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L'homme fontaine (3)

Sandra a découvert bien malgré elle que son frère Louis peut éjaculer des quantités phénoménales et en tire des complexes. Elle décide alors de le prendre en main. Mais en chemin il découvre des plaisirs nouveaux avec une parfaite inconnue …

Proposée le 16/09/2022 par André Halphus

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Roman


Louis a décrit sa triste situation de puceau éjaculateur précoce à sa sœur Sandra, qui connait la candidate parfaite à son éducation sexuelle…
Après ces évènements troublants vécus avec sa sœur, Louis semble avoir enfin trouvé un remède à son excitation permanente : le stress du bac. Comble du comble, il ne se masturbe même plus le soir. Sandra, avec qui Louis discute maintenant plus ouvertement de sa sexualité, y voit une grande victoire : en apprenant à dérouter son esprit de ses habituelles pensées érotomanes, Louis doit pouvoir se maîtriser !
Une fois la dernière épreuve du bac passée, le stress ne diminue pas pour autant : c'est la longue attente des résultats. Mais il ne peut rien faire d'autre qu'attendre, et revoir ses fiches de révisions, juste au cas où il aurait des épreuves de rattrapage à faire. A la maison, la tension est retombée d'un cran, et Sandra s'est transformée en un véritable coach pour son frère. Qu'elle lui trouve un prof d'éducation sexuelle c'est une chose, mais avant tout, ce qu'il lui faut, c'est retrouver confiance en lui, et apprendre à se maîtriser.

Elle emmène donc son frère faire du shopping : après l'été, c'est la fac. Ce ne sera plus un ado boutonneux, mais un jeune adulte qui va devoir trouver sa place dans un monde surpeuplé et désorganisé pour qui ne sait y naviguer. Et ça commence par le style. Elle aurait rêvé d'être Julia Roberts faisant du shopping avec Richard Gere, c'est finalement elle qui emmène son frère dans les boutiques des Grands Boulevards, un peu plus abordables que les boutiques de luxe de Rodeo Drive !
Dans ce début de mois de juillet, Paris n'est pas encore complètement déserté, et le métro qui les emmène à Opéra est bondé. Louis est vêtu d'un short assez court et d'un T-shirt un peu usé : il ressemble à un collégien allant à son entrainement de foot du mercredi.

Valentine est folle de rage. Elle, qui déteste ça, a dû mettre un chemisier et un tailleur pour son entretien avec son patron … pour rien : restrictions budgétaires obligent, elle n'aura pas d'augmentation. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle se dit que son tailleur pourra au moins satisfaire le fantasme de la secrétaire de son copain. Elle n'aura pas enduré ce calvaire pour rien, et elle pourra même le garder en faisant l'amour ! De toute façon il est trop petit pour elle, et surtout pour ses énormes seins si sensibles : le frottement du tissu ultra-tendu sur ses tétons l'a excitée toute la journée. Mais voilà, une tuile n'arrivant jamais seule, non seulement son copain a annulé leur rendez-vous du soir pour cause de boulot, mais en plus elle a elle-même dû quitter plus tard, l'obligeant à sortir en pleine heure de pointe.

Serré contre ses congénères à l'heure de pointe, Louis se retrouve nez à nez avec une femme d'une quarantaine d'années environ, assez grande, vêtue d'un tailleur entrouvert sur un chemiser largement décolleté. Lui qui avait réussi à se maitriser depuis un mois se retrouve nez à nez, ou plutôt nez à seins, avec une élégante et plantureuse dame qui lui envoie un sourire gêné en s'excusant de se presser contre lui, avec le signe de tête vers l'arrière caractéristique du métro parisien : "c'est pas ma faute, on me pousse derrière".

La voilà qui se retrouve maintenant collée à un enfant, dont la tête est quasiment entre ses seins ! Elle s'excuse tant bien que mal, voyant le pauvre bougre gêné de la situation. A y regarder de plus près, la taille et le regard penaud du gamin sont peut-être trompeurs : ce n'est pas un enfant, mais un ado en pleine possession de ses moyens, et qui ne fait pas beaucoup d'efforts pour se reculer à chaque cahotement du métro !

Louis essaye de lui renvoyer un regard rassurant, pour lui montrer qu'il ne lui en veut pas du tout. Comment pourrait-il lui en vouloir, avec la tête plantée entre les deux seins énormes d'une inconnue, sans qu'elle y trouve à redire ?! Des profondeurs de ses entrailles, la Bête endormie depuis le début de l'été se réveille peu à peu, de façon fort peu discrète à travers le short. Voilà qui devient affreusement gênant : c'est maintenant sa protubérance à lui qui vient frotter la jambe de sa voisine, et il y a peu de chances qu'elle ne s'en rende pas compte. Cette simple pensée, sans effet sur son membre déjà durci, le fait rougir à vue d'œil.

Valentine est perplexe : pas question de tromper son copain, et surtout avec un ado qui doit tout juste être majeur. Mais en même temps se voir désirée par un mâle, quel qu'il soit, est bien agréable dans cette journée de merde. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il fait tout pour lui montrer son émoi : elle sent sur sa jambe un renflement qui pourrait bien être une déclaration virile en bonne et due forme.

Louis profite de chaque secousse du métro pour plonger tête baissée entre les deux seins offerts, et pour appuyer son bassin sur la jambe de son inconnue. Plus pour s'exciter lui-même que pour montrer son désir à sa partenaire involontaire.
Mais elle n'a pas l'air de faire grand-chose pour échapper à ces contacts. Au contraire, il a l'impression de voir une lueur de défi, voire carrément d'invitation, dans les yeux bleus perçants de l'inconnue.

Valentine s'amuse tout d'abord du contraste entre la candeur apparente du jeune homme et sa virilité éclatante qui s'écrase sur sa jambe, qu'elle avance imperceptiblement pour augmenter la pression de contact. A voir sa façon de réagir, il n'a pas l'air très expérimenté. Il en est vraiment touchant, à plus d'un titre !
Si elle veut profiter un peu de la situation, elle doit se dépêcher : il ne reste pas beaucoup d'arrêts avant sa station. En fixant le garçon dans les yeux, elle pose alors sa main sur le renflement du short, et hausse les sourcils pour montrer son satisfecit. Le pauvre ne sait pas comment réagir : il devient rouge cramoisi, tout en continuant à se frotter, désormais dans sa main.

Louis voit soudainement le regard de son inconnue changer : de partenaire involontaire, elle devient complice coquine ! Il jette alors un regard vers sa sœur, pour vérifier si elle voit ce qui se passe, et pour essayer de penser à autre chose. Mais l'effet est tout autre : au lieu d'un soutien fraternel, c'est le souvenir de sa sœur se masturbant sur son lit qui lui revient ! Depuis le temps qu'il n'avait pas joué avec son épée, il est tellement excité qu'elle sort presque du fourreau de son boxer.

Valentine parcourt toute la hampe pour en apprécier la longueur et la fermeté. Cela lui rappelle ses jeunes années où elle faisait déjà fantasmer les garçons avec ses gros seins : elle adorait provoquer des contacts fortuits et les exciter à fond par de petits attouchements soi-disant innocents, agrémentés d'un petit "oups, pardon" qui ne trompait personne. A force de penser au passé, elle ne s'aperçoit même pas qu'elle est en train de masturber un inconnu dans le métro. Les petits attouchements innocents, c'était quand elle était ado. Maintenant c'est une belle femme, ravie de voir qu'elle a toujours un grand pouvoir de séduction, et qui a très envie d'aller un peu plus loin. Oserait-elle passer la main dans le short, pour y voir de plus près ? Ce ne serait pas raisonnable …

Louis sent la main de son inconnue aller et venir, pressant de plus en plus son short sans oser passer en dessous. Si elle n'arrive pas à se décider, pas de problème : il est tout dévoué à l'aider. Il avance et recule son bassin pour montrer qu'il joue volontiers à ce jeu, et s'imprègne du rythme de la main baladeuse. La main redescend lentement, les doigts serrés sur la hampe, puis sur les bourses. Puis la main devient plate et reprend son ascension, jusqu'à ce que le bout du majeur se pose sur le haut du gland. Mais avant que le manège ne reprenne, il prend l'initiative et ouvre légèrement son short.

Lorsque sa main arrive en haut du bâton tendu, Valentine s’attend une nouvelle fois à se délecter du regard empli de désir et de supplique du jeune homme. Mais elle est cette fois surprise de sentir la chaleur augmenter sous sa main, et le contact du tissu sur le dos de sa main.
- "Ah le petit con" pense-t-elle, "il m'a eue !"
Elle se retrouve maintenant à caresser le boxer directement ! Elle pourrait profiter de la remontée pour enlever sa main et revenir sur le short, mais il est trop tard, elle n'en a plus envie. Elle est prise dans sa propre ivresse érotique et reprend son balai sur la verge qui commence à tressauter.
Elle regarde autour d'elle : tout le monde est trop concentré sur sa prise pour faire attention à leur jeu, qu'elle sait pouvoir conclure rapidement.

Louis sent un léger moment d'hésitation de son inconnue, qui regarde autour d'elle. Pourvu qu'elle ne soit pas arrivée à son arrêt ! Rassuré, il sent la main redescendre le long de sa verge déjà prête à exploser. Elle accélère même le mouvement, et accentue encore la pression de la paume de sa main sur le frein.
La main étrangère remonte alors et entraine le boxer dans sa descente : son gland turgescent entre au contact direct de la main qui joue avec lui depuis un temps qu'il ne saurait même pas définir, tellement il est perdu dans ses pensées lubriques.

Valentine, remise de sa surprise, tente de reprendre le contrôle en passant outre le boxer. Le contact avec le gland ainsi libéré sur sa paume puis son poignet est électrisant, et elle sent son intimité s'humidifier rapidement.

Sans vraiment y penser, Louis remonte lui aussi sa main vers l'entrejambe de sa partenaire, en passant sous la jupe, jusqu’à atteindre le tissu complètement détrempé, ultime rempart entre sa main fureteuse et l’intimité féminine inconnue.

Une fois de plus, pour reprendre le contrôle, Valentine doit accepter la surenchère, et se déhanche très légèrement pour rendre la pareille à son complice du jour : elle parvient, de sa main libre, à décaler suffisamment la culotte pour que la main baladeuse puisse trouver son chemin vers la source de sa ligueur intime.

Un instant transi par sa propre audace et par le déhanchement de sa partenaire, qu’il interprète comme une tentative d’échapper à ses attouchements, Louis atteint finalement le comble de son excitation lorsque sa main rentre en contact direct de la toison d’or. C'en est trop. Il retient un râle qu'il étouffe entre ses dents, et s'agrippe à la vulve de sa partenaire pendant qu'il se répand dans sa main.

Valentine doit elle aussi étouffer un cri de surprise et de plaisir lorsqu’elle sent la verge gonflée à bloc exploser soudainement dans le creux de sa main. Elle sent les jets se succéder, violents, épais, sans fin.
Elle sent également sur son entrejambe se crisper la main de son partenaire, dont le majeur pénètre sa vulve qui n’en demandait pas tant. Chaque jet de sperme dans sa main s’accompagne d’un spasme du doigt fureteur, provoquant à chaque fois en elle des décharges de plaisir. Sans le vouloir, dans un mouvement manifestement involontaire, ce petit con est en train de la faire jouir pendant qu'il se répand interminablement dans son boxer !
Elle n'a jamais vu une telle quantité de sperme. Elle ne les a pas vraiment comptés, mais elle a senti au moins une quinzaine de jets puissants, plus les répliques moins puissantes. Sa main est complètement maculée d'une crème blanche épaisse qu'elle essuie tant bien que mal sur le boxer.

Il y a longtemps que Louis n'avait pas joui comme ça. Et comble du comble, il est sûr d'avoir senti le corps de sa belle inconnue se crisper quand il s'est agrippé à sa vulve, trempée d'un liquide un peu glaireux.
Quand la tempête se calme dans son boxer, il sent la main de sa partenaire s'essuyer sur le boxer avant de sortir de son short. Il prend rapidement un mouchoir dans sa poche et le met dans la main de sa belle inconnue qui lui décoche un dernier sourire avant de descendre de la rame, entrainée par la marée humaine qui l'accompagne à cet arrêt, et aussitôt remplacée par une foule toujours aussi dense : comme la nature, le métro bondé a horreur du vide.
Tant mieux : il peut finir de s'essuyer avec des mouchoirs relativement discrètement, en prenant grand soin de ne surtout pas essuyer les doigts qui ont touché le saint des saints.

Il a à peine le temps de finir de s'essuyer avant que Sandra ne l'entraine par la manche en dehors de la rame bondée : ils sont arrivés à destination pour faire du shopping. Mais son escapade discrète a laissé des traces sur le short. Il raconte alors à sa sœur ce qui vient de lui arriver, en appréhendant sa réaction. Sandra explose de rire :
- "Bien joué frangin ! Mais ne fais pas d'un cas une généralité ! Avec ces fringues t'as l'air d'un gamin qui s'est échappé du centre aéré. On va te trouver un vrai look, et la prochaine fois, tu ne t'arrêteras pas à la troisième base !"

La suite au prochain numéro ;)

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