Première histoire de Véronique dans son rôle favori de vilaine nue et une de ses préférées même si ce n'est pas la plus élaborée. "Elle avait des seins volumineux où trônaient deux mamelons roses bien proportionnés. Elle vouait une adoration sans limite à ses pieds et aimait être nue."
Proposée le 27/06/2022 par Stegonosaur
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman
Un triple meurtre venait d’agiter la vie tranquille d’Arcoholong, petit village rupestre à la vie tiède et paresseuse où langueur et monotonie prévalait sur toute velléité d'action. A ces meurtres, deux communs dénominateurs : la fréquentation assidue du cabinet de la masseuse de pieds Véronique nouvellement arrivée au village et le fait étrange qu’auprès de chaque victime on avait retrouvé une chaussure identique de femme, comme si la meurtrière avait voulu apposer sa signature.
Véronique s’était établie au village, depuis un an seulement, dans une fort luxueuse villa au bord de la grande falaise. Elle profitait d’un vaste jardin où il n’était pas rare de la voir se bronzer nue au soleil, les fesses à l’air. C'était une femme plutôt petite, d'un bon mètre cinquante, mais ne dit-on pas que ce qui est petit est mignon. Elle avait de courts cheveux blonds et des seins volumineux où trônaient deux mamelons roses bien proportionnés. Elle vouait une adoration sans limite à ses pieds et les centaines de paires de chaussures qu'elle possédait, si elle attestait de sa passion, elle ne suffisait pas à la remplir... Ses formes généreuses faisaient fantasmer plus d'un homme au village, sûrement en raison de ses tenues sexy et provocantes. Un lointain voisin prétendait même l'avoir observée nue au bord de sa piscine, uniquement chaussée de chaussures à talons aiguilles et certains patients avaient affirmé qu’elle les avait reçu nue dans son cabinet ou dans une tenue avoisinant la nudité. De fait, les tendances exhibitionnistes de la jeune femme n’étaient un secret pour personne. Ce que d’aucun ignorait c’était que quelques années auparavant son corps s’étalait de tout son rose à l’intérieur de magasine en papier glacé pour adultes et adolescents en chaleur, en mal d’érection. Le nombre de sexe qu’elle avait émus ne se comptait pas sur les mains mais par mille. Tout le monde au village pourtant ignorait cette vie passée hormis le libraire qui l’avait reconnue et la faisait chanter depuis un an.
Véronique n’avait pas honoré son dernier payement et il menaçait d’attenter à sa nouvelle carrière en faisant des révélations sur son passé érotique : quelques vidéos et autres revues étant toujours en sa possession. Véronique dû convenir que la mort du maître chanteur était la seule issue et achèverait d’éteindre son passé. Elle ignorait cependant que ce dernier avait fait envoyer à la police une copie de ses vidéos ainsi que quelques revues à n’ouvrir qu’en cas de malheur. Sur une de ces cassettes on pouvait la voir attachée nue ou en train de se caresser nue avec une chaussure. Pour ne pas prendre de risque Véronique décida de se débarrasser de l’épouse du libraire en même temps au cas où elle aurait trempé dans le chantage et puis de cet abruti qui l’avait surprise dans ses manigances de meurtres. La police n’avait pas tardé à déceler un geste criminel reconduit dans chacun de ces meurtres, la chaussure retrouvée auprès des corps et ne leur appartenant visiblement pas semblait approuver la thèse du crime fétichiste. Véronique très sûr d’elle ne voyait pas comment ils parviendraient à la confondre, étant dans l’ignorance de l’envoi des preuves l’accusant. Et c’est triomphante que Véronique retourna à son occupation préférée : se bronzer nue dans son jardin et s’occuper de ses jolis pieds nus ou vêtus de chaussures aguicheuses.
« HA HA je suis machiavélique, pensa telle, jamais la police ne me soupçonnera ! … »
Soudainement tandis qu’elle présentait son beau derrière rose pâle qui ne demandait qu’à prendre des couleurs au soleil rougissant un bruit de pas se fit entendre. C’était la police. Un seul policier : le jeune inspecteur chargé de l’enquête.
Le policer demanda à Véronique de se rhabiller et de bien vouloir le suivre. Il ne fut pas sans remarquer que les chaussures que portaient Véronique étaient identiques à celle retrouvée à côté des victimes, même couleur, galbe et dessin, épousant d’élégance les pieds de la pulpeuse et nue blonde. La petite blonde remarqua le trouble du jeune policier devant sa nudité, elle se dit qu'elle avait encore une carte à jouer. Véronique fit mine d’accepter de le suivre…quand soudain elle prit un revolver dans son sac et se mit à courir dans le sens inverse en direction de la falaise… Ses seins tressautaient répondant au rythme cadencé de ses pas et ses fesses épousaient elle aussi le mouvement de sa fuite.
« Il faudra d’abord m’attraper !! Je n’irais pas en prison ! Jamais !! » cria-t-elle au policer dont le regard ne parvenait pas à s’extraire du derrière de la fuyarde ; « Quel cul ! » s’exclama-t-il
Véronique ôta ses chaussures qu’elle garda en mains tout en courant pour ne pas perturber sa course et de temps à autre elle se retournait pour tirer sur son poursuivant. Elle le fit 6 fois avant d’arriver au bord de la grande falaise. Voyant sa fuite barrée par le relief, Véronique se retourna. Elle menaça une dernière fois le policer mais celui-ci l’avertit qu’elle n’avait plus de balles dans son six coups. Véronique appuya sur la détente et l’arme demeura aphone. Ne sachant que faire la pulpeuse blonde recula oubliant la falaise derrière elle. Elle vacilla, lâcha l’une de ses chaussures à haut talons, tenta de se rattraper mais seul le vide l’environnait et finalement emportée par le poids de ses gros nichons elle disparut nue dans l’abîme tout en cris et gestes, griffant l'air alors qu'elle se précipitait vers le bas le visage plein de grimaces, AAAAAAaaaaaa…, se cramponnant inutilement à sa chaussure et à son arme aphone
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Le policier qui l’avait poursuivie sentit une érection tendre le devant de son pantalon. "C'est finalement comme il se doit." « Quelle fin horrible et toute nue en plus ! » se dit-il encore tout chose et il pensa aux victimes qui par cette fin trouvaient vengeance. Sur le sol son regard fut attiré par la chaussure que la meurtrière avait lâchée avant de faire le grand saut. Il la ramassa, la mit dans un sac plastique et nota : pièce à conviction principale
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FIN
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