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Changement de vie Chapitre 1

Cette histoire, elle fait partie de ma vie depuis mon adolescence. Il n'est pas une nuit où je rejoints cette femme et ses suivantes. Le jour, c'est une autre histoire. Pour faire court, je vis la nuit plus que je ne vis le jour.

Proposée le 16/09/2018 par Rémi Chris

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Depuis peu, je suis dans cette entreprise et je peine à me faire des relations. Il faut dire qu’à mon poste, il n’y pas foule, je suis même tout seul comme archiviste. De temps à autre, l’une des secrétaires vient y déposer des documents que je dois répertorier et ranger. Mon prédécesseur avait un système bien à lui, facile, efficace, je l’ai repris à mon compte car il me plaisait bien. Après six mois, c’est tout juste si on me dit bonjour quand on pénètre dans mon sous-sol. Depuis peu, je commence à voir le jour dans mon classement. Se sachant licencier, mon prédécesseur ne travaillait plus que par obligation, il n’avait plus la motivation. Alors, barre à gauche toute !

De temps à autre, je m’offre une petite virée après le travail. Mais bon, je me contente de faire les quelques boites et bistrots de cette ville, histoire de tâter le terrain. C’est dans une boite sympa que je rencontre Chris et assez brutalement, il faut le dire. En effet, je buvais une bière au bar de cette discothèque et, en me retournant pour regarder la piste de danse, il m’est rentré dedans bien involontairement. Chris s’est alors immédiatement excusé platement avant de m’offrir une autre bière en m’invitant à sa table. Chris est réellement un gars sympa et très ouvert. À sa table, il était avec deux jeunes femmes très sympathiques. Je les trouvais un peu jeune à mon gout, mais terriblement mignonne. Après la dernière tournée de bière, on se séparait en se promettant de se revoir. Au fil des semaines et de nos rencontres, je me suis lié d’une belle amitié certaine avec Chris, toujours prêt à rendre service. Pourtant, je ne lui demandais rien. Huit mois plus tard, dans un petit restaurant, nous passons une excellente soirée avec deux belles filles toujours aussi peu farouche et pas les mêmes qu’à notre première rencontre. Les belles n’ont peur de rien quand l’une des deux pose sa main sur ma cuisse en me souriant agréablement. Je me suis laissé un peu aller avec cette petite.

La vie continue, boulot, dodo, métro comme on dit. Un soir, c’était un mardi, voilà Chris qui débarque seul dans mon trois pièces. Après une bière ou deux, il me demande ce que j’ai comme projet pour le long weekend de l’ascension et je n’avais rien de prévu, sauf que le vendredi, je devais bosser, des mois d’archive non classée, cela ne se fait pas en un jour. Une demande à mon responsable, il m’accordait ce vendredi. On se fixe rendez-vous pour le vendredi soir de la semaine suivant. Je retrouve Chris dans cette discothèque où il a ses habitudes. Comme à presque chaque fois, de nouvelles petites amies sont présentes, aussi belle et jeune que les précédentes. C’est à se demander comment il fait pour les dénichés, ce salaud. Après avoir bu quelques verres, nous sortons manger dans le dernier restaurant ouvert de la ville. Les petites se montrent toujours aussi agréable et entreprenantes. Il m’invite terminer cette nuit chez lui. Dans sa voiture, une allemande hyper puissante, on débarque en quelques minutes devant un immeuble de grand standing que je ne lui connaissais pas.

Dans le salon, l’une des petites se pose très gentiment près de moi, sa main sur ma cuisse, elle garde ses cuisses légèrement écartée.

- Charmantes, n’est-ce pas ?

- Mouais et pas farouche pour un sou, tu les déniche où ?

- Secret défense, mais tu le seras bien assez tôt. Alors, c’est bon, tu conge le vendredi ?

- Et même pas eu besoin de discuter longtemps. Après trente secondes, l’affaire était bouclée. Et j’ai même eu droit à un jour de plus. J’ai déjà trop d’heures à reprendre.

- Merveilleux. Bière, whisky, martini ou vodka ?

- Va pour une vodka si elle est bien fraiche, ça fait longtemps.

Nous parlons de tout et de rien. Puis, il revient sur notre destination pour ce long weekend. Il m’apprend que nous les invité d’une richissime femme de ses amis. Il me promet un weekend pour dégorger nos couilles comme ce n’est pas permis. J’avoue que depuis mon arrivée en ville, ça sonne creux côté femme, y en a pas eu une seule. Mais cette petite asiatique commence sérieusement à me plaire et je ne semble pas lui déplaire. Comme je vois la chose, je ne pense pas rentrer de la nuit, voire du samedi. Verre après verre, nous continuons à discuter de tout autre chose que de cette femme, de son invitation. Il évite toutes mes questions sur ses compagnes et cette mystérieuse femme, glissant par-dessus comme une savonnette. Il commence à se faire tard, l’alcool aidant, je ne suis plus vraiment très frais. Chris me fait conduire à ma chambre par ma voisine de canapé, un palace à comparer avec mon appart. La petite asiatique m’aide à me mettre à poil pour le dodo. Mais, la petite a d’autres idées en tête, ce qui n’est pas vraiment pour me déplaire. Très vite nue, elle se glisse sous la couette. Encore plus vite, je me retrouve avec des mains chaudes sur ma queue, sa bouche sur la mienne. Une nuit brulante en perspective. Et c’est le cas, par devant, par derrière, par la bouche, tout y passe mais, pas longtemps. Je ne sais pas combien de fois, mais une chose est certaine, elle jouit sans se priver de la faire savoir. Elle ne se retient pas quand elle atteint le nirvana. Dehors, le jour se lève, je suis vidé et ma petite aussi, gros dodo à deux, j’apprécie. Collée contre moi, elle me dit avoir beaucoup aimé que je lui fasse l’amour comme elle le dit si bien avec sa douce voix avec ce délicieux petit accent asiatique.

C’est sa copine qui vient pour nous réveiller. Elle se glisse près de moi et commence une bonne et merveilleuse fellation. Sans mentir, j’adore ce genre de réveil, surtout quand c’est la première fois qu’une femme me réveille de la sorte. D’une bouche, je me retrouve avec les deux sur ma bite et elles s’en délecte. Je me retiens de ne pas lâcher la sauce trop vite, voulant faire durer un plaisir bien mérité. De la cuisine, Chris me demande si je préfère un café ou un thé, je lui réponds un café noir bien serré. Mes petites me font tout de même jouir et bien jouir, pour une première fois avec deux femmes, c’est le pied. Puis, elles m’entrainent dans la salle de bain pour une bonne et très agréable douche savoureuse. Longue est la douche, deux bouches et quatre mains qui vous lavent de fond en comble, y a pas mieux. Pour un peu, on s’y habituerait presque. Dommage qu’elles ne puissent venir vivre avec mon dans mon taudis. Du reste, elles refuseraient tout net en voyant ma turne. Autour de la table de la salle à manger, c’est la même tenue, à poil. Nous amusons de nos amies en les tartinant de confiture que nous léchons, histoire de les faire jouir un peu plus et elles le méritent amplement. Pour moi, c’est encore une première de faire l’amour à deux femmes merveilleuses avec un autre homme nu en face de moi. De tout le samedi, nous échangeons nos compagnes après qu’elles aillent joui de nous. Pendant une courte pause, je désirais me soulager ma vessie. Chris demanda à la plus jeune de m’aider. Elle m’entraine dans la cuisine pour placer sa bouche sous ma bite. Devant Chris, je me vois presque ordonner de me soulager dans la bouche de mignonne jeune femme. Sa bouche grande ouverte, elle sait très exactement où appuyer et ma bite coule comme une fontaine dans sa bouche. Pendant que mon urine coule dans cette gorge qui avale et dégouline sur son corps, Chris fesse durement l’autre fille qui n’a de cesse de nous fixer, sa copine et moi. Ce qui m’étonne le plus, cette que cette fille jouisse de cette dure fessée.

- Tu devrais en faire autant avec elle, elles adorent ça, la fessée.

- Je ne suis pas sûr d’arriver à lui faire mal comme toi. Elle a un trop beau cul pour ça.

- Te fais pas de bile mon ami, regarde comme ma petite a joui. Elle aime être un peu brutalisée.

- Des masos ?

- Presque, il ne leur manque pas grand-chose. Disons que ce sont des jeunes femmes soumises

La dernière goutte sur sa langue, je lui pose franchement la question, à savoir si elle aimerait une bonne fessée. Quand sa tête fait oui, je l’attire dans le salon par un pied. Elle, parfaitement soumise, ne cesse de me dire de refaire un tour, couchée sur le ventre. Après un nouveau tour, du pied, j’écarte ses membres en retirant ma ceinture de mon pantalon, une bonne ceinture en cuir bien épais. Sur les belles fesses de la demoiselle, mon ceinturon plié en deux se balade, faisant frémir la belle. Le premier coup ne frappa pas très fort, je lui demande juste si cela lui plait et là, elle me surprend :

- Frappez-moi plus fort, encore plus fort.

J’ai armé mon bras et frapper de toutes mes forces, elle pousse un cri qui se traduit par un oui prolongé. Sa copine quitte Chris pour venir, à genou devant son amie qu’elle obligé à lui lécher son sexe en la tenant par les cheveux. Je frappe, laissant toujours un moment entre les coups. Dix, douze, dix-sept, la fille est en pleure, j’arrête, caresse son intimité, la belle explose de bonheur contre la vulve de son amie. Cette dernière jouit à son tour, lâchant des flots de liquide dans la bouche de son amie, Chris filme la scène depuis le début en se marrant et bandant comme un âne. En fin de journée, les filles nous font à manger, un repas n’est pas de trop pour nous refaire une petite santé. Cette fois, les filles changent, la brune à mes côtés, elle me donne la béquée, c’est agréable de passer pour un pacha. Je commence à aimer la vie de Chris. Puis, après le repas, Chris me dit devoir retourner en ville pour une affaire à régler, il ajoute être de retour dimanche dans la matinée. Il nous abandonne, me laissant seul avec les petites. Pendant que l’une débarrasse la table, l’autre me sert un verre. En cuisine, j’entends les deux gourgandines parler de moi. Appuyé contre le montant de la porte, je les regarde faire la vaisselle. Ce qu’elles disent de moi n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Ainsi, ma bite semble être le centre de leur papotage. La brune insiste sur le fait que je lui remplis son abricot et l’autre d’ajouter que je touche même le fond. Je profite de leur travail pour me doucher seul. Une petite douche sur le pouce pour me décrasser de ma transpiration. À mon retour, mes deux amies m’emportent au salon, me couche sur la grande table et me masse. Un massage merveilleux, assise sur mon cul, elle masse mon dos et l’autre, debout, masse mes jambes. Pendant plus d’une heure, on me pomponne comme jamais je ne l’avais été. Mon corps semble avoir rajeuni avec ces filles merveilleuses. De plus, elles semblent savoir tout faire, la cuisine, le ménage, les massages et l’amour. L’amour, ouais, pour ça, elles sont très douées. Dans mon lit, mes deux petites s’aiment tendrement, je ne peux m’empêcher de les laisser faire. La brune lèche avec amour l’intimité de son amie, l’autre me tend sa main, nous nous embrassons au moment où elle explose de bonheur. Couchée l’une sur l’autre, comme empilée, entre leurs jambes, ma bite passe de l’une à l’autre, d’un orifice à l’autre, d’un sexe à un cul.

Mes belles semblent être réglées sur le mode jouissance ininterrompue. Quand je me vide entre les deux corps, sur leur mont de vénus, leur bouche vient lécher le ventre de l’autre. Le temps de me reprendre, une main me guide déjà dans son anus. Plongé bien au fond, la petite me supplie de la bourrer. Donc plus de douceur, du brutal. Mes cuisses frappent les siennes, le bruit excite sa compagne qui se pose sur la bouche de son amie. La mienne embrassant sa juvénile poitrine. Nous baisons à n’en plus finir, je me sens en pleine forme, comme à vingt ans. Quand l’une me suce, l’autre s’applique entre mes fesses. Ma bite au fond de sa gorge, une langue enfoncée en mon cul. Quand je tombe, mes petites me massent, c’est si agréable d’être comme un pacha, c’est noël avant l’heure.

Quand une bouche se pose sur la mienne délicatement, mon bras enlace ce corps. Quand une bouche redresse ma queue, j’ouvre les yeux. Mes deux petites dorment encore. Deux nouvelles, tiens, les mêmes qu’à ma première rencontre avec Chris. Grand dieu, c’est plus noël, c’est la caverne d’Ali Baba. Comment ce gars peut-il sortir autant de fille de son chapeau ? Il ne me donne aucune explication et, pour tout dire, je m’en moque, ces petites sont très à mon gout. Très vite, mes deux dormeuses sont éveillées. Quatre bouches et huit mains qui vous câlinent mon corps, je vais exploser ou mourir de plaisir. L’un comme l’autre, je suis pour. Dans l’encadrement de la porte, Chris filme encore, nous tournant autour, il ne manque rien de nos ébats, il semble très sérieux derrière sa caméra. Je n’ai pas le temps d’esquissé un geste, qu’on me plaque dans mon lit. Deux petites filent en cuisine, les deux autres s’acharnent sur ma queue et Chris filme encore. On me porte un plateau avec mon déjeuner. Mes petites lâchent ma queue. Une des filles se met à quatre pattes, on lui pose le plateau sur son dos. Une autre me fait mes tartines sur un pain brioché. L’autre me remplit ma tasse de café et la dernière masse mon dos.

- Je vois que mes petites t’aiment bien. Je t’avoue que j’avais un peu peur que tu ne les apprécie pas.

- Tu rigole, j’n’ai jamais vécu ça, même dans mes rêves les plus vicieux. Alors tu penses !

- Il y en aura d’autre mon ami, je te le promets.

- Si j’avais un appart plus moderne et plus grand, un salaire un poil plus élevé, je prendrais bien une ou deux de ces petites pour mes longues soirées d’hiver.

- Tu m’étonnes.

Après mon déjeuner, on me conduit dans la salle de bain. Dans une baignoire plaine d’une eau bien chaude, quatre mains et deux bouches me lavent, s’en est si chaud que je ne parviens plus à me contrôler quand je jouis sur le visage de la petite brune. Elles n’utilisent que leur joli corps pour décrasser mon corps. Bandant à nouveau, je prends celle aux cheveux très longs pour l’empaler sur ma bite, ma petite asiatique est déjà sur le point de jouir. Jamais je n’avais vécu pareille chose, quatre jeunes et sublimes jeunes femmes pour s’occuper de deux mecs, somme toute, assez banal. J’ai l’impression d’avoir touché le gros lot. Mais voilà, toute bonne chose a une fin. En milieu de journée, nous embarquons dans la voiture de Chris, nous revenons en ville, il me dépose chez moi. Dans mon piteux appartement, je me sens soudainement seul. Encore trois semaines avant ce long weekend.

Le boulot reprend, j’n’ai pas le gout à bosser après ce weekend avec ces mignonnes petites. Il me faut pourtant bien travailler si mes collègues ne veulent pointer au chômage. Je passe les commandes, j'archive, je classe sans grande conviction. C’est que trois semaines c’est long. Le soir, je retrouve enfin Chris dans ma taverne préférée. Il est seul pour une fois. Je le questionne encore sur l’origine des filles, de leur tendance masochiste, il glisse encore sur un autre sujet.

- Je ne peux rien te dire. Je ne veux pas tout perdre. Il te faudra attendre l’ascension pour savoir.

- C’est que je m’emmerde sec seul dans mon appart, surtout la nuit.

- On est vite accro à ces filles.

- Tu l’as dit. La petite brune, l’asiatique, surtout, elle suce si bien. Le simple fait d’en parler, il me semble l’avoir entre mes cuisses.

- Ça m’arrive aussi de rêver d’elles. Crois-moi, je voudrais bien tout te dire, mais je ne peux pas. Et pourtant, tout ce qu’elles font est dans les règles, aucune loi n’est transgressée. Tu sais, il m’arrive de ne pas en voir un pendant un mois.

- Ah ouais, je vois qu’on est sur le même pied d’égalité.

- Et oui !

- Mais t’inquiète, encore deux semaines et demie à tenir !

- C’est justement ça qui me pose un problème. C’est cette femme, je ne crois pas être de son monde, vu comme tu me l’as décri. Tu sais, les bourgeois, ce n’est pas trop ma tasse de thé.

- Ben elle, elle est juste le contraire. Ok, elle possède un superbe manoir du 17ième avec une propriété aussi grande que trois terrains de foot, voire plus. Mais à côté de ça, même si elle est riche à milliard, elle donne beaucoup de sa personne pour des œuvres. Il y en a peu qui peuvent prétendre la connaitre réellement. Elle n’apparait que très rarement en public. Bon j’arrête d’en parler, sinon, je vais finir par tout déballer. Aller quoi ! Une bonne mousse, une petite irlandaise tiens, juste pour changer.

- Aller, fais rouler.

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