Morgane est une jeune femme de 17 ans, quelque peu timide mais sexy. Après un cours de natation, son professeur la surprend parlant de lui dans les vestiaires...
Proposée le 2/01/2016 par Imagine69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
L’eau était fraîche en cette fin d’après-midi d’automne. Je venais d’intégrer la Première Scientifique de mon lycée depuis quelques semaines et j’étais en cours de natation depuis plus d’une heure. J’adorais conclure une journée de cours par des activités sportives. Contrairement à certains élèves ça me détendait.
Je m’appelle Morgane et je viens de fêter mes 17 ans. Je suis brune, sportive, coquine et plutôt bien foutue. L’eau fraîche raffermie on ne peut plus mon corps et mes seins pointent légèrement. Il y en a un qui n’a pas manqué ça. Manu, le professeur de sport, ne me quitte pas du regard. Il est vrai que mon petit maillot deux pièces moule mes formes à la perfection. Le tissu blanc met le relief de mes tétons en exergue et les laisse transparaître quelque peu. Manu est quasiment toujours sur ma rangée. Lorsque j’arrive à la fin de la longueur et que je fais une culbute pour repartir plus rapidement, je sens toujours son regard se poser sur mes petites fesses fermes et rebondies.
Manu est un homme de la trentaine, marié et père d’un petit garçon, grand, châtain et musclé. Son corps d’Apollon est rasé de près comme chez une grande partie des sportifs. Aujourd’hui il porte un caleçon de bain qui laisse deviner un sexe plus que très convenable. Après tout, pour ne le materais-je pas moi aussi ? C’est vrai qu’il est bien plus âgé que moi mais les filles de mon âge, tout comme les garçons, ont souvent un fantasme lié à leurs instituteurs.
Un coup de sifflet retentit. C’est déjà la fin du cours. Je rejoins le bord de la piscine et sors. L’air est frais, mes tétons pointent toujours pour le plus grand bonheur de Manu et de mes camarades de classe, ma poitrine monte et baisse sous l’effet d’un petit essoufflement. Je retire mon bonnet et libère mes cheveux longs. Après avoir adressé un sourire à Manu je me dirige vers les vestiaires en compagnie des filles de la classe. Nombre d’entre elles se changent directement pour partir au plus vite de l’école. Moi je préfère prendre une bonne douche chaude avant de rentrer chez moi. Mon amie Emeline est comme moi, elle préfère prendre son temps.
Je saisis ma serviette de bain, salut une partie de mes amies et rejoins Emeline dans la salle où se trouvent quatre douches. Je pose ma serviette sur le sol ou je sais qu’elle ne sera pas mouillée, enlève mon haut pour libérer mes seins, fais glisser ma culotte de bain sur le sol et me glisse dans la douche. Je n’ai jamais eu de gêne avec Emeline, qui a toujours été ma meilleure amie et ma confidente. Nous nous sommes déjà vues des centaines de fois nues. Je tourne le robinet d’eau chaude. Les jets réchauffent agréablement mon corps. Je me shampooine, me savonne en glissant mes mains sur mon corps et reste encore un peu à profiter de la chaleur et du réconforte de cette douche.
Au bout d’une dizaine de minute je ferme les robinets et me sèche délicatement. J’enroule la serviette autour de ma poitrine. Mes cheveux sont encore un peu mouillés mais je m’en fiche ça ne me fera pas de mal. Au moment de sortir, Emeline sort à son tour de sa douche. Je rejoins l’autre partie du vestiaire et décide de me refaire un petit maquillage en l’attendant. Lorsqu’elle sort, nous nous asseyons comme d’habitude près de nos affaires pour s’habiller. Je suis dos au gymnase dans lequel se trouve le bureau du professeur de sport, sûrement déjà parti à cette heure-ci. Une porte entrebâillée sépare nos vestiaires du reste du complexe.
Nous ne sommes plus que toutes les deux dans les locaux. J’ôte ma serviette tout comme Emeline et saisis mes affaires.
- Tu as vu comment Manu te regarde en cours de natation ? me lance Emeline en enfilant son soutien-gorge.
- Non, pourquoi ? dis-je naïvement en mettant le mien. C’était un soutien noir sexy, un peu transparent qui laissait apparaitre les auréoles de mes tétons.
- Arrête ! Tu ne vas pas me dire que tu n’as rien remarqué ! Il te dévore du regard à chaque fois ! ajoute-t-elle.
- Je n’avais jamais remarqué, répondis-je une nouvelle fois en lui lançant un petit sourire.
- Mouais, dit-elle peu convaincue.
Le silence revint. J’enfilais mon petit string assorti à mon soutien et m’assis me chausser. Je glissais mes pieds dans mes chaussures à talon haut, referma les lanières puis me releva. Emeline était déjà prête. Je me cambrais sur mes affaites pour trouver ma petite jupe et mon haut.
- En tout cas il a l’air plutôt très bien foutu en dessous de la ceinture ! dis-je en continuant de chercher dans mes affaires. J’aimerais bien voir s’il est entièrement épilé… je veux dire sous son caleçon. Et puis… j’aimerais bien lui faire autre chose si tu vois ce que je veux dire, ajoutais-je en rigolant.
N’entendant pas de réponse venir d’Emeline je me retournais vers elle. Elle me regardait avec de gros yeux, le teint blême et le visage figé. Mon sang se glaça.
- Oh mince, il est derrière moi, lui chuchotais-je paralysée.
Elle acquiesça légèrement en regardant par-dessus mon épaule. Je me relevais brusquement et fis volte-face. Manu se tenait debout, toujours en caleçon de bain, sur le pas de la porte.
- Vous avez tout entendu ? dis-je bégayant de honte.
- Oui plutôt, répondit-il avec un sourire.
- Je suis vraiment désolée, ce n’est pas ce que je voulais dire, ajoutais-je paralysée sur place.
- Je crois que je vais vous laisser, dit Emeline gênée par la situation et apeurée.
Elle saisit ses affaires et s’en alla d’un pas pressé. Je me sentais seule, bête et honteuse. Qui plus est j’étais à moitié nue devant mon professeur de sport. Je saisis ma serviette et allait l’enrouler autour de moi lorsque Manu m’arrêta :
- Non, ne mets pas ta serviette tu es sublime comme ça, me dit-il en laissant son regard parcourir mon corps. Et puis tu es très mignonne quand tu as honte, ajouta-t-il en me souriant.
Je ne savais plus ou me mettre. J’étais honteuse et paralysée au milieu des vestiaires, en tenue sexy, devant Manu et je ne savais pas bien ce qu’il attendait de moi.
- Alors comme ça tu trouves que je suis bien foutu ? me demanda-t-il.
- Oui, répondis-je en baissant les yeux, rouge de honte.
- Et tu aimerais savoir si je suis intégralement épilé ? ajouta-t-il avec un petit air taquin dans sa voix.
- Oui…enfin non ce n’est pas ce que je voulais dire…, dis-je confuse.
- Pourquoi ne pas vérifier par toi-même ? me dit Manu.
Je relevais mes yeux vers lui. Je ne comprenais pas très bien où il voulait en venir. Il referma la porte et ajouta :
- Viens je t’en prie ne sois pas timide.
J’avançais vers lui d’un pas incertain, en cachant tant bien que mal mon corps, et m’arrêta à quelques centimètres de lui, le regard vers le sol.
- N’es pas peur Morgane, tu n’as cas vérifier par toi-même si tu le désires.
Je n’arrivais pas à sortir un quelconque mot de ma bouche. J’étais toujours pétrifiée par la tournure des évènements. Machinalement, je m’accroupies devant Manu, intimidée. Mon regard remonta avec appréhension vers son caleçon marqué par une bosse importante qui laissait imaginer un sexe puissant. Puis mes yeux remontèrent vers ceux de Manu qui m’encouragea :
- Tu peux y aller ne craints rien.
Fébrilement, mes bras remontèrent vers son bassin. Je glissais deux doigts entre sa peau et l’élastique de son maillot tout en ne pouvant lâcher cette bosse du regard. Je tirais anxieusement sur son caleçon tandis que Manu me regardait faire avec un sourire. Son maillot glissa derrière, révélant ses fesses musclées, mais buté sur son sexe dur et imposant. Je tirais doucement l’élastique vers moi et baissa le caleçon.
Un sexe puissant et aux mensurations phénoménales apparut devant moi. Et pourtant il ne bandait pas complètement. Son gland lisse et décalotté tranchait avec le reste de son pieu sur lequel les veines ressortaient. J’étais complètement obnubilée par la beauté et la force qui se dégageait de ce membre. Sans même demander la permission, je finis de faire glisser son caleçon sur le sol. Manu leva un pied puis l’autre pour mettre son maillot de côté. Il me regardait fixer son engin avec envie. Timide, j’avais reposé mes mains sur mes jambes pliées. Je ne savais quoi faire désormais. J’étais à la fois paralysée et hypnotisée.
- Tu as trouvé la réponse à ta question ? demanda Manu.
Je sortis quelque peu de ma torpeur. Je n’avais même pas regardé s’il était complètement épilé tant j’étais absorbé par ce phallus. En effet, Manu était également épilé de près à ce niveau-là. Je trouvais cela très sexy.
- Ne sois pas timide et fais ce que tu désires le plus Morgane, ajouta-t-il en me caressant la joue.
Toujours aussi fébrilement, je posais une main sur sa cuisse et remonta doucement vers ses fesses douces et musclées. Je me redressais quelque peu pour me positionner face à son sexe. Nous échangeâmes un regard. Je saisis son sexe avec mon autre main, approcha ma bouche de son gland et l’emballa amoureusement. Manu poussa un râle de plaisir. Pour faire durer le suspense, je délaissais son gland pour passer ma langue sur toute la longueur de son sexe puis je suçotais tendrement chacune de ses bourses qui me semblaient bien remplies. Tout en revenant vers son gland, je fixais Manu dans les yeux. Il prenait son pied.
Mes lèvres s’écartèrent machinalement pour accueillir son gland qui gagnait en taille. Je m’occupais délicatement de son gland en le léchant, le suçotant et l’embrassant. Désormais son sexe était bandé et dur comme du roc. Je l’enfonçais un peu plus profondément dans ma bouche, laissais ma langue le caresser puis revenais sur mes pas. Je sentais les mains de Manu passer dans mes cheveux. Il était doux et tendre malgré sa virilité et sa force. Cette sensation me poussa à aller plus loin dans ma fellation et son gland caressait désormais ma glotte à chaque fois. Je fermais les yeux comme pour mieux profiter. J’adorais son sexe et il le savait. Seul le bruit de ma succion venait perturber le silence de la scène.
Manu saisit la main qui m’aidait à maintenir son sexe et la posa sur ses fesses. J’adorais me sentir guidée de la sorte. Mon sexe me brulait de plaisir et je sentais ma cyprine se frayer un passage hors de mon petit string. Je suçais mon professeur de sport avec amour et passion. Je sentais ses mains, perdues dans mes cheveux, exercer une légère pression sur ma tête. Délicatement j’enfonçais le sexe de Manu dans ma bouche puis lui ouvrit le passage vers ma gorge. Manu poussa un râle de plaisir tandis que je sentais ma gorge se déformer à mesure que ma tête se rapprochait de son bassin. Sans un bruit, je laissais son engin profondément implanté en moi puis le retira.
- Tu sais que tu es vraiment douée et sublime quand tu me suce ? me dit Manu qui prenait un pied sans nom.
En guise de réponse je lui procurais la même sensation, toujours avec délicatesse et passion. Puis Manu se cambra, passa ses mains sous mes bras, me leva souleva avec une facilité déconcertante, me plaqua contre le mur et m’embrassa avec fougue. Cette douce brutalité m’excitait au plus haut point. J’étais en talons aiguilles et sous-vêtements sexy contre ce mur froid. Le sexe dur et chaud de Manu était collé contre mon bassin et mon ventre. Une de ses mains passait dans mon coup tandis que l’autre palpait mes fesses rebondies. Il m’embrassait avec passion et amour comme pour me remercier de la fellation que je lui avais procuré. Je sentais derrière son comportement relativement calme qu’il bouillonnait. Nous partagions donc le même état.
Ses mains passèrent dans mon dos pour dégrafer mon soutien. Ses lèvres douces et chaleureuses embrassèrent mon cou et mes épaules. Il libéra mes seins de leur prison à mon plus grand bonheur. Ses mains expertes vinrent les palper délicatement et sensuellement tandis que sa bouche les rejoignait. Il me suçotait les tétons qui pointaient comme jamais. Je ne pouvais m’empêcher de râler de plaisir et je sentais ma cyprine couler le long de mes jambes. Ses lèvres revinrent vers les miennes, ses mains se posèrent sous mes fesses et il me souleva contre le mur. Je me serais instinctivement contre lui tout en ne cessant pas de gouter à sa bouche.
Il nous conduisit jusqu’au banc ou il me déposa délicatement. Je m’allongeais à moitié tandis que Manu s’agenouillait entre mes jambes. Il saisit les ficelles de mon string, le fit glisser le long de mes jambes et contourna mes talons hauts pour l’enlever. Machinalement, mes cuisses s’ouvrir et vinrent trouver appui sur ses épaules, lui laissant admirer mon sexe fraichement épilé et surtout trempé.
- Décidément, je vois que chaque partie de ton corps est magnifique, me complimenta-t-il avec un sourire et un regard envieux.
Ses lèvres se posèrent délicatement sur mes mollets qu’il embrassait avec passion. Petit à petit il remontait tout en me regardant prendre du plaisir. Ma respiration était saccadée et mon cœur battait la chamade. Au niveau de mes cuisses, Manu récupérait avec sa langue le filet de mouille qui avait coulé. Je trouvais cela très excitant ! Ma respiration s’accélérait à mesure qu’il se rapprochait de mon entrejambe. A quelques centimètres de mon sexe Manu marqua une courte pause puis je sentis sa langue chaude et humide se glisser tendrement entre les lèvres de mon intimité. Je ne pus m’empêcher de pousser un cri de plaisir tant cet homme avait entretenu la passion et la sensibilité de mon sexe. Sa langue remonta passionnément jusqu’à mon clitoris qu’il lécha avec passion. Ses lèvres se collèrent aux miennes pour récupérer la cyprine qui brulait mon sexe. Ses mains vinrent palper docilement mes seins tandis que les miennes s’agrippaient à ses cheveux. Sa langue redescendit le long de ma fente et je le senti pénétrer mon intimité. C’était si bon ! Je ne pouvais plus tenir. Mon corps était parcouru de spasmes tant il me procurait du plaisir. Je ne pus m’empêcher de jouir. Je hurlais de plaisir et Manu continuait son œuvre. Je devais lui remplir la bouche de cyprine. Je me sentais honteuse mais il poursuivait encore et toujours.
- Je suis vraiment désolée, lui dis-je en essayant tant bien que mal de reprendre ma respiration.
- Tu n’as pas à l’être, ta cyprine à un goût somptueux, me répondit-il avec un sourire.
J’étais complètement bouleversée. Je me trouvais dans les vestiaires du lycée, mon professeur de sport venait de me faire le meilleur cunnilingus de ma vie et je le voulais plus que jamais. Manu m’aida à me relever et m’embrassa tendrement puis me plaqua à nouveau contre le mur. Son sexe n’avait pas diminué. Au contraire il restait fièrement dressé. Manu passa sa main sous ma jambe droite pour la lever mais je décidais de lui montrer ma flexibilité en la montant au niveau de son épaule. J’étais donc en grand écart, debout, contre le mur.
- Waouw, je savais que tu étais forte en gymnastique mais pas de cette façon, me dit-il impressionné.
- Vous seriez surpris de savoir tout ce que je peux faire, lui répondis-je avec un sourire pour l’allumer.
Sa réaction ne se fit pas attendre et il me pénétra d’un coup sec. J’étais sans voix ! Mon sexe était si trempé et dilaté que malgré ses mensurations, l’engin de Manu n’avait eu aucun mal à s’engouffrer totalement dans mes entrailles. Ses allers-retours étaient puissants et rapides, nos lèvres ne cessaient de se gouter avec passion, empêchant mes cris de plaisir de s’échapper de ma bouche. Mes jambes étaient fébriles mais la force de Manu était rassurante. Après quelques instant il retira son sexe du mien, me retourna et me plaqua face au mur. Mon visage était collé sur la surface froide, je cambrais mon dos et bombait mes fesses pour l’accueillir à nouveau. Je sentis son sexe revenir en moi avec force et ardeur et ses mains étreindre mes hanches. Ses mouvements étaient toujours plus rapides et je ne pus m’empêcher de jouir à nouveau. Manu ralentit ses vas et viens puis retira délicatement son sexe du mien.
- Reste comme ça, me susurra-t-il doucement à l’oreille.
Je restais donc immobile, le dos cambré et le bassin bombé. Je sentis les lèvres de mon amant se poser délicatement sur mon dos. Il m’embrasser passionnément et descendait petit à petit tout en gardant ses mains sur mes hanches. Ses baisers passionnés s’étalaient sur le bas de mon dos puis sur mes fesses. Ses mains se posèrent à l’intérieur de mes cuisses et m’encouragèrent à les écarter. Puis je les sentis sur mes fesses rebondies pour les séparer on ne peut plus. Je sentis ses lèvres et sa langue se poser dans le sillon de mes fesses. Je commençais à voir clair dans son jeu et j’écartais un peu plus mes jambes comme pour lui donner l’autorisation de continuer. Je sentis sa langue pénétrer tendrement mon anus et j’émis un râle de plaisir. J’adorais cela ! Manu roulait une pelle longue et savoureuse à mon petit trou pendant quelques minutes. Puis se releva derrière moi.
- Décidément je vais de surprise en surprise avec vous madame Morgane, chuchota-t-il en présentant son sexe à l’entrée de mon anus.
Je ne savais pas comment un engin comme cela allé pouvoir rentrer dans mon petit trou mais la seule chose que je savais c’est que je le voulais. Manu saisit son manche comme pour le guider, et poussa doucement contre mon anus. J’essayais de me détendre au maximum. Après quelques instants son gland parvint à pénétrer dans mon petit trou. Un mélange de plaisir intense et de douleur me parcouru. C’était si bon ! Manu avait décidé de rester immobile pour me laisser dicter la cadence. Je reculais doucement vers lui puis m’éloigner pour habituer mon petit trou à la présence de cet engin. Au bout de plusieurs allers retours lents et sensuels je parvins à faire pénétrer la totalité de son sexe dans mes entrailles.
Nos bassins commencèrent calmement à se synchroniser. La situation me mettait dans des états pas possibles. Jamais je ne me serais douté qu’un jour je me ferais sodomisé par mon professeur de sport dans les vestiaires. Je mouillais abondamment. Petit à petit, Manu accélérait la cadence et moi de même. Son bassin claquait contre mes fesses alors qu’il me limait l’anus. Je sentais son excitation monter encore plus. Ses mains passèrent autour de mon cou et l’emprisonnèrent délicatement mais sûrement. Mon cœur battait la chamade et Manu m’empêchait de respirer convenablement mais j’adorais cela. Je le trouvais sommes toutes très sensuel et viril. Mon corps fut parcouru de spasmes et malgré moi je refermé un peu mon anus sur le sexe de Manu, ce qui lui procura une sensation des plus excitante. Je jouies une nouvelle tant l’excitation était à son paroxysme et Manu susurra entre deux respirations :
- Je vais éjaculer !
Il se retira sans prévenir alors que mon corps était encore secoué de spasmes et commença à se masturber rapidement pour finir. Mais je ne comptais pas le faire finir comme ça ! A sa grande surprise je m’agenouillais devant lui et engouffra son gland entre mes lèvres alors qu’il continuait de se masturber intensément. Je le fixais du regard et donnais des coups de langue à son gland pour l’aider. Un premier jet de semence explosa dans ma bouche puis brusquement, Manu saisit ma tête, perdit le contrôle et se déchaina dans ma bouche. Il faisait de longs et violents vas et viens partant de mes lèvres jusque dans ma gorge en jutant à foison. Moi je ne branchais pas, je trouvais tout cela énormément excitant. J’essayais juste de ne pas perdre une seule goute de son délicieux nectar. J’étais toute à lui !
Au bout de plusieurs allers retours Manu se calma et se retira :
- Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris mais en te voyant comme ça je n’ai pas pu m’empêcher…
- Tu n’as pas à être désolé, ton sperme avec un gout somptueux, lui répondis en avalant la dernière gorgée de sa semence.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Etienne
Très excitant comme texte, la jeune Morgane qui prend du plaisir avec son prof ! Par contre, il reste des fautes d'orthographe
Posté le 17/01/2021
reine
Histoire excitante
Posté le 27/07/2018
Anonyme
Lol
Posté le 8/07/2016
Anonyme
pourkoi pas entre ados!
Posté le 5/06/2016
hugoeracost1383
excellente excitation
Posté le 5/01/2016
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email