Voyages de noces (suite 2)

Claire après avoir dans?e toute la nuit s'est faite ramoner par une brute. Maintenant c'est son frère qui veut la connaître à son tour. Un troisième larron va aussi bien s'occuper d'elle.

Proposée le 31/10/2022 par Sucette

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Malgré les années, elle s'en souvient comme si c'était hier. C'est pourquoi j'utilise le présent.
Son frère fait irruption dans la chambre. Il lui dit qu'il a tout entendu, qu'il a attendu son tour et qu'elle va pouvoir comparer.
Il défait son pantalon et surgit une tige longue et fine, recourbée à lui toucher le nombril.
Il exige à son tour une fellation. Il baise sa bouche, elle a des hauts le coeur qu'elle ne peut réfréner, elle pleure, un mélange de bave et de glaire coule sur son menton.
Mécontent de ne rien sentir, il l'embroche à fond et bute sur sa matrice. Il la retoune comme une crêpe et la reprend en levrette puis il crache sur sa rondelle. Il pointe sa queue sur son anus mais Il ne parvient pas à la pénétrer.
Il se lève, fouille dans son sac et ressort un tube de crème solaire qu'il fait couler sur sa raie.
Elle est vierge de ce côté là. Elle lui dit.
Il lui introduit le majeur, le fait tourner puis ajoute l'index et enfin un troisième doigt. Il prend son temps et ajoute qu'il va la déflorer et qu elle va se souvenir de lui.
Il est mince, sec et a des mains de pianiste, elle se détend, il enduit sa verge d'huile solaire et se présente à nouveau. Il lui demande de pousser et l'anneau cède. La douleur passe et de nouvelles sensations l'envahit.
Elle se sent souillée et humiliée , possèdée, transpercée comme un papillon. C'est la première fois que pareille chose lui arrive.
Elle subit et ressent un plaisir trouble.
Il jouit dans son fondement et se retire. Il saisit sa robe et essuie son sexe maculé.
A l'odeur de sexe s'ajoute celui de la merde.
En se rhabillant, Il l'apostrophe en lui disant qu'elle est faite pour être enculée et que sa bouche ne vaut rien.
Il sort en claquant la porte.

Arrive le plus jeune qui l'aide à se nettoyer. Il lui dit que rien n'avait été prémédité mais qu'ils étaient des hommes au sang chaud et que les touristes étaient une aubaine dans un pays où tout se sait et la morale stricte. Il est tendre et caressant.

Épuisée, elle aime ses attentions.
Il lui demande s'il peuvent faire l'amour.
Elle accepte à la condition d'être doux.
Il la pénètre lentement et étale de l'huile sur son clitoris, elle l'aide à bien placer ses doigts. Après avoir été malmenée pendant près d'une heure, elle cherche à se libérer et jouir enfin.
Elle a ressenti des impressions contradictoires, du dégoût mais aussi du trouble à être un objet, d'être une poupée, une prostituée de bas étage, une esclave.
Il est patient et appliqué, le plaisir monte lentement.
Un orgasme surgit et elle remercie son tourmenteur qui jouit en elle. Elle l'embrasse.
Elle se rhabille avec sa robe souillée, il ouvre les volets et un air frais emplit la chambre. C'est l'aube et on entend un coq chanter,.
Pour ma part, je viens de me réveiller avec la gueule de bois et en nous raccompagnant, il nous explique ce qu'est l'omerta et que les deux frères peuvent être dangereux.
Nous retrouvons papi qui s'inquiétait de notre absence.
Nous lui racontons nos déboires et il confirme que tout cela doit rester entre nous.

A cette époque, les filles devaient rester prudes et les maris vigilants. En somme, nous avions été imprudent et inconséquent.

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