Mon voyage à Paris - 2ème partie

Après s’être offerte dans les WC d’un restaurant, nous avons remis ça dans la voiture avant de ramener Chiara auprès de son mari. Première expérience anale et des voyeurs nous ont sûrement filmés

Proposée le 6/01/2023 par Manu G.

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Mon voyage à Paris - 2ème partie


Notre belle aventure dans les WC du restaurant nous avait ouvert l’appétit de recommencer à se donner l’un à l’autre. J’avais rencontré Chiara, belle femme à la chevelure courte blond foncé de 49 ans sur Facebook. On discutait beaucoup et m’annonça qu’elle était mariée depuis 19 ans et avait eu deux enfants. Malheureusement côté sexuel, elle n’avait plus de désir, car c’était toujours la même chose : 1 fois par semaine en position du missionnaire et c’est tout. Jamais elle ne se faisait lécher ou pouvait faire une pipe à son mari, un homme d’affaire qui était toujours en déplacement.

L’éducation religieuse de Chiara ne lui avait jamais donné le courage de prendre un amant ou d’avoir des aventures extra-conjugales. D’ailleurs, dans nos discussions sur le chat elle était très ouverte, mais jamais elle ne m’envoya une photo d’une partie de son corps dénudé.

Malheureusement, son mari était à la maison et nous décidâmes d’aller dans un coin tranquille au bord d’une forêt. Il y avait un parking et on trouva un endroit pas trop éclairé. Heureusement que ma fonction de représentant commercial me permettait d’avoir une grande Volvo, nous nous sommes installés dans les sièges arrière. Je mis une couverture pour ne pas salir les sièges.

L’un contre l’autre nous nous sommes embrassés avec passion entremêlant nos langues. Je lui caressais en même temps ses seins dont les tétons pointaient déjà de désir. Je déboutonnais sa blouse afin de pouvoir toucher sa peau. Chiara me caressait mon sexe par-dessus le pantalon. Je ne désirais qu’une seule chose, c’est qu’elle me délibère mon sexe bien dur coincé dans mon bluejean. Tout en continuant à nous entrechoquer nos langues qui n’avaient pas envie de rester qu’à la bouche, nous nous étions libérés de certains habits. J’avais la vue sur sa magnifique poitrine et je me suis incliné sur elle afin de prendre en bouche ses tétons bien dressés et dures. Je n’avais jamais vu de tétons aussi gros. Des petits soupirs sortaient de sa bouche pendant que je la tétais. Ma main droite descendit caresser le tissu de son tanga. Chiara me tenait la tête avec son avant-bras m’attirant plus fort contre sa poitrine. Je n’arrivais plus à bouger. Avec la pointe de mes doigts je me frayais un chemin vers ses lèvres vaginales. Elles étaient déjà toutes mouillées. Je trempais bien mes doigts et je les portais à la bouche de Chiara qui les léchais avec gourmandise.

A ce moment-là, je me libérais de son emprise et descendis sur son minou avec ma bouche. Elle était tellement mouillée, j’avais l’impression de boire dans une fontaine. Elle posa un pied sur l’appuie-tête du siège conducteur écartant les jambes de sorte que je pouvais bien voir ces deux entrées d’amour. Je pris son clito en bouche et en même temps une main lui malaxait le sein et avec deux doigts de l’autre main, je caressais l’entrée de son vagin sans la doigter. Je sentais ce ruisseau de désir couler au bruit de soupirs de plus en plus rythmés. Je laissai aller mes doigts dans sa chatte et commençais un va et vient rapide. Je lui fis monter sa hanche afin d’avoir les deux entrées et tout en continuant à lui doigter la chatte, je commençais avec la pointe de ma langue à lui lécher sa rosette. Je sentais qu’elle appréciait, car son anus c’est ouvert me permettant de la pénétrer avec le bout de ma langue. Je lui donnais de beaux coups de langue tout en salivant le plus possible afin de lui lubrifier ce trou vierge. Je caressais le bord de son anus et y glissa peu à peu mon index qui n’a pas trouvé de résistance. Et peu à peu j’y ai introduit le majeur et avec les deux doigts dans ses entrailles je commencais à la pénétrer.

Oh c’est la première fois qu’on me fait ça, oui continue plus fort. Qu'elle me disait.

Cela me motivait encore plus et je me suis relevé en prenant un préservatif et je dirigeais mon sexe contre cet anus déjà bien dilaté. Avec mon gland, je le posais délicatement et peu à peu je commençais la pénétration. Je ne trouvais aucune résistance et en quelques secondes mon sexe était déjà entièrement au fond d’elle. Je restais un instant sans bouger et je sentis que ses hanches commençaient à bouger, ce qui me donna le signe de moi aussi faire les mouvements pour la coïter. A chaque pénétration un cri de plaisir sortait de sa bouche.

Après quelques minutes dans cette position un peu inconfortable, Chiara s’est retournée en levrette et me dit textuellement : prend moi le cul bien fort, je ne me suis jamais fait sodomiser. Quel bonheur. Ne pouvant pas refuser sa demande, je me glissais bien dans sa porte de derrière et je l’enculais en lui donnant de forts coups de reins. Elle criait très fort de plaisir en me motivant de la prendre plus vite, ce qui déclencha en elle un puissant orgasme. Je sentais son anus me serrer mon sexe ce qui provoqua ma jouissance. Je me vidais dans son cul et le plaisir était intense et long. Je ne me souviens pas avoir ressenti ce plaisir dans ma vie. Je restais en elle pendant deux minutes et après on s’embrassa avec tendresse tout en se caressant nos corps à moitié habillés.

Le temps passait trop vite et Chiara devait rentrer auprès de son mari et ses enfants. Nous nous habillâmes et nous avons vu quelques ombres de personnes autour de notre voiture. Une d’elle tenait son portable en main, ce qui provoqua un pincement au cœur. On nous aurait peut-être filmés. Nous n’avons pas voulu demander et nous avons déguerpis au plus vite.

Je ramenai Chiara chez elle et lors de l’échange du baiser elle me promit de m’appeler dans quelques jours. Moi je devais aussi finir ma formation et rentrer sur Bâle. Le jour suivant, j’ai trouvé des traces blanchâtres sur la carrosserie de ma voiture. Plusieurs hommes ont sûrement dû se faire du bien en nous regardant.

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