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Le Colonel prend possession de Laura

2ème partie: Laura a choisi de se soumettre pour sauver sa famille...Le Colonel prend possession de celle dont il rêvait...

Proposée le 4/03/2016 par laura saintclair

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Thème: Femme dominée
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Sans contrôle, les mains de l’étudiante vinrent se poser sur les hanches de sa maîtresse. De sa cuisse, celle-ci poursuivait l’excitation du jeune sexe. La couture de son bas venait chatouiller des lèvres de plus en plus humides. Progressivement, le bassin de Laura se mettait aussi en action. Une sorte de va et vient coulissait sur le nylon noir. Ioana tenait sa proie une main plongée sur sa délicate poitrine, l’autre, se baladant dans ses longs cheveux. Sa langue caressait les fines lèvres de Laura. Celle-ci lui répondant en l’aspirant dans sa bouche. Leurs salives se partageaient maintenant comme l’acceptation de la soumission. Elle la fît se coucher sur le bureau du Maître. Celui-ci se régalait de plus en plus. Sous ses yeux, sa convoitise était comme subjuguée, incapable de réaction hostile, soumise aux désirs de ses nouveaux Maîtres. Il prenait plaisir à caresser son chibre déjà bien droit.

Laura était étendue devant lui, sur son nouveau bureau, les jambes arc-boutées sur le rebord. Ioana, à califourchon sur son magnifique corps lui pinçait les seins tout en continuant à l’embrasser. Laura, les bras pendant du bureau fût bientôt obligée de les poser sur les fesses de sa maîtresse. Surprise par leur douceur, elle se mit à les caresser du bout des doigts. Ceux-ci se promenaient, maintenant allègrement, sur ses fesses, sa croupe, son dos.
« Maintenant, je vais te goûter ma petite pute » lui dit sa maîtresse. Le sexe de l’étudiante s’offrait largement sur le rebord du bureau. Face à lui, Ioana l’observait envieusement. Les yeux fermés, Laura eu l’instinct de resserrer les jambes. Rapidement, ses genoux furent à nouveau écartés. « Vas-y Ioana fait d’elle une bonne petite pute ! Je suis certain qu’après elle priera pour se faire sucer !!! » A ces mots Laura Fût à nouveau bien embarrassée. Elle était prise dans un bien drôle de jeu dans lequel chaque cellule de son corps brûlait d’envie d’être ainsi offerte et de sa conscience qui tentait vainement de lutter.

Les lèvres d’Ioana s’étaient posées sur les cuisses de Laura. Elles progressaient dangereusement vers le sexe pubère. Lorsque sa bouche vint au contact de celui-ci, un éclair parcouru son corps. Elle ne put masquer un petit gémissement. Elle n’y pouvait rien, la langue experte de sa propriétaire ouvrait la porte d’une jouissance jusqu’ici inexplorée. Son sexe s’ouvrait progressivement. Il laissait échapper un liquide visqueux dont Ioana savait apprécier le goût sucré. Elle ne pouvait s’en empêcher, ses mains se portèrent sur la tête de sa persécutrice qu’elle invitait à plonger d’avantage dans son entrejambe. Le Colonel ne se tenait plus. Il avait une envie folle d’être lui aussi caressé par sa proie. Il lui prit une main et la dirigea vers sa bite gonflée. Laura revint quelque peu à elle et tentait de retenir, inutilement, l’emprise du vieux porc. Plus sa main avançait, plus elle regardait l’organe. Sa bite était épaisse, brune et recouverte de nervure. De son extrémité suintait un liquide doré. Du dos de la main, elle fit sa connaissance. Elle fût d’abord étonnée par la douceur de l’engin. Il lui fit poser un doigt sur le liquide dont une goutte vint s’y déposer. « Suce ton doigt maintenant salope ! » Se souvenant des paroles du maître en cas de désobéissance, elle s’exécuta et porta son doigt à sa bouche. D’abord dégoûtée, elle mit la goutte séminale sur ses lèvres et alla la cueillir de sa langue. Le dégoût s’atténua et elle trouva le liquide étonnamment agréable. Était-ce l’emprise qu’Ioana exerçait sur son excitation ou bien sa vraie nature, mais elle ne pouvait toujours pas s’empêcher de participer à ce jeu infâme. Sa main fût à nouveau posée sur le sexe en érection. Guidée par la main du Colonel, elle dut commencer à le branler tout en se faisant sucer la chatte par Ioana. Il n’y croyait pas. La fille qu’il avait toujours voulu, qui obsédait ses nuits était maintenant devant lui occupée à le branler. Il se dit qu’il faudrait un peu la déniaisée mais qu’il s’agissait d’un bon début.

Pendant ce temps, Ioana avait discrètement plongé une main dans un tiroir. Elle en sorti une petite boîte métallique. Elle l’ouvrit et passa son doigt sur la crème qu’elle contenait. Un sourire en coin, elle s’avait très bien ce qu’elle produirait sur Laura. Maintenant, elle en était certaine ! La proie leur appartiendrait totalement dès ce soir ! Elle entreprit en léger massage du clitoris tout en poursuivant de fouiller le jeune sexe de sa langue.

Une chaleur terrible envahi son corps. Laura ne pouvait plus retenir son bassin qui allait à la rencontre de la bouche d’Ioana. Elle regardait cette dernière tout en continuant de branler son tortionnaire. Elle ne s’en était pas rendue compte mais il ne guidait plus sa main. C’était bien elle seulement qui donnait du plaisir à son maître. « Tu aimes cela petite pute ? ». Le restant d’éducation empêchait la jeune fille de répondre. Pourtant, dans peu de temps, les limites seraient encore repoussées. Elle ne pu bientôt plus s’empêcher de gémir. Un plaisir intense montait en elle. D’un coup, tout son corps se crispa. Elle referma les jambes et emprisonna la tête d’Ioana sur son sexe brûlant. Il dégoulinait et emplissait la bouche d’un jus délicieux et important. L’étreinte se desserra. Ioana remonta vers la bouche de Laura et échangèrent un long baisé. Elle goûtait son propre jus qu’Ioana déversait petit à petit. Elle aimait ce moment et sera fort son corps sur celui de sa maîtresse.
Pourtant, son corps ne lui laissa pas beaucoup de temps. Elle sentit la chaleur à nouveau monter…

Le colonel, lui, bandait toujours comme un taureau. Il avait rapproché son gland de la tête de Laura qui continuait de doucement le branler. Lorsqu’elle s’en aperçut, elle n’eut aucun mouvement de recul. Au contraire, son esprit ne souhaitait qu’une seule chose : le goûter. Ioana remarqua aussitôt le trouble de la jeune fille. D’une main, elle saisit sa tête et de l’autre la bite luisante. Laura se laissa faire, elle ne pouvait lutter contre son propre désir. Lorsque le gland toucha ses lèvres, elle poussa un gémissement. Ioana avait repris de la branler à l’aide sa cuisse ennylonné. « Vas-y ma belle pose ta langue sur la queue de ton maître » « tu lui appartiendra pour toujours ». Laura acceptait maintenant cette proposition. Ses lèvres s’ouvrir et sa langue vint au contact de la mandibule. Le Colonel poussa le bassin en avant ce qui fit ouvrir plus grand la bouche de Laura. Son gland avait pénétré la jeune étudiante. Ne sachant trop que faire, Laura profitait pour goûter à nouveau au liquide séminal. Elle l’appréciait de plus en plus. Cette bite maintenant en elle semblait apaiser ses chaleurs. Ioana provoqua un va et vient avec la tête de Laura. La queue glissait entre les lèvres de la jeune fille. Laura faisait sa première pipe. « Petite salope tu aimes hein ! Tu aimes ma bite !!! Dis-le ! Laura ne se fit pas prier. La bouche plaine, elle baragouina sa réponse. Le maître retira sa queue. Elle voulut la rattraper instinctivement. Non ! Demande ma queue ! dis que tu aimes ça ! Rouge de honte, Laura s’exécuta : « Laissez-moi pendre votre sexe, j’aime ce que vous me faites ». Il reposa sa son sexe sur la bouche qui s’ouvrit s’en qu’on le lui demande. Laura posa sa main à sa base et tout en branlant son maître le suça à nouveau.

Ioana n’avait rien perdu du spectacle. Elle sortit en gode qu’elle enduisit légèrement de la fameuse crème. Elle le dirigea à l’entrée du sexe de Laura. Les lèvres de celui-ci s’ouvrirent et acceptèrent l’intrus. Laura recommença à gémir tant le plaisir et la chaleur étaient grandes. Le gode ne rentrait qu’un petit peu. Ioana voulait préserver l’hymen de la jeune fille pour son Maître. Pourtant, le bassin de Laura tentait à chaque mouvement d’aller à la rencontre du jouet. Elle en avait besoin. L’espace qu’il comblait diminuait la chaleur. Elle se raccrochait à la bite du Colonel qu’elle avalait à présent goulûment. Elle suçait avidement le membre luisant de salive. « Je pense qu’elle est prête Maître ! ». « MMMM…encore un peu ! Elle a encore besoin d’une bonne bite dans la bouche ! Regarde comme elle l’apprécie ! ». Ioana se redressa et pu constater que la petite aimait avoir sa bouche ainsi remplie. Elle fût étonnée de la puissance de l’effet que sa langue et la fameuse crème avaient pu susciter. Le Colonel hésitait à cracher son foutre dans la gorge de l’étudiante ou dans sa chatte. Il préféra cette deuxième solution. Son désir était de la posséder entièrement dès le premier soir. Il retira sa bite. « Maintenant, je vais te faire un bébé ! Ainsi tu seras entièrement mienne ! ». Un éclair de lucidité parcouru l’esprit de Laura. « Non, je ferai ce que vous voulez mais ne me faites pas un enfant…Je, je suis trop jeune ! ». « Je ferai ce que j’ai envie de toi ! Ioana, fais- lui goûter ta chatte ». La jeune fille, malgré la chaleur, était à nouveau effrayée. Ioana remonta de son entre-jambe pour l’embrasser et la rassurer. « Ne t’inquiètes pas ! Tu vas aimer te faire prendre. Laisses-toi aller et tu verras le plaisir que tu vas ressentir. » Ses lèvres se pausèrent sur celles de Laura. Leurs langues se mêlèrent en même temps que leur salive. Le Colonel vint remplacer Ioana dans l’entre-jambe. Laura voulu refermer ses genoux. Ils furent bloqués par la tête du Maître qui avait déjà pris la place. Il admirait ce sexe presque naturellement imberbe. Sa langue se posa sur le clitoris encore bien visible. Elle fût à nouveau foudroyer d’un plaisir intense. Lui aussi savait y faire avec le sexe des jeunes filles. Ioana assise à califourchon sur le ventre de Laura sorti un sein de sa guêpière. Elle prit la main de sa proie et l’invita à le pétrir. Laura ne voyait pas l’homme qui fouillait son sexe. Elle en éprouvait pourtant énormément de plaisir et contemplait sa main se balader sur le nichon de sa Maîtresse. « Qu’elle est belle se disait-elle, que son sein est doux… ». Bientôt sa main, fût attirée vers la minette de la jolie blonde. Laura souhaitait lui rendre le plaisir qu’elle lui avait donné auparavant. Sa main et ses doigts la caressaient doucement. Ioana mouillait déjà sous ses doigts. « Goûtes mon jus ma belle ! ». Elle prit la main de Laura et la ramena vers sa bouche. Ses doigts étaient tout souillés d’un liquide visqueux. « Vas-y ! Lèche ! ». Elle suivit les conseils de sa Maîtresse et mit, d’un coup 4 doigts en bouche. Le liquide se déversa en elle. Elle eut l’impression qu’Ioana entrait en elle. Que jamais plus elle ne serait comme avant. Le liquide disparu dans sa gorge. Il lui en fallait encore. Ioana le remarqua, se redressa encore et avança le bassin vers le visage. Sans appréhension, Laura attendait la venue de l’outil de plaisir. Délicatement, il vint se déposer sur ses lèvres. Elle ne se fit pas prier. Sa langue alla se nicher volontairement dans le sexe. Un liquide important vint à sa rencontre et glissa au fond de sa gorge. Ioana sentait un plaisir intense l’envahir. « Cette petite est vraiment bonne ! » se dit-elle. Son bassin branlait sa chatte sur la bouche de Laura d’un vat et vient de plaisirs.

Le Colonel continuait d’apprivoiser Laura de sa langue et de ses doigts. Ceux-ci, posé sur son clitoris, le malaxaient sans retenue. Il ne faisait aucun doute que l’adolescente appréciait. Sa chatte était à présent béante, prête à d’autres intrusions. Il se redressa et se mit en position pour prendre pleine possession de sa chose. Laura ne pouvait toujours pas le voir engouffrée qu’elle était dans la fontaine d’Ioana. Elle sentit une étrange pression. Le gland du Colonel venait de rentrer en contact. Il fût comme absorbé par les lèvres. Le début du conduit était brûlant. Le tortionnaire savait qu’il ne pourrait plus se retenir longtemps. Il continuait sa pression. La progression se faisait sans difficulté tellement le sexe était lubrifié. Soudain, un obstacle se présenta. L’hymen vierge de la fille était la dernière paroi entre sa vie d’adolescente et celle de soumise à son Maître. Sans hésitation, il poursuivit. Laura sentait l’intrusion en elle. Elle ne pouvait à nouveau plus résister. D’un coup, elle cambra son bassin, ce qui eut pour effet de faire céder le mince filet. Elle poussa un petit cri étouffé.

Le Colonel poussa brusquement son sexe à l’intérieur. Étonnamment, il fut absorbé entièrement dans le corps de l’étudiante. Il commença un terrible aller-retour qui emmena Laura à une jouissance aussi puissante qu’inconnue. Elle crispa ses mains sur la croupe d’Ioana tout en plaquant sa bouche sur son sexe. Elle ne pouvait que gémir. L’homme la prenait par la taille et pilonnait son jeune sexe jusqu’aux entrailles. Il en avait la pleine possession. Il se retira. Laura se détacha du sexe pour soupirer : « Encore ! ». Cette demande fît sourire le Colonel qui n’en demandait pas tant. Il posa son sexe à l‘entrée du vagin. La petite pute qu’elle était devenue fit un mouvement pour venir, d’elle-même, chercher la bite toute poisseuse. Il reprit son pilonnage. Elle jouissait encore et souhaitait maintenant découvrir sa semence. Elle percevait le risque d’être enceinte de ce salaud mais cela lui était secondaire. Elle avait besoin de son sexe, de son jus en elle. Seul cela pouvait l’apaiser. Ioana se retira du visage de la petite. Elle voulait qu’elle regarde comment elle se faisait baiser comme une petite chienne. Laura regarda l’homme hideux la prendre. Cela eut pour effet d’encore plus l’exciter. Elle participait à la pénétration en allant à la rencontre de son maître. Le chibre de celui-ci se gonfla et d’un coup puissant libéra une quantité énorme de semence dans l’utérus de la jeune fille. En grognant, « tiens, tiens Laura !!! Tu es a moi pour toujours salope, salope !!! Laura gémissait d’un réel plaisir. Son bassin recherchait encore la pénétration que l’homme continuait de doucement pratiquer. Son utérus regorgeait de foutre. Lorsque le Colonel se retira, de la semence s’écoula le long de ses cuisses. La mandibule était encore bien dressée. Il était couvert d’un mélange de semence, de cyprine et d’un peu de sang. Le Maître satisfait de voir le sexe complètement ouvert et souillé de sa semence se dirigea vers le visage de Laura. « Vas-y suce ma salope ! Goûte ma semence et nettoie-le de ta langue ». L’excitation de Laura était quelque peu passée. Avec difficulté, elle reprit le sexe en bouche. Le goût inconnu du sperme était dans sa bouche. Ici aussi, elle en aimait la saveur. Pendant plusieurs minutes, elle continua de le piper. Au plus le temps passait, au plus l’excitation du Colonel et de Laura remontait. Sa bite était à nouveau bien dure et pilonnait la gorge de l’adolescente. Celle-ci gémissait bien fort. Elle l’engloutissait le serrant de ses lèvres. Il tenait sa tête entre ses mains et la baisait littéralement par la bouche. Une nouvelle fois, il ne put se retenir bien longtemps…Il plaqua son sexe au fond. Laura sentit le sexe se gonfler. Un geyser de sperme vint lui couvrir la bouche. Par la puissance du jet, elle eut un petit haut le cœur qu’elle ne put que ravaler. Son visage toujours plaqué contre le bas ventre du Colonel, la bouche remplie de semence, elle ne pouvait plus respirer. « Avale ! ». Laura avala la semence. Elle dut s’y reprendre à deux fois vu la quantité. L’homme se retira et un fin filet de foutre s’échappa de ses lèvres. Ioana vint embrasser la jeune fille qui le lui rendit. Elle s’échangeait le restant de sperme de leur Maître. Épanouie, Laura caressait la jolie blonde et se blottit contre elle.

Non loin de là, une famille avait assisté à toute la scène. Une caméra avait tout filmé. Dans une cellule, ses parents pleuraient de l’intoxication perverse de leur fille. Dans une autre, le jeune frère y avait été isolé. Il s’y trouvait habillé d’une longue chemise de nuit blanche et n’avait pu quitter la télé du regard. Gêné, il n’avait pu se retenir d’avoir une érection et se touchait le sexe. Il ne put retenir son éjaculation qui se lova sur son ventre imberbe. Après le spectacle, il inspecta sa cellule. A côté d’un lit douillet aux grandes dimensions, était déposé des vêtements et des chaussures de femmes dont il ignorait encore la destinée.

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Commentaires de l'histoire :

chipy
Une histoire jouissive, pour une amatrice de bas nylon et autres lingeries sexy, vivement la lecture de la suite de ce récit !
Posté le 24/02/2017


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