Dans les yeux de Érika. J’ai découvert le plaisir de me donner en tant que trans. Cette rencontre fut marquante. Mais, au final, elle ne fut pas la moins gênante.
Proposée le 25/07/2022 par Bisou 69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Suite aux échanges coquines et conversations associées, Alex et Frank nous proposent un souper avec eux. Ils spécifient qu’ils aimeraient que je sois au féminin. Sarah est fort emballée. Mais, moi, j’ai quelques réticences. Le seul personnage dans cette histoire, c’est moi. Les autres seront eux même. Très différent de la dernière fois. Oui, nos échanges furent fort divertissants et excitants. J’ai vraiment adoré. Et il est vrai qu’ils ont vu entièrement mon corps, mais, nous étions dans une intimité et on choisissait le visuel transmit. A ne pas oublier que c’est deux hommes hétéros. Nous prenons soins de faire de photos comme si j’étais une femme. Oui, ils sont parfaitement au courent de la réalité, mais ils aiment Érika présenté comme femme. Qu’en sera de Érika la trans? Elle me rassure en me mentionnant qu’il n’est pas convenu de passer à l’acte, juste d’amuser le temps d’une soirée. Comme au souper meurtre et mystère. Je m’attends tout de même à dévoiler un brin et attiser nos hôtes. Elle réussit à me convaincre que ce sera divertissant et drôle. Et, je suis curieux de l’expérience. Et comme on cache rien, s’il a désenchantement, on va juste en rire.
Moment venu, nous avons, comme la dernière fois, loué une chambre et apporter tout notre attirail. S’en suit une préparation soignée pour créer le mirage souhaité. Toujours ornementé de ma paire de faux seins et d’une lingerie les recouvrant. Nous utilisons également un collier en dentelle pour dissimuler la terminaison de ma combinaison a faux seins. Un des avantages de cette expérience, je peux mettre un string. Je sais que Sarah aime et me pousse à en mettre. Mais, peu de personne aime des hommes avec ce genre de lingerie. Moi, par contre, j’aime ça. Je trouve que mes fesses rebondies sont mises en valeur. Par contre, normalement, j’utilise les modèles à bande sur les coté et un petit triangle à l’arrière. ( thong ) C’est le modèle qui me fait le mieux. Cette fois ci, on a choisi un avec des ficelles qui réunissent l’avant au très petit triangle arrière. Plus jolie avec l’ensemble de lingerie choisi. J’ai trouvé un cache sexe ‘’faux vagin’’. En poussant mes attribues masculins entre mes jambes et en appliquant ce triangle ‘’faux vagin’’ par-dessus, on cache vraiment. Ça donne vraiment un visuel féminin. Même avec ce string qui couvre pas trop. J’ai trouvé que ce serait plus approprié avec une robe moulante. Car oui, pour être plus glamour, nous avons choisi une robe longue de gala moulante. Je passe par la suite, sous les mains expertes de ma complice, pour être maquillé divinement. On termine avec une perruque. L’ensemble accomplie, le résultat est vraiment étonnant. Mieux que la dernière fois. Pendant que ma Sarah termine sa préparation, j’enfile les bottes cuissarde choisi pour l’évènement et je me pratique à déambuler en talon. Pas évident des talons. Mais je dois reconnaitre que ça élance mes jambes et les féminise. Et arrondi d’avantage mes fesses. Mon acolyte me fait des remarques de faire aller mon popotin un peu plus. Je manque tout de même pas l’occasion de l’observer dans ces préparatifs. Elle est sublime. Sous sa robe, elle n’a que les bas de nylon mi-cuisse et un tanga. Et cette robe, elle est loin de passer inaperçu. D’un rouge vif qui lui couvre à peine les cuisses et une grande ouverture qui dévoile suffisamment les seins pour remarquer qu’elle n’a rien d’autre en dessous. Il est vrai qu’ils sont ferme. Mais c’est tout de même très provocateur pour une soirée où il ne devrait rien se passer. Un maquillage plus ou moins nécessaire pour une femme, qui malgré un début de quarantaine, est resté magnifique. L’une à côté de l’autre, devant la glace, on se trouve très coquette. Ce fut un après-midi super agréable et plein de fou rire. Malgré ce fait, j’ai beaucoup de réticence à poursuivre cette aventure. Mon allié avait prévu cette émotion. Elle m’invite à utiliser de la drogue de l’amour pour engourdir ma gêne. Prête, nous nous dirigeons à notre rendez-vous.
A partir de maintenant, étant dans le rôle d’un travesti, j’écrirai au féminin.
La dernière fois, je me suis recouvert d’un long manteau. Mais la soirée était chaude. Pour éviter de transpirer, j’ai dû me déplacer en robe de soirée non recouverte. D’où l’importance de savoir marcher. Sur le chemin, je n’avais pas l’intention de me faire remarquer ou d’aguicher. Au contraire, je voulais passer inaperçu. Une simple femme anodine de passage. Mais, j’étais consciente qu’il était difficile de ne pas se faire remarquer dans de tel habit. Heureusement ma compagne était plus flamboyante et attirait davantage les regards. Du moins, c’est ce que je m’imaginais. Car je fuyais tous les regards. J’ai aucune idée si le subterfuge a fonctionné. Dans le taxi, Le conducteur regardait souvent dans son miroir. Mais, je ne peux vous dire si c’est par excitation ou questionnement. On a eu tout de même droit a ;
- Très bonne soirée jolies demoiselles
Nous avons été accueilli par nos hôtes chaleureusement. C’était chez Alex. Mais Frank était déjà présent. Ils s’étaient superbement préparé. Alex était sur son 36. Très classe. Frank, moins glamour, mais bien mis et très attirant dans un chandail qui met en valeur son corps travaillé. Ce qui est aussi très agréable, c’est que nos deux mâles sont plus grand que moi. Et ce, malgré la présence de talons. J’apprécie et m’aide à jouer mon rôle. L’ambiance commence avec une certaine gêne, mais le temps et l’alcool dénoue cette inconvénient. Et les gars nous regardaient avec beaucoup de brillances dans leurs yeux. La beauté de ma complice aide de beaucoup. Mais, tout de même, j’en étais surprise et ravis. J’ai souvent sentie le regard d’Alex. Ça me gênais et m’enivrais en même temps. Tout le souper fut vraiment agréable et plein de fou rire. On est passé par la suite au salon. Il a une musique d’ambiance très jolie. Ma consœur m’approche pour danser lascivement. Je vous avoue que je me sens allumé. L’alcool et la drogue semble faire leur effet. Donc, je me prête au jeu. On se trémousse un moment avant que je pousse ma sublime collaboratrice sur le divan. Je relève ma robe sur mes cuisses et viens m’assoir en califourchon sur elle. Je lui prends son joli visage et viens l’embrasser. Je me mets à bouger pour me frotter sur elle. De son coté, elle descend ces mains et agrippe mes fesses. Elle ne les tripote, mais ose soulever ma robe pour mettre mes fesses carrément à la vue de ses messieurs. Je ne sais pas quel effet cela fait, mais j’adore ça. Et fait monter ma température. Je lui agrippe les seins tout en continuant de l’embrasser. Elle me repousse un peu et fait descendre ces brettelles pour faire tomber sa robe sous ces seins. En les dévoilant du même fait. Rond et ferme, trop invitant. J’ignore maintenant ça bouche pour, les dévorer. Lécher, mordiller, masser, je les exploite de toutes les manières. Dans un élan d’agressivité, elle me repousse encore pour faire descendre ma robe, tasser le bonnet du bustier et faire la même chose avec les miens. Elle les dévore avec appétit. Comme s’ils étaient vrai. Je me demande si on cherche à les exciter ou si nous sommes toutes les deux juste trop allumé et affamé. Ma complice me pousse légèrement sur le côté, se penche au-dessus de mon dos et me donne une petite gifle sur une fesse. Elle agrippe mes fesses et joue avec en regardant nos deux mâles probablement très attentifs. Elle tasse le petit cordon pour dévoiler ma rondelle rose. Elle y dépose un doigt et joue avec. Je sens même son doigt se glisser à l’intérieur. Là, je pense que nous n’avons plus de gêne. Elle me dit de me lever et de m’installer à quatre pattes sur le divan. Elle remonte sa robe, s’installe à genou derrière moi, tasse encore mon petit cordon et glisse sa langue sur ma fleur. J’apprécie le moment. Mais je les imagine probablement ébahis par le spectacle. Surtout que ma complice doit-être sublime dans cette position. Ces formes et son cul enjolivé de son tanga.
Elle se relève et m’assimile une bonne claque aux fesses. Et me dit;
- Suis-moi. On va s’occuper d’eux.
On se dirige vers eux tout en constatant qu’ils ont déjà sortie leurs membres et son ben dur. Du moins, je le constate, car je crois que ma consœur le savait déjà. Je suis heureuse que je les excite. Et surtout surprise. Sarah se dirige vers Frank. Moi vers Alex. C’est à lui que j’ai l’impression de faire le plus d’effet. Et il est très attirant. Mais son membre l’est encore plus. Je tombe à genoux devant lui. Et prends le temps de descendre son pantalon et sous-vêtement. Cependant, dans ce que j’ai connu dans ma courte expérience, les membres avaient le gland de diamètre similaire au reste de la verge ou légèrement plus petit. Dans ce cas-ci, son gland est vraiment plus gros. Il n’a rien de déplaisant. Ça m’a juste frappé. Je ne m’attarde pas trop à l’admirer de peur de perdre de sa vitalité. Je m’approche et le glisse dans ma bouche. Je ne porte pas trop attention à l’autre couple. Je profite de l’action qui fait partie de mes nouveaux plaisirs. N’ayant toujours pas comprise exactement le pourquoi. Mais j’adore et déguste. Pendant que je le suce, je remonte mes mains pour masser son torse si dur. Je me sens tripoteuse. Mais je finie par redescendre une de mes mains. Je la passe derrière moi et remonte ma robe. Je positionne ma main sur mes fesses et glisse mon index entre celle-ci. Je me rends jusqu’à ma rosette et m’y glisse à l’intérieur. Je me trouve audacieuse et sans tabous. J’ai le feu en moi. Il ne me laisse pas beaucoup de temps pour en profiter. Il me pousse à me mettre debout, retire ses vêtements et agrippe un préservatif. Je devine que je risque de l’envelopper de la peau de mon entre jambe. Et comprends qu’il veut surement imiter nos deux compères. Car oui, ma collaboratrice est debout, appuyé sur l’ilot, pendant que Frank s’active en elle. Il ne lui reste que ces bas mi-cuisse comme habillement. Pendant que mon amant termine son installation, je laisse tomber ma robe qui ne me couvrait déjà pas trop et m’installe contre le comptoir, les jambes légèrement écartées.
Étant à coté de Sarah à patienter, j’en profite pour l’embrasser, mes fesses courbées, pour laisser à mon amant le pouvoir de perforer mon corps. Avec ces mains, il commence dans le bas de mes jambes et glisse jusqu’à mes cuisses. Embrasse celle-ci jusqu’à mes fesses. Tout ce fait avec tendresse. J’apprécie vraiment ces caresses. J’en ai même des frissons. Ça me fait tout drôle d’être touché ainsi. J’ai l’impression de ronronner. Remi debout, il glisse son membre sur ma raie. Il s’amuse comme ça quelques secondes. Qui parue pour moi une éternité. Je ne sais pas s’il hésite ou s’il veut m’exciter. N’en pouvant plus, j’écarte mes jambes davantage, glisse mes mains sur mes fesses et ouvre celle-ci. Le regarde et lui dit;
- Je suis à toi mon bel étalon.
Je constate qu’il cherche à retirer ma petite culotte. Mais, sans penser, je l’ai enfilé avant d’attacher le porte jarretelle. Donc, elle est prise sous. Petite contrainte de ce type de lingerie. Cependant, cette contrainte ne durera pas longtemps. Il s’agrippe au petit morceau de tissus et l’arrache de moi. Déchirant les élastiques. Action qui ne me crée aucune douleur. Au contraire, m’émoustille davantage. Il peut maintenant explorer mon corps par le passage qu’il désirait sans contrainte. Ce qu’il entreprend en s’installant à l’entrée. Le faux vagin a suivi le string. Libérant ainsi mes attributs masculins qui se trouvaient à l’étroit dans l’excitation. Je ferme les yeux pour retirer les distractions. J’ai envie de tout ressentir. Sentir un gland pousser les parois et se faire un passage jusqu’au fond, c’est délectable. Je me sens m’ouvrir lentement. Son gland hors norme dilate bien le passage. Je vie la particularité de son engin dès qu’il passe cette entrée. Je sens vraiment la différence de grosseur quand ma peau se referme après le passage. Et j’ai l’impression de connaitre la position exacte tout le long de la progression. Et, à mon grand étonnement, je lui laisse savoir que j’aime cette entrée. Je me sens coquine et j’ai comme une envie de le démontrer. Cette façon passe par des ‘’ooohhhh ouiiiii…’’ et des ‘’Mmmmmm…’’ Il s’arrête, s’approche de mon oreille, et me dit :
- On m’a toujours refusé ce passage. Il aura fallu une belle salope comme toi pour
pouvoir y goûter.
Et entreprend son vas et viens. Ces mots ne me choquent aucunement, bien au contraire. Ils m’émoustillent encore plus. Et les sensations de son gland qui oscille en moi est euphorique. J’apprécie tellement les sensations qu’il faudra que je m’achète un dildo avec les même attribues. Et ma complice qui a déjà commencer à crier son plaisir, augmente mon embrasement. Une à côté de l’autre, on se laisse pilonner. On entend le son de claquement de leurs corps frappant les nôtres. Étant encore avec mes bottes à talon, je suis sur la pointe de mes pieds et je m’accroche à l’ilot pour maintenir ma position. Je sais, je me répète. Mais un des points positif d’une situation comme celle-ci, c’est que je peux laisser aller les sons que j’aime extérioriser quand ça s’active en moi. Ma bouche libère les plaisirs qu’on me donne. Et ça, sans crainte de jugement. Certain pense peut-être que c’est juste un artifice. Mais il a un réel plaisir à couiner. C’est même instinctif. Tant que ça vient du ressentie. Non du forcé. Et ça aide à communiquer son plaisir. Et comme mon amie est pareil, c’est agréable de le faire avec elle. Il m’agrippe mes épaules et se permet de pousser davantage. Me faisant couiner encore plus.
La ride est divine, mais je constate que je suis dans une situation unique. J’ai une personne de couleur dans cette action. Personne pourvu d’un outil de fantasme. Dans un élan de folie incompréhensible, je me retire de ma position et vole cette personne à ma complice. Je le pousse à s’installer au divan. Et ça, sans égard pour les autres participants. Je prends le temps de regarder ce corps de mâle, son membre viril. Je viens m’installer sur lui pour combler ce fantasme. Avec le contrôle, je peux diriger cette pénétration. Ce qui se fait tout de même plus facilement que je le croyais. Je constate cependant qu’il n’est pas super dur. Je peux apprécier quelques vas et viens avant de perdre la dureté que j’aurais tant souhaiter. Je pense que le subterfuge est moins efficace pour notre ami. Il faut dire, face à lui, il est difficile de cacher mon intrus entre mes jambes. J’aurais peut-être dû jouer de ruse et m’installer autrement. Mais j’avais envie de le voir pendant l’acte. Et qu’il voie l’excitation dans mon visage. Je lui dis;
- C’est pas grave mon beau.
Je me penche et l’embrasse. Je n’ai jamais embrassé un homme. Sans comprendre, je l’ai fait instinctivement. Il m’a prise par la taille et me là même rendu. Jusqu’à mélanger nos langues. C’est très différent d’avec une femme, mais j’aime bien. Retour à la réalité, on se dirige pour voir où en est rendu l’autre couple. Alex est sur le sol, madame le chevauche. Maudit qu’elle est belle à voir. Il me vient une idée. Je glisse à l’oreille de mon nouvelle ami cette idée et tombe à genoux devant lui. Prends son membre imposant même ramollie et retire le préservatif. Je joue de mes mains quelques secondes avant de le prendre en bouche. J’espère, pour la suite, que je réussisse à lui redonner vie. Je ne tarde pas longtemps à le savoir. Il se gonfle davantage. Limitant ainsi ma prise en bouche. Mais, j’utilise mes mains pour combler ce manque. C’est agréable de le sentir redevenir dur. Même si c’est probablement la vue de l’autre couple qui l’excite. Satisfaite de sa dureté, je le recouvre, lubrifie et l’invite à se positionner derrière elle. Remarquant nos intentions, mon amie s’arrête, se penche et attend que Frank finisse de s’introduire en elle. Je ne manque pas une seconde. Je remarque que ma complice se mord une lèvre. Signe du degré d’ouverture demandé à se jolie petit trou. Lentement, les mouvements se crée. Et je n’arrête pas mon voyeurisme. Sur certain angle, je peux voir ces deux bouts de chair disparaitre dans leurs entrées respectives à l’intérieur de mon amie. Je suis jalouse de ce plaisir que je ne pourrai jamais connaitre. Mais aussi de se gourdin qu’elle a la chance de se prendre dans le cul. Frank a plus de liberté de mouvement qu’Alex. Et il en profite. Madame ne cache pas son plaisir. J’ai l’impression que son orgasme ne serait tarder. Sa respiration et ses petits cries la trahis. J’adore la voir dans cette état. Quand elle relève la tête, se mets à vibrer et crie, je constate que ce moment viens la combler. S’en suit celui de Frank. Alex quelque peu limité dans ces mouvements et moi spectatrice, en sont ravie.
Alex, après avoir attendu que nos deux orgasmiques reviennent à eux, finie par se lever. Il me fait signe de le suivre. Heureuse de renouer avec l’action, je suis attentive à ces indications. Il me place contre le bras du divan et me fait coucher sur celui-ci. Bien installé devant moi, il agrippe mes jambes et les soulèves pour s’offrir mon intimité envieuse. J’adore les entreprenants. Couché sur le dos, sur cette partie du divan, c’est lui qui me tient en équilibre. Mais j’aime bien qu’il me tienne mes jambes ainsi. Je me sens encore plus offerte. Il me pénètre facilement et toujours avec la sensibilité ressentie plus tôt. Il glisse en moi avec douceur qui lui est propre. Ma complice passe à côté de moi pour venir en spectatrice. Je glisse ma main pour pouvoir jouer avec son clitoris. Je me rends contre que Frank est sur l’autre côté. Avec sa verge semi dur encore culoté juste à côté de mon visage. Je tire sur son préservatif pour le libérer, agrippe son membre souillé de son orgasme et le place dans ma bouche pour le nettoyer. Je glisse ma main sur une de ces fesses pour bien m’accrocher. Le gout de son sperme est moins salé que ceux déjà connu. Ce qui est d’autant plus agréable à nettoyer. Là, dans cette position, je peux pas dire que je ne suis pas gay. Ok, j’ai pris un rôle féminin. Mais je suis sur le dos, les jambes relevées et écartées. Complètement offert à Alex qui a tout le loisir de m’enculer comme ça lui tente. Et Frank qui se fait nettoyer son pénis dégoulinant de son sperme au fond de ma bouche. Il manquerait juste de changer madame par un homme que je branle en même temps pour combler le tout. Et pire, j’en ai du plaisir. Mais revenons à l’action. Alex a augmenté le rythme. Et il utilise au maximum le mouvement possible. Son dard ressort même parfois ce qui m’électrise davantage. Et j’aime sa vitalité soudaine. Pour ce qui est de Frank, je le sens grandir dans ma bouche. C’est envoutant. J’ai vraiment l’impression que cette fois-ci, c’est moi qui l’excite. Je sens la chaleur monter en moi. Il faut dire que mon point P doit être bien gonflé. Je me connais pour savoir qu’un bon orgasme pourrait survenir. J’espère juste qu’Alex ne va pas exploser avant. Je n’arrive plus à sucer Frank. Un, parce qu’il est un peu gros et un peu trop dur dans cette position. Et deux, il s’échappe des petits crie de plaisir que mon corps ne peut plus retenir. Je regarde Alex dans les yeux et lui lâche des commentaires pour rendre ça plus cochon.
- Ah oui, mmmmmmm
- Tu l’aime mon p’tit cul serré? Regarde là entrer. Disparaitre en moi.
En disant cette phrase, tout en le voyant s’activer devant moi, j’imaginais sa queue se glisser. Disparaitre dans ma chair. Comme quand je regardais mes dildos m’envahir à l’aide du miroir. Lui, il pose sa main et agrippes mon membre devenu dur. Je lui attrape et la repousse.
- Non. Pas comme ça. J'ai envie d’être ta petite salope. Je me sens cochonne. Je n'ai
jamais été baisé comme ça avant et j’ai besoins de ta queue. J’ai envie qu’elle me
fasse jouir…
Ce qui était une réalité. Je n’avais pas envie cette voie de plaisir. Mais plutôt par la pénétration. Dans ma caverne d’amour. Et de voir mes jambes féminisées par les bas de nylon et les bottes à talon, ça me donne encore plus le gout d’être prise comme une femme. J’ai l’effet que je souhaitais. Ça rend Alex encore plus fou. Il glisse plutôt ses mains en avant de mes cuisses et agrippe mes hanches. Bien accroché, il peut pousser à fond. Ce qui m’excite encore plus. Je n’ai plus envie de faire plaisir au partenaire. Je ne pense qu’a mon plaisir. En fait, je ne suis plus trop certaine de penser. Je m’abandonne a lui. Le côté féminin en moi prend place. J’ai envie d’être soumise. Qu’il me fasse l’amour. Qu’il me domine. Je n’ai pas l’impression que s’est dû au fait que je me suis travesti. Que dans ma vision, je vois ma guêpière qui recouvre mes faux seins et mes jambes lisse recouverte de bas mi-cuisse. Je sens vraiment que c’est un état d’esprits. Que j’ai cette sensation sans ces artifices. Je me sens comme si j’étais une vraie femme. Mon état d’esprit a toujours été différent prise analement. Mais présentement, c’est fois mille. Mes phrases ne sont plus stratégiques. Je deviens émotif et spontané. Je deviens DURTY.
- Encule-moi. Défonce-moi. Je te veux tout en moi.
- Oh fuck yes, Calissss que c’est bon.
- Fuck me hard….. Baise-moi si fort que ça me fait mal demain
- Je suis ta bitch… Joui en moi
- Ah oui, tu vas me faire jouir. Plus fort, plus fort…
Je vous écris ces mots, mais je ne sais plus trop tout ce qui a sortie de ma bouche. Je sais juste que c’était sur le coup de l’émotion. Mélangé à mes cries de plaisirs.
Je sens mes fesses se serrer. Mon corps déborder d’émotion. Et pour cause, l’orgasme explose tous mes sens. Un puissant. Un interminable. Et Alex ne cesse de me ramoner. Il a du souffle. Et moi je crie de jouissance. Des cries non retenu. Je m’abandonne complètement sans égard à la situation ou au gens qui m’entoure. Tout à coup, Alex se retire, sans savoir s’il est venu ou s’il est trop essoufflé. J’ai un moment de déception. J’en aurais voulu plus. C’est Frank qui vient le remplacer. Son dard entre sans contrainte. Tout s’est fait rapidement. Ce qui ne m’a pas refroidi. Au contraire, ça m’électrise encore plus. Frank étant un peu plus gros, je le sens. Et me ramène en état orgasmique rapidement. Cet état perdure. J’ai l’impression d’un orgasme interminable. Mais je crois que c’est en réalité des orgasmes multiples. Tout ce que je sais, c’est que mon corps s’est abandonné. J’avais une drôle de sensation d’en vouloir plus. Encore plus fort, plus profond. En sachant tout de même que j’étais bien rempli. J’ai aucune idée combien de temps ça a duré. Comment fort j’ai crié. Et surtout, tout ce que j’ai pu crier. Je me rappelle juste d’avoir dit ;
- Calisssss que c’est bon de se faire défoncé par une black dick!
Ça s’est arrêté quand Frank à stopper, au fond de moi, et joui. J’ai senti son sperme se buter à mes parois. A grosse giclés. J’étais super sensible. Et super réceptif à chaque contact. C’est à ce moment que j’ai comprise qu’il m’a pénétré sans préservatif. J’en avais le fantasme, mais je n’osais pas. Par peur de maladie. J’enroula mes jambes autour de lui et le laissais se vider. Et me remplir du même fait. J’appréciais ce moment unique. Je l’adorais même. Chacun de ses spasmes me faisais sursauter et vibrer. Et ça m’indiquait une giclée supplémentaire. J’imaginais tout ce sperme qui remplit mon cul. Il n’avait plus d’inhibition. J’étais prêt à tout faire. Et a laissé tout me faire. Il aurait eu d’autre homme qui aurait voulu me prendre à ce moment que je me serais laisser faire. Il s’écrase sur moi. Il y reste suffisamment longtemps pour sentir son membre dégonfler et quitter mon corps. Je remarque ma complice sur le canapé, les jambes ouvertes et la queue d’Alex en bouche. Il semble avoir venu. Par ces soins, ou en moi avant Frank. Je sais pas. Et elle à l’entre jambe détrempé. Signe d’un orgasme puissant. Je pense que le spectacle leur a plu.
Libéré de mon amant, je me relève avec difficulté et déroutement. J’ai aussi les jambes faibles et tremblantes. Je cherche mes vêtements avec l’envie de me couvrir. Comme si je voulais cacher le côté de moi que je venais de dévoiler. La dévergondé en chaleur qui crie son plaisir. Je retrouve ma robe et mon string. Je n’enfile que le premier car le second est inutilisable. Nos deux gaillards nous suggèrent de continuer notre soirée en boite. On sortirait comme deux couple. Ma complice remarque que je n’ai pas trop les idées en place et avise nos compères que nous passerons à notre chambre pour se faire un brin de toilette et on les contacts quand nous serons prêtes. Et nous quittons.
Au retour, étant juste avec mon amie, j’ai pu reprendre mes esprits. L’embarras partie, le désir est revenu. Je n’ai pas trop remarqué l’émotion du conducteur de taxi, contrairement à plus tôt. Car on a passé la ride à s’embrasser. À l’hôtel, dans l’ascenseur, je sentais le sperme de Frank couler sur mes cuisses. La douche était de mise. Ce que nous entamons ensemble dès notre entré dans la chambre. Dans cette douche, Je l’ai laissé me retirer ces traces qui me rendaient féminine. Je l’ai aussi bien nettoyé et parcouru son corps que j’apprécie vraiment. Par la suite, on a discuté de notre soirée sur le lit. Je lui expliquais à quel point j’étais émotive. J’ai trouvé ça super cochon. Je me surprenais par mon manque d’inhibition. A quel point j’étais soumise. Je me reconnaissais plus. J’aurais aimé avoir une vidéo pour entendre tout ce que j’ai pu dire. Et comment j’étais animal. Mais d’un autre côté, c’est peut-être mieux comme ça. J’en serais peut-être trop gêné. Je ne sais pas si c’est la drogue, mais j’ai adoré baiser ainsi. De m’offrir ainsi. Il a comme une facette de moi qui veux s’offrir comme ça. Je me suis senti libre et sans barrière. Elle, elle a adoré la soirée. Elle m’affirme avoir été rarement aussi excité. Elle aimait notre complicité. Elle a été surprise par mon côté féminin et même, que je l’ai excité. Elle me dit que ce n’est pas la dernière occasion que je vais être Érika. Elle aurait aimé s’amuser avec moi davantage. Ce que je rectifie sur le champ. Je lui ai sauté dessus et fait l’amour. Cette fois-ci, sans artifice. Juste nos corps nus. Et le coté mâle a refait surface.
Pour nos amants, on n’a pas eu l’énergie de poursuivre. Et nos vêtements étaient trop souillé et friper pour être présentable. Et je n’avais pas envie de jouer les femmes en publique. De toute façon, on dormait déjà profondément. Ça a été pour eux, les derniers souvenir de nous. J’ai appris plus tard qu’ils ont eu des rapports ensemble. Ils étaient moins hétérosexuels qu’on le croyait.
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