Je m’appelle Pamela, j’ai 25 ans et je suis d’origine camerounaise et comme toutes les Camerounaises j’ai le feu au cul. Et surtout je suis une vraie soumise. Je ne jouis que lorsque je suis humiliée.
Proposée le 30/01/2023 par Antietam
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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Je travaille pour une société de nettoyage de bureau à Paris et depuis deux ans je fais le ménage tous les mercredis dans un cabinet d’avocats boulevard Malesherbes.
La configuration des lieux est simple. Un couloir avec à gauche trois bureaux en enfilade, les toilettes à droite au début du couloir et au fond le bureau de l’associé majoritaire, Thierry.
Dans le premier bureau nous avons Christophe, dans le second Damien et son épouse Clotilde et dans le troisième Ludivine. Tous ces gens sont jeunes riches et beaux. Mais particulièrement portés sur le sexe.
J’ai vite compris dès le début que je faisais de l’effet aux cinq associés. Progressivement je suis devenue leur objet sexuel et être une pute soumise est une passion pour moi. Tout a commencé par des commentaires élogieux sur mes formes. C’est vrai que je je suis très bien roulée avec un superbe petit cul. Contrairement à la majorité des africaines qui ont des culs à chier. Puis il y a eu les mains aux fesses et les mains baladeuses. Jusqu’au jour où Thierry le boss m’a branlée aux chiottes et m’a fait jouir comme une folle. Et là tout s’est enchaîné.
J’ai découvert la soumission à l’âge de 17 ans lorsque je vivais encore chez mes parents. Depuis longtemps je les espionnais lorsqu’ils faisaient l’amour. Il faut dire qu’ils le faisaient souvent, partout dans la maison et sans aucune discrétion, comme beaucoup d’Africains.
Ma mère était entièrement soumise à tous les désirs de mon papa. Elle se faisait baiser par tous les trous, elle suçait souvent la grosse queue de mon père, se faisait asperger le visage de sperme ou bien avalait tout. Souvent dans la douche mon père lui pissait dans la bouche avant de se faire sucer.
Tout cela m’excitait terriblement et j’allais ensuite me branler dans ma chambre. Vous ne serez pas étonnés si je vous dit qu’un jour mon père s’est aperçu de mon espionnage alors qu’il enculait ma mère dans la cuisine. Il m’ordonna alors de les rejoindre en me traitant de petite salope. Arrivée près d’eux il retira sa queue du cul de maman et éjacula sur mon visage puis m’ordonna de le sucer. Ce que je fis avec plaisir car je pouvais enfin goûter cette bite que j’admirais depuis longtemps. Je faisais semblant d’être dégoûtée mais je mouillais énormément. Il venait d’enculer ma mère et maintenant je le suçais j’étais dans un état second. Et lorsque je sentis son urine inonder ma bouche j’étais aux anges.
A partir de ce jour mon père avait deux soumises à la maison et moi aussi je fus baisée par tous les trous. Nous baisions tous les trois et ma mère m’a bien appris le broutage de minou.
Mais revenons au cabinet des pervers…..
J’arrive à neuf heures et à peine ai-je fermé la porte que Christophe sort de son bureau en furie.
C’est à cette là que tu arrives p’tite pute ? A genoux tout de suite ?
Je m’exécute déjà toute excitée d’être prise pour une pute soumise dès mon arrivée.
Il baisse son pantalon et son slip et je découvre sa belle queue déjà en érection et je me mets à le sucer en le branlant. S’il bande déjà c’est que cet enfoiré se masturbe toujours pendant dix minutes avant mon arrivée.
Christophe est un beau gosse de 45 ans qui est marié. Et il a cinq enfants…..
Hummm elle est délicieuse cette queue et je mouille abondamment tellement j’aime faire des fellation. La douceur du gland c’est divin. Je suce, je lèche sa bite et ses testicules et j’enfourne à nouveau le membre jusqu’au fond de ma gorge. Il gémit.
Tu es une sacrée suceuse tu sais ? Salope……
Au bout de cinq minutes il retire sa queue pour se branler devant mon visage. Et je reçois de grandes giclées de foutre sur ma gueule de salope et également dans la bouche. C’est chaud, c’est bon, j’aime……..
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