1ere fois suite

la suite cette fois par ma perte de ma virginité, la plus fantastique de ma vie et surtout mon souvenir le plus merveilleux de ma vie de gamine pour devenir femme mais surtout Salope.

Proposée le 31/05/2022 par sophie974

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

Après une heure de repos, il fallait rentrer, nous n’avions plus le temps pour expérimenter la vraie relation sexuelle bite-chatte mais avant de nous habiller de nouveau, Sonia voulait connaitre (la chose qu’elle avait vu dans la BD porno de mon père, une éjaculation faciale), moi j’étais emballée (sûrement que j’aimais Fred plus qu’elle). Il nous a expliqué les 3 manières de faire, soit il se masturbe et nous restons impassibles la bouche ouverte à attendre qu’il ait fini de se masturber ou on participait nues/nu (évidemment), à le sucer et à le masturber ou la relation sexuelle avec éjac faciale. On a décidé à l’unanimité de le sucer et éjac par la suite. Sonia et moi, on s’est mise à genoux et on a commencé à sucer la grosse bite, j’embrassais parfois ma sœur pour lui partager mon goût de bite et de ma salive. Nous avons sucé sa bite de chaque côté puis chacune son tour le gland jusqu’à la délivrance finale. Fred éjacula abondamment, Sonia reçut sur le visage, sur les yeux, dans les cheveux, un peu dans le nez et dans la bouche mais fut prises de vomissements (un peu tendre à la petite garce), moi je reçus le reste en pleine poire, sur mon visage, dans mes cheveux, sur mes seins, à la différence de Sonia, j’ai ouvert grand la bouche pour le sucer malgré l’éjaculation, je découvrais le sperme, chaud et puissant, j’ai toute de suite aimé son goût et j’ai continué à le sucer jusqu’à la dernière goutte puis je me suis levée rapidement pour l’embrasser avec son sperme en pleine bouche. Entre Fred et moi, ça a été le déclic qu’il allait devenir mon petit copain et mon chéri d’amour. Il m’a tenu serré contre lui, il m’a léché le sperme sur le visage et les seins ; nous nous sommes embrassés avec passion comme jamais. Nous devions rentrés mais il fallait nettoyer nos cheveux et par miracle la pluie s’est mise à tomber, nous étions nus et nous avons profité de cette averse salutaire pour nous débarrasser du sperme et nous refaire une beauté.
Sur le chemin du retour, Sonia nous avoua de ne pas avoir aimé cette éjaculation faciale, tandis que moi Sophie, j’en étais fan comme pour la sodomie. Le jour commençait à baisser, je savais que Fred allait dormir à la maison et le lendemain nous aurions cette fois-ci avoir droit à La relation sexuelle.

Toute la nuit, je n’arrivais pas à dormir, Fred était dans l’autre chambre, mon ventre me brûlait, mais mon père avait le sommeil léger. Il était inutile que j’aille me faire griller mais de cette nuit (je le saurais par la suite, Fred lui non plus n’arrivait pas à fermer l’œil car nous pensions tous les deux l’un à l’autre contrairement à ma sœur Sonia.

Le lendemain arriva, mes parents étaient déjà levés, ils se préparaient pour aller voir une connaissance au tampon (j’étais heureuse et j’avis mille projets dans la tête – surtout faire l’amour partout mon lit, salle de bain, sois le balcon etc… mais c’était sans compter que ma bigote de sœur allait rester à la maison avec des amies de l’église pour chanter. Mais cela ne tienne, cela nous permettrait de partir de la maison plus tôt que prévu. Le téléphone retentit, ce fut la copine Evelyne de Sonia qui lui demandait si elle voulait passer la journée avec elle et 1 amie. Sonia lui a dit que oui, cela arrangeait encore mieux ma situation. Fred s’est préparé et Evelyne habitait après quelques virages assez dangereux donc il fallait l’accompagner.

Cette Evelyne je ne l’ai jamais aimée, une petite poufiasse qui avait raconté à qui voulait l’entendre qu’elle a été embrassée par Thierry (qui n’était d’autre que le frère ainé de Frédéric / plus playboy, dragueur et charmeur). Toutes les filles qu’on connaissait avaient été embrassées par Thierry – ma sœur avait déjà l’expérience avec ce dernier. Moi, il avait essayé et la paire de claques qu’il avait reçue de ma part, lui indiquait qu’il ne me plaisait pas du tout. Je ne voulais pas l’unième fille etc….
Arrivée chez Evelyne, Thierry était déjà là, le roi était là et sa cour autour de lui. Evelyne faisait un peu pute avec un petit haut avec ses pointes de sein visible. Mais Thierry n’est pas Seul, la mère de Fred, Elisabeth était là. Thierry voulait se débarrasser de sa mère pour faire ses petites choses. Elisabeth nous demanda ce que nous allions faire ; Fred répondit une marche. Elisabeth lui dit ‘’ : bonne balade mon chéri’’. Thierry était un peu jaloux dont Fred était traité, moi j’ai trouvé cela normal d’une mère envers son fils. Elisabeth est allée voir par la suite ma bigote de sœur.

Nous nous sommes retrouvés tous les deux Fred et moi à faire la randonnée, dans ma tête mille images cochonnes passaient, je pouvais lui tenir la main, nous nous embrassions comme on voulait, plus nous avancions moins il y avait de monde sur la route, on s’est retrouvés seuls à un moment, on a continué à monter pour arriver à l’endroit exact, un peu sauvage où j’avais pris du plaisir par l’anus.
Nous nous sommes jetés l’un sur l’autre pour nous mettre à poil pour s’embrasser, se caresser, j’ai défait ma queue de cheval, j’avais besoin de ce contact charnel, Fred m’a déposé une manière que je me trouvais dans la position 69 (ce que je saurai plus tard), j’avais sa bite devant les yeux, j’ai commencé par la regarder, puis j’ai léché la tige, le gland, son contour, plus que je m’activais la bite devenait épaisse, je ne savais si elle allait m’étouffer mais j’ai beaucoup apprécier jouer avec mon nouveau joujou, Fred lui explorait mon minou, en me caressant les jambes, en mettant 3 doigts dans mon anus et sa langue sur ma chatte mouillée. J’avais un peu honte car je mouillais abondamment et j’ai pissé naturellement.

A 16 ans entrain de sucer la bite de mon cousin adoré, je me sentais devenir femme, certes ma poitrine ne s’était pas encore développée mais ces jeux sexuels me donnaient l’impression d’être vivante et j’appréciai chaque minute. Ce 69 a duré assez longtemps, moi quand j’aime quelque chose et que c’est bon, je prends le temps pour le savourer vraiment. Je pensais à la sotte d’Evelyne qui croyait que Thierry était un bon coup alors que j’avais La Bite parfaite entre les mains et surtout Sonia qui ratait sûrement quelque chose (j’ai éternué à ce moment -là, ma salope de sœur pensait à moi).

Maintenant il fallait passer aux choses sérieuses, le soleil brillait dans le ciel, l’eau de la rivière se jetait dans le vide, quelques oiseaux sifflaient et nous étions prêts pour faire l’amour. Fred me demanda comment je voulais être pénétrée !!!
‘’je ne sais pas ‘’ ai-je répondu. J’avais envie de ce souvenir soit éternel. Il m’a allongé sur le dos sur l’herbe, a commencé à me sucer les orteils, remontant jusqu’à mes cuisses, revenant vers moi pour m’embrasser et lécher mes petits tétons, puis redescendait à ma grotte d’amour pour quelques coups de langue fort appréciés. Dans mon excitation, j’ai lâché quelques pets de foufoune (j’étais gênée, j’avais la Honte du siècle) je ne savais plus où me mettre mais il m’a rassuré avec un petit clin d’œil pour m’annoncer que cela arrivait quelques fois et que cela ne lui gênait pas. Il a pris un préservatif, j’ai pris les devants, je l’ai enlevé des mains pour déchirer de mes dents l’emballage afin faire glisser sur sa bite en érection. Elle était belle et je savais que je n’aurai pas mal. Je lui ai dit de se mettre sur le dos afin que je m’empale sur lui. Nous nous sommes regardés au plus profond de nos yeux, nous nous sommes embrassés, je lui ai donné mes seins à sucer surtout à pincer mes tétons qui demandaient ce traitement chacun son tour, j’ai fait de même en poussant mes cheveux sur le côté, je suçais son téton et je revenais à sa langue pour que la mienne se rassasie. J’ai fait glisser mon sexe sur le sien pendant un petit moment tout en descendant pour nous embrasser et coller mon corps contre le sien, il pouvait me caresser le dos, et passer sa main dans mes cheveux jusqu’à leur extrémité, et sucer les pointes aussi.

Puis naturellement j’ai dirigé son gros sexe vers mon petit sexe (qui allait pouvoir’’ l’avaler’’ tendrement). J’ai pris son sexe, je l’ai dirigé vers ma cavité, lui me touchait les seins avec tendresse ç’est rentré comme dans du beurre, j’étais épanouie, je me sentais bien, j’ai débuté un va et vient slow pour en apprécier toute sa force. Mon clitoris était heureux de la puissance de cette bite. Je commençais à me dire que le sexe était quelque chose de formidable et extrêmement délicieux. Il m’a laissé prendre mon temps sur sa bite, j’ai aimé lui caresser les boules. Mes montées, mes descentes étaient sensuelles, il léchait mes doigts un à un, ce qui me rendait encore plus excitée. Fred m’a laissé diriger la manœuvre et aucun moment n’a voulu accélérer quoi que ce soit. Sa bite était bien au chaud dans mon sexe, je sentais un orgasme venir par petites vagues.

Nos mains se joignirent, j’allais exploser tellement que c’était bon. J’ai eu le puissant des orgasmes pour la 1ère fois de ma vie, j’ai embrassé Fred, ce dernier n’avait pas fini, il m’a mise en levrette (mot familier plus tard) pour me finir à sa façon, nous avons pour moi un 2ème orgasme et pour son 1er. Je me suis frotté, j’ai fait tourner mon bassin sur cette queue J’ai aimé la puissance de son dard qui m’avait ouvert la chatte. Je me suis mise en levrette pour sentir le perçage de ma chatte avec ses coups de queue répétés, la manière qu’il avait eue pour me lécher le dos, embrasser ma nuque, trouver nos langues, ramener mes cheveux délicatement pour faire une queue de cheval, me tenir le bassin, deux claques à mes fesses, cracher sur la raie de mes fesses et y introduire 2 doigts. Bref un moment de jouissance exceptionnel. J’ai gardé sa bite en moi car je ne naissais aujourd’hui femme mais surtout vraie salope.
Pour ma 1ère fois, j’avais la chatte écartée au maximum, je savais au fond de moi, qu’aucune bite à part la sienne n’aurait le droit d’y pénétrer à nouveau).
Par la suite, nous nous sommes reposés l’un contre l’autre en nous faisant des petites caresses mutuelles et des baisers chauds.

Je n’oublierai jamais ce 15 juin, le jour de la perte de ma virginité, quelques fois j’y songe encore en me touchant délicatement et érotiquement. Je prends un concombre acheté au marché la veille pour qu’il me donne des orgasmes à la folie.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email