Ma maîtresse est une jeune femme de vingt-quatre ans, mince, élancée, poitrine volumineuse, fesses bien rondes. Elle a l’allure d’une poupée Barbie. Si j’avais été un homme, j’aurais fait le maximum pour la séduire dans le but qu’elle soit mienne
Proposée le 19/12/2022 par NRV
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Ma maîtresse est une jeune femme de vingt-quatre ans, mince,
élancée, poitrine volumineuse, fesses bien rondes. Elle a l’allure d’une
poupée Barbie. Si j’avais été un homme, j’aurais fait le maximum pour la
séduire dans le but qu’elle soit mienne. En vérité, je suis un chanceux,
ma maîtresse m’appelle Maxou, je suis son jeune chien à qui elle donne
tout son amour, son affection, elle me nourrit, me loge, me caresse, me
serre contre elle à l’heure de ces feuilletons préférés. À vrai dire, mon
histoire n’est pas celle d’un chiot ordinaire !!!
Tout a commencé un après-midi, la température atteignait les trentehuit
degrés Celsius, c’était infernal, Mélissa était allongée sur son lit,
elle portait uniquement un string rouge vif. Je ne vous dis pas dans quel
état j’étais, je remuais la queue, je faisais le tour des quatre pièces de
l’appartement. Quand soudain elle se mit à m’appeler « Maxou
Maxoupinouuu viens mon Toutou ». Je réagis immédiatement, je cours,
bondi, atterri sur le matelas en deux-deux {expression qui signifie
immédiatement}. Wow elle se penche vers moi pour attraper mes deux
pattes, ses seins se balancent de gauche à droite, j’adore les voir !
Ensuite, elle me serre contre elle et me fait des bisous. Mélissa cette
splendide jeune femme est en manque d’affection, cela se ressent à sa
façon de me câliner comme si j’étais son doudou. Pendant quelques
minutes, ma maîtresse me tire les joues, me caresse la queue, masse
mes boules, à ce moment précis, elle n’a aucune idée de ce qu’elle vient
de provoquer. Mélissa est allongée sur le ventre, les jambes
légèrement écartées, ses orteils pointent vers le plafond. Je sens ma
queue durcir, en voyant les courbes de son corps d’ange telle une
déesse représentée sur une peinture.
Là, je commence à lui lécher les lèvres avec vivacité, elle me fait des
bisous. D’un coup, je deviens incontrôlable, je cours, me dirige entre ses
jambes et la lèche dans toute cette zone. Mélissa sursaute, se retourne
et me dit :
- Maxou, mais que fais-tu ?
Là, j’aperçois son gros clitoris qui est moulé dans sa culotte rouge, je
passe à l’attaque. Je tire ma grande langue et la pose sur son clitoris,
j’effectue un mouvement imitant celui d’une vague, rentre ma langue
dans ma bouche et je recommence. Ma maîtresse surprise me regarde
d’un air étonné, sans rien dire, alors je remets sa, jusqu’à provoquer en
elle le désir. Soudain, elle me dit en gémissant :
- Ouuu Maxouuu, c’est bon !
Sa voix tremble, elle meurt d’envie d’un rapport sexuel. Elle commence
à baisser son string du côté droit, mais se rappelle soudainement que je
suis son animal domestique. Elle me sort un :
- Vilain chien-chien
Et puis elle parle encore et encore. J’aboie trois fois de suite pour lui
rappeler que je suis « le Dog », maintenant qu’elle est sous mon
commandement, elle joue le jeu et se laisse faire. Donc je continue à
caresser son clitoris de la langue. La demoiselle lève les deux jambes
pour enlever sa culotte. Au ralenti je vois ses seins trembler, ils
rebondissent l’un contre l’autre. Et puis son clitoris se met à durcir et à
se soulever à plusieurs reprises, tout comme le pénis d’un homme. Son
trou s’ouvre devant mes yeux ébahis, alors je pose mes pattes de
devant sur ses cuisses et la pénètre d’un coup sec. Évidemment, je suis
un chien en chaleur, je lui donne des coups de rein très rapide, sans
aller au fond. Elle pose ses mains sur son visage pour se cacher. Et
puis ma maîtresse pose ses mains sur mes fesses, elle veut me sentir
au fond, elle se sert de moi comme d’un sex-toy. Je suis de plus en plus
excité, j’aboie, elle ne comprend pas ce que je veux, j’aboie de nouveau
en remuant la queue. Ses yeux pétillent, elle se met à quatre pattes, la
tête collée au matelas elle me regarde sur le côté. J’aboie deux fois de
plus, elle s’allonge complètement, glisse une main en dessous de
manière à pouvoir se caresser le clitoris.
Son liquide coule et arrose le drap auquel elle s’agrippe fermement. Au
même moment elle pousse un cri étrange et repli son corps sur le lit en
position du foetus. Puisque moi aussi j’ai envie de jouir, je me dirige vers
sa bouche et tente d’y faire entrer mon sexe. Elle me repousse, vous y
croyez. Puis elle me dit :
- Tu arrêtes !
J’aboie deux fois et elle me donne une gifle et puis me jette hors du lit.
Suis-je blessé ou satisfait ? Elle n’aura jamais la réponse. Je sais
qu’elle devrait avoir honte « la cochonne », elle ne ma même pas forcer
à mettre une capote.
Fin
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