Maeva et Martin sont deux jeunes colocataires qui logent chez un couple quinqua. Maeva est amoureuse de Martin et elle va découvrir qu’il entretient une relation avec Jeanne la propriétaire. Elle compte bien s’accaparer Martin ce qui va se terminer par une partie à trois (récit écrit sur commande)
Proposée le 17/10/2022 par hannibaal
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Les vacances sont terminées et je dois déjà penser à la rentrée scolaire. Je suis de retour en proche banlieue parisienne depuis la fin de la semaine où j’ai regagné la collocation où j’habite pendant les cours. J’occupe une chambre à l’étage chez un couple pas loin de la cinquantaine plutôt sympa. Henri et Jeanne. Et puis il y a un autre colloc, Martin ! Un super mignon garçon de 18 ans qui a lui aussi une chambre à côté de la mienne. Nous sommes un peu indépendants avec notre propre salle de bain et nos propres toilettes.
Je m’appelle Maeva, j’ai 19 ans. Nos proprios sont gentils, je ne peux pas me plaindre, mais assez stricts. En ce qui me concerne, ils ont reçu des consignes de mes parents de limiter mes sorties. Études ! Études ! Études ! Donc, le soir pas de sorties nocturnes, même avec Martin, pour tenter de faire des connaissances et plus si affinité, pas question. Martin a bien essayé de plaider notre cause à plusieurs reprises, mais sans succès. Alors le soir, c’est diale avec les copains et les copines sur les réseaux sociaux.
Je t’adore Martin ! Tu es beau comme un dieu et je crois que je suis secrètement amoureuse de toi. Il faut dire que je suis moi même assez mignonne, une jolie paire de seins et un beau petit cul qui font bander plus d’un mec. J’avoue que j’aime le sexe et que je sais jouer de mes attributs pour lever des filles et des gars quand mes glandes me travaillent trop. Et c’est souvent qu’elles me travaillent. Il m’arrive de me caresser une à deux fois par jour pour me calmer ...
A la coloc, c’est souvent que le soir je me promène dans ta chambre sous un prétexte futile, nue sous ma nuisette un peu transparente et ultra courte pour te provoquer. Même si je te sens troublé, Martin, tu ne laisses jamais rien paraître. Mais quand j’entends couler la douche un peu trop longtemps, j’imagine bien que tu dois te masturber pour effacer les effets de ton trouble.
La chambre de Martin est la mieux située. Elle jouxte celle du couple par un balcon. Et, justement, ce soir - il est environ minuit -, Martin est en pyjama short, torse nu, accoudé à la balustrade du balcon. J’adore voir ton beau corps élancé et musclé qui me donne envie de le caresser. J’ai déjà vu pas mal de copains à poil, mais jamais des aussi bien gaulés que toi. Mais toi Martin, à peine un regard en coin lorsque je me déshabille pour me mettre nue. Comme si tu m’ignorais …
Je m’approche dans ma petit nuisette sexy et je m’accoude à ton côté pour admirer la nuit tomber sur la mer. Tout est calme et j’appuie mon épaule contre la tienne, te déclenchant un petit sourire de tendresse. Mon bras enserre ta taille dans un geste que tu pourrais croire affectueux. Mais la réalité est que j’ai envie de sexe et ce soir j’ai décidé que tu serais ma proie. Cela fait trop longtemps que j’ai envie de toi ...
Toi (sur un léger ton de reproche) : « Tu ne devrais peut être pas sortir dans cette tenue, on pourrait te voir ... »
Moi (perfide) : « Ça te gêne toi ? »
Toi (la voix un peu blanche) : « Heu … on est colloc … je sais bien que nous nous nous connaissons bien … non je ne suis pas gêné ! Mais là, je ne suis pas certain de maîtriser toutes mes réactions … heu … physiologiques ... »
Moi (ironique) : « Tu iras sous la douche, comme d’habitude ? »
Je m’appuie un peu plus fort contre toi avec un petit rire quand tu me tournes un regard à la fois fâché et un peu gêné. Mais tu ne te prives pas au passage, de jeter un œil sur mes seins provocants que mon déshabillé cache à peine. Je crois que le moment est parfait pour que je te parle de mes fantasmes dont tu es la proie, mais pas encore la victime. J’ouvre la bouche pour engager la conversation sur ce sujet quand nous sommes coupés par …
… par la voix du mari qui semble venir de la chambre du couple! « Henri est revenu … ? » je murmure à l’oreille de Martin. « Non ! Pas que je sache ! ». Nous nous approchons, indiscrets et un peu voyeurs. Par un interstice du rideau qui n’est pas hermétiquement clos, le spectacle qui s’offre à notre regard est pour le moins inattendu. Moi qui ce soir voulait du sexe, ça ne pouvait pas mieux débuter ...
Totalement nue, adossée à la tête de lit, les jambes largement ouvertes, Jeanne se caresse avec ardeur devant son ordinateur portable posé entre les cuisses. Elle doit certainement être en camlive avec Henri, car le peu de leurs échanges que nous pouvons capter sont assez crus. Coquinous les loueurs ! Je n’aurais pas pensé qu’ils puissent jouer à ça, mais après tout pourquoi pas ? Il n’y a pas de mal à aimer le sexe ! Et quelques plans coquins entretiennent l’envie, non ?
Martin ne peut détacher son regard de la chambre où notre Jeanne active ses doigts dans son sexe soigneusement épilé. Il faut reconnaître que malgré ses 52 ans, elle est superbement bien conservée et drôlement bien foutue. Ses seins plantureux tressautent à chacun de ses mouvements de bassin qui semble branché sur courant électrique. A ce qu’elle demande à Henri à propos de sa queue, il ne fait aucun doute qu’il se livre au même exercice.
J’aperçois du coin de l’œil une forte protubérance se former dans le short de Martin. Tu ne sembles ni insensible, ni dérangé parce que tu observes fixement. J’en profite pour me coller contre son dos, sans que tu réagisses pour me repousser ou t’éloigner de moi. Ma main se pose sur ta hanche et dans un mouvement pas du tout ingénu, entreprend de descendre lentement le long de ta cuisse.
Moi : « le spectacle te plaît ? »
Toi : « Oh oui ! Et encore, là c’est plutôt ... gentil ! »
Moi : « Quoi ? Tu joues les voyeurs avec Jeanne ? »
Toi : « Pas toujours uniquement les voyeurs ... »
Moi : « Hein ? Toi et elle, vous … ? »
Toi : « Heu … oui des fois ! »
Moi : « vas y ! raconte ! ... »
Toi : « plus tard ! Laisse moi regarder, j’adore quand elle fait ça ... »
Délicatement je remonte sous ton short et je m’empare de ton sexe totalement dressé. Un bel engin bien dur et tout frémissant. Ta main me saisit, dans un premier temps bloquer ma progression, puis pour m’encourager à entreprendre de lentes et appuyées aller-venues le long de ta colonne. Ta respiration se fait haletante tandis que tu crispes ta main pour me maintenir encore plus serrée autour de ton phallus.
Je suis troublée moi aussi et cette situation tout à fait incroyable m’excite. Je profite de l’instant pour frotter mes seins durcis contre ton dos et mon bassin contre tes fesses musclées. Oh ! Mon Martin ! Il y a si longtemps que j’ai envie de toi ! Rêves érotiques inavouables ! J’ai tellement envie que tu sois mon autre moi même et que tu me possèdes entièrement. Je veux tes mains et ta bouche sur mon corps et mes seins, et ton sceptre dans mon ventre !
Tu aimes voir Jeanne se tordre de plaisir sur son grand lit ? Tu te raidis plus encore lorsqu’elle atteint la jouissance dans un cri à peine étouffé ? Alors j’aime à te faire exploser, là, debout et sentir couler ta liqueur dans le creux de mes mains ! J’aime sentir ton corps s’arquebouter et s’appuyer encore plus fort contre moi dans cette délivrance. J’aime que tu sois à moi, moi Maeva et je voudrais tant être à toi, toi mon Martin !
Moi : « tu as aimé ? »
Toi : « Hmmmm ! C’était à la fois doux et violent … ! »
Moi : « tu as beaucoup … donné ! »
Toi : « Très drôle ! Mais tu as fait ce qu’il fallait pour ... »
Moi : « c’était mieux qu’avec elle ? »
Toi : « Très différent ! Et nous sommes allés plus loin avec elle ! Avec toi, il faut voir ... »
Moi : « Alors qu’est ce que t’attends pour voir ... »
J’aime que tu m’emportes dans tes bras pour me jeter presque sauvagement sur ton lit. J’aime tes mains malhabiles qui déchirent ma nuisette pour te livrer mon corps à nu. J’aime ta bouche pressée qui suce mes tétons érigés. J’aime tes mains brûlantes qui agrippent mes jambes pour les passer sur tes épaules. J’aime ton visage qui s’enfouit entre mes cuisses. J’aime tes lèvres qui s’emparent des miennes. J’aime ta langue qui me fouille au plus profond …
Et la porte de la chambre qui s’entrouvre sur la silhouette toujours dénudée deJeanne. Quelques pas vers nous, un léger sourire bienveillant accroché aux lèvres, le regard fixé sur nos ébats. Je suis troublée, à la fois d’être surprise ainsi avec Martin, et par sa belle nudité où son sexe aux lignes parfaites s’ouvre comme une offrande. Je n’aurais jamais imaginé avoir un jour envie de faire un cuni à une femme un peu mature ...
Moi : « Toi Jeanne …. ???? »
Elle : « Oui ! Je vous voyais faire tous les deux tout à l’heure sur le balcon »
Moi : « Et ça ne t’a pas gênée qu’on te regarde ? »
Elle : « Pas du tout ! Martin a l’habitude et j’aime qu’il me regarde en se masturbant, avant de passer à des choses plus ... sérieuses … »
Moi : « Oui il m’a dit ! Et maintenant que je connais vos petit secrets, je pourrai participer ? »
Elle : « Si je peux me joindre à vous, tu vas tout de suite participer ... »
Moi : « Bien sûr Jeanne ... »
Inédite pour moi que cette position à trois en forme de triangle à même le sol. Martin, la tête enfouie entre mes cuisses qui me lèche ardemment la fente. Jeanne qui a pris en bouche son phallus pour une fellation endiablée. Et moi qui entreprend de lui goûter sa belle petite chatte rose toute lisse. Tout n’est plus que gémissements, petits cris et râles de plaisir et jeux de langues et de bouches pendant de longues minutes …
Ouiiiiiii ! mon Martin ! Ouiiiiiii ! Tes mains douces s’emparent de mes seins épanouis. Sous tes caresses légères et délicates, ma peau se granule, les pointes de mes larges auréoles rouges se dressent. Les ondes électriques courent le long de mon ventre pour se rejoindre à l’épicentre de mon corps. Mon désir se fait encore plus intense que trahit ma respiration haletante.
Délicatement, ta bouche embrasse les lèvres de mon sexe qu’envahit une douce humeur. Abandonnant mes seins durcis, tes mains courent sur mon dos jusqu'à s’emparer de mes fesses rebondies qu’elles explorent dans les moindres recoins. Mon bassin s’anime et je te caresse les cheveux pour t'encourager dans ton entreprise.
Intrépide, ta langue s’insinue dans mon sillon, écartant largement les lèvres pour boire à ma source. Elle me parcourt consciencieusement à la recherche de mon petit bouton du plaisir qui bourgeonne à ton délicieux titillement. Des ondes de désir me tétanisent le ventre, ma respiration se fait plus haletante à l’approche du plaisir. Le miel de Jeanne coule abondamment de sa fente et inonde ma bouche. Je la sens elle aussi toute proche du but …
Mon Martin, je te griffe sauvagement le dos lorsqu’enfin mon plaisir explose dans mon ventre et que je j’explose dans un râle. Ouiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii ! Je jouiiiiiiis ! Encooooooore ! C’est boooooooon ! Ouiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiii ! ... Je voudrais que ça n’en finisse pas, que surtout ça ne s’arrête pas … Les cuisses de Jeanne m’écrasent le visage, son corps s’arqueboute et un feulement aigu révèle qu’elle aussi atteint le nirvana du plaisir.
Moi : « c’était formidable Martin ! Ça faisait si longtemps que j’en avais envie et que j’attendais ce moment ! »
Martin : « Moi aussi j’en avais très envie et tes exhibitions quasiment nue n’ont rien fait pour me calmer. Mais j’ai craint que tu ne veuilles que m’allumer ... ».
Jeanne : « Ne culpabilisez pas ! C’est une belle preuve d’amour que de briser ce tabou ! ».
Moi : « Et Henri, il est au courant pour vous deux ? »
Martin : « Parfois il nous regarde faire Jeanne et moi. Mais jamais il ne se mêle à nos jeux ... ».
Jeanne : « Ne soit pas inquiète Maeva ! Il ne fera jamais rien, que si tu lui demandes ! D’ailleurs c’est Martin qui a un jour voulu ... ».
Tu es assis sur le bord du lit et nous, assises à même le sol à tes pieds. Nous jouons distraitement avec ton phallus encore dressé et tout raide comme un bâton et tes parties gonflées de liqueur. Une petite caresse par-ci, un petit coup de langue par là, un bisou sur son extrémité, une prise en bouche rapide … Tu apprécies car ta main caresse notre chevelure pour nous encourager à poursuivre. « Jeanne, raconte moi votre première fois à vous deux ! ».
« Nous étions seuls à la maison Martin et moi. Je ne travaillais pas ce matin là et il n’avait pas cours, mais je ne savais pas qu’il était à la maison. Alors quand je me suis levée, je suis venue boire un café toute nue à la cuisine avant de prendre ma douche. Martin était là assis à la table, mais pas plus habillé que moi. J’ai tout de suite remarqué qu’il avait une belle érection qu’il caressait doucement en regardant sa tablette …
… il m’a vue, et donc pour ne pas créer une gêne qui aurait pu le rendre honteux, je n’ai ni fait demi tour, ni je me suis couverte. Il fallait que les choses restent naturelles, tu comprends ? Je me suis approchée et je me suis assise tout contre lui. J’ai vu sur son écran des photos de toi très déshabillées et très sexplicites. Des photos volées dont tu n’étais pas au courant m’a-t-il affirmé. J’avoue que j’étais très fière de ton corps et un peu jalouse …
Pour lui montrer que la masturbation est un acte naturel, j’ai tourné Martin vers moi, je me suis mis la main entre les cuisses et j’ai commencé à me caresser aussi. Je lui ai pris la main pour la reposer sur son sceptre et je l’ai accompagné pour qu’il reprenne ses aller-venues sur sa tige. Les yeux rivés sur ma main qui fouillait ma fente, il n’a pas fallu bien longtemps pour qu’il accélère la cadence et qu’il explose en m’arrosant abondamment de sa liqueur.
J’étais troublée de le voir faire et un peu frustrée de me retrouver seule au milieu du gué. Alors je l’ai emmené sous la douche et je me suis mise à genou pour le prendre dans ma bouche afin de réveiller ses ardeurs qui sont revenues rapidement. Je me suis mise à quatre pattes pour qu’il me pénètre en levrette et, cette fois, nous avons joui tous les deux assez sauvagement. Martin est un bon amant Maeva, tu sais ! ... ».
Ce récit de tes exploits m’excite particulièrement, mon Martin. Ta belle queue bien dressée est pour moi maintenant ! Laisse moi t’allonger sur le dos et m'accroupir sur toi. Je sens ton sexe s’enfoncer en moi au plus profond et je joue à l’ascenseur sur ta colonne. Tes mains agrippent mes seins pendant que Jeanne te lèche les parties et les avale dans sa bouche. De temps en temps je sens sa langue qui s’insinue entre mes fesses à la recherche de mon petit trou.
Dépêche toi mon Martin ! Je ne vais pas pouvoir t’attendre longtemps ! J’ai trop besoin de te sentir te réprendre en moi ! Ouiiiii ! C’est çaaaaa ! Encore plus viiiiiiiite ! Ouiiiiiiii ! Giiiiiiiicle en moi ! Ouiiiiiiiiii ! Encoooooore ! Ouiiiiiiii ! je jouiiiiiiiiiiis ! Ouiiiiiiiiiiii c’est booooooon ! Viiiiiiiiiide toi dans mon antre ! Ouiiiiiiiii !!!
Rassasiée je m’effondre sur ton torse en te gardant en moi. La porte se referme doucement sur Jeanne et je m’endors dans tes bras ….
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Commentaires de l'histoire :
Micfou
Bravo, bien écrit, bien bandant. J'attends la suite avec Henri. Un trio Martin/Henri/Maeva ? Une expérience gay Henri/Martin sous les yeux des dames ?
Posté le 23/10/2022
descollages
Très très chaud ! J'adore !...8)
Posté le 20/10/2022
Pongodu21
Merci à l'auteur. Très jolie histoire bien excitante qui va surement me faire rêver cette nuit. Continuez à écrire vous avez un réel talent.
Posté le 18/10/2022
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