Découverte de mon pénis

j'avais 16 ans et je découvris le potentiel que j'avais, surtout que j'allais continuer à donner beaucoup de plaisir à différentes femmes de mon âge, de plus aussi. Une partie de plaisir hors norme pour un jeune homme qui adolescent deviendra encore plus mûr au fil du temps.

Proposée le 16/09/2022 par Nathalie

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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Je m’appelle Markko j’ai 16 ans, je vis avec ma mère et sa sœur jumelle qui sont esthéticiennes dans le même salon. Ma mère (Valentina) et sa sœur (Dona) mesurent 175, cheveux noirs comme les miens longs eux aussi, les yeux verts avec un tour de poitrine de 85C. Elles font beaucoup de sport pour être en forme. Je participe chaque samedi matin à une petite course très tôt avec elles. De plus elles sont siciliennes de Biancavilla, moi je suis né en France à la différence de mes cousins cousines
Je mesurai 1m80à mes 16 ans pour enfin à ma vie d’adulte mesuré 2m05, les yeux bleus, j’ai des cheveux longs noirs et j’écoute du hardrock tels que les groupes Metallica, Slipknot, FFDP, un peu de hardcore métal.

Mes parents et ma tante sont venus passer des vacances à Nice il y a de cela pas mal d’années en arrière, ma mère enceinte a accouché à Nice et non en Sicile. Ne parlant pas le français c’était dur pour s’exprimer. A son retour à Biancavilla, les deux sœurs ont décidé de devenir Professeur d’Italien combinant pour l’une les mathématiques et pour l’autre la Physique. Entre-temps mon père est décédé d’une mort naturelle à 26 ans, ma mère a voulu changer d’air, elle est venue avec moi et sa sœur à Nice.
Elles ont commencé à bosser en tant que professeur stagiaire avant d’avoir la possibilité d’enseigner en France tout en bossant avec le consulat italien pour aider les compatriotes dans leurs démarches administratives françaises. Ma mère et sa sœur sont des femmes de fort caractère et n’ont jamais accepté des pots de vins etc..

Après la mort de mon père, ma mère a eu quelques aventures qui se sont soldés par des échecs (hommes mariés qui promettaient la lune, hommes plus rapides que nos amis les lapins et ainsi de suite…).
Par la suite, une amie leurs a parlé de sextoys et godes qui arrivaient sur les ‘’marchés en Italie’’ qui faisaient du bien d’après les dires de l’amie. Ainsi ma mère et sa sœur en ont acheté quelques-uns pour leur plaisir et je devenais le seul homme de la maison.
Ma mère et sa sœur ne se déplaçait qu’en moto pour leurs cours au lycée, elles avaient toutes les deux la même moto une Triump Trophy 900. Elles sont toujours dans une association de motos. Nous sommes souvent allés en balades à 3 ou avec plein de personnes.

Au lycée, quand elles arrivaient chacune son tour, elles faisaient bander tout le monde, la manière d’enlever le casque et laisser les cheveux au vent. Quelques fois en santiags et robe assez longue ou d’autres fois en jeans qui leurs moulaient bien les fesses aussi bien en short assez sexy.
Nous dormions ensemble la plupart du temps à cause d’une tentative d’intrusion dans notre maison, depuis lors nous dormons les 3 ensembles. Généralement je dors au milieu, ma mère et sa sœur de chaque côté mais c’est vrai que nous sommes tranquilles depuis l’adoption de 2 dobermans Hadès et Zeus.

Un jour je suis rentré de l’école bien avant elles, je suis allé me doucher (les hormones m’ont travaillé), j’ai aperçu un string qui était dans la corbeille de linge, je l’ai pris, j’ai senti le parfum du sexe et du cul de ma mère ou de ma tante, ça m’a excité au point que mon sexe est devenu dur comme du bois, j’ai pris du temps pour me masturber, en m’arrêtant pour sentir et continuer de plus belle. Après quelques mouvements de mon poignet, j’ai éjaculé de manière spectaculaire avec un débit plus fort que d’habitude.
Il fallait que j’en parle à quelqu’un mais qui, à l’infirmière du lycée, ma mère, sa sœur ?

J’ai opté pour ma mère, je l’avais vu utiliser un gode qui ressemblait à ma bite, j’ai attendu après le dîner quand elles sont en nuisette devant la télé.
Nous discutions de notre journée et j’ai osé dire :
‘’Maman il faut ce que je parle de quelque chose !’’
Ma mère m’a dit : ‘’de quoi ??’’
J’ai répondu : ‘’un truc sexuel’’
Elle m’a dit :’’vas-y on n’a rien à cacher’’
J’ai dit : ‘’ je crois que mon sexe est différent des autres je crois’’
Elle m’a dit :’’comment ça, montre-moi’’
J’ai descendu mon slip, ma verge était en repos, mais elle a vu qu’elle était un peu grande’’
Elle m’a dit :’’montre là moi en érection’’
Elle a compris, elle fait glisser la bretelle de sa nuisette, a sorti un de ses seins (Mon dieu qu’il était beau, milles fantasmes sont passés dans ma tête), ma teub a gonflé pour se tenir droite devant les yeux émerveillés de ma mère et de ma tante. Ma mère a demandé à sa sœur d’aller chercher le gode qu’elles utilisaient parfois ensemble et de le comparer à mon zizi. Ils étaient presque identiques avec une particularité, mon gland était plus volumineux que le gode. Elles m’ont demandé si elles pouvaient le toucher, j’ai dit oui. Elles ont pris le temps de le regarder, scrutant la longueur et la grosseur et ont remis mon slip.

Après nous sommes allés nous coucher, ma mère et sa sœur étaient anxieuses, moi j’avais trop envie de tout. Elles ont enlevé leurs nuisettes, maman a retiré mon slip, ma verge bandait plus fort. Maman m’a dit que j’allais découvrir le mot amour. Maman est venu vers moi, elle a touché mon visage, m’a déposé un baiser léger sur ma bouche et nous nous sommes embrassés pendant 15 minutes, je suçais son bout de langue, l’embrassais tendrement, je caressais son dos, elle me tenait la tête, le cou, elle était passionnée et avait une dextérité hors du commun elle sortait sa langue que je suçais tout doucement pendant quelques minutes avant reprendre de plus belle, certes j’ai dû aussi caresser les seins de ma mère et elle mon sexe dans l’action. Je la tenais tendrement contre moi, la regardant, l’embrassant de plus belle. Ce baiser était le plus doux, le plus intense que nous avons fait, nous étions scotchés l’un à l’autre, nous avions envie de nous manger.
J’ai embrassé ma tante de la même manière à son tour, mais un degré moindre d’excitation qu’avec ma mère, pourtant elle était identique à ma mère.

Puis ma mère me dit de me mettre sur le côté afin de savoir comment 2 lesbiennes pouvaient avoir du plaisir avec pénétration. J’ai pu observer les gestes délicats sur les seins, le cou, leur langue à chacune son tour sur le menton, la manière de caresser la chevelure, comprendre le corps d’une femme, ses envies, ses désirs, la manière de toucher le sexe de chacune, ou mettre les doigts.
Ma tante se redressa légèrement, ma mère se colla à elle de dos, je voyais comme le tableau de Gustave Courbet ‘’l’origine du monde’’ avec une particularité autre, le sexe de ma mère était épilé.

Ma tante caressa les seins, le ventre, arriva à son sexe pour lui procurer un peu de plaisir en la masturbant tout en m’embrassant quand elle poussait la tête. Moi je bandais comme un malade. Ma tante tint ma mère par un sein, ma mère dirigeait la manœuvre, en guidant la main de sa sœur sur son sexe humide puis elle me regarda, me fit signe de venir. Ma bite était gonflée, dure comme du bois, je me suis approché, j’ai caressé ses cuisses ouvertes, j’ai déposé pour la 1ère fois, un baiser léger à son sexe qui bougeait un peu. Elle était ouverte, je n’ai pas réfléchi avec mon sexe mais avec mon esprit pour lui embrasser le ventre, découvrir ses seins magnifiques, la rondeur, l’alvéole, le téton en suçant comme un bébé ; caresser son cou, encore une fois l’embrasser à la folie, sentir ses cheveux, faire glisser les miens sur sa poitrine. Je sentais que son sexe attendait mon sexe, elle avait trop envie. Ne sachant où la mettre, la main de ma mère a pris mon gros sexe et la dirigea vers son sexe, j’entrai doucement, elle gémissait. Au fur et à mesure de la pénétration, elle avait la sensation que mon sexe prenait plus de volume (elle me dira plus tard qu’elle s’est sentie pleine et que son plaisir variait entre douleur et plaisir et qu’elle n’avait jamais ressentie cela ni avec mon père ni avec quiconque).

Ma tante comprit que c’était notre moment à ma mère et moi, elle se mit sur le côté en se touchant un peu tandis que nous prenions du plaisir, elle avait des orgasmes entre temps, je continuai à lui donner du plaisir, elle m’agrippait les fesses, ses mains glissaient le long de mon dos. Nous avons changé maintes fois de positions, j’étais toujours raide. Enfin elle me fit allongé sur le dos, regarda mon sexe, le tint droit juste pour passer sa langue tout autour de mon anus en léchant l’intérieur puis me masturba assez fort enfin elle se mit à me mordiller les boules et en léchant la tige puis vint de dos sur moi pour que je m’active plus violemment en elle, j’ai aimé regarder son corps, sa colonne vertébrale, les cheveux qui allaient dans tous les sens. Je ralentissais le mouvement pour m’arrêter net avant de reprendre et d’accélérer à fond.

Elle s’allongea sur moi de dos, écarta plus les jambes pour sentir la bite au plus profond, tout en lui écrasant les seins et embrassant ses cheveux, elle eut plein d’orgasmes pour la 1ère fois, puis elle sortit mon pénis de son cul, l’essuya et l’introduisit dans son vagin en me demandant d’aller plus vite. Mes mains parcouraient son corps délicieux surtout tenaient fermes ses beaux seins, Dans le sexe de ma mère mon pénis devenait encore plus volumineux, elle voulait me chevaucher, elle se mit sur le côté afin de s’appuyer sur mon bras, mit sa jambe sur ma cuisse, son sexe ruisselait de mouille, guida mon sexe en érection vers son sexe pour que je la prenne plus fort et bougeait son sexe sur mon sexe pendant que j’embrassai sa nuque, son cou et son dos. Elle me tenait par une cuisse pour contrôler ma vitesse. (espérait-elle par ce subterfuge que ma bite allait perdre de sa vigueur, hélas non) elle prit un plaisir fou et me dit :
‘’t’as pas envie d’éjaculer mon chéri’’
J’ai répondu :
‘’je crois que je vais me faire ta sœur, je lâcherai mon sperme sur toi et ta sœur, de plus je tiens une de ces formes) et je voyais ma tante qui commençait à s’impatienter, j’ai laissé ma mère se reposer et j’ai dit à ma tante qu’on ferait un 69.

Nous avons pris beaucoup de plaisir à sucer la bite et le minou de l’autre. Elle me mit des doigts dans mon cul qui me rendait encore plus raide. Ma tante attendait que j’allasse éjaculer avec les gros efforts que j’avais fournis, il n’en était rien. J’ai pu lui donner du plaisir par son minou et son cul avec mon braquemart tandis que maman était venue m’embrasser et que je la doigtais.
Elle m’a embrassé et m’a dit :
‘’ t’es sûr que tu n’es pas un robot ou tu as pris du viagra pour tenir une excellente forme, digne d’un acteur porno’’
J’ai dit :’’ Non je n’ai rien pris, je crois que c’est l’excitation de vous avoir toutes les deux en même temps qui décuple ma force’’.
Ma tante s’activait comme une furie sur mon sexe. Elle avait trop envie de tout, cette dernière me mit sur le dos, vint s’empaler sur moi, je touchais ses seins, son clito et on s’embrassait beaucoup. Puis elle se penchait, le cul bien ouvert me dit :
‘’allez, petit salaud défonce-moi, déchire-moi le cul j’en ai trop envie !!!’’

Ma queue est entrée verticale dans son anus, elle était amatrice de fist, ma bite remplissait parfaitement sa fonction pour son plaisir. Elle aimait ma manière de faire, je changeai de position, j’étais allongé, je tenais sa sœur de dos sur moi sur le lit, je baisais à fond son vagin et ma mère me léchait le fion et les bourses. Je tenais la tête de ma mère et caressais ses cheveux tandis que je baisais l’autre très profondément. Elle transpirait de bonheur, de jouissance intense. Ma mère avait chronométré ma performance 16 minutes dans le sexe de sa sœur, Dona n’en pouvait plus de mon ardeur quand je sentis que j’allais éjaculer, elle prit ma bite d’une main ferme, ouvrit la bouche pour recevoir mon flot de sperme ; ça giclait dans tous les sens, dans ses cheveux, elle était recouverte de sperme. Ma mère vint lécher le sperme et j’apportai quand même une serviette humide pour essuyer le reste de sperme dans les cheveux de dona ma tante. Puis nous nous sommes allongés sur le lit juste pour des longs moments de tendresse. Ce fût pour noud une expérience intense et jouissive.

Ma relation avec ma mère et sa sœur était sensuelle, se faisait sans préservatif et jusqu’à ce jour ; nous le faisons sans capotes (c’est une promesse que j’ai faite lors de notre 1er rapport) mais ma tante aimait plus les femmes que la bite, elle s’est éloignée un peu de nous en trouvant une relation lesbienne.

Le lendemain nous nous sommes levés, douchés comme s’il ne s’était rien passé.
Ma mère avait rendez-vous avec son amie professeure en langue étrangère Catherine (ma prof) ; elles devaient sortir pour trouver des mecs car Cath (jeune femme de 36 ans, blonde, cheveux longs qui arrivent à la ceinture, des seins assez gros 85C que je saurai plus tard) voulait trouver le bon mec mais attirait que des cons.
Quand nous sommes arrivés :
Cath dit :
‘’on sort avec ton fils aujourd’hui, c’est étrange ????’’
Ma mère répondit :
‘’on a plus besoin d’aller chercher des mecs, mon fils a une grande surprise dans sa culotte, il va te montrer’’
Cath était surprise mais avait envie de voir. Je me suis déshabillé (déjà en classe elle m’appréciait avec mes cheveux longs) et là je sortais devant ses yeux une bite hors norme. Ma mère m’a dit :
‘’Chéri ôte-lui son soutien-gorge’’
Elle a défait son peignoir, je voyais un joli soutien-gorge noir avec des dessins bleus qui cachait de jolis seins ; allait-elle être surprise ?? car son soutien-gorge s’ouvrait par devant, j’ai sucé mes doigts, j’ai déposé un baiser doux à l’ouverture de son soutien, j’ai glissé l’emboitement et j’ai laissé les seins retrouver leur liberté. Je crois qu’elle a été agréablement surprise de l’ouverture de son sous-vêtement. Puis j’ai pris ma bite, je l’ai mise entre ses seins.

Aussitôt ma bite a pris du volume, est devenue grosse. Les yeux exorbités mélangés d’excitation intense de Cath, ses seins qui commençaient à pointer, les frissons qui parcouraient sa peau, elle savait qu’elle allait prendre bcp de plaisir. Je savais qu’enlevant son soutif, elle serait conquise et il fallait prendre les devants pour que ma proie soit mienne. Elle était assise sur le canapé, je l’ai mise debout, j’ai commencé à l’embrasser puis je l’ai appuyée contre le mur pour qu’elle ne s’échappe pas. Je l’ai regardé jusqu’au fond de son âme, j’ai fait glisser sa jupe en jouant avec le zip, une grosse culotte est apparue. Je suis remonté pour l’embrasser le cou, lui caresser le visage, lui sucer les tétons pendant qu’elle tenait ma bite d’une main ferme.
Elle a dirigé ma bite contre son sexe humide tout en l’embrassant, en passant ses mains dans mes cheveux longs, puis elle est descendue pour vouloir me sucer mon pénis, je l’ai soulevé, prise dans mes bras pour la déposer sur son lit tandis que maman regardait le spectacle.

Maman nous dit :
‘’je vous laisse, j’ai quelques courses à faire, je reviendrai te prendre après mon chéri’’
Cathy m’a dit de rester sur le lit, elle a enfilé un peignoir pour raccompagner à ma mère jusqu’à sa porte d’entrée mais ce que Cathy ne savait pas, c’est que j’ai suivi discrètement. Une fois la porte fermée, j’ai défait son peignoir et je l’ai embrassé passionnément en la doigtant tout de même. J’ai pris mes doigts remplis de mouille, je l’ai goûtée et j’ai donné mes doigts à sucer à son tour Cathy. Enfin je l’ai pris dans mes bras pour une seconde fois déposer sur son lit. J’ai pratiqué un petit massage rapide pour qu’elle se sente à l’aise, elle sentait ma langue aller et venir sur chaque centimètre de son corps, j’ai caressé ses seins, en insistant sur les tétons. En les suçant comme une glace à la vanille, se coller à elle pour tout lui donnant mille caresses et baisers chauds dans son cou, sur sa bouche, ses cheveux et lui sucer tendrement le lobe d’oreille. Elle sentait ma langue s’aventurer entre ses cuisses en me délectant de son petit bouton.

Puis j’ai positionné ma bite de telle sorte qu’elle glisse sur le long de son sexe en insistant sur son clitoris.
Puis je revenais à toute vitesse l’embrasser tendrement (si la porte de sa bouche était ouverte et l’entrée de son sexe était ouverte de surcroit), puis je lui donnai mon pouce à sucer, elle avait envie de me sentir en elle, mais je prenais une grande respiration pour aller découvrir cette zone avec ma langue. Je passais ma langue sur le contour de son sexe, trouvait quelques poils qui le recouvraient, j’embrassais son sexe mouillé pour la lécher tranquillement en retenant ma respiration pour commencer ma découverte de l’appareil féminin jusqu’ay fond de son vagin qui ressemblait à un volcan qui allait exploser pour lui donner quelques orgasmes et les plus puissants qu’elle aurait connus avec moi.

Quelques fois, les femmes n’aiment guère le cunni et pensent que cela va être bâcler mais je sais prendre mon temps (j’ai toujours pensé qu’une femme qui fait une fellation, elle reçoit une quantité énorme de foutre dans ses yeux, cheveux et cela peut apparenter à un dégout), il en va de même pour moi, qu’importe le volume de ses sécrétions, je veux qu’elle jouisse et qu’elle atteigne le nirvana. Je sens quand son corps arrive à l’orgasme absolu, je lui donne ma main, elle se met à la sucer frénétiquement le tout dans sa bouche, ses tétons sont très durs, son bassin se soulève, se cambre, je sais qu’on arrive au point de non-retour. Ses cuisses sont prises de tremblement, elle s’active sur ma langue, je suis au fond de son sexe, je continue à lécher de plus en plus jusqu’à la jouissance totale. Je continue à la lécher en sortant progressivement de son sexe et je m’allonge contre elle en m’essuyant un peu le visage. Elle se blottit contre moi en me caressant le visage, m’embrassant tout doucement, en caressant mon corps, mes cheveux et moi de toucher les seins en les caressant du bout de mon doigt humide, m’aventurant à des caresses sur son corps. Quelques baisers doux et autres plaisirs sensuels.

Puis elle me raconte un peu sa vie, que je suis jeune, que je vais avoir d’autres femmes mais je prends le temps de dire que chaque femme est unique.
De me dire dans l’intimité ce sera Cath, Cathy, le surnom que tu voudras, il en sera de même pour moi. A l’école nous resterons civilisés à part le jeudi et vendredi soir puisque notre cours se termine à 18 h et nous rentrerons ensemble pour faire l’amour. Cela te parait faisable ?
Je répondis :’oui ça me va, Cathy Chérie’’
Nous nous sommes caressés, enlacés, je lui donnais mon pouce à sucer, tout en caressant son entre jambe car la fougue de l’adolescence, j’avais envie de recommencer.
J’ai demandé :
- Qu’est-ce que tu as envie de faire ?
Elle me répond :
-Pourquoi un strip, j’ai toujours voulu le faire mais aucun mec n’était partant.

Elle est partie quelques minutes et est revenue habillée d’une tenue sexy avec des sous-vêtements assortis, ça me faisait encore plus d’effet.
Elle a mis une musique envoutante, m’a fait un déhanché de feu. Je voyais ses fesses bouger, ses seins dans un nouveau soutien-gorge que je découvrais étaient superbes, un string qui passait sans son cul. Elle dansait, se déhanchait, prenait du plaisir, elle changea de sous-vêtement pour mettre un body, se caressa le corps, se mit sur une chaise, son corps vers moi. Elle commença à se toucher les seins, le ventre, puis ouvrit les jambes pour se caresser le sexe, dégrafa mes boutons pressions pour remonter son body sur son ventre.

Elle se mit au bord de la chaise pour me montrer son sexe et son cul. Puis commença à se masturber tout doucement, un doigt, ensuite 2 doigts et enfin la main entière. Je bandais encore plus dur, puis elle se toucha le sexe de haut en bas, ouvrit son sexe pour je mate son intérieur. Elle enleva son body, se toucha les seins, puis elle prit 4 balles de ping-pong, fit glisser un à un dans sa grotte d’amour, puis les ressortît par le balancement de son bassin, elle suça chaque boule tendrement et m’envoya une à une. Je pris le temps de les sucer à mon tour, puis elle vint vers moi, prit ma bite ; l’embrassa, la lécha en essayant vainement de l’avaler en entier. Je tendais ma main pour une capote mais elle était sauvage, elle voulait goûter nature. Elle se leva, mit un autre ensemble de sous-vêtement blanc dont le soutien-gorge était en dentelle transparente et mon string assorti. Elle vint sur moi, m’embrassa, embrassa mes cheveux, elle glissait sur mon corps, je caressais son dos. Elle s’est redressée, a poussé sa chevelure en arrière, Mon dieu qu’elle était sublime.

Elle faisait glisser son sexe avec le string sur mon dard puissant, puis poussa la ficelle du string, fit entrer mon sexe petit à petit dans sa grotte. J’étais aux anges, elle prit mes mains pour déposer à son soutien-gorge, je faisais sortir ses seins pour mieux les caresser et quand elle se penchait vers moi, je pouvais sucer les tétons et les tenir à pleine main. Elle faisait tourner son bassin sur ma teub pour son plaisir, elle s’approchait de mon oreille pour me chuchoter :
-j’aime quand tu me baises à fond, mon cœur, j’ai trop envie de me faire défoncer.
En guise de réponse, je l’ai embrassé à fond.
Elle voulait me sentir plus profond en elle, je lui tins une main pour qu’elle se penche plus en arrière et de l’autre, lui caresser le clitoris.
Puis elle descendait vers moi pour que je la prenne plus vigoureusement et plus fort.
Je passais le bout de mes doigts à ma langue pour les humidifier en sortant les seins de la dentelle afin de caresser les tétons et les seins.

Elle prenait du temps à rester immobile sur mon sexe, puis se retournant, elle accélérait à nouveau, s’excitant à nouveau. Je la fis descendre sur mon corps pour mieux la pilonner et tapoter sur le haut de son pubis. Je le tins par les seins pour aller encore plus vite, elle poussait des petits cris, je caressais encore plus son clitoris. J’allais très vite en elle, elle aimait bcp, j’embrassais ses épaules, nos langues se cherchaient, se trouvaient. Puis elle restée sur moi pendant quelques minutes, immobile, s’est mise sur le lit de dos pour qu’elle puisse me sucer juste le gland, elle avait trop envie. Enfin pour finir, elle se mit en levrette afin que je la sodomise. Je fais très attention de ne pas la déchirer, mon sexe est entré centimètres par centimètres, elle criait fort, une fois dedans entièrement, j’ai commencé à faire des va et vient doucement, puis à ses ordres, j’ai accéléré en ouvrant ses fesses pour lui défoncer le cul. Enfin elle s’est retournée pour venir à califourchon sur moi tout en la sodomisant, pour nous embrasser, nous caresser car elle voulait une éjaculation annale pour une fois.
J’ai inondé son cul, elle m’a dit de venir vers sa bouche, elle m’a sucé le gland pour extirper les dernières gouttes de sperme, par la suite, me lécher doucement les couilles en caressant mes fesses. Je lui ai donné un petit cunni léger pour lui remercier de cette tendre attention.

Nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin, nous avons dormi un peu Cathy était chaude bouillante, avait toujours envie de baiser. Elle est allée à la cuisine cherche un verre d’eau, je l’ai suivie, et je l’ai prise sur le plancher de travail (certes j’avais apporté une couverture car le marbre c’est froid et ça refroidit les ardeurs). Elle m’a dit d’attendre et elle est revenue en nuisette sexy avec le string assorti. Cela m’a fait de l’effet, nous étions excités, elle est venue s’empaler à califourchon sur moi pour nous embrasser, j’aimais lui pincer la bouche pour mieux trouver sa langue. Elle avait surtout envie de baiser comme pas permis. J’ai aimé prendre du temps avec ma nouvelle chérie, lui embrassé, lui caresser le ventre, après maintes positions, j’allais éjaculer, elle m’a dit :
‘lâche tout sur mon visage, j’ai trop envie avec toi’’

A ces mots une avalanche de foutre est tombée sur elle, dans sa bouche, dans ses cheveux et ses seins, ce fût pour moi un réel plaisir. Je suis allé chercher une serviette humide pour lui enlever le sperme en trop. Elle avait une très grande envie de pipi, je lui ai dit :
‘’ viens, je me mets dans la baignoire et pisse sur moi’’
Elle m’a répondu :
‘’non je ne peux pas te faire cela’’
J’ai insisté, elle s’est mise les pieds de chaque côté de la baignoire et s’est soulagée sur moi de face. Elle avait un peu honte mais c’était naturel pour moi, de recevoir sa pisse dans ma bouche. Par la suite, on a pris une douche, elle glissa la pomme de douche vers son minou tandis que je labourais ses fesses en feu et je pressais ses seins. Enfin nous sommes sortis de la douche, trempés pour finir en levrette devant le miroir du lavabo en nous regardant. Je léchais les fines gouttes d’eau sur son dos en lui caressant la nuque et les cheveux mouillés. Je lui suçais les pointes de sa tignasse, elle me mit assis sur le rebord de la baignoire pour à son tour le sucer les bouts des cheveux et m’embrasser avec passion. Elle s’est excitée sur mon gros pénis qui la remplissait bien, elle avait les jambes prises de tremblement tellement qu’elle était en transe. Après une chevauchée intense, j’allais éjaculer, elle m’offrit son anus ouvert pour le remplir de mon sperme chaud.

Nous avons pris une douche en nous nettoyant à fond, une serviette sur les cheveux de chacun, nous avons rejoint le lit, nus.
Elle m’expliqua qu’il fallait que personne ne sache pour nous car c’était pour elle un détournement de mineur notre relation ; moi dans ma tête c’était pour moi un détournement de majeur.
Nous avons un peu pris du temps pour nous reposer, certes elle avait ma bite en main et moi ma main sur son sexe avec quelques poils sur le dessus. Elle me dit qu’elle allait raser ses quelques poils au-dessus de son sexe mais je lui rétorquai de les laisser car c’était super sexy pour moi.

Au matin, elle me sauta dessus car elle avait envie de prendre son pied par tous les trous pour supporter sa grosse journée. J’étais chaud, j’avais envie de tout, elle aussi.
Nous avons pris notre temps pour nous doucher et elle de se préparer. Elle prit son soutien-gorge rouge et son string ficelle, elle entoura son soutien-gorge sur mon sexe pour être sûr que ses seins soient au chaud durant la journée, elle me demanda de lui enfiler son string, la ficelle passait sur son trou du cul béant que j’avais bien ouvert, et le tissu cachait son sexe dont j’avais passé la langue dedans.


Une fois habillée, elle était canon et sexy. On s’est embrassés passionnément et elle avait envie d’un coup rapide. J’ai remonté sa jupe, poussé son string et elle l’a mise dans son cul juste pour une bonne et dernière sensation.
Puis elle a pris sa voiture, je suis monté, elle m’a dit :
‘’le temps d’arriver chez toi, montre-moi ton sexe pendant que je conduis’’.
Arrivée à un feu rouge, elle se pencha juste pour sucer mon gland. Le feu passa au vert, on la klaxonna, elle s’en foutait bien.

Enfin nous sommes arrivés chez ma mère, regardant aux alentours, il n’y avait personne, on s’est embrassés naturellement, elle une main sur mon pénis, moi des doigts dans son soutien-gorge rouge en jouant avec ses tétons.
Elle me dit :
‘’A tout à l’heure mon chéri, en classe, purée je suis amoureuse de toi, la journée va me sembler interminable loin de tes bras’’
Je lui répondis :
‘’oui à 16h car son cours était de 16à 18h’’

Je suis rentré à la maison, ma mère était là tee-shirt et string comme à son habitude et me demandait si ça a été bon. Je lui répondais :
‘’délicieux’’.
J’ai senti une pointe d’agacement, je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser furieusement. Nous avons enlevé tous nos vêtements, elle m’a entrainé sous la douche pour un moment divin et sensuel tandis que l’eau nous tombait en fines lames sur nous. Elle se frottait sur ma bite avec frénésie, j’embrassais, pinçais et tirait sur ses seins et tétons. Nous avions trop envie l’un de l’autre ; elle allait être en retard à son boulot. Elle me finit en me masturbant énergiquement et j’éjaculais sur ses seins. Ma bite était encore raide, elle se mit à se maquiller, positionna ma bite dans son cul et je refermais ses fesses sur ma bite pour plus de plaisir.

Puis nous sommes allés à la chambre pour qu’elle enfile son body avant que je passe ma langue dans sa fente pour taquinerie.
Elle me dit :
‘’Encore une fois, j’ai envie et toujours envie de toi, je suis en retard, je mouille comme une salope, passe-moi une mini serviette que j’essuie mon minou, nous baiserons quand nous rentrerons et soyons sage à l’école’’.


Elle sortit pour aller au garage prendre sa moto pour aller à son travail en me faisant un clin d’œil, le casque sur la tête.
Je me retrouvais seul, je savais que j’allais avoir cours à 10h, cela me laissait le temps pour me reposer un peu et préparer mes affaires tranquillement.

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