Du temps où j’étais militaire en Allemagne (en 1988), lors d’un exercice avec une unité Américaine, j’eus un accident, évacuer sur un hôpital Allemand Une infirmière de nuit me fit la plus belle fellation de ma vie.
Proposée le 13/09/2022 par Rackham
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
Du temps où j’étais militaire en Allemagne (en 1988), lors d’un exercice avec une unité Américaine, j’eus un accident, qui se révéla finalement sans gravités, évacuer sur un hôpital Allemand car risque d’hémorragie interne suspecté, radio, échographie et toutes les deux heures prise de tension.
J’étais le quatrième lit dans une chambre qui en comportait déjà trois.
L’infirmière de nuit venait toutes les deux heures pour prendre ma tension.
Au matin, les trois autres patients partirent déjeuner et fumer.
L’infirmière vint une fois de plus prendre ma tension.
Même rituel, mon bras droit tendu pour passer le brassard qui gonfle pour prendre la tension.
Elle le passe à mon bras, pose sont stéthoscope dans le creux de mon bras.
Se faisant, elle avance vers moi, ma main passe entre les pans de sa blouse qui n’étaient pas boutonné dans le bas.
En sentant le frottement du tissu sur ma main, je me rends compte de l’endroit où elle se trouve, immédiatement après, mes doigts frôlent l’intérieur de sa cuisse, pas de réaction de retrait de sa part, j’imagine que à cet instant, ma tension ne devait pas être si bonne que ça vu sa petite moue, mais elle ne fit pas de mouvement de recul.
Au contraire, ses cuisses se sont légèrement resserrées sur ma main sans l’emprisonner, j’ai donc caressé l’intérieur de ses cuisses, sa peau était si douce, ses cuisses chaudes, j’ai doucement fait monter ma main entre elle, mon infirmière a à ce moment écarté ses jambes pour me faciliter le passage, je ne me fais pas prier pour monter ma main jusqu’à son entre-jambe, j’arrive à son string (en avance pour l’époque ma belle soignante), le tissu était chaud et déjà très humide.
Je l’écarte et je fends en deux son abricot lisse, c’était la première fois que je rencontrais une femme qui avait un sexe lisse de tous poils, mon excitation est grimpée en flèche de cette découverte, mon sexe encore bien sous les draps était gonflé comme rarement. Mon index se glisse sans aucune difficulté entre les lèvres de sa chatte, trouve rapidement sont petit bouton si sensible et il l’était vraiment fort. Je commence à le caresser en tournant autour avec mon index, ensuite je le masse de mon pouce, j’entends sa respiration qui s’intensifie tant en force qu’en rapidité d’inspiration et d’expiration.
Entre temps elle avait ôté le drap et la blouse dont j’étais affublé, mon sexe était là bien dressé et dure sur mon bas-ventre, le sang battant le faisait tressauter, elle posa sa main dessus, l’effleurant à peine, descendant vers mes bourses (contrairement à elle poilues), qu’elle soupesa.
J’avais depuis introduit un puis deux doigts dans son vagin et mon pouce massait son clito, elle gémissait de plus en plus. Je les enlève de sa chatte et je m’aventure à un petit mouvement vers son joli cul et surtout son anus, elle me lance un NEIN qui malgré qu’il soit dit avec le sourire n’en n’est pas moins sec en sans appel, je retourne donc masser son point G et son clito, ce qui lui convient parfaitement à l’entendre couiner et prononcé de petit JA JA plus d’autres mots dans sa langue que je n’ai pas compris, mais le JA suffisait à me motiver à continuer, ce que je fis sans me faire prier.
De son côté, elle massait ma bite en douceur, au moment ou elle s’est mise à gémir plus fort, elle à plongé sur mon sexe et l’a englouti entièrement et en une seul fois pour atténuer le son de ses gémissements car mes doigts bougeaient de plus en plus vite dans son conduit, ses cuisses se frottaient l’une contre l’autre et je sentais le liquide qui coulait le long de mes doigts et de ma main.
Elle a accéléré son va-et-vient sur ma hampe en aspirant tellement fort, ses joues serraient ma queue, ses jambes se sont misent à tremblé et elle a appuyé ses genoux sur le bord du lit pour se maintenir, elle me procurait un plaisir intense en jouissant sous mes caresses et cela eu pour effet de moi aussi me faire jouir, je l’ai prévenu afin qu’elle sache et puisse anticiper en lui disant ICH KÔm, elle a encore accélérer et à avaler toute ma semence, a bien aspiré et léché tout, pas de trace de son passage. Elle à déposer un baiser sur mes lèvres, nous nous sommes remerciés mutuellement d’un DANKE.
La coquine avait tout préméditer, elle avait mis la « présence de soins » et avait fermé le verrou de la porte.
Je ne l’ai pas revue car le matin même j’étais transféré vers un hôpital militaire.
Quel magnifique souvenir.
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Commentaires de l'histoire :
valerie
j'aurais bien voulue devenir infirmiere et navaler cette belle queue belle histoire qui fait reagir dans ma culotte
Posté le 6/03/2023
Pongodu21
C'est vraiment un très joli souvenir.
Posté le 19/09/2022
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