Daniel et Katia se retrouvent après des négociations et développent leur relation extra-conjugale. Ils se retrouvent dans un hôtel et Katia lui avoue avoir invité un autre couple... La surprise sera de taille pour tous les quatre.
Proposée le 16/05/2022 par Imagine69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Après nos ébats un mois plus tôt, Katia et moi n’avions pas renouvelé l’expérience mais avions repris nos discussions sur l’application de rencontre. Toute entrevue était propice au flirt : « J’adore voir ton petit cul quand tu cours devant moi », « Ton short était trop serré ou tu avais une érection ? », « Joli col roulé au cinéma… et toujours aucun soutien-gorge », « Si nous n’étions pas accompagnés, je t’aurais sauté dessus », « Si nous n’étions pas accompagnés, je t’aurais sauté tout court ». D’accord, nous étions au-delà du simple flirt ! Aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne ressentais aucun remord par rapport à Ludovic ou Alessia. Mon amour pour cette dernière n’avait pas flanché. Je la trouvais toujours aussi belle, lui faisais l’amour avec toujours autant de passion, sinon plus encore : « J’adore quand vous me léchez de bon matin, Monsieur le consultant ». Je me relevais entre ses cuisses nues et écartées : « Le plaisir est pour moi… mais je dois y aller, il ne faudrait pas que votre mari nous voit ainsi ». Elle se redressa sur la table, émoustillée à l’idée de tromper son homme imaginaire avec moi : « Je suis sûre qu’il aimerait vous voir me prendre ». Toujours aussi provocatrice !
Nos lèvres se rejoignirent et ses doigts ouvrirent ma braguette : « Monsieur ne porte pas de caleçon ? ». Elle extirpa mon sexe droit et me masturba en palpant mes bourses comprimées par le manque de place : « Un consultant doit toujours être prêt à satisfaire ses clientes ». Elle haussa un sourcil faussement outré et je la pénétrais. Je lui fis l’amour jusqu’à la faire jouir, puis me retirais : « Je ne veux pas souiller Madame de bon matin ». Je m’attendais à ce qu’elle refuse, me masturbe ou me suce, mais elle n’en fit rien : « Très bien ! Monsieur passera une meilleure journée ainsi ». J’avais envie de revenir sur mes mots mais Alessia m’en dissuada avec un sourire malicieux. Je m’en voulais ! Elle replaça mon sexe dans sa prison de tissu, déposa un baiser sur ma joue puis partit à la douche. Je détaillais ses jolies fesses et sa tâche de naissance. J’hésitais à la suivre un instant puis prenais une grande inspiration, saisissais mon sac et partais au travail avec mon érection.
Arrivé au bureau, Marc, mon directeur, s’approcha de moi avec un regard aiguisé : « Salut Daniel, tu peux venir avec moi pour négocier les licences de digitalisation chez le fournisseur ? ». Je jetais un coup d’œil à Ludovic, assit à son bureau : « Ludo a sa copine qui travaille… ». Marc me coupa : « Justement, il risque de ne pas être très neutre dans les discussions ». J’haussais les épaules, opinais du chef et repartais sur ses talons. L’homme était hyperactif et au lieu de prendre les transports, nous marchâmes une quinzaine de minutes dans les rues en effervescence avant d’arriver devant le bâtiment : « Bien ! Il faut qu’on les amène à un prix de 140 euros l’unité ». Je le toisais avec de grands yeux : « Mais ils vendent leur licence à 170 euros ». Il me donna une tape sur l’épaule avant de rentrer dans le hall : « T’en fais pas ! ». Patricia, la patronne de Katia, nous attendait au niveau de la réception. C’était une jolie quadragénaire au regard mystérieux et à la réputation de fer.
Nous nous saluâmes courtoisement. Elle nous emmena jusqu’à une salle de réunion dans laquelle Katia était déjà installée. En entrant, la belle lithuanienne se leva, me sourit et me tendit sa main pour que je la serre. Elle portait une veste de costume, un haut ample en satin, un pantalon moulant et des talons de taille moyenne. J’avais très envie de l’embrasser ! Marc et moi nous installâmes de l’autre côté de la table et il ouvrit les hostilités en exposant nos besoins jusqu’à conclure : « Nous souhaiterions avoir un prix unitaire de 110 euros ». Face à nous, les deux femmes échangèrent un regard circonspect. Katia prit la parole, défendit leur produit et finit sur : « … 110 euros, ce ne sera pas possible ». A mon tour, je montais au créneau et attaquais méticuleusement les vulnérabilités de leur logiciel. La belle blonde me regardait en m’implorant de m’arrêter tandis que Patricia m’épiait avec un sourire énigmatique. La tension était palpable, l’adrénaline à son comble.
La conversation dura une vingtaine de minutes pendant lesquelles mon amante et moi-même nous affrontâmes devant nos patrons respectifs. Le téléphone de Marc vibra : « Désolé, je vais devoir vous quitter. Daniel, est-ce que tu peux finaliser à 120 euros ? ». Patricia se leva : « Attends Marc, je te raccompagne. Katia, peux-tu finaliser tout ça et faire visiter les locaux à notre invité ? ». Ces mots me rappelèrent quelque chose… La blonde acquiesça et m’invita à la suivre. Nous marchâmes jusqu’à l’ascenseur : « Qu’est-ce qui t’a pris de négocier ainsi ? ». Je lui souriais : « Tu n’étais pas mauvaise... peut-être un brin énervée à la fin… et toujours aussi craquante ». Les portes s’ouvrirent et nous entrâmes. Katia me plaqua sur le côté : « Ne bouge pas ». Au lieu de me sauter dessus, elle recula à l’opposé et attendit. Était-ce un moyen de me punir ? Certainement ! Nous sortîmes de l’ascenseur et elle nous emmena vers une imprimante. Les pages sortirent, elle les récupéra : « Suis-moi ».
Je m’exécutais en reluquant son déhanché et ses formes généreuses. Elle m’attira dans une salle de réunion. Je savais que c’était là où elle avait, pour la première fois, fait l’amour à Ludovic : « On dirait un salon… ». Les rideaux commencèrent à se baisser, son plan était dévoilé. Je me retournais vers elle, retirais son doigt du bouton : « Et nos voisins alors ? ». Elle sourit, puis me sauta dessus et m’embrassa fougueusement. Je fermais la porte, jetais nos affaires sur le bureau et la portais : « Tu m’as manqué ! ». Elle sourit puis enserra ma gorge : « Monsieur devient sentimental après m’avoir humiliée devant ma patronne ? ». Je pouffais puis l’emmenais contre la baie vitrée : « Ce n’était pas du tout mon objectif ». Ses dents mordirent ma lèvre : « Dommage ». Je la faisais descendre et sa main palpa immédiatement mon sexe : « Pas de caleçon ? ». J’hochais la tête et baissais son haut ample sous ses seins nus : « Pas de soutien-gorge ? ». Je la plotais en sentant ma braguette s’ouvrir et mon sexe se faire libérer et masturber : « Il ne s’agirait pas que tu prennes le dessus ».
A mon tour, je déboutonnais son pantalon et le baissais à la moitié de ses cuisses. Mes doigts remontèrent sur ses fesses, jouèrent avec son string : « Hum, tu ne sembles pas disposée à me faciliter la tâche aujourd’hui ». Elle rigola : « Bien fait ! ». Je saisissais ses mains baladeuses et les plaquais à la vitre au-dessus de sa tête : « Ce n’est pas du jeu ! ». Ma langue taquina la sienne et mon majeur glissa dans son sous-vêtement pour la masturber : « Excitée on dirait ! ». Elle gémit de plaisir sous mes caresses : « Toi aussi tu m’as manqué ». Nous nous embrassâmes puis mes lèvres vinrent suçoter ses tétons durs. Mon doigt s’enfonça en elle. Un instant plus tard, je me retirais et la retournais face à la fenêtre. Je posais des baisers dans sa nuque et plaquais ses seins contre la parois : « Regarde, on a une fan ! ». De l’autre côté de la rue, une jeune femme d’une vingtaine d’années nous épiait depuis son balcon. Je m’agenouillais derrière elle, baissais son string, tirais son bassin et léchais son entrejambe.
Son dos se creusa et m’offrit plus de liberté pour déguster son intimité juteuse, lubrifier son œillet. Un mois auparavant, je m’étais introduit en elle pas cet orifice mais n’en avait pas pleinement profité. J’espérais pouvoir rectifier cela. La blonde n’y semblait pas opposée. Ses râles s’amplifiaient et créaient de la buée sur la vitre : « Tu es délicieuse Katia ». Elle écarte une fesse et ondula son basin : « J’adore ta langue… partout où elle va ». Excité, je me relevais finalement et longeais sa fente du bout du gland : « J’ai envie de te… ». Avant qu’elle n’ait pu finir sa phrase, je m’enfonçais au plus profond de ses entrailles et lui arrachais un cri. Sans attendre, j’agrippais sa hanche et sa nuque puis entamais des vas et viens virils en faisant vibrer ses fesses fermes : « Daniel… Daniel… Oui… ». Ses encouragement m’enhardissaient davantage : « Tu me fais bander Katia ». Elle arqua un peu plus son dos en bombant ses fesses. Je baissais sa veste au niveau de ses coudes qui se retrouvèrent pris au piège dans son dos.
Au bout de quelques minutes, je la redressais contre la vitre et glissais ma main entre ses cuisses pour taquiner son clitoris : « Tu me fais mouiller Daniel ». Elle ne pouvait lutter sans déchirer sa veste. La seule décision sage, était de me laisser faire ! Face à nous, l’étudiante avait enlevé son mini-short, posé ses pieds écartés sur la rambarde et positionné un vibromasseur entre ses lèvres vaginales : « Elle a l’air d’aimer le spectacle. Tu aimes voir son sexe ? ». Haletante et fiévreuse, Katia acquiesça : « Oui ! ». J’accélérais la cadence de mes mouvements et poussais un peu : « Tu aimerais la lécher ? ». Elle me retourna la question dans un râle : « Oui, j’aimerais que tu la lèches pendant que je te pénètre. ». Ces mots eurent l’effet escompté et Katia atteignit l’orgasme en s’imaginant peut-être gouter à l’intimité de cette inconnue qui ne perdait pas une miette du spectacle. Je me retirais, m’accroupissais derrière elle et recueillais ma récompense avant de l’avaler. Entre temps, la blonde enleva sa veste et son haut.
Elle se retourna, me releva et me poussa contre le bureau : « Je veux ton sperme en moi ». Sur ces mots, elle se pencha et enfonça les trois-quarts de mon sexe dans sa bouche. Je râlais : « C’est très précis comme idée ». Elle taquina mon gland avec sa langue : « J’ai des idées encore plus précises… Hum, ton sexe m’avait manqué ! ». Elle entama une fellation soutenue, profonde et mouillée : « J’avais tellement envie de te le mettre dans la bouche quand tu parlais pendant la réunion ». Elle se retira et rigola : « C’est une bonne façon d’écourter les négociations ». Elle poursuivit jusqu’à m’accueillir dans sa gorge. Quelques instants plus tard, elle se retira en haletant : « Attends, je finis de me déshabiller ». Elle s’accroupit pour défaire ses talons : « Désolé, je ne peux pas attendre ». J’empoignais ses cheveux et enfonçais à nouveau mon sexe en elle. Katia fut d’abord surprise mais elle accepta son sort et releva le challenge. Elle se déshabilla tant bien que mal pendant que je pénétrais virilement ses lèvres.
Une fois nue, elle continua de me laisser faire avant que je ne la relève et l’embrasse. Elle posa ses genoux sur le bureau de chaque côté de mon bassin et guida mon sexe dans le sien : « Tu ne peux pas t’empêcher de baiser mes trous… ». Je pouffais, elle s’empalait sur moi sans vergogne : « C’est pas de ma faute s’ils sont aussi attirants ! ». Elle passa une main dans mes cheveux puis guida mon majeur dans sa bouche pour le sucer. Son bassin ralentit la cadence : « Est-ce qu’ils le sont tous ? ». Elle libéra mon doigt qui partit se poser aussitôt sur son sphincter avant de le pénétrer : « En voilà un que je n’ai pas convenablement baisé…». Katia râla longuement et son bassin reprit son rythme intense : « Je suis sûre que tu ne le voudrais pas, pas vrai ? ». Nous échangeâmes un regard, nous jaugeâmes : « Jamais de la vie ! ». Sur ces mots, je la doigtais plus profondément et domptais ses contractions. Je nous levais ensuite, retirais mon doigt, l’allongeais sur le bureau et poursuivais mes mouvements de bassin.
Elle ramena ses cuisses vers elle et écarta ses fesses à l’aide de ses mains. Je me retirais et m’agenouillais pour lécher son intimité et son anus : « Ça tombe bien, parce que sinon tu aurais dû signer le contrat avant ! ». Je me redressais en contemplant son sourire malicieux puis en posant mon gland sur son œillet : « Madame fait du chantage ? ». Elle saisit le contrat sur la table et l’avança vers moi : « Juste de la négociation ». Je prenais le papier tout en exerçant une pression sur son sphincter. Mes yeux lurent le prix unitaire de « 140 euros ». Elle était toute à moi ! Je pris un air abattu et elle sourit fièrement : « Dommage… une autre fois peu… ». Mon gland s’enfonça en elle et la fit gémir. Je pris un stylo dans ma poche et apposais ma signature sur le document : « Tu disais ? ». Elle se mordit la lèvre et mon sexe la pénétra. Je posais une main sous sa cuisse repliée et l’autre au-dessus de son pubis. Mon pouce malaxa son clitoris tandis que mon sexe dilatait progressivement son anus : « Oui ! ».
Je finissais par me planter entièrement en elle et une guerre de contractions s’entama entre son orifice et mon membre : « Tu ne gagneras pas ce combat Katia ». Elle me lorgna avec ses yeux de biche : « Je n’en ai pas envie ». Je coulissais doucement en elle : « Tu es stressée ? ». Elle expira en essayant de se détendre : « Ce n’est pas tous les jours que… je me fais sodomiser. Et toi ? ». Je regardais son entrejambe et souriais : « Je ne peux pas faire deux fois bonne impression, donc oui un peu ». Elle prit mes mains dans les siennes et nos doigts se croisèrent avec complicité : « Tu me fais une excellente impression Daniel… et tu as déjà gagné ton ticket d’entrée pour les prochaines fois ». Nous échangeâmes un sourire et mon bassin entama de lents allers retours. Katia gémissait, tentait de réguler sa respiration pour détendre ses muscles. Peu à peu, je gagnais en amplitude mais conservais des gestes mesurés et tendres : « Madame veut-elle prendre le dessus ? ». Elle opina.
Je me retirais doucement et son sphincter se contracta : « Ah ! Qu’est-ce que tu proposes ? ». Je l’attirais vers un fauteuil face à la fenêtre et m’asseyais. Elle écarta mes cuisses pour s’installer à l’envers. Elle plia les jambes, baissa ses jolies fesses devant moi et guida mon gland dans son anus. Mes mains étreignirent ses hanches qui se baissèrent doucement jusqu’à ne plus pouvoir. Mon amante se déhancha fébrilement en explorant ces nouvelles sensations : « Ton sexe est… énorme ! ». Elle entama des oscillations sensuelles et enivrantes face à l’étudiante qui nous épiait toujours. Au bout de quelques minutes elle se blottit contre moi et écarta une cuisse. Nos lèvres s’effleurèrent. Mes mains palpèrent ses seins. Mon majeur alla masser son clitoris délicatement. Nos gémissements se multiplièrent : « Tu vas me faire jouir Katia ». Elle me donna un coup de langue : « Ensemble ? ». Mon bassin se synchronisa avec le sien, deux doigts s’enfoncèrent dans son intimité : « Ensemble ».
La belle blonde atteignit aussitôt l’orgasme. Pendant que sa cyprine était expulsée sur ma main, ma semence jaillissait en elle : « Oui ! ». A aucun moment, nos mouvements ne s’amplifièrent. C’était une jouissance intense à consommer lentement pour en saisir toutes les subtilités. Elle faisait rouler ses reins contre moi, me transmettait les spasmes qu’elle subissait : « Tu me rajoutes encore une addiction, Daniel ». Nous échangeâmes un rire complice : « C’est une addiction que je suis prêt à cultiver ». Après un moment, elle se releva et prit des mouchoirs pour s’éponger : « J’ai eu ce que je voulais… et en quantité ». Nous nous rhabillâmes devant le grand miroir horizontal situé au-dessus du bureau. Dehors, la voisine avait disparu du balcon. Nous prîmes nos affaires et avant de sortir, j’embrassais une dernière fois Katia : « J’espère que nous n’aurons plus à attendre un mois avant de recommencer ». Elle opina puis me raccompagna à l’entrée comme si de rien n’était.
Nous nous saluâmes pudiquement et je rentrais au bureau. Toujours assis derrière son ordinateur, Ludovic m’interpella : « Alors cette négociation ? Katia m’a dit que tu étais dur en affaire ». J’esquissais un sourire : « C’est dans la poche ! Mais elle ne s’est pas laissée faire ». Si seulement il savait ! En fin d’après-midi, j’ouvrais l’application de rencontre et constatais qu’elle m’avait envoyé trois messages : « J’ai adoré ton orgasme en moi », « Oh punaise, je ne suis pas bien ! ». Mes yeux se plissèrent en lisant le message suivant : « Le miroir dans la salle de réunion, c’est un faux ! Patricia était derrière tout ce temps, elle vient de me partager la vidéo qu’elle a prise… ». Mon rythme cardiaque s’emballa et je cliquais sur l’icône pour lancer les images. Elle avait tout filmé depuis notre entrée jusqu’à notre sortie. Je pianotais : « Comment c’est possible ? Est-ce qu’elle t’a menacé ? ». Cinq minutes plus tard, la réponse arriva : « Non juste félicité… Elle a supprimé la vidéo après me l’avoir envoyée ». J’expirais.
Les mois suivants furent aussi exaltants qu’éreintants puisque j’avais désormais deux femmes à satisfaire. Alessia et moi ne ralentîmes pas le rythme de nos rapports et les voisins en eurent pour leur argent. Katia et moi échafaudâmes mille et un stratagèmes pour nous voir et passer du bon temps. A son bureau ou en extérieur, lors d’un déplacement professionnel ou d’une pause-déjeuner : tout était bon à prendre. Un soir, Ludovic m’invita à prendre un verre chez lui. Une fois dans son salon, la belle blonde vêtue d’un short et d’un t-shirt large nous servit. Mon ami s’absenta pour prendre une douche. Je me rapprochais de ma proie, l’embrassais silencieusement, prenais l’un de ses seins dans ma main. Je glissais l’autre entre ses cuisses, la masturbais. Elle souffla, ouvrit ma braguette et extirpa mon sexe en m’intimant de patienter. Je pinçais doucement son téton puis passais une main derrière sa tête et l’attirais vers mon mât. Elle ne résista pas, me laissa investir sa gorge d’une traite.
Ludovic chantonnait en se déshabillant tandis que sa copine patientait, le nez collé à mon pubis. Mes contractions faisaient gonfler sa trachée, deux doigts s’enfoncèrent dans son intimité brûlante et la firent gémir : « Chut ». Elle se tut docilement. L’eau commença à couler dans la salle de bain. Je retirais mon sexe, coinçais son t-shirt dans sa bouche pour dévoiler ses seins, la repoussais sur le canapé, ôtais son short et la pénétrais virilement. Pendant que Ludovic se détendait sous une douche chaude, sa copine se faisait prendre dans le salon par son collègue. Un missionnaire, une levrette et une supernova plus tard, c’est autour d’un soixante-neuf que nous atteignîmes l’orgasme. Pendant que Ludovic se séchait dans la salle de bain, sa copine mouillait entre mes lèvres. Pendant qu’il recrachait son bain de bouche, elle avalait ma semence. Quand il nous rejoignit, il ne vit que son ami et sa copine en train de siroter leurs verres en rigolant. Il ne se doutait de rien, et c’était mieux ainsi.
Avant les fêtes de fin d’année, Katia me proposa un « déplacement professionnel » dans un hôtel en périphérie de la ville. J’acceptais sans rechigner et nous arrangeâmes nos mensonges auprès de nos conjoints respectifs. Le jour fatidique arriva et je partais de chez moi en fin d’après-midi. J’avais enfilé un costume et une cravate, que j’imaginais déjà nouée aux poignets de mon amante. L’établissement n’était pas grand mais il était luxueux. Je m’enregistrais auprès de la réception, laissais mes consignes pour l’arrivée de mon invitée. Je montais dans la suite spacieuse et faisais un tour sur le balcon. La vue était acceptable, le lit avait l’air confortable, la salle de bain était grande. Je m’imaginais déjà avec Katia ! La porte s’ouvrit et elle apparut. Elle portait une longue robe rouge. Deux fentes remontaient jusqu’à son ventre, dévoilant l’intérieur de ses jambes et son bas ventre. Aucun sous-vêtement à l’horizon. Un décolleté plongeant signalait aussi l’absence de tout soutien-gorge.
Katia avait enfilé des talons noirs compensés, un collier ras-du-cou et des boucles d’oreilles en argent : « Bonsoir Etienne ». Nous échangeâmes un sourire complice puis un baiser lent et sensuel : « Tu es magnifique Coraline. Tu n’as pas trop froid ? ». J’écartais le pan avant de sa robe, contemplais son pubis nu et glissais mon majeur dans la fente de son vagin. Elle se mordit la lèvre : « Je prévois d’être bien réchauffée ». Je la caressais soigneusement puis elle s’éloigna, s’agenouilla sur un fauteuil face à la baie vitrée, se pencha en avant et balaya le pan arrière de sa robe. Ses magnifiques fesses bombées apparurent et, entre elles, la plateforme scintillante d’un plug anal : « Madame se préparerait-elle à quelque chose ? ». Elle haussa un sourcil aguicheur et je pris mon portable pour immortaliser la vue. Je me positionnais à côté d’elle, effleurais ses courbes et la fessais à deux reprises : « Ah ! ». Je redécouvrais son intimité, écartais ses lèvres, la doigtais puis m’agenouillais derrière pour la déguster.
Deux minutes plus tard, elle souffla : « Il faut que je t’avoue quelque chose Daniel ». Intrigué, je me relevais et mon amante s’installa face à moi sur le fauteuil : « Après nos ébats dans la salle de réunion, avec la voisine qui nous épiait… ». Ses doigts défirent mon pantalon qui tomba sur le sol : « … j’ai ressenti l’envie d’essayer avec une femme ». Elle baissa mon boxer, passa une main sous mes bourses et effleura mon gland avec ses lèvres pulpeuses. Sa langue tournoya sensuellement autour : « J’ai rencontré un couple sur l’application de rencontre et il se pourrait… que je les ai conviés ce soir ». Mon sang se glaça : « Comment ça ? Qui sont-ils ? ». Elle suçota l’extrémité de mon sexe, le colla contre sa joue en gémissant : « Je ne sais pas, mais ils ont l’air terriblement chauds tous les deux. Elle aussi veut une première fois avec une femme. Lui n’est pas contre l’idée de la voir se faire prendre par un autre ». Mes pensées se mélangeaient : « Est-ce que tu as envie de te faire prendre par un autre étranger ? ».
Elle sourit : « J’ai uniquement dit que je voulais essayer avec une femme… Mais tu es bien placé pour savoir que j’aime les étrangers ». A son regard, je su qu’elle en mourrait d’envie : « Tu n’as pas peur de les recroiser dans la rue ? ». Elle se leva, partit fouiller dans son sac à main et me tendit un morceau de tissu : « Pour plus de discrétion, nous avons décidé de porter des masques ». Elle se rassit, noua le sien autour de sa tête puis reprit son œuvre : « Tu aimes ? ». Je ne savais quoi penser de tout ça mais elle m’excitait terriblement. En guise de réponse, j’enfonçais un peu plus mon sexe en elle. Ravie, elle entama une fellation nonchalante pendant que j’enfilais mon masque : « Hum, vous êtes bien monté Monsieur l’Etranger ». Je me penchais pour palper l’un de ses seins nus dans son décolleté. Elle poursuivit son œuvre puis ajouta : « Elle devrait te plaire aussi, elle aime la sodomie ». Elle sortit son portable, ouvrit sa conversation avec le couple et me le donna. Mes yeux parcoururent les messages.
J’apprenais que les deux personnes trompaient leurs conjoints et qu’ils étaient ensemble depuis plus d’un an et demi. Katia avait partagé quelques bribes de notre histoire, quelques moments de notre vie extra-conjugale, certains de ses exploits, certaines de nos envies. Elle m’avait aussi bien vendu ! Face à elle, l’inconnue semblait impatiente de me rencontrer : « J’ai hâte de rencontrer ton étalon, de le chevaucher… je vais quand même me préparer un peu avec le mien ». Le dernier message était une vidéo. Quelqu’un toqua à la porte. La belle blonde m’aida à remettre mon pantalon. Je cliquais sur l’icône tandis qu’elle se dirigeait vers la porte. Sur l’écran, je vis un homme pénétrer farouchement l’étrangère par derrière. En effet, elle semblait apprécier la sodomie ! Un détail attira mon regard et me tétanisa. Une tâche de naissance, presque invisible, sur la fesse de la femme. Une tâche de naissance que je ne connaissais que trop bien : « Katia, attends… ». Trop tard, elle ouvrait déjà la porte.
Une belle brune entra dans la chambre, suivie d’un homme en costume. Elle portait une longue robe moulante en velours vert foncé. La fente sur le côté dévoilait une cuisse fine, une jarretière et une jarretelle. Un large décolleté révélait les prémices de sa poitrine enfermée dans un soutien-gorge fait de lacets qui s’entrecroisaient jusqu’à son cou. Ses manches arrivaient à ses poignets et ses pieds étaient chaussés de talons aiguille. Une bande en dentelle cachait son regard sur cinq centimètres. Derrière elle, les sublimes yeux d’Alessia me contemplaient. Elle aussi m’avait reconnu. Un coup d’œil à l’homme à côté d’elle, m’indiqua qu’il s’agissait de Ludovic. Je manquais de m’effondrer ! Katia vint se positionner à ma droite, soucieuse. Nous nous épiâmes tous les quatre dans le silence puis mon ami s’adressa à sa copine : « Katia… qu’est-ce que… depuis quand ? ». La blonde répliqua avec une pointe d’amertume dans la voix : « Visiblement moins que toi ». La tension était à son paroxysme.
Je m’avançais vers Alessia. Je n’en revenais pas qu’elle se fasse mon collègue de travail depuis tout ce temps. Était-ce pour cela qu’elle ne m’en avait jamais vraiment voulu pour m’être abandonné l’espace d’un instant à Christiane ? Certainement ! Mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ? Pourquoi ne pas avoir proposé une relation ouverte ? Pour l’excitation ? L’adrénaline ? La curiosité ? Je ne voyais que ça. J’avais terriblement envie d’elle ! Ma main se posa sur sa joue sans qu’elle ne bronche ou ne détourne le regard. Mon pouce glissa sur ses lèvres entrouvertes puis mes doigts descendirent vers son décolleté et l’écartèrent légèrement. Son soutien-gorge n’avait pas de bonnets, ses seins étaient nus. Elle souffla : « Pervers ». Je murmurais : « Salope ». Nous échangeâmes un rictus indicible, un regard fait de tentations torrides. J’avais envie d’arracher sa robe, de lui faire l’amour passionnément. J’avais envie qu’elle me gifle, me morde, me griffe tout en recherchant mes coups de reins.
Elle aussi le voulait. Mais son esprit joueur en décida autrement : « Laissez-nous seules, toutes les deux ». Ludovic et moi nous toisâmes avec défiance puis sortîmes sur le balcon. La belle brune ferma la baie vitrée à clé puis s’en alla discuter avec Katia, qui n’en menait pas large. L’air était frais à l’extérieur, l’ambiance était électrique. Je me tournais vers mon ami : « Plus d’un an et demi ? Tu m’expliques ? ». Sa mine se déconfit : « Je suis désolé Daniel… crois moi je voulais te le dire ». Je soutenais son regard, impassible. Il me raconta leur première fois, alors qu’ils organisaient mon anniversaire. Comment, deux jours avant la fête, Alessia l’avait convié chez nous et lui avait parlé de son envie de m’offrir notre première sodomie. Comment elle lui avait ensuite montré la lingerie qu’elle allait porter : « Et puis ça a dérapé… Elle m’a demandé si elle devrait garder ses sous-vêtements. J’ai dit « Non » pour rigoler… et elle les a enlevés devant moi ». Mon cœur se serra en imaginant la scène.
A l’intérieur, ma copine confrontait toujours mon amante. Ludovic me raconta comment ils s’étaient sautés dessus, comment il l’avait doigtée et elle l’avait masturbé : « Et puis… elle s’est penchée et… enfin tu vois ». Je fulminais : « Non je ne vois pas ». Il haussa les épaules : « Et bien… elle m’a sucé. Elle était impossible à arrêter Dan… ». Je fronçais les sourcils mais ne pouvais m’empêcher de bander. Il poursuivit sur le cunnilingus qu’Alessia lui aurait demandé. Je la reconnaissais bien là ! Suite à cela, il m’exposa comment ma femme l’avait chevauché jusqu’à jouir : « Et puis… je l’ai prise en levrette… pas très longtemps… mais juste assez pour repenser au cadeau qu’elle voulait te faire. Je… je ne me reconnaissais pas… ». Mon poing se serra. Non, il n’avait pas osé ! Hébété il confirma mes soupçons : « J’ai quelque peu dérapé vers son anus et… elle m’a supplié de continuer… ». Il avait osé me voler la première place. J’allais en découdre, puis je réalisais que moi aussi j’étais passé avant lui, en toute connaissance de cause : « Ca n’a pas duré longtemps. J’ai… finis en elle puis je suis parti ».
Je soufflais : « Et après ? ». Il balbutia : « Et après, il y a eu Katia… mais au bout de quelques mois on a recommencé à se voir… ». Je ne l’écoutais plus. Je contemplais le spectacle qui se déroulait à l’intérieur. Alessia avait plaqué la blonde contre un mur et l’embrassait avec une sensualité érotique. Leurs langues dansaient et leurs mains se découvraient mutuellement : « Ludo… Ludo ! Tais-toi et regarde ! ». Mon ami arrêta de parler et resta bouche bée en voyant les deux femmes. L’italienne se montrait à la fois entreprenante et dominatrice. C’était elle qui menait la valse ! Elle baissa le haut de la robe de Katia et dévoila ses seins ronds et durs. Elle les massa, les embrassa puis les suçota. Elle était très attirante ! La lithuanienne nous remarqua et partagea l’information à sa bienfaitrice qui nous lança un sourire grivois. Elle poursuivit son œuvre puis glissa sa main sous la robe rouge avant de la positionner entre ses cuisses. Ses mouvements accélèrent progressivement et les râles de son amante s’allongèrent. Alessia la masturbait : « J’y crois pas ! ». Ludovic essaya d’ouvrir, sans succès.
Les deux femmes redoublèrent de sensualité. Entre deux baisers, je pu lire sur les lèvres de la blonde : « Lèche-moi ». Un instant plus tard, ma copine s’agenouilla, écarta le pan avant de sa robe et entama un cunnilingus sans hésiter. Je n’en revenais pas ! Katia tendait son bassin en avant, gémissait en caressant les cheveux de sa bienfaitrice. Les voir ainsi était jouissif et Alessia semblait très douée ! Au bout de cinq minutes, la lithuanienne la releva et l’accueillit avec un baiser emplein de reconnaissance. Elle l’emmena face à nous. L’italienne me regardait en offrant son cou aux lèvres de son amante. Postée derrière elle, Katia écarta son décolleté et exposa ses seins entourés de lacets. Elle les plota et en pinça soigneusement les tétons. L’une de ses mains descendit vers la fente de sa robe et dévoila le pubis imberbe de ma femme. Ludovic l’épiait et je ne l’en empêchais pas. Seul comptait le plaisir d’Alessia. Elle posa son pied droit sur une petite table et écarta ses cuisses pour faciliter les caresses de sa copine. Katia découvrit son intimité et y plongea deux doigts : « Elles me rendent fou ! ».
Ludovic cacha son érection : « Ne m’en parle pas ». Katia poursuivit son massage interne tout en suçant la langue tirée d’Alessia. Quand elle retira son majeur et son annulaire, la brune les porta à sa bouche et les suça en nous regardant. Elles se pavanèrent encore un moment avant que la blonde ne l’emmène vers le lit et ne la jette sur le matelas. Elle se pencha sur elle, l’embrassa puis s’attaqua à sa poitrine avant de descendre vers son intimité. Alessia maintenait ses jambes écartées en l’air et la tête de la lithuanienne commença à s’activer en la faisant gémir. J’imaginais sa langue s’enfoncer dans la fente humide de ma femme. Je commençais à me dire que l’erreur se transformait en bénédiction. La copine de Ludovic dévoila son postérieur et son plug : « C’est… c’est… ». Je posais une main sur l’épaule de mon collègue : « Oui c’est un plug. A mon tour de te raconter ». Je lui racontais tout depuis le début jusqu’à la fin, en passant par nos messages, l’aire d’autoroute, l’hôtel, la salle de réunion, le salon.
Derrière son masque, l’homme était stupéfait. J’insistais sur le fait qu’il était l’homme de sa vie et qu’elle craignait de ne plus être perçue de la même façon : « C’est absurde… ». Je lui donnais une tape sur son épaule : « C’est bien ce que je lui ai dit ». Il me regarda : « Je suis content que ce soit toi Dan, et pas un autre ». C’était réciproque ! Nous échangeâmes une poignée de main amicale. Face à nous, la femme qui l’avait cocufié était remontée sur son amante et partageait avec elle baisers, caresses et envies. Alessia finit par se lever, en la laissant sur le lit. Elle se dirigea vers nous, laissa entrer Ludovic puis me barra l’accès : « Pas tout de suite mon amour ». Elle referma la baie vitrée et me lança un sourire. A quoi jouait-elle ? La réponse vint rapidement. Positionnée de profil entre Katia et moi, elle attira mon collègue devant elle et l’embrassa fiévreusement. Désarçonné, l’homme se laissa faire puis aventura ses mains sur ses fesses. Je n’en revenais pas !
Lentement, l’italienne s’agenouilla, posa ses mains sur ses genoux et ouvrit ses lèvres. Nous attendions tous de savoir ce que Ludovic allait faire. Il me regarda puis se tourna vers sa copine qui l’invita à procéder. Je voulais rentrer et empêcher ça, mais en même temps, je voulais voir la suite ! L’homme ouvrit sa braguette et sortit son sexe à moitié bandé. C’était la première fois que je le voyais. Quelque part, j’étais rassuré car ses mensurations étaient légèrement inférieures aux miennes. Mais c’est lui qui était à l’honneur, lui qui enfonçait son membre dans la bouche de ma femme, lui qu’elle suçait en soutenant son regard avec envie. Je m’énervais tout seul, elle me regarda en poursuivant son oeuvre. Elle mit toute sa sensualité dans cette fellation, allongea son mât droit sur son visage pendant que ses lèvres gobaient ses bourses. J’étais à la fois jaloux et excité ! Alessia le savait bien. Elle finit par convier Katia à ses côtés et les deux femmes unirent leurs forces pour combler leur amant.
Il avait de la chance de pouvoir vivre ça, d’avoir ces sublimes créatures face à lui. Il ne résista pas longtemps aux effets combinés des deux bouches. La gorge profonde de sa copine l’acheva et il se retira pour éjaculer sur sa langue tendue. Il n’avait jamais été bon pour réfréner son excitation. Alessia chercha la bouche de son homologue qui partagea sa prise sans rechigner. Savoir que ma femme avalait le sperme d’un autre me fit un pincement au coeur. Mal à l’aise, Ludovic recula et commença à se déshabiller. Les deux femmes échangèrent un rire, des cachoteries, avant que Katia ne me fasse signe d’entrer. Comment ? Alessia avait fermé… Oh non ! Elle avait fermé la porte, mais pas à clé. J’aurais pu rentrer dès le début et arrêter ça. Quel imbécile ! En même temps, j’avais bien apprécié le spectacle. J’ouvrais la porte et la refermais derrière moi. Sans mot dire, je m’installais sur un fauteuil, trois mètres devant elles et sortais mon sexe de sa prison de tissu pour les appeler.
Elles me jaugèrent en souriant puis rampèrent à quatre pattes devant moi à la manière de tigresses. Katia s’installa entre mes cuisses écartées, Alessia à côté. La première souleva mon mât devant elle et décalotta mon gland trempé : « Hum, on dirait que ça l’a excité de nous voir sucer son ami. Est-ce qu’on devrait lui faire la même chose ? ». Ma copine hocha la tête avant de lécher mon sexe de bas en haut : « Il ne mérite pas ». Je restais muet et pendant de longues minutes, les deux femmes jouèrent avec mes nerfs en embrassant ma hampe, taquinant mon gland et échangeant des baisers envoutants. Ludovic s’installa à côté de nous. Il guettait les agissements de sa femme depuis le lit, avec une certaine forme d’appréhension. Elles étaient aussi magnifiques qu’indomptables. Katia saisit la main de son homme puis finit par enfoncer la moitié de mon sexe dans sa bouche. Alessia épia son amie : « Tu aimes son sexe ? ». La blonde acquiesça et son copain déglutit bruyamment.
Elle continua religieusement son œuvre avant d’orienter mon gland vers l’italienne. Cette dernière l’embrassa, saisit amoureusement ma main puis me prit en bouche : « Tu préfères mes lèvres ou celles de Katia ? ». Sans hésiter, je répondais : « Celles de Katia ». Alessia prit un air faussement outré : « Continue ». Elle reprit sa fellation de plus belle avant d’enfoncer mon sexe dans la bouche de la lithuanienne. Ludovic caressait sa main. Son érection trahissait son excitation : « Je ne peux plus… ». Avant que la blonde ne réagisse, il s’agenouilla derrière elle, remonta sa robe au niveau de ses reins et la pénétra en lui arrachant un cri étouffé. L’italienne sourit en se mordant la lèvre : « On dirait que ton homme aime bien te voir sucer un autre ! ». En guise de réponse Ludovic accompagna la tête de sa copine et la poussa à aller plus loin, plus intensément. La blonde gémissait en continu et finit par retirer mon sexe : « Ah ! C’est mieux que dans mes fantasmes les plus fous ». Alessia l’embrassa en souriant.
Je poussais mon fauteuil sur le dernier mètre qui me séparait du mur et attirais ma femme entre mes cuisses. Derrière elle, mon ami baissa la tête de sa copine entre les fesses d’Alessia qui gémit. Je l’embrassais tendrement, caressais sa joue : « Alors, tu aimes te faire lécher par une femme ? ». Elle acquiesça puis se pencha et me suça langoureusement : « Alors comme ça tu préfères ses lèvres ? ». Sans attendre la réponse, son visage plongea et ses lèvres se refermèrent à proximité de mes bourses. C’était la première fois qu’elle me prenait aussi profondément avec autant de facilité : « Alessia ! ». Portée par mes râles elle entama des oscillations amples et des pénétrations profondes : « Je me suis bien entrainée avec Ludovic ». Je serrais les dents. Je n’allais pas durer à ce rythme, avec des images pareille en tête ! Je me relevais et me déshabillais sans que ma fellatrice ne s’interrompe. Une fois nu, je la relevais, écartais la fente de sa robe et la portais pour la pénétrer : « Je t’aime ».
Alessia plongea son regard dans le mien : « Moi aussi je t’aime Daniel ». Les bruits de nos corps et de nos complaintes raisonnaient dans la chambre. C’était divin ! Au bout de plusieurs minutes, je fléchissais les jambes et posais le haut du corp de l’italienne sur le sol tout en maintenant son entrejambe orienté vers le plafond. La lituanienne se pencha pour l’embrasser puis saisit ses jambes et les ramena vers elle. Alessia m’était complètement offerte. Mon bassin montait et descendait à la manière d’une foreuse et les cris se succédèrent. Je me retirais, me penchais et plongeais ma langue entre ses lèvres inondées. Je la léchais longuement en faisant ruisseler la cyprine hors de sa source. Face à moi, Ludovic se retira de Katia et s’allongea sur le sol, le visage entre ses cuisses, pour lui prodiguer les mêmes bienfaits. Je délaissais un instant la brunette et embrassais son amie : « Tu veux m’aider ? ». Elle opina et s’attaqua à la vulve de ma femme pendant que j’hydratais son œillet.
De temps à autre, nos langues se rejoignaient entre les deux orifices et complétaient leurs œuvres : « Vous me faites trop de bien ! ». Je revenais en position initiale, jambes fléchies et guidais mon sexe dans son intimité, face à Katia. Je caressais les cheveux de cette dernière puis me retirais de la première pour enfoncer mon mât dans sa bouche. Elle me suça avec envie puis me laissa repartir dans ma femme. J’alternais entre pénétrations et succions, entre cyprine et bave. Après une gorge profonde, la lithuanienne saisit mon membre et posa mon gland sur l’anus de notre amante. Je forçais soigneusement son sphincter tandis qu’elle ramenait ses doigts sur le clitoris d’Alessia et le malaxait rapidement. En moins d’une minute, ma femme atteignit l’orgasme. Ses muscles se contractèrent et sa voix prit le dessus sur tous les autres bruits de la salle : « Oh oui, allez-y ! Ah ! ». Son corp vibrait et je manquais d’éjaculer. Je me retirais promptement et Ludovic mit fin à son cunnilingus.
Katia lécha assidument Alessia et avala sa cyprine devant nos yeux. Nous les aidâmes ensuite à se relever, les embrassâmes tendrement puis fîmes tomber leurs robes au sol. La blonde était entièrement nue. La brune avait, en plus de son soutien-gorge en lacets, un porte-jarretelles et des jarretières. Elles étaient sublimes ! Mon regard croisa celui de mon ami et nous échangeâmes nos cavalières. C’était bizarrement excitant de voir ses mains palper les fesses de ma femme, ses lèvres l’embrasser et son sexe se cajoler par ses mains. Tout comme c’était excitant de sentir le mien se faire emprisonner entre les cuisses serrées de sa copine, de me masturber contre sa vulve et de taquiner sa langue. Alessia pivota sur ses talons aiguilles, m’épia fiévreusement et guida le sexe de son amant en elle. Elle gémissait érotiquement, se déhanchait suavement contre lui, se faisait ploter les seins. Rapidement, Katia se retourna et se pencha vers elle pour l’embrasser en m’offrant sa croupe.
Je saisissais sa hanche et investissais son intimité. Ludovic et moi les laissâmes aller à leur rythme, les observâmes s’aimer, se caresser, s’empaler sur nos mâts. Elles finirent par s’accoler et nous inviter à prendre le relais. Jambes droites, dos creusés et fesses bombées, les deux sublimes créatures se firent prendre en admirant leurs hommes par-dessus leurs épaules respectives. J’intensifiais mes coups de reins en scrutant le visage de ma femme, posant une main aimante sur sa joue. J’adorais la voir prendre son pied avec un autre que moi, ne plus avoir l’exclusivité de son bonheur. Quelques minutes plus tard, elle s’immobilisa. Ses yeux s’écarquillèrent et elle grimaça de plaisir : « Il… il me sodomise ». Mon sexe se contracta dans l’intimité de Katia qui écarta une fesse pour m’inviter à faire de même. Je me retirais, enlevais précautionneusement son plug puis me baissais pour l’hydrater convenablement. Sous le regard de ma copine, je lui assenais une fessée, plongeais ma langue en elle.
Je me redressais et enfonçais la moitié de mon sexe dans son anus : « Ah oui Daniel ». Je m’arrêtais aussitôt, luttais pour ne pas jouir en elle puis me retirais doucement : « Désolé… trop excité ! ». Derrière Alessia, Ludovic s’avoua lui aussi au bord de l’orgasme et recula. L’italienne rigola en reprenant son souffle : « Vous êtes vraiment des puceaux ». Son amant l’embrassa, souleva sa jambe et la pénétra debout : « Tu vas voir ce qu’il te dit le puceau ». Je me mordais la lèvre on voyant ma sublime femme blottie contre mon ami. Katia me poussa sur le lit et s’installa sur moi pour me chevaucher. Nos bassins se frottait énergiquement, mes mains massais ses reins : « Tu joues avec le feu ». Je n’avais jamais terminé en elle, le risque était trop grand. Mais la blonde semblait l’oublier. Ma femme fut allongée à côté de moi par Ludovic très entreprenant. Elle me lorgna avec des yeux fébriles : « Il me défonce ». Elle savait qu’elle m’excitait en disant ça. Qu’elle excitait tout le monde d’ailleurs !
Katia se pencha sur moi et me donna un baiser exquis avant de s’adresser à sa copine : « Ton mec me défonce encore plus ». Je la bloquais contre moi, plongeais mon regard dans le sien et intensifiais mes pénétrations jusqu’à la faire jouir. Alessia me toisa : « Tu n’as pas honte de faire jouir une autre femme ? ». Je lui souriais en grimaçant de plaisir : « Aucune. Et toi, d’avaler le sperme d’un autre ? ». Elle gémit en admirant Ludovic s’activer entre ses cuisses ouvertes : « Cette fois-ci ce n’était rien… par rapport à toutes les fois où il m’a rempli la bouche, où il a éjaculé dans mon sexe, où il a… ». J’enserrais sa gorge et l’embrassais passionnément : « Tu vas voir ! ». Elle haussa un sourcil puis regarda mon comparse se retirer et se positionner derrière Katia : « Je crois que tu ne vas pas pouvoir bouger avant un petit moment ! ». Sur moi, la blonde se redressa. Elle soutenait le regard de son homme par-dessus son épaule. A son râle profond, je compris qu’il venait de la pénétrer par derrière, que nous étions désormais deux en elle. Alessia s’agenouilla sur le matelas : « Tu en as de la chance belle blonde ».
Je palpais l’un de ses seins, caressais sa vulve à côté de moi puis enfonçais deux doigts en elle : « Crois-moi que tu y passeras tôt ou tard Alessia ». Elle sourit en se mordant la lèvre et écartant les genoux : « J’y compte bien ! Mais je ne sais pas si tu seras là ». Elle rigola devant ma mine outrée, retira mes doigts, s’installa à califourchon au-dessus de ma tête et me présenta son sexe que je léchais sans attendre. Derrière elle, sa copine accélérait son déhanché sur nos deux membres. Elle enlaça l’italienne par-derrière, malaxa ses seins et l’embrassa sensuellement : « Ton homme est… vraiment dur ». Elles me regardèrent toutes les deux, l’une avec fierté et l’autre avec envie. La main de la brune passa derrière ma tête et son bassin commença à dicter la cadence. J’adorais me sentir dominé et utilisé de la sorte. Les esprits s’échauffèrent : « Lèche-moi mon amour ». Je redoublais d’effort.
Ludovic sodomisait sa bien-aimée qui se trémoussait entre nos deux verges et caressait Alessia dont les lèvres vaginales se frottaient aux miennes, à la recherche de mes coups de langue. Elle fut la première à atteindre l’orgasme. Sa cyprine sirupeuse coula dans ma bouche qu’elle, il faut bien le dire, baisait sans retenue. Le second orgasme fut attribué à Ludovic : « Oui mon amour ! Ah ! Continue ! ». Quant à moi, je tentais d’avertir les deux femmes que mon heure avait sonné. Mais personne ne m’écoutait. Proche de l’orgasme et encouragée par son homme, la lithuanienne accéléra ses vas et viens : « Oui ! Oh oui ! ». L’italienne la regarda en souriant, ravie de la voir jouir aussi puissamment : « Tu vas bien ? ». Katia resta immobile et silencieuse un moment. Ma semence jaillissait en elle. La blonde se mordit la lèvre en nous regardant tous les trois à tour de rôle : « Il a éjaculé en moi… et pas qu’un peu ». La voix inquiète de Ludovic s’éleva : « Mais… tu ne prends pas la pilule, si ? ».
Alessia me regarda, bouche bée, puis se laissa glisser sur le côté. Mon ami se retira également de sa copine et nous questionna du regard. Katia se déhanchait nonchalamment en finissant de me faire jouir. Un sourire se dessina sur ses lèvres : « Si, je prends la pilule ». Tout le monde souffla de soulagement et Ludovic commenta : « Tu aurais pu me le dire ! ». La blonde poussa un dernier gémissement : « Je m’attendais à être prise par mon amant et un couple d’étrangers. Le risque était vraiment élevé donc j’ai préféré assurer mes arrières. Comment te dire tout ça ? ». Ludovic ricana puis l’embrassa. Alessia se leva du lit et alla prendre son portable, quasi-invisible, dans un coin de la chambre : « Ca nous fera notre premier souvenir ensemble ». Le premier d’une longue lignée.
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