Il s'agit du début d'une histoire en plusieurs volets. Laura, jeune étudiante, devant se soumettre aux bons plaisirs d'un Colonel tyrannique et de sa belle complice. Pour sauver sa famille elle obéira à leurs envies et découvrira les plaisirs du sexe
Proposée le 15/02/2016 par laura saintclair
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Introduction.
Depuis un certain temps, des troubles sévissaient dans la région et un climat de crainte s‘installait dans la population. De jour en jour, le pays frontalier étendait son emprise en revendiquant l’importante source pétrolifère de la province. Depuis toujours, cet agresseur considérait ses voisins comme des sous-hommes, des subalternes destinés à se soumettre à leurs désirs.
Laura venait d’avoir 19 ans, brune, les cheveux longs, tous la reconnaissaient comme l’une des plus belles filles de la ville. Nombreux avaient été les garçons à espérer la séduire. Le soir, ils rêvaient de ses charmes, de ses courbes parfaitement proportionnées, de son visage lisse et fin. Ils s’imaginaient de chaudes aventures qui se terminaient par une furtive éjaculation entre leurs doigts. Pourtant, en bonne fille sage, Laura n’avait jamais été vue seule avec un garçon. Elle trouvait son bonheur dans la littérature et dans le sport qu’elle pratiquait assidûment. La famille était importante dans son équilibre. Elle avait énormément d’admiration pour son père. Celui-ci, après de brillantes études, avait pu rejoindre la compagnie pétrolière et gravit rapidement les échelons. Aujourd’hui, il était son dirigeant régional et connaissait parfaitement les rouages tant de l’extraction que du commerce du pétrole.
Des exactions commises par ses voisins, Laura n’en avaient qu’un lointain écho. Elle voyait bien son père se tracasser, les passants en parler de plus en plus régulièrement, mais elle était loin de se douter dans quel chemin cette situation allait la mener.
Ce jour d’octobre, elle n’allait jamais l’oublier. Les forces spéciales avaient encerclé la ville. Les tensions géopolitiques étaient telles que le monde international sombrait dans l’immobilisme. Sa province, sa ville qu’elle appréciait tant était désormais seule face au géant qui prenait le pouvoir. Son père avait bien tenté de fuir avec sa famille mais, malgré ses contacts, avait été contraint de rester, les forces de l’envahisseur ayant rapidement coupé les voies de communication. Un tri haineux pouvait maintenant se mettre en place. Soit la population se soumettait au nouveau dirigeant, soit leurs vies étaient misent en péril.
La beauté de Laura n’avait pas échappé au colonel qui administrait la ville. Celui-ci, la cinquantaine, avait été un des employés de son père avant de rejoindre l’ennemi. Le soir, Laura l’obsédait. Il avait toujours eu de l’attirance pour la « viande fraîche ». Pourtant, sa laideur et sa faible position dans l’échiquier social ne lui avait permis d’assouvir ses fantasmes. Maintenant, il réfléchissait au destin de celle qui envahissait son esprit comme lui avait envahi son pays. Sous prétexte d’un manque de collaboration avec le nouveau pouvoir, il fit arrêter de nombreuses familles. Cependant, une seule d’entre elles ne l’intéressait réellement. C’est ainsi que Laura, son petit frère de 16 ans et ses parents furent amenés devant le colonel.
Le colonel était assis derrière un vaste bureau. A ses côtés, une jeune fille blonde en uniforme se tenait debout, bien droite. L’heure n’était pas à la contemplation mais le jeune frère de Laura, David, n’avait pu retenir son regard. Il dévisageait cette jolie fille, à peine plus âgée que sa sœur, en se demandant comment une telle finesse pouvait être complice d’un dirigeant aussi féroce. La famille se tenait en ligne face au bureau. La mère et Laura baissaient le regard tandis que le père tentait une dernière carte.
« Igor, tu me connais, je t’ai souvent aidé lorsque tu travaillais pour moi. Aujourd’hui encore je pourrais t’aider. Maîtriser la technique pétrolière n’est pas simple, je peux t’y aider. »
« Je n’ai pas besoin de ton accord pour m’aider ! Aujourd’hui, tu n’as plus d’accord à donner ! Tu n’es plus rien ! Plus rien ! Ton seul pouvoir est de faire ce que je t’ordonne de faire. Ton seul gain, celui de rester en vie ainsi que ta famille ! »
« Mais ? »
« Silence ! La première règle est de te taire sauf si je te le demande ». « Tu n’es rien pour moi ! Je trouverai toujours quelqu’un pour te remplacer ! ». Le colonel se tourna vers la jolie blonde : « Ioana, fais entrer l’ancien ingénieur ! ». Ioana se dirigea vers la porte.
Elle fit entrer un homme à l’apparence cassée. Il s’agissait de l’un des ingénieurs du père de Laura. Celui-ci eu du mal à le reconnaître. En peu de temps, il avait perdu beaucoup de poids et son visage émacié le rendait méconnaissable. Dans des vêtements sales et déchirés, une odeur âcre le suivait. Il tremblait et restait silencieux. « A genoux ! » s’exclama le colonel d’une voix douce. L’ingénieur obtempéra à la seconde. « Pour que tu comprennes bien que tu es remplaçable et à ma merci, je veux que vous regardiez bien cet homme. Devant vous, il va crever. Ne bougez pas, ne dites rien ! Au moindre mouvement, c’est le petit qui y passe avec ! De toute façon, vous n’y changeriez rien, j’ai décidé qu’il ne mettait plus utile ! »
Ioana s’avança vers l’homme. Il ne bougeait plus. Toujours à genoux, probablement résigné il semblait se diriger vers la liberté. Qu’avait-il dû subir ? Comment, cet homme, pouvait-il être à ce point résigné et heureux de cette fin ? Devant lui, Ioana sorti une pilule d’une boîte qu’elle tenait dans l’une des poches de son uniforme. Une main gantée pressa la bouche du condamné. « Ouvre la bouche et tire la langue ! ». Il s’exécute. Sa bouche se referme sur la libération, doucement encadrée par des doigts fins.
Laura choisit de se soumettre
« Maintenant, je veux que vous m’écoutiez attentivement. Encore une fois, votre famille ne représente rien pour moi. Cependant, il y a une seule chose que je ne possède pas chez vous. Je veux que cette chose soit dès à présent à moi, qu’elle soit consciente de s’offrir à moi. Si cela se passe bien, vous aurez tous la vie sauf. Sinon, à chaque remontrance, je ferai vivre l’enfer à un membre de votre famille. » « Laura, tu es cette chose ! » « Silence ! » « Je veux que tu m’appartiennes volontairement. Tu as la chance de pouvoir sauver ta famille. Je te ferai découvrir le luxe et tu me serviras docilement. Ioana fais la connaissance de Laura ».
La jolie Ioana s’approcha de Laura. Celle-ci ne sachant trop que faire, décida de ne pas bouger. Sa famille l’observait. Ioana caressa d’un doigt le bras de Laura. Remonta sur son épaule, son cou, passa sa main dans ses longs cheveux. Laura restait pétrifiée. Elle ne pensait pas aux caresses mais aux mots du Colonel. Ceux-ci résonnaient dans son cerveau. Il lui semblait évident qu’aujourd’hui elle devait tout faire pour sauver sa famille. Lui permettre de survivre. Sans s’imaginer la suite, sa décision était prise. Elle acceptait le marché.
Les caresses continuaient. Ses parents ne regardaient plus tandis que son petit frère regardait du coin de l’œil. La main d’Ioana était maintenant dans le bas de son dos. Elle remontait sous son chemisier.
Le colonel ravi de sa docilité s’exprima à nouveau. Je vois Laura que tu laisses Ioana te découvrir. Tu verras bientôt tu prendras du plaisir. En prenant et donnant du plaisir, tu sauveras ta famille. Alors que choisis-tu ?
D’une petite voix Laura répondit : « Oui je veux bien ».
Je n’entends rien. Tu veux bien quoi ?
« OUI, je veux bien vous appartenir et sauver ma famille ».
« Faites sortir la famille !»
Maintenant seule avec son nouveau propriétaire et son assistante, Laura, craintive, attendait la suite. « Depuis longtemps, je te considère comme la plus jolie fille du pays. Je me doute que sans les circonstances d’aujourd’hui jamais tu n’aurais eu un regard pour moi. Maintenant, tu as décidé volontairement de m’appartenir. Je t’en remercie. Mais attention ! A chaque refus de ta part, c’est ta famille qui en subira les conséquences. Ioana, continues tes présentations avec notre nouvelle recrue ! »
L’initiation commence
Ioana s’approcha à nouveau, un léger sourire sur les lèvres. Ioana aimait les filles, surtout jeune et jolie. Leur timidité et leur corps aux formes naissantes l’excitaient profondément. Aujourd’hui, elle portait un tailleur bleu marine sur un chemisier blanc, des bas noirs et des talons. Sachant que cela plaisait à son maître, elle avait également revêtu une guêpière grise qui remontait avantageusement ses formes. En regardant sa nouvelle étudiante, une goutte perla sur le bord de ses lèvres vaginales. Son sexe, entièrement épilé, mouillait déjà une adorable culotte noire.
Elle était derrière Laura. D’une main, elle caressait son ventre. L’autre remontait son bras se dirigeant vers sa poitrine. Laura ne se faisait plus de doute sur ce qui l’attendait. « Ecarte tes jambes ! » L’ordre résonna dans sa tête. Remplie de honte, elle s’exécuta. Son entrecuisse ainsi offert, Ioana passait sa main sur ses cuisses. Pour l’instant, son jeans serrant protégeait encore son intimité. Une main était maintenant sous son chemisier et caressait son soutien-gorge. Il était blanc et d’une matière très douce. Laura baissa la tête, ses cheveux devant son visage. Igor prenait son pied. Il appréciait de voir cette beauté se faire ainsi découvrir et être à sa merci. « Écarte tes cheveux ! ». Laura passa ses mains dans ses longs cheveux et les rangea derrière ses oreilles.
L’exploration continuait. Une main se posait maintenant sur son sexe. Un mouvement de recul instinctif lui fit refermer ses jambes qu’Ioana écarta à nouveau. « Ouvre ton chemisier ! ». Les jambes écartées, les doigts tremblants, Laura obéi à son nouveau maître. Sa poitrine apparaissait maintenant. « Caresses toi les seins ! ». L’étudiante n’avait que peu l’habitude de se toucher. Sachant sa famille en danger, elle s’exécuta. Sa main parcourait son soutien-gorge. Toujours les jambes écartées, elle se touchait devant Ioana et Igor qui contemplaient leur nouvel instrument de plaisir. Elle fut étonnée de sentir ses tétons se durcir. Manifestement, quelque chose plaisait à son corps malgré le dégoût que lui inspirait la situation. « Ok ! Maintenant, je veux que tu retires ton jeans et ton chemisier. Hésitante, elle défi un à un les boutons de son pantalon. Se déchaussa de ses ballerines noires. Doucement, elle fit descendre son levis. Des larmes embrumaient son regard. « Écartes tes jambes et enlèves ton chemisier ! ». Elle obéit et son vêtement tomba à terre. Ses tortionnaires pouvaient maintenant admirer son corps et ses jeunes formes. « Touches toi la chatte et les nichons ! ». Elle n’avait pas l’habitude de ce vocabulaire. Cela renforça encore son idée qu’elle avait affaire à de gros porcs. Cependant, elle ne pouvait faire autrement et obtempéra aux ordres. Ses doigts se promenaient sur sa culotte et l’autre main continuait à caresser sa poitrine. Son regard se porta sur Igor et Ioana. Cette dernière avait pris le chibre de son Maître et le branlait doucement. Elle détourna le regard. « Continues de nous regarder en te touchant! Ses tétons étaient maintenant bien durs et sa culotte devenait moite. Elle se demandait pourquoi son corps réagissait alors qu’elle n’avait que dégoût pour la situation. « Fais sortir tes nichons et baisse ta culotte jusqu’aux cheville ! ». Elle commença par ses seins qu’elle fit sortir un à un. Elle avait de jolis petits seins qui pointaient sous ses propres caresses. Humiliée mais ne pouvant faire autrement, elle baissa sa culotte jusqu’aux chevilles. « Écartes bien les jambes ! ». La culotte s’écartela. Docile et ainsi offerte aux regards, elle attendait la suite.
Ioana quitta le membre déjà bien bandé. Inquiète, Laura voyait la jolie femme s’approcher d’elle. Elle posa sa main sur la fine toison de l’étudiante. Celle-ci tenta de la lui retirer mais fut rappelée à l’ordre : « tu es notre objet et tu te laisses faire ! ». Elle dû mettre ses deux mains sur ses hanches. Ioana parcourait de son index le sexe de la jeune fille. Laura sentait maintenant une douce chaleur envahir son bas ventre. Cette chaleur lui faisait du bien et avait un côté rassurant. Soudain, le doigt de Ioana devint humide. « Maître, je vous informe que nous avons affaire à une petite salope. Elle mouille déjà ! ». Le maître ricana. Laura, humilié d’être ainsi dévoilée, ne put retenir un soupir. Ioana avait maintenant trouvé une petite protubérance qu’elle se plaisait à exciter. Le corps de l’adolescente était tendu et un léger basculement du bassin fit comprendre à la main experte que l’innocente jeune fille appréciait involontairement ses caresses. « Embrassez-vous ! ». « Dès que tu es prête, tu tournes la tête et tu m’embrasses. Ne le fait pas trop attendre ! » lui glissa dans l’oreille une Ioana impatiente de découvrir le gout de sa jeune soumise. Elle mordillait le lobe de Laura, embrassait doucement le cou, parcourait de ses lèvres le visage de Laura. Celle-ci, grisée par les caresses intimes et la douceur des baisés, ne tarda pas à tourner lentement la tête à la rencontre de sa maîtresse. Leurs lèvres se rencontrèrent et Laura eu un léger recul. Ioana vint à sa rencontre et le baisé se fit plus humide. Sa langue tentait de se frayer un passage dans la bouche. Laura accepta cette intrusion et leurs langues se joignirent. Ioana avait maintenant une jambe contre l’entrecuisse tout en maintenant la tête de la jeune fille. Elles s’embrassaient profondément. Laura ne pouvait plus reculer, une certaine excitation avait pris le dessus. Elle s’abandonnait maintenant à sa tortionnaire.
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Commentaires de l'histoire :
cerisemoche
Bonjour Laura c'est votre histoire qui m'a donné envi d'écrire des histoires érotiques, vous m'avez inspiré merci.
Posté le 19/11/2021
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