Mélanie et Sonia s’offre une escapade tantrique très sensuelle… Les corps vont frémir, frissonner et jouir. Jusqu’à retrouver des sensations oubliées
Proposée le 18/01/2023 par Sweet64
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FF
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
Voilà déjà plusieurs fois que Sonia et Mélanie avaient l’occasion d’échanger leurs impressions et leurs bonnes adresses pour des soins et massages relaxants.
Californiens, aux pierres chaudes, holistiques ou encore cachemirien ou thaï.
Mais il en est un, dont toutes deux avaient entendu parler, qu’elles n’avaient pas encore osé expérimenter.
Le massage tantrique.
Certainement parce que celui-ci allait encore au-delà et parce que, même pratiqué par une personne très respectueuse de sa philosophie empreinte de bienveillance, il incluait l’éveil du monde sacré du sexe.
Qu’allait elle faire alors qu’elle recevait une mystérieuse invitation à un massage en duo dans un centre dédié au tantra et aux soins de l’esprit par le massage ?
L’attente, pleine d’interrogations, de mystère, d’inquiétude inavouable fut longue, très longues pour les deux amies.
Alors quand le jour J arriva, cela en était presque une délivrance.
Sur le trajet, les deux femmes parlèrent de tout autre chose. Les vacances, la famille, une soirée à programmer... un peu les maris, beaucoup les enfants. Tout y passa sauf l’objet de leur escapade.
Jeanne-Marie les accueillit avec un immense sourire qui eut pour effet de détendre Mélanie et Sonia.
Ce visage bienveillant avait le don de réchauffer les petites inquiétudes qu’elles avaient emportées dans leurs sacs à main.
Et les mots d’accueil tous doux de Jeanne-Marie achevèrent de les rassurer.
« Bienvenues à vous mesdames...
Vous êtes ici chez vous, soyez assurées de toute notre bienveillance. »
Même si toutes deux avaient une petite idée d’où venait cette invitation, elles se gardèrent d’aller chercher la source.
Elles mirent tout de même un petit moment à peser le pour et le contre avant de se décider à accepter ce rendez-vous.
Etaient elles prêtes déjà à laisser tomber leurs barrières, à briser le voile de pudeur qui pouvait les envelopper ?
Allaient elles faire le pas et oser confier tout leur être à un abandon des plus lascifs sans avoir le moindre contrôle sur les évènements ? Et surtout, pouvaient-elles le faire ainsi en duo, et qui plus est, en dehors de leur couple ?
Alors, elles n’en ont pas trop discuté.
Elles se sont décidées sans beaucoup y réfléchir, pour éviter de trop cogiter, anticiper et reculer. Elles allaient se lancer dans cette expérience nouvelle et totalement inconnue.
Sonia se chargea de confirmer le rendez-vous via la lien qu’elle avait reçu sur son courrier électronique.
Jeanne-Marie leur proposa un temps d’échange et leur présenta son collègue Nicolas, lui aussi masseur expert du tantra et
Sonia et Mélanie avaient le choix: elles pouvaient profiter de ce massage en duo soit avec une seule masseuse, Jeanne-Marie, soit avec un duo de masseurs, Jeanne-Marie et Nicolas.
La proposition eut pour effet de surprendre les deux amies. Un homme pour un massage qui semblait impliquer l’intime ?
Jeanne-Marie saisit cette interrogation dans le regard de ses invitées – c’est ainsi qu’elle préférait les qualifier –
« Le divin sacré de la femme est totalement respecté, et dans le cadre d’un tel massage, par deux personnes, il bénéficie de nos deux énergies, masculine et féminine et de leur complémentarité ».
Si Jeanne-Marie le dit, et apparemment elle est toute pleine de bonnes intentions et d’attention, il est peut-être bon de lui faire confiance.
« On vous fait confiance » répondit Mélanie.
Les deux thérapeutes invitèrent les dames à un salut rituel destiné à inscrire le massage dans le sacré et les faire entrer en douceur dans l’instant.
Et c’est sur deux futons que Mélanie et Sonia s’étendirent nue et recouverte d’un léger paréo pour se laisser emporter par ce qui allait être un moment d’une infinie magie et douceur.
Le tout dans un univers enveloppé de calme, de senteurs exquises semblant provenir d’un jardin tropical.
Etendues sur le ventre, ni l’une ni l’autre ne savait au préalable qui allait commencer à masser chacune d’elle. Etant entendu que les deux masseurs allaient passer alternativement de l’une à l’autre.
Ainsi Jeanne-Marie entreprit d’étendre un peu d’huile sur le dos de Sonia, tandis que, dans un mouvement symétrique, Nicolas faisait de même sur celui de Mélanie.
La douceur de ces lents mouvements initiaux contribuait à détendre les patientes qui pour le moment se laisser plonger dans les délices de ce massage.
Les mains parcouraient délicatement le dos, les flancs, avant d’effleurer les épaules et de glisser le long des bras jusqu’à la pointe des doigts. Aucun de ces appendice n’était oublié. Ils étaient massés, délicatement étirés, cajolés comme tout le reste du bras.
Dans une répétition à la fois très lente mais d’une délicieuse volupté de ces caresses, les masseurs enveloppaient les deux amies d’un nuage de sérénité très réconfortant et relaxant.
Le massage de la nuque accentuait les effets et contribuait à la détente.
Le crâne n’échappait pas à toute cette magie !
A croire que les masseurs avaient un fluide particulier qui suintait de chacun de leurs doigts.
Faisant glisser les paréos le long des fesses et des jambes des deux presque endormies, les thérapeutes glissaient lentement vers le bas du corps.
C’est à ce moment que, sans que cela ne soit ni perceptible ni perturbant, ils échangèrent leurs positions.
Nicolas posa délicatement ses mains sur les fesses de Sonia et Jeanne-Marie honora celles de Mélanie de la chaleur de ses paumes.
Par de légers mouvements circulaires, chacun se mit à malaxer délicatement ces lunes rondes qui se laissaient pétrir avec bonheur.
Puis les mains glissèrent sur l’arrière des cuisses, tout doucement, jusqu’aux chevilles, avant de remonter sur les flancs extérieurs des jambes.
Nouvelle lente descente, cette fois-ci plus à l’intérieur des cuisses, encore une fois avec une infinie attention, pour arriver sur les talons des dames, et courir jusqu’à la pointe des orteils.
Ces allers et venues se poursuivirent quelques instants avant que les pieds aient droit à un traitement de faveur. Un massage du bout des doigts, orteil par orteil. Puis des pressions, finalement très relaxantes, sur divers points de tension de chaque pied.
Les mains remontèrent à nouveau le long des jambes, tout en revenant vers l’intérieur des cuisses et parvenir jusqu’au frontière du Monde Sacré de la femme. Elles achevèrent leur course en frôlant les grande lèvres nues de chacune des deux femmes.
S’ensuivit un massage à la fois ferme et enveloppant des fesses qui englobait de plus en plus de frôlements de cette zone intime et précieuse.
Enfin, après une dernière course des mains magiques le long de la colonne vertébrale, Sonia et Mélanie furent invitées à se retourner.
Nicolas était repassé du côté de Mélanie et posa ses mains sur ses épaules. Jeanne-Marie faisait de même avec Sonia.
Le massage se poursuivit tout d’abord par de longs mouvements sur les bras des deux amies. Le cou, la nuque, et à nouveau le crâne ne furent oubliés.
Puis les mains glissèrent délicatement sur le torse, passant une première fois entre les seins, avant de remonter par les côtés.
Chaque masseur fit ainsi plusieurs tours par des cercles qui, peut à peu, se resserraient. Jusqu’à parvenir à englober les fruits dans leurs mains.
Comme par réflexe, et peut être pour à nouveau se rassurer, les deux femmes se prirent par la main, entre les futons.
Elle se laissaient pétrir les seins sans aucun geste pouvant marquer la moindre gêne. Certes, elles étaient curieuses de voir comment le massage allait se poursuivre, mais dans le même temps, elles paraissaient prêtes à faire confiance, à recevoir sans calcul.
Sonia, comme souvent lorsque ses seins sont l’objet de douces caresses, avaient les tétons qui s’étaient dressés.
Ceux de Mélanie commençaient également à manifester un certain plaisir.
Mais le massage, toujours délicat se poursuivit sur le ventre. Une zone essentielle dans l’équilibre à la fois physique et psychique du corps, centre de tout un système.
Allez savoir par quelle magie les masseurs opéraient ce que les patients appellent souvent un rééquilibrage? Toujours est il que les mouvements de Nicolas et Jeanne-Marie offraient une nouvelle étape de bien-être remarquable.
Le ventre et tout le corps découvrait un cap supplémentaire dans le relâchement et la sérénité.
Ce qui permit une nouvelle fois aux deux masseurs d’intervertir les positions sans que cela ne trouble aucunement Sonia et Mélanie. Repartant du ventre, le massage glissa sur l’avant des cuisses, contournant les genoux très d
légèrement par l’extérieur, avant de parcourir le bas de la jambe.
Après un petit tour sur les chevilles, voilà que les mains remontaient à petite vitesse sur l’intérieur des jambes.
Les genoux, les cuisses, jusqu’à parvenir au sexe.
Les mains passaient sur les bords de ce trésor, en l’effleurant avec la même délicatesse mais surtout la même attention que le reste du corps.
Avant de redescendre une nouvelle fois jusqu’aux pied et de remonter par la même voie.
Au fur et à mesure, les retours se faisaient en englobant de plus en plus ce qui est trop souvent considéré comme le fruit défendu.
Mais dans ce massage tantrique, ce fruit plutôt dit sacré n’est pas plus défendu que le reste. Bien au contraire, il doit être l’objet de la plus grande et plus respectueuse attention.
Chaque masseur posa délicatement la paume d’une main sur le sexe de sa patiente. Quelques secondes. Le temps de transmettre une chaleur réconfortante.
Puis, avec tendresse, et du bout des dix doigts, ils entreprirent de masser les grandes lèvres. Les faire rouler délicatement, les détendre. Depuis les ischions jusqu’au sommet du mont de Vénus, les mains rassuraient, soulageaient les deux femmes.
Puis les doigts, sans aucun geste équivoque, allaient glisser sur la fente intime de chaque dame.
Dans des mouvements à la fois fermes et précis, ils étiraient les petites lèvres, massaient le repère du bouton secret, sans encore le faire jaillir.
Avant qu’un doigt ne vienne l’éveiller avec tact.
La pulpe d’un index de Nicolas tournait délicatement sur le clitoris de Sonia, tandis que Jeanne-Marie tapotait sur celui de Mélanie.
C’était aussitôt une irradiation de bien-être qui traversa chacune des deux femmes.
Elles ne pouvaient contenir quelques mouvements de bassin qui trahissaient une forme d’abandon assez nouveau à la fois pour Sonia, mais également pour Mélanie.
Ces frissons se prolongeait tandis que chacune sentit un doigt glisser en elle.
Dans une savante combinaison de mouvement, ce doigt inquisiteur s’associait à la pression magique sur le clitoris et décuplait le plaisir. Une main se chargeait de masser, effleurer, pincer légèrement, caresser, les lèvres humides et le clitoris, tandis qu’un doigt puis un second visitaient la paroi interne de chaque intimité.
En de longs et très mouvements de va-et-vient.
A nouveau cette introspection intime était associée à une savante palpation du bouton de ces dames par le pouce de la main qui était déjà en elles.
Un plaisir auquel s’ajoutait celui de sentir tout à coup une main se poser sur un sein.
Une main très sage qui faisait simplement rouler un téton dans sa paume, par un malaxage lent et précautionneux.
Mais les deux masseurs maîtrisaient totalement le plaisir de leurs patientes, prolongeant le feu sacré qui les habitait sans les faire défaillir.
Ils les conduisaient aux frontières de l’orgasme tout en les maintenant à un niveau de conscience suffisant pour ne pas succomber. Alternant des rythmes de caresses plus ou moins lents, titillant avec plus ou moins de pression clitoris et tétons, fouillant avec plus ou moins de profondeur et d’énergie les grottes sacrées...
Mélanie était aux anges de goûter ainsi au plaisir offert par une femme. Elle vivait en quelques sortes un fantasme si souvent envisagé et même espérait.
Sonia, elle, avait totalement oublié ses réserves, et ne se posaient même plus de questions.
Un autre homme étaient en train de la faire voyager dans des contrées jusque-là inconnues.
Elle lâchait prise comme jamais, s’abandonnant à ses sensations et laissant son corps jouir de l’instant.
Après avoir honoré les deux dames d’un dernier long mouvement de massage sur tout le corps, les deux masseurs s’éclipsèrent.
C’était l’heure du temps d’intégration, un temps pour les personnes massées, pour qu’elles puissent se poser en douceur.
Sonia et Mélanie se regardèrent, se tenant toujours la main.
La première, Sonia, se rapprocha de Mélanie. Elle la prit dans ses bras, se serra contre elle, et après quelques secondes, sans trop y réfléchir, l’embrassa sur la bouche.
Ses mains parcouraient les dos de son amie, jusqu’à glisser sur ses fesses.
Mélanie caressait également Sonia. Son visage, son cou, ses bras, puis ses seins.
Des seins qui aussitôt manifestèrent leur immense bonheur.
Des tétons droits comme flèches. Ils voulaient être aimés, adorés.
Mélanie comprit l’invitation et déposa un baiser sur chacun d’eux. Avant de leur offrir les premiers coups de langue, de les pincer du bout des lèvres.
Très vite, chacune avait fait glisser une main vers le foyer sacré de l’autre.
Leurs sexes étaient gorgés de désir, d’envie d’être dégustés, adulés, vénérés.
Basculant dans une position inversée l’une vis à vis de l’autre, les deux femmes caressaient et admiraient le sexe de sa partenaire. Reproduisant du mieux qu’elles pouvaient les caresses qu’elles avaient reçu, elles malaxaient lèvres et clitoris. Tout en glissant lentement un ou deux doigts dans la fente bien humide qui les accueillait.
Sonia fit très jouer sa langue sur le bouton de Mélanie. Celle-ci se cambra de plaisir, recevant avec bonheur cette délicate attention.
Elle ne tarda pas à rendre la pareille à son amie dans ce qui était devenu une dégustation simultanée pleine de sensualité.
Tous les mouvements étaient lents et doux, gourmands et respectueux.
Aucune ne négligea de caresser dans le même temps la poitrine de son amie.
Tous les fruits, que ce soient les ananas ou les abricots, étaient en émois.
Les corps se tordaient dans une danse magnifique.
Quelques soupirs se faisaient entendre.
Les corps remuaient au rythme du plaisir qui les animait et les secouait.
Tout en remontant sa bouche sur le pubis, puis le ventre de son amie, Sonia alla chercher avec ses lèvres les tétons de Mélanie.
Elle voulait gouter ces délicieux bonbons rosés qui ne demandaient qu’à être mangés.
Pendant ce temps, elle offrait son sexe aux caresses de son amie qui avait désormais introduit trois doigts dans son antre. Pour mieux la remplir et la faire frissonner.
Elle aimait être ainsi emplie de plaisir, de vie, de folie sensuelle.
Remontant sa bouche, elle acheva de jouir en embrassant Mélanie qui elle aussi fut prise de spasmes orgasmiques.
Le temps pour elles deux de retrouver leurs esprits, elles purent enfin retrouver le duo Jeanne-Marie et Nicolas pour leur exprimer leur immense gratitude.
Elles venaient de vivre un moment unique, une parenthèse insoupçonnable dans des vies souvent trop dévorées par les contraintes ou le stress quotidiens.
En aucun cas elles ne regretteront leur audace de ce jour.
Et certainement n’hésiteront pas à y revenir, ensemble, seules, voire même avec leurs hommes respectifs.
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