Histoire Erotique

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Permis de construire

Nadine et son mari travaillent sur leur nouvelle maison depuis six mois maintenant. Fatiguée par l'ampleur des travaux, la femme de cinquante ans a besoin d'une petite pause. Elle décide d'inviter le meilleur ami de son fils, Antoine étudiant en médecine, pour se changer les idées...

Proposée le 15/11/2022 par descollages

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Nadine verse une bouteille de Dom Pérignon dans deux petites coupes posées sur la table de la salle à manger. Encore toute excitée par l’événement, elle appelle son mari cloîtré dans son bureau.

- " Tu viens mon chéri ?! Le champagne est savoureux  tu sais !... "

Stéphane fait grincer la porte, en se frottant les yeux. Son esprit encore plongé dans un dossier délicat qui doit partir en Préfecture dès demain. En s'avançant, il ne tarde pas à s'apercevoir que ça femme vient de déboucher un millésimé.

- " Tu es folle mon amour, elle est hors de prix cette bouteille ! "...

Une feuille de papier pliée en trois avec un tampon officiel, trône à côté d'un ravier de petits gâteaux salés. Ça ne fait ne fait aucun doute, il s'agit bien de la réponse que le couple attend depuis des lustres.

- " Ne me dit pas que... ?! " 

- " Si si je t'assure !... "

Ils se sert pudiquement dans les bras l'un de l'autre pour savourer cet instant unique.

Le permis de construire vient d'être accordé en début d'année à quelques pas de leur petite location. Ces deux fonctionnaires pas vraiment manuels, ont décidé de faire quelques travaux eux-mêmes afin de limiter les dépenses. Autant dire qu'ils ne savent pas la corvée qui les attend...

Quand arrive l'été, Nadine, semble avoir le moral en berne. La nouvelle propriété n'avance pas comme elle veut. Il existe un seul remède à sa mélancolie. La jolie brune de 50 ans à peine, décide de saisir le téléphone pour appeler le meilleur ami de son fils. Elle a vraiment besoin de se changer les idées avec ce jeune homme si courtois et cultivé.

- " Nous faisons un barbecue semaine 29, vous pouvez venir le 23 juillet ?! " interroge-t-elle de sa voix douce habituelle

Tout en croisant les doigts pour que son vœu se réalise, Nadine reste dans l'attente... Après quelques secondes de silence, Dieu soit loué ! Notre interlocuteur lui répond qu'il est disponible, malgré le programme chargé de ses études de médecine. En garçon poli, Antoine réserve la date, mais il aurait de loin préféré faire la teuf avec les autres. D'autant plus que la mère de son pote est une femme plutôt barbante, avec des conversations pour la plupart inintéressantes.

Le jour "J" arrive, Julien accueille son pote d'une poignée de main ferme et amicale. Ils se balancent des vannes, en riant dans le couloir décoré avec soin. Les deux comparses s'envoient des claques viriles sur les épaules, et se dirigent vers la terrasse. Nadine et Stéphane se lèvent de leur transat.

Tout semble préparé avec une précision chirurgicale. Déformation professionnelle sans doute. Pas de place pour le hasard, tout doit être impeccable. Le barbecue fume déjà, et le vin blanc est plongé dans le seau à glace. Autant dire que le repas risque d'être un peu monotone.

Stéphane en tirant la chaise de son hôte dit d'un ton amical :

- " Cette fois pas de vouvoiements, c'est entendu ?! "

- " Mais vous, tu..., d'accord ! "…

Nadine lui présente un verre rempli de Chardonnay qu'il saisit avec élégance. Avec une distinction qui la caractérise, Madame Hall décide de porter un toast à la future réussite de ses deux étudiants préférés.

Comme prévu la conversation tourne autour des banales actualités, un soupçon de politique, mais surtout de cette foutue maison. Symbole ultime de leur réussite sociale s'il en est.

Après un repas express, et le gâteau à la fraise trop sucré, le petit groupe décide de faire un tour dans le quartier, tranquille pour un samedi. Antoine a la chance de visiter pour la première fois la fameuse baraque, qui sans style, n'est pas vraiment à son goût. Immense, toute rectangulaire, sans parler du choix de l'enduit : gris perle.

Stéphane et son fils décident de rester. Il y a tellement à faire ici. Pas de temps à perdre. Julien a déjà revêtu une salopette de travail, et son père, complice de toujours, se saisit d'un pot de peinture plein d'entrain.

Voyant cela, Nadine et Antoine retournent au petit pavillon à pied. Tout en marchant, sans attendre, les voilà à parler littérature : leur passion commune.

- " Tu sais que j'ai eu le temps dévorer plusieurs de tes bouquins au bureau ?! "… lance-t-elle d'une voix un peu plus basse

Voilà qu'Antoine a les yeux qui brillent d'un seul coup. Il se rappelle des livres prêtés. Une collection d'ouvrages de poche qu'il avait trouvé dans le grenier de chez ses parents. Des histoires salaces imbibées de pornographie, où les personnages ne pensent qu'à une seule chose : baiser et baiser encore...

- " Ne sois pas surpris ?! J'y ai pris un plaisir infini à chaque page... J'ai vraiment besoin de m'évader de ce côté-là... Tu sais qu'avec Stéphane notre union est purement arrangée !... Je me suis pacsée avec un véritable pédé. Le pauvre ne me touche plus depuis bien des années... " !

A ces mots déroutants et imprévisibles, Antoine sent monter une érection incontrôlable. Sa bite lui fait tellement mal d'un seul coup. Le fait d'entendre cette bourgeoise coincée se livrer d'une telle façon, sans tabou, l'excite cent fois mieux que la première salope venue.

Déjà arrivés devant la petite maison proprette, ils se taisent comme pour éviter que leur petit aparté ne s'ébruite dans tout le voisinage. La maîtresse des lieux referme la porte d'entrée, et suit Antoine vers la salle de séjour baignée de lumière.

Dans la cuisine, silencieuse, Nadine s'emparent des couverts sales, pour les mettre au lave-vaisselle. Elle se cambre avec insistance pour les disposer en ordre, et demande au jeune homme de lui apporter les autres assiettes.

On ne pas dire qu'elle ait un cul de déesse, ses fesses un peu tombantes, n'attirent pas vraiment le regard ,mais sa silhouette ne laisse pas indifférent. Des petits seins bien fermes se dessinent à travers sa robe légère. Un décolleté sans prétention ajoute une touche subtile d'élégance à cette femme tellement guindée.

Aujourd'hui, Antoine semble porter plus d'intérêt à ses jolies anches bien dessinées... Dès quelle se redresse et se tourne vers l'évier métallique, le jeune étudiant en profite pour la saisir fermement par la taille. Elle sursaute un peu sous l'effet de surprise, mais se laisse volontiers tripoter, en fermant les yeux. Le souffle chaud du séducteur, envoie des frissons délicieux sur sa nuque dégagée.

- " Hum c'est tellement bon, tu peux continuer de t'occuper de mes seins si tu veux ?! " murmure-t-elle sans se retourner.

Antoine ne se fait pas prier. Ses longs doigts un peu maladroits s'occupent de masser les tétons dressés sous le soutien-gorge. Pas tout à fait décider à lui retirer la pièce de lingerie, il continue de caresser les globes de chair fermes avec lenteur. La femme se cabre de bonheur et sent contre ses fesses le membre viril se frotter par petits mouvements.

- " Antoine comme tu es futur médecin, baisse-moi la culotte et fait moi un toucher rectal s'il te plaît ! " ordonne-t-elle d'un voix suave

Au début un peu désemparé par la requête, le jeune homme hésite, puis baisse la culotte blanche transparente et invite doucement Nadine à bien se pencher en avant comme le veut le protocole.

Puis ayant pris la peine de sucer son doigt, il introduit le majeur dans l'orifice. Curieusement celui-ci n'éprouve aucune résistance à se laisser pénétrer. En faisant le contour, Antoine constate quelque chose d'anormal. Les parois de l'anus forment des petites lèvres de chair aussi épaisses que le sexe d'une femme.

- "Alors qu'en penses-tu ?!" dit-elle sur un ton légèrement aguicheur

Le jeune homme ose à peine lui répondre, encore sous le choc de la surprise.

- " Euh... Et bien c'est à dire... "

- " N'aie pas peur ! Je suis ouverte à tout tu sais ?! " insiste-t-elle

- " Pour être franc, j'ai l'impression que vous avez dû introduire des objets de taille plutôt imposante pour arriver à ce résultat... je me trompe ?! "

Nadine se retourne vers lui, affichant un sourire lumineux. Comblée par le diagnostic, elle cherche d'une main la braguette du jeune praticien, pour libérer son sexe gonflé d'excitation.

- " A partir de maintenant, il va falloir que tu me fasses entièrement confiance... Promis ?!... Dit-elle d'une voix claire, tout en branlant avec aisance le pénis un peu gluant

- " Tout ce que vous voudrez, euh tout ce que tu voudras  ! " marmonne-t-il sans réfléchir

En femme d'expérience, Nadine sait que le jeune homme ne va pas tarder à jouir sous ses caresses. Prestement, elle se saisit d'une grande tasse à café propre sur le plan de travail. Sa main continue les va-et-vient de plus en plus rapides, et dirige le sexe tendu dans le mug de porcelaine rouge.

Un formidable jet crémeux s’échappe du gland tendu au maximum. S'en suit une série de plus petits jets tout aussi puissants. Le sperme accumulé commence à former une couche épaisse au fond de la tasse. Encore quelques gouttes, et le petit jus d'amour cesse de couler.

Nadine très attentionnée, prend bien soin d'essuyer le gland devenu mou, le long des parois en porcelaine. La quantité obtenue semble grandement la satisfaire. Les yeux remplis d’étincelles lubriques, elle s'adresse à Antoine en lui caressant les couilles toutes pendantes.

- "Est-ce que tu aimes les smoothies ?! Je peux t'en faire un si tu veux... il va falloir que tu reprennes un peu de force, je t'ai préparé un programme digne d'un athlète de haut niveau... "

- "Euh oui pourquoi pas ?! " répond le jeune homme à peine remis de son effort

Le maman de son meilleure ami a toujours eu la réputation d'être une excellente cuisinière. Elle découpe une banane en morceaux, rajoutent des framboises prises au réfrigérateur, et mixe le tout avec application.

- "Peux-tu t'asseoir dans le salon, je t'apporte ça tout de suite ! " lâche-t-elle d'une voix enjouée

Sans que le jeune homme ne s'en aperçoive, la cuisinière mélange la semence visqueuse, encore tiède, à l'ensemble de la mixture fruitée. Puis se dirige discrètement vers un tiroir du buffet contenant plusieurs boîtes de médicaments.
Une seule l'intéresse. Ouf il en reste encore...

Un petit cachet bleu de forme ovale est extrait d'une plaquette d'aluminium. Enfin, à l'aide d'un mortier, elle pile rapidement l'ensemble pour le réduire en une poudre extrêmement fine. Le mélange final est versé dans un long verre transparent. Il n'y a plus qu'à servir...

- "Tu vas te régaler mon poussin " Lance-t-elle en s'avançant vers le canapé

Antoine boit avidement le breuvage délicieux à l'aide d'une paille rouge et blanche. Il repose le verre vide, se léchant les lèvres avec la langue, sans détecter la moindre saveur suspecte.

Nadine l'embrasse sur la bouche avec délectation. Pendant que leurs deux langues se livrent un petit combat impudique, elle joue avec les poils de son entrejambe, repensant à l'ingrédient spécial qu'elle a insidieusement rajouté dans son cocktail.

Mais comme le temps passe. Il faut faire vite, car le planning prévu va demander encore une fois, un minimum d'organisation.

Soudain un sms  sur le portable de Nadine fait retentir une courte sonnerie :

stéphane-love : on a pris du retard, nous rentrerons dans 2 heures au moins, bisous

Nadine toute ravie répond immédiatement :

Maman-nadine : ok, on a prévu de regarder une rediffusion de la " Grande Librairie ", bisous mon amour...

stéphane-love : ok ! 8)

La femme brune passe la main dans ses cheveux, et repose le smartphone sur la table basse en boit brut, d'un air satisfait.

- "Je t'emmène à l'étage, dans notre chambre à coucher, nous serons plus à l'aise là-haut... " murmure-t-elle à l'oreille de son jeune amant

Se tenant par la main, le petit couple monte l'escalier de bois. Les talons de Nadine claquent bruyamment sur les marches. Elle se rattrape de justesse au bras d'Antoine manquant de faire une chute, tellement excitée par le caractère érotique de la situation.

En poussant la porte, Antoine regarde étonné la pièce décorée avec beaucoup de minutie. Plutôt style baroque, la tapisserie affiche des motifs en relief raffinés noirs sur un fond rouge vif. L'ensemble du lit est en fer forgé laqué gris anthracite. Les barreaux lisses, plutôt fins, sont terminés aux quatre coins par des boules dorées en laiton.

Le couvre-lit fleurit, en tissus doux très épais invite à se coucher immédiatement dessus. Tout autour, d'immenses miroirs encadrés par des baguettes de lambris beiges, renvoient l'image du couple sous tout les angles.

Nadine ferme les volets, et joue un peu avec l'intensité de l'éclairage. La lumière chaude, baisse considérablement pour que le jeune homme se sente le plus à l'aise possible

Elle décide de se mettre à poil directement, et ouvre un battant de l'armoire pour choisir une tenue plus appropriée, en exhibant ses jolies courbes.Un index sur les lèvres, il semblerait que son choix se porte sur un modèle S.M.

Elle aime beaucoup le côté minimaliste des lanières assemblées avec des clous argentés. Ses petits seins et sa chatte sont davantage mis en valeur grâce aux pièces de cuir noir, placées judicieusement. A l'entrée de son sexe un peu poilu, un simple anneau de métal brillant, relié à une ceinture toute fine, apporte la touche finale.

Une fois sa tenue enfilée, elle tend les bras pour attraper au-dessus de l'armoire un coffret métallique en fer blanc, qu'elle pose délicatement sur lit. Puis d'un geste énergique, fait glisser sur le parquet flottant un curieux appareil...

Antoine bouleversé par la métamorphose de cette femme soit-disant coincée, commence à bander terriblement. Mais cette fois, on dirait que son cœur bat trop rapidement, il sent même des sueurs froides couler le long de sa colonne vertébrale.

- "Quelque chose ne vas-pas ?! " lance-t-elle d'une voix amusée tout en sachant pertinemment la substance qui le met dans cet état...

Le pauvre est victime d'une érection incontrôlable... Les veines sur les côtés se gonflent beaucoup trop, chacune prête à éclater. Son gland a triplé de volume sous la pression sanguine et palpite douloureusement.

- " Mets-toi à quatre pattes sur le lit j'ai envie de fouiller ton cul avec ma langue ! " dit-elle en le fixant d'un regard flamboyant

Un peu honteux, voilà Antoine en position qui commence à sentir une langue chaude lui lécher son petit trou. Peu habitué à ce genre de ravissement, son étroit orifice envoie des petites décharges électriques tout à fait délicieuses. Nadine décide d'aller plus profondément par saccades, puis lèche avidement la totalité de la fente parfaite qui se tortille de plaisir.

- "Je vais te préparer, tu dois te détendre d'accord ?! " murmure-t-elle à son oreille

Un doigt humide de salive branle littéralement la petite rondelle serrée. Elle fait tourner son index de temps en temps, pour essayer de relaxer l'orifice peu enclin à ce genre de pratique. L'exercice va durer environ cinq minutes... Un bonheur incomparable.

Puis, les fermoirs de la mallette métallique claquent, pour laisser s'ouvrir le capot argenté. Toute une collection de sex-toys de différents modèles n'attendent qu'une seule chose. Mais commençons par celui de taille moyenne, rose fluo, imitant la forme parfaite d'un pénis honorable.

Nadine le lubrifie de sa salive. Elle gobe l'engin entièrement, et le fait coulisser dans sa bouche, comme pour exécuter la fellation idéale. Sa langue termine par le contour du gland, en crachant dessus une bave onctueuse et abondante.

Sans prévenir le jeune asservi, elle introduit l'objet phallique avec douceur dans le petit trou serré de celui-ci. Le voilà rempli d'un seul coup par ce corps étranger. Quelle sensation étrange ! Sa petite rondelle d'habitude striée, épouse rigoureusement pour la première fois cette chose en silicone, non sans quelques douleurs surprenantes au début.

Elle branle son cul lentement, puis accélère, puis ralentit comme une pénétration classique. Il faut donner du rythme. Antoine secoue son cul, c'est lui qui maintenant impose la cadence semble-t-il. Au début timidement, mais cette fois son corps en mouvement réclame davantage !

- "Je crois que tu es prêt pour l'ultime étape mon chéri ! "… Lance-t-elle d'une voix suave...

Nadine lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le parquet de la chambre. Elle saisit deux jolis coussins rouges en forme de cœur, pour qu'il puisse mettre ses genoux dessus confortablement.

- " Je vais placer ton petit jouet sur cette machine tu veux bien ?! " chuchotte-t-elle tout en vissant le sex-toy sur l'embout prévu à cet effet.

La machine munie d'un vérin articulé se met en marche lentement. Le membre artificiel pénètre l'anus d'Antoine mécaniquement par des va-et-vient. Bien sûr, nous ne sommes qu'à la vitesse une... Prenons tout notre temps... Nadine sentira bien le moment opportun pour une éventuelle accélération.

Enfin la voilà libre de se déplacer. Elle fait glisser bruyamment le fauteuil Louis Philippe situé au fond de la pièce et se place juste en face du jeune homme pour l'exciter davantage. Les jambes biens écartées sur les accoudoirs la rend encore plus désirable. Sa fente luisante n'est qu'à quelques centimètres du nez du jeune esclave qui peut à loisir sentir l'odeur enivrante de ce sexe poilu exposé lascivement.

- "Tu as interdiction formelle de te branler c'est compris ! " Dit-elle d'une voix forte comme pour qu'il obéisse sans discuter

Le miroir de la porte renvoie l'image impudique du petit trou d'Antoine qui se fait gentiment ramoner. Cette image déclenche en elle une série de pulsions instantanées. Pour se calmer, elle va chercher un petit martinet, puis reprend sa position initiale. Le petit fouet de cuir siffle dans l'air. Elle se fouette d'abord le haut des cuisses, puis martyrise sa petite chatte au supplice. Un feu démoniaque réchauffe ses parties intimes devenues très sensibles. Le châtiment la fait terriblement souffrir, mais elle redouble les coups de martinet. Encore et encore ! Toujours plus vite !

A ce moment-là, de son autre main, elle décide de tourner le commutateur directement sur la vitesse trois. La machine fait comme un bruit de souffle. Le manche articulé bien lubrifier semble prendre plus d'entrain à exécuter son travail.

Antoine gémit, presque écroulé sur le sol. Étrangement il ne bande plus du tout. Au contraire, son sexe qui lui faisait si mal auparavant s'est complètement détendu. Sa queue devenue molle libère à présent une substance épaisse et blanchâtre comme du lait... La sensation dans son cul est particulièrement agréable.

- "Je veux que tu me mettes un gode beaucoup plus gros pour me défoncer " lance-t-il tout excité par cette nouvelle expérience

Nadine un peu surprise au début, se précipite fébrilement sur la mallette argentée pour saisir un sex-toy marron énorme. Elle éteint la machine, retire le gode rose fluo encore enfoncé dans l'anus d'Antoine, pour le remplacer en deux secondes.

Un petit clic et la machine repart de plus belle. Cette fois c'est du sérieux. Nadine prend le temps de caresser la croupe du jeune soumis qui souffre. Son petit trou est littéralement déchiré. Rougeoyant de douleur, l'orifice intime se dilate voluptueusement à chaque pénétration. Le spectacle saisissant, est terriblement lubrique.

- "On peut dire que tu aimes te faire prendre le cul petit cochon ! " murmure-t-elle derrière lui

Un jus interminable s'échappe par un long filet du gland d'Antoine. Il en train de connaître une jouissance indescriptible pour la première fois. Son cul mélangé de douleurs envoie une chaleur savoureuse juste à la base de sa bite ramollie.

Sans le savoir, il va goûter à la jouissance de sa vie. Son cul se tortille dans tout les sens. Ses cuisses se raidissent et accompagnent les mouvements de va-et-vient. Le jeune débutant aimerait qu'à cet instant que quelqu'un vienne lui sucer la verge, pour venir jouir dans une bouche affamée.

Nadine n'en fera rien, en revanche, elle place sa chatte devant lui pour être dévorée par la langue incontrôlable du jeune homme. Il la fouille sauvagement comme s'il voulait boire chaque goutte de cette fontaine de jouvence. Que c'est bon ! Elle sent par moment qu'il aspire son clitoris avec une telle pression, qu'elle pourrait presque défaillir.

La tentation est trop forte. Un clic sur le commutateur, vitesse maximale. C'est à peine si on le temps de voir les mouvement du phallus marron pénétrant l'anus déjà ravagé par l'exercice. La machine articulée émet des petits clics nerveux, comme si elle manquait d'huile. L'appareil vibre à tel point, qu'il tient à peine en place sur le parquet.

- "Oh Antoine dit-moi que tu adores te faire prendre comme une pute ! " crie-t-elle à son jeune apprenti

- "Oui j'aime me faire enculer comme une bonne salope ! " hurle-t-il essoufflé par l'effort

Le gode marron cogne contre ses fesses. Ses couilles s'agitent à une cadence frénétique. Le bout de sa queue coule comme un robinet, un lait épais perle sans discontinuer. Antoine se crispe, et hurle de plaisir en baissant la tête. C'est l'orgasme ! Du sperme éclabousse un peu partout le sol en filets anarchiques. La machine continue de le déchirer, comme si elle attendait impassible, la totalité de sa semence. Étrangement des jets interminables continuent d'affluer. Le liquide crémeux ne cesse de gicler, un vrai déluge de sperme...

Enfin, Nadine éteint la machine diabolique. Retire le sex-toy marron du petit trou ravagé qui continue de palpiter. On dirait une petite bouche essoufflée. La rondelle rosée béante ne tarde pas à se faire lécher, par une langue experte. Puis deux doigts caressent habilement l'anus en le branlant légèrement.

Antoine s'effondre par terre à demi conscient. Nadine doit le porter sur le lit, et l'allonge en travers. Il a besoin de repos. L'horloge indique 15h40, peut-être encore le temps de faire quelques fantaisies avant de libérer le meilleur ami de son fils.

Avec tout le viagra qu'elle avait saupoudré dans le smoothie, elle est certaine qu'il peut rebander à nouveau. Mais Nadine boude, un peu frustrée, en spectatrice elle n'a pas eu sa part... Avec un peu d'imagination, on peut toujours trouver une solution pour y remédier.

Les hommes ont toujours aimé les fellations. Commençons par cela pense Nadine en nettoyant son gland avec délectation. Elle le branle, puis le suce, le branle, puis... Oh mais dites-moi, on dirait qu'un miracle vient de s'accomplir sous nos yeux.

La verge apparemment presque inerte il y a encore une minute, remontre des signes de vie. La voilà gonflée et se dresse fièrement pour le plus grand plaisir de la suceuse avertie. Il faut dire qu'elle en a sucé des queues. Au travail, en vacances, à l'hôtel, même dans les toilettes publiques le plus souvent sales et inhospitaliers.

- "Je ne te lâcherai pas tant que je ne serai pas satisfaite ! " lui dit-elle à voix basse tout en admirant de près le jeune membre viril en pleine forme

L'autre gémit, sans avoir même la force de répondre. La tête sur l'oreiller, ses yeux mi-clos observent son initiatrice se lever à nouveau. Elle se dirige vers le bas de l'armoire pour ouvrir un large tiroir. Un grincement désagréable résonne dans la pièce, on dirait que ça force un peu...

- "Ah voilà ma petite merveille ! " s'écrie-t-elle en saisissant un imposant accessoire de plastique noir.

Plusieurs boules successives de diamètres croissants sont collées les unes au-dessus des autres. La base conique du colifichet assez évasée, se termine par une surface plane. Esthétique, on pourrait même s'en servir comme objet de décoration, mais Nadine a une toute autre idée à l'esprit...

Installée aux côtés de son jeune amant, pour lui tendre un tube de crème, elle se met à quatre pattes juste en face lui, à quelques centimètres de son visage. Cette attitude provocante le fait bander comme un fou. Il sent le feu incandescent parcourir sa verge devenue majestueuse.

- "Tu vas m'enduire le petit trou de cette crème magique mon chéri ! "… lui dit-elle sans se retourner

Il débouche le tube et le colle directement sur l'orifice un peu déformé. En pressant par petites touches, la vaseline froide pénètre légèrement l’étroite cavité charnelle. Voilà, la quantité paraît tout à fait raisonnable.

Antoine branle l'anus de sa compagne en prenant soin de n'oublier aucun recoin. Il aime pénétrer cette chair souple et sensible. La peau élastique se laisse apprivoiser sans crainte, comme si elle était déjà habituée à ce genre d’attouchements depuis bien longtemps.

- "Je vais te demander un dernier service si tu veux bien !?... " lance-t-elle d'une voix plus ferme.

Sans attendre d'autres explications, Excité, Antoine saisit l'engin de couleur noire aux courbes suggestives et commence à le diriger vers l'endroit tout indiqué. Le conduit anal se laisse investir par les trois premières boules, arrivé à la moitié les choses se compliquent un peu.

Nadine souffle un peu plus fort, le visage crispé. Antoine se lève derrière elle pour se mettre plus à l'aise. De la main gauche il pelote les seins pendants de sa belle captive.

- "D'habitude c'est moi qui m'en charge ! Si tu pouvais aller moins vite mon chéri !..." Marmonne-t-elle les lèvres pincées

Le jeune homme n'en fait rien. Au contraire, il pousse d'un coup sec le plug bien à fond. La dernière sphère de huit centimètres disparaît instantanément dans le petit orifice désormais comblé.

- "Petit salaud ! " Lance-t-elle en criant courbée de douleur

Antoine jubile, et continue de tourner de droite à gauche le terrible engin dans la voie rectale. Puis, entame des va et vient prononcés. Les morceaux de peau se dilatent autour de la grosse perle à chaque mouvement. La vision est tellement troublante, on dirait à s'y méprendre que Nadine a une seconde petite chatte.

Mais la maîtresse ne va pas en rester là. D'un bond sensuel, elle se retourne et intime l'ordre à son jeune élève de se mettre sur le dos à nouveau. La voilà face à lui écartant les cuisses, pour présenter sa vulve brillante de plaisir.

- " Il va falloir être très rapide à présent, tu vois cet anneau à l'entrée de ma chatte, il va falloir que tu y introduises ta jolie queue, avant de me pénétrer d'un coup ferme, c'est bien compris ?! " dit-elle comme un peu stressée

Antoine sans trop comprendre, suit les instruction à la lettre. Sa bite toute dure passe d'abord par le cercle argenté, puis d'un coup de rein jusqu'à la garde remplit la cavité charnu chaude et tellement humide.

- "Te voilà pris au piège ! " Ricane Nadine, la voix pleine de vice.

Le jeune débutant de tarde de pas à comprendre. En deux seconde, sa vilaine queue voudrait se débattre pour ressortir du petit piège de métal. Trop serrée, elle double de volume. Les veines gonflées forment des nervures de sang et envoient des douleurs indescriptibles le long de sa verge.

- "Détends-toi mon poussin ! " lance-t-elle d'un ton moqueur

On peut dire que Nadine prend son pied. Remplie des deux côtés en même temps, son corps ondule animé par un désir ardent. Elle se masse les seins, et tire très fort les tétons est les pinçant du bout des doigts, comme pour s'infliger un ultime supplice.

D'un baiser fougueux, elle goûte à pleine bouche la salive tiède de son jeune amant pétrifié. Ses jeux de langues suaves, ne font qu’accentuer l'érection déjà prononcée d'Antoine presque paralysé. C'est Nadine qui donne le rythme par petits mouvements de reins bien orchestrés.

- "Je suis sûre qu'il te reste un peu de ton jus crémeux ! " dit-elle en se redressant

Sa main passe sur ses fesses comme pour réajuster l'engin du plaisir, puis atteint la jolies paires de boules poilues si douces. Elle masse avec bonheur les parties génitales très réactives à chaque effleurement. Antoine gémit.

- "Oh mon dieu je vais bientôt venir ! " chuchote-t-il les yeux presque fermés

Le voilà qui se relève pour s'agripper aux lanières de cuir situées en dessous des seins brûlants de sa partenaire déchaînée. Sous sa force prodigieuse, Nadine est tirée fermement vers le bas. Elle résiste de toutes ses forces, comme pour ne pas lui obéir. La lutte est féroce, son dos se redresse malgré la contrainte opposée.

- "Ce n'est pas le moment, je veux encore sentir ta grosse queue en moi " crie-t-elle d'un ton presque agressif

Antoine la retient vers lui à nouveau. Les lanières ainsi tendues de la tenue SM de Nadine lui font terriblement mal à la poitrine. Elle aime cette douleur. Malgré la férocité du jeune insolent, elle se tord péniblement pour se mettre une seconde fois bien droite, tout en fixant son mâle impétueux.

- "Espèce de petit sauvage ! Si tu crois que c'est comme ça que tu… " crie-t-elle essoufflée au bord de l'explosion

Un cri rauque déchire la pièce. Antoine soulève ses fesses pour rester quelques secondes en l'air. Ses cuisses se tendent au maximum pour hausser avec souplesse le corps de sa princesse. Il sent monter le dernier élan d'une force sexuelle arrivée à terme. Un jus infime se libère dans les muqueuses délicieusement humides et chaudes de Nadine devenue incontrôlable.

Elle jouit à son tour, trempée, satisfaite de la prouesse de son jeune amant. Son petit trou envoie une décharge électrique inimaginable, accompagnée de spasmes, pendant que ça chatte trempée la fait presque défaillir de bonheur.

Les deux corps en fusion goûtent quelques instants l'extase ultime indescriptible d'un amour charnel consumé. Antoine attrape les jolis seins moites pour leurs prodiguer des sucions voraces. Sa bouche dévore sauvagement les globes de chair encore fiévreux.

- " Tu pourras jouer avec mes nichons la prochaine fois que l'on se reverra tu sais ?!" glisse-telle à l'oreille du jeune homme jouant toujours avec sa langue dure sur les tétons dressés

Alors que la verge retrouve enfin le repos mérité, cette dernière glisse pour se libérer de l'anneau du supplice, comme un serpent visqueux sortant de son refuge pour faire naufrage dans les draps blancs.

Le jouet resté entre les fesses de Nadine commence sérieusement à lui faire très mal. Par expérience, elle sait qu'il ne faut attendre trop longtemps pour le retirer, sinon demain, son cul risque de ne pas apprécier les chaises inconfortables de la cuisine.

La voyant un peu empruntée par la tache, Antoine décide de soulager le conduit gonflé de sa maîtresse devenue d'un seul coup moins orgueilleuse. Allongée sur le dos, elle se laisse faire. La main virile empoigne le plug totalement englouti par la prison de chair.

Cette fois le jeune amant montre une infinie douceur et tire l'engin bosselé millimètre par millimètre. La plus grosse boule sort progressivement et fait hurler Nadine crispée de douleur. Pour que l'exercice soit supportable, Antoine à soudain l'idée d'utiliser sa main gauche pour masser avec le pouce le clitoris encore dur de sa belle captive.

- "Oh oui joue avec je t'en supplie "ronronne-t-elle retrouvant le chemin du plaisir

Le pouce habile continue des petits cercles sur le bout charnu si sensible aux caresses. Nadine se tord dans tous les sens, pendant que l'objet noir s'extrait avec plus d'aisance. Ouf le voilà sorti. Gluant, un peu rempli de sang et surtout puant de matière fécale. Ce mélange d'odeurs ne dégoûte pas pour autant Antoine, au contraire les effluves pestilentielles réveillent en lui des désirs lubriques.

Juste à ce moment-là le smartphone de Nadine vibre nerveusement sur la table de nuit. Le petit réveil affiche déjà 18h00. La femme encore toute étourdie décroche, c'est Stéphane...

Elle s’assied au bout du lit, les jambes légèrement écartées. Antoine en profite pour placer sa tête entre ses cuisses. Il veut la sucer. Nadine le repousse gentiment, puis baisse la garde devant les assauts répétés du jeune mâle encore en rut.

Stéphane toujours aussi bavard, raconte ses exploits en matière de bricolage. Le placo de la salle de bain est fini d'être posé... Julien a même terminé la salle de séjour en travaillant d'arrache-pied...

Pendant ce temps, sa chatte se fait fouiller agréablement par une langue de plus en plus gourmande. Elle ruisselle littéralement. La situation est tellement délicieuse : son imbécile de mari qui ne se doute de rien, pendant qu'un jeune homme se délecte avec voracité. En bonne vicieuse, elle encourage même son mari à continuer son récit et lui demande plus de détails.

Antoine assoiffé boit lentement à pleine bouche, la petite rivière de jus tiède et odorant ivre de bonheur. Les saveurs épicées n'ont rien de comparable pour rendre un homme fou de désir. Sa langue redouble d'énergie pour s'occuper du mont de vénus fièrement dressé.

Nadine essaie de contrôler son souffle pour ne pas éveiller de soupçons. Stéphane toujours aussi volubile poursuit sa narration sans se douter de quoique ce soit. Mais l'instant devient de plus en plus critique.

L'épouse modèle commence à sentir une vague de chaleur venir de son bas-ventre comme un brasier torride. La langue d'Antoine à l'intérieur de sa fente devient de plus en plus bruyante. Ses lapements désordonnés ne savent même plus dans quelle direction aller.

Pour étouffer son cri elle place la main devant sa bouche en écartant le téléphone. Ses hanches se soulèvent par saccades, Nadine veut sentir sa langue au plus profond d'elle-même. Ses cuisses tendues sert avec puissance la tête d'Antoine toujours en train de la lécher. Elle va jouir trois fois successivement pour enfin relâcher son bassin.

- "ça ne va pas ma chérie ?! " s'interroge d'un seul coup Stéphane distinguant des essoufflements prononcés

- "Si si je t'assure... je viens de monter les escaliers, mais j'ai raté une marche... " s'empresse-t-elle de répondre

L'autre continue son discours interminable. Cette fois Nadine décide d'abréger la conversation en lui parlant du menu de ce soir. A l’unanimité ils dégusterons des pâtes à la carbonara. La cuisinière un peu fatiguée de sa journée, a choisi pour l'occasion, un plat roboratif réalisable en une demie heure.

Les amants exténués se reposent quelques minutes, puis mettent la chambre en ordre. Nadine se rhabille prestement et tend les vêtements éparpillés au jeune Antoine baillant de fatigue.

A 19h30, les ouvriers du dimanche arrivent bruyamment dans la salle de séjour, et découvrent deux spectateur avachis devant l'écran plat lumineux renvoyant des images sans importance.

- "Alors les feignants ! Ce n'était pas trop dur aujourd'hui à ce que je vois " lance joyeusement Stéphane encore de la peinture sur le front

Nadine ne prend même par la peine de lui répondre et regarde Antoine lui adressant son plus joli sourire, une main délicate posé sur sa cuisse. Si tu savais mon pauvre chéri pense-t-elle tout bas.

Descollages

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Commentaires de l'histoire :

descollages
Gros bisous Linsee ! @+ Descollages
Posté le 5/01/2023

linsee
Pas mal, j'adore
Posté le 4/12/2022

descollages
Merci à tout les deux ! Effectivement Guêpière tu es une vraie cochonne je confirme, tes histoires sont vraiment bandantes !...8) @+ Bises Descollages
Posté le 20/11/2022

Pongodu21
Comme quoi le bricolage a parfois quelques avantages
Posté le 20/11/2022

Guépiere
Bravo Nadine est aussi salope que moi . Pensez à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 16/11/2022


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