Histoire Erotique

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Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 5 et 6

Suite de l histoire de Mélodie, jeune rousse qui découvre les difficultés de la vie. Elle part aider l ami de son beau-pere et se trouve abusée par des hommes plus ages et qui la dominent Ces deux parties sont les 5 et 6.

Proposée le 27/04/2022 par amdsoo

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


5. Un mauvais départ

Quand Mélodie se leva, elle constata que Maria dormait dans sa chambre, sur le fauteuil. Elle la réveilla.
« Maria ? »
« Oui ? Ohhhh » Maria se réveillait lentement.
« Désolé mais hier soir j’avais un peu peur des hommes et donc je suis venue me réfugier dans ta chambre » dit elle
« Peur ? pourquoi ? »
« De rien, mais trois hommes souls et deux femmes dans une maison… »
Mélodie sembla contente que Maria la prenne pour une femme. A 18 ans et depuis l’aventure avec Matt, elle se sentait bien plus mature.
Maria ne dit rien de plus à Mélodie. Cela ne servirait à rien, et Mélodie était la fille du patron donc elle n’était pas en danger. Certainement moins qu’elle-même.
Mélodie descendit et trouva son beau-père souriant avec une tasse de café.
« Tout est arrange avec ta mère »
« Comment tout ? »
« Et bien elle trouve que c’est une excellente idée que tu ailles travailler chez Theo et en plus comme elle n’est pas là, elle préfère presque »
Mélodie protesta mais la décision était prise. Elle devait maintenant préparer une valise. Maria qui était dans la cuisine avec Theo lui lança un regard pour la prévenir du danger mais Mélodie ne comprit pas et remonta dans sa chambre.
Quand elle redescendit une demi-heure plus tard, son père lui dit que Maria était partie avec Theo jusqu’ à l’arrêt de bus, et qu’elle l embrassait. Mélodie trouva bizarre que Maria n’ait pas voulu lui dire au revoir.
Sa valise était prête. Ils prirent un petit déjeuner, et vers 10h Theo revint avec la camionnette. Il eut une longue discussion avec son père sous le patio arrière, mais Mélodie ne peut comprendre ce qu’ils se disaient.
Un peu plus tard, elle embrassa son père, et prit le siège du milieu sur la banquette avant, Theo au volant et Gérard sur le siège de droite.
Elle se sentait à la fois triste de quitter la propriété et toute chance de revoir Matt mais elle était aussi contente qu’on la prenne pour une femme, avec des responsabilités. Elle sentit qu’elle avait grandi dans les dernières 72h, qu’est-ce que l’avenir lui réserverait !

La camionnette s’engagea sur le chemin, la maison coloniale disparut lentement dans une épaisse poussière.

Leur destination était à plus de 400 miles, il leur faudrait la journée pour atteindre la ville ou vivait Theo et où il avait son commerce. Mélodie avait mis ses pieds nus sur le tableau de bord, pour être plus confortable. Son jean moulant laissait voir des fesses musclées et ses jambes longues se terminaient par des pieds fins et qui avait été manucuré à la perfection. Cela tranchait avec l’apparence de Gérard qui portait les mêmes habits que la veille. Elle remarqua aussi une tache jaune sur sa chemise, qui n’était pas là la veille. En haut, Mélodie avait mis une chemise imprimée sans manche, pour garder la chaleur tolérable. Elle portait un soutien-gorge, car elle avait remarqué que sa chemise laissait voir ses seins sur les côtes quand elle se penchait.
Mélodie ne se rasait presque pas, elle avait un système pileux peu productif, étant rousse. Elle se rasait les dessous de bras car elle trouvait cela plus propre et sa mère lui avait montré comment faire. Mais son pubis était naturel avec une jolie touffe de part et d’autre de sa fente si étroite. Sa mère, se rasait intégralement, Mélodie l’avait surpris un matin à la sortie de la douche. Elle avait être étonné car cela rendait le sexe de sa mère comme plus « jeune », comme si sa vulve était celle d’une jeune fille de 10 ans.
Perdue dans ses rêveries, la route défilait et les deux hommes ne parlaient pas beaucoup

Vers 20H la nuit était tombée et la camionnette ralentit pour se garer devant un petit restaurant de bord de route. Ils pénétrèrent tous les trois dans le café restaurant, essentiellement des hommes qui venaient finir leur journée dans les champs. Les visages se tournèrent vers Mélodie. Chacun admirant la beauté rousse qui venait d’entrer. Une autre femme, très fardée semblait causer avec d’autres hommes. Mélodie l identifia comme une prostituée et d’un coup se sentit en danger. Elle était la seule fille dans ce bar, et n’avait même pas l’âge légal pour y être.
Ils s’assirent et commandèrent des hamburgers et des frites. Un des hommes connaissait Theo et lui fit signe de venir au bar. Theo se leva et Mélodie le vit discuter. L’homme a la chemise à carreaux, lui tendit quelque chose et Theo vint se rasseoir.
Un peu plus tard, Theo demanda à Mélodie d’aller au toilette car ils allaient repartir, Ils avaient encore deux heures de route à faire. Mélodie chercha la porte des toilettes « femmes » et pénétra dans la pièce. Un des hommes qu’elle avait vus au bar était là devant le miroir.
« Oups pardon » dit-elle, croyant s être trompe de toilette
« Y a pas de mal mademoiselle » dit il
Elle fit marche arrière mais trébucha sur un autre homme qui lui aussi venait de rentrer dans la pièce. Elle reconnut la chemise à carreaux, l’ami de Theo, cela la rassura.
« Pardon j’ai dû me tromper » dit elle
Il la regarda et la gifla violement sans rien dire. Mélodie fut tellement surprise qu’elle faillit tomber. Elle recula. Son visage la brulait intensément. Il ferma la porte derrière lui. L’autre homme, un peu plus gras s’avança.
« Tu vas nous sucer tous les deux, mets-toi à genoux » ordonna-t-il.
« Comment ?? quoi ?! «
« À genou », et il la bouscula, Mélodie perdit l’équilibre et se trouva sur les fesses. Des larmes coulèrent sur ses joues.
« Theo !! Au secours !! » cria-t-elle.
« Theo t entends mais c’est lui qui nous a dit que tu aimais les bites bien épaisses, on a payé pour toi » dit l’homme a la chemise
« Quoi hein ??!! »
Pfsss, une autre claque rencontra sa joue gauche et Mélodie vit les 36 chandelles.
L’homme gras avait baissé son pantalon, il n’avait pas de slip. Il tenait son pénis a la main, en visible érection.
« On va bien se marrer Mark, Prends ça dans ta bouche, petite pute »
Mélodie tenta une dernière fois de mettre son bras en protection, mais l’autre homme lui lança une grande claque sur l’autre joue, elle crut que sa tête allait exploser.
« Ouvre la bouche », Mark avait lui aussi sorti son pénis plein de grosses veines bleues. Il semblait monstrueux et horrible. Elle comprit que ses options étaient limitées. Elle tenta de passer entre les deux hommes, mais renonça quand l’homme a la chemise à carreau lui barra le passage. Ses yeux étaient exorbités et il regardait fixement la poitrine de Mélodie. Elle mit sa main sur ses seins comme pour l’empêcher de les voir. Il fit le geste de la frapper. Elle attrapa alors le pénis de cet homme d’une main tremblante, il poussa un petit soupir de soulagement quand la main de jeune fille serra son membre durci.
« Ouvre la bouche » dit l’autre, menaçant...
Elle ouvrit légèrement la bouche, dévoilant une langue rose et des dents impeccables. Son nez saignait un peu, il attrapa une serviette en papier du distributeur et la nettoya.
Il avança son pénis monstrueux et le glissa avec difficulté dans la bouche de la jeune femme
« Si tu mors je te tue » dit-il calmement
Elle fit de son mieux pour laisser la bite entrer tout en continuant à branler l’autre homme, qui mouillait abondamment.
« Enlève ton chemisier, je veux voir tes seins » dit Mark
Mélodie leva les yeux, et lentement défit les boutons de son chemisier. Quand le dernier bouton fut défait, l’homme écarta les pans de la chemise pour contempler ce corps jeune et pur. Mélodie avait un ventre plat qui dénotait encore plus la forme de ses seins, un vrai délice.
« Enlève ton soutif » dit-il menaçant.
« Ne me frappez pas, je ferais ce que vous voulez » dit-elle en défense.
Elle dégrafa le soutien-gorge et les deux melons de petite taille sortirent de leur coquille. Au milieu de ces toilettes lugubres et peu propres, les seins de Mélodie semblait éclairer la pièce par leur pureté. Les deux hommes attrapèrent chacun un sein, en le malmenant.
« Aie, attention » dit-elle, sans imaginer qu’ils le feraient.
« Tais-toi et continue ce que tu faisais »
Elle prit le pénis dans sa bouche et humectant le gland, le laissa entrer plus profondément dans sa bouche, il semblait plus petit que celui de Matt, mais Matt avait eu la patience et la gentillesse de lui lubrifier la gorge. L’homme enfonça d’un coup son pénis, jusqu’ à la glotte, déclenchant le réflexe de vomir mais elle put s’arrêter à temps. Son sexe n’était pas propre et Mélodie eut un haut-le-cœur, la langue de Mélodie entoura sa verge comme un gant serre, elle se dit qu’il valait mieux faire du bon travail, Elle commença à pomper la brute plus rapidement, du liquide épais et pestilentiel coulait dans sa gorge et elle était écœure de sentir ce jus infâme passer dans son estomac. Elle eut envie de vomir a nouveau mais resta concentre sur ce pénis qui allait et venait dans sa bouche.
« Et si on lui ramonait la chatte Denis ? »
« Oui bien sûr, elle doit avoir un petit minou bien tendu » répondit Mark.
Mélodie eut un éclair d’effroi dans ses yeux. Mais à cet instant présent, la porte de toilettes s’ouvrit, Mélodie, avec la bite de Mark en bouche et le pénis de Denis en main, put voir du coin de ses yeux, Theo qui entrait.
« Ben alors qu’est-ce que vous foutez ? » dit il
« On prend notre temps, tu as reçu ton pognon donc tu attends » dit hargneusement Mark.
« Justement on se disait qu’on lui ferait bien sa petite chatte » dit Denis
« Non les gars, vous avez paye pour une pipe, cette petite est vierge, pas question » dit Theo
« Vierge ? wow » dit Mark, qui enfonça sa bite un peu plus profonde dans la gorge de Mélodie qui suffoquait.
« Oui, ce n’est pas pour vous les gars, finissez qu’on se barre, on a de la route »
Mélodie eut comme un soulagement, même si Theo l’avait manifestement vendu à ces hommes, il l’avait sauvé au dernier moment.
« Bon allez Mélodie, utilise ta petite langue rose et fais-lui cracher son foutre » lui dit Denis dévoilant sa bouche édentée, il n’en pouvait plus et brulait lui aussi de lui mettre sa bite gonflée dans sa jolie bouche.
« Mark sentit son foutre monter le long de sa verge, il attrapa la nuque de Mélodie plus fermement et enfourna jusqu’au poil sa bite longue mais étroite, Mélodie sentit le gland pénétrer dans sa trachée, elle ne pouvait plus respirer et sentit la contraction dans la verge de Mark comme une corde qu’on tend et qui vibre, suivit d’un torrent de sperme bouillant lui inonder le conduit. Pas d’autre choix que de le laisser descendre et d’avaler les 6 giclées de foutre successives. Il se retira lentement, sa bite était toujours rigide en lui frottant le palais. Mélodie déglutit le reste de foutre lentement, elle en avait aussi sur les lèvres et un peu lui tomba sur ses petits seins et jusqu’ à son ventre. Denis lui frappa doucement les seins, cela ne lui fit pas mal, mais la rappela à son devoir. Elle se tourna vers Denis et engouffra son sexe en un coup. Denis fut surpris, cette bouche si petite et maintenant tant lubrifie venait d’avaler les 16cm de sa bite. Il commença à la bourrer rapidement. Elle sentait les veines autour de ses lèvres bien serrées.
« Je ne veux pas que tu perdes la moindre goutte sinon tu vas te prendre une raclée sur tes petits seins, tu as compris ? »
Elle acquiesça d’un mouvement d’œil et serra encore plus ses lèvres. Denis n’allait pas aussi loin que Marc, mais il était plus large et Mélodie sentit sa mâchoire travailler à rester si grande ouverte. Mark lui soupesait les seins avec envie, même s’il en avait fini avec elle, il n’avait que rarement vu des seins aussi beaux, aussi jeunes et qui semblaient pointer vers le ciel, comme pour provoquer les hommes.
« Avec des seins comme ça, tu vas te faire baiser a tous les coins de rues » dit-il.
Denis accéléra sensiblement son rythme, il prit la tête de Mélodie entre ses deux grosses mains, et entreprit de lui défoncer la bouche. Mélodie avait du mal à garder ses lèvres closes, elle prit sa respiration et entreprit de gober complètement le sexe de Denis, Il fut surpris de la profondeur
« Oh la salope, elle me bouffe la bite »
Puis dans un premier soubresaut, il se mis à décharger le contenu de ses bourses dans la bouche haletante de Mélodie. Une fois, deux fois, la bite sortait et ré-rentrait avec force, le jet inondait le palais, la langue de Mélodie, elle attendait qu’il ait termine, gardant ses lèvres serres comme une pince, aucune goute ne tomberait. Puis il retira lentement sa verge. Son sperme était presque comme du yaourt, très épais et gélatineux, il avait dû se retenir plusieurs jours pour cette occasion.
« Nettoies bien ma belle, je veux que tu aies bien tout »
Elle passa sa langue sur le gland gluant, et donc le sperme perlait toujours à l’extrémité. Puis elle déglutit tout en un coup. Son estomac protesta par un rot qui fit rire les trois hommes. Elle était là, à genoux sur les carreaux de cette pièce immonde, les seins à l’air, et venait de vider deux hommes de leur sperme. Comment en était-elle arriver là ?
Theo l’aida à se relever, et la poussa vers le lavabo.
« Débarbouilles toi » dit il
Elle regarda le miroir et vit ses seins avec du sperme qui dégoulinait, et sa chemise avec des taches suspectes. Quand elle sortit des toilettes, elle rencontra l’autre femme plus mature du bar, elle la croisa et elles échangèrent un regard bref mais de compassion.
Il lui restait deux heures de voiture, comment allait-elle s’en sortir ?

?
6. Les camionneurs

Le trajet se termina sans encombre malgré les commentaires des hommes dans le camion sur sa prestation dans les toilettes. Mélodie avait mal au cœur d’avoir avale tout ce sperme mais elle put se contenir et finir le trajet.
Ils arrivèrent à la maison tard dans la nuit. Mélodie fut soulage quand Theo lui donna une chambre pour elle seule. Gérard dormait dans la chambre attenante mais elle ne fut pas dérangée.
Elle prit une longue douche chaude, s’assurant auparavant que la porte était bien fermée.
Le lendemain matin, tout semblait comme si rien ne s’était passe, et il n’y eut aucune allusion. Gérard était toujours autant intéressé par son corps, ses jambes qui dépassaient de sa robe légère. Mélodie faisait peu de sport, mais les champs et la ferme lui avaient façonné les muscles étirés de ses longues jambes, et sous sa peau de pèche, le regard des hommes la transperçait.

Vers 9h, ils partirent au commerce de Theo, c’était un établissement de matériaux de constructions, de moyenne importance mais connu dans la région, plusieurs gros trucks étaient garés, pour charger du ciment, sable, et bois de construction. Les hommes, tous des ouvriers de chantiers, ne cachèrent pas leur intérêt pour Mélodie quand elle descendit du camion. Elle regretta d’avoir mis une robe et se jura de mettre un pantalon, malgré la chaleur le lendemain.

Son travail était essentiellement à surveiller le stock de marchandise dans l’entrepôt. Avec son calepin, elle déambulait dans les allées et compter deux fois par jour, l’état de l’approvisionnement.
Elle se demandait toujours si ce qui c’était passe sur la route n’était pas un rêve, ou un cauchemar après tout. Tard dans la nuit, elle se surprit à se caresser en pensant à Matt et a son sexe noir et luisant et qui sentait si bon.

Les jours passèrent et Theo était très occupé avec des livreurs qui étaient très en retard. Un soir elle l entendit des voix d’hommes assez fortes et qui résonnaient. Elle sortit du bureau pour aller voir. Theo était avec 2 autres hommes qui semblaient être en dispute.
« Je ne comprends pas, je suis désolé, mais mon stock est à jour » dit Theo
« En attendant, on a fait 3H de route et on ne peut pas charger, les palettes sont vides. Vous auriez dû nous prévenir » dit l’homme qui était le plus grand et qui avait une voix très rauque.
« Mais elles auraient dû être pleine, le stock est à jour ! » Répondit Theo. Mélodie vérifia que son calepin avait les bonnes informations, et en effet les palettes de briques étaient bien pleines. Or elles étaient manifestement vides. Elle ne comprenait pas non plus.
« Je serais livre demain matin faut repasser » proposa Theo
« Et on fait quoi, on dort dans le camion chef ? » demanda l’autre homme, plus petit, d’allure mexicaine.
La conversation se conclut et Theo leur offrit ses excuses à nouveau puis retourna dans le bureau avec Mélodie.
« Qu’est-ce que t’as foutu, non de dieu, pas capable de noter les palette vides ? » demanda-t-il furieusement.
« Mais si. » répondit Mélodie, très confuse. Il y avait eu un problème mais elle n’arrivait pas à comprendre comment cela s’était passe.

Une heure après, il était 19h, la nuit était tombée et le parking des visiteurs enfin vide, Theo vint la trouver dans le bureau.
« On rentre, ramènes toi ! » lui ordonna t il
Mélodie sentit qu’il était dans une fureur noire. Ils traversèrent le parking en direction du truck de Theo.
« J’ai perdu beaucoup d’argent aujourd’hui à cause de toi »
« Mais j’ai bien tout note » se défendit elle
Theo ne dit rien. Mélodie constata que le camion des clients mécontents était toujours sur le parking, ils dormiraient probablement là, plutôt que de retraverser tout l’état.
Theo tendit une enveloppe à Mélodie.
« Il faut que tu donnes ce bon d’achat à Max, le client du truck là-bas, c’est pour demain » dit il
Mélodie étonnée prit l’enveloppe et se dirigea vers le camion américain. C’était un gros camion avec une remorque attachée imposante. La cabine était faiblement éclairée.
Quand elle s’approcha, la portière s’ouvrit subitement, comme si elle était attendue, elle eut ce moment de terreur qui la fit frissonner. Max était debout devant elle, et lui prit l’enveloppe des mains
« Il était temps, on commençait à s’ennuyer » dit il
Mélodie tourna les talons pour revenir vers Theo qui était monte dans le truck, mais qui n’avait pas démarré le moteur
« Attends deux secondes ma belle », dit l’autre homme, qui se tenait dans l’ombre de Max
Mélodie sentit la main de Max lui prendre le bras, pas méchamment, mais avec fermeté.
« Tu vas devoir nous faire oublier notre nuit à attendre notre commande, à cause de toi »
Il la tira vers lui et de l’autre main lui saisit l’un de ses seins, et le pressa vigoureusement. Elle tenta de se débattre, et appela Theo en détresse.
« Theo please help »
Elle entendit avec effroi le truck démarrer et lentement il sortit du parking, Elle était seule avec les deux lascars.
« Marcello, aides moi à la mettre dans la cabine » dit Max
Marcello attrapa la taille de Mélodie qui se débattait, et l entraina vers la cabine. Marcello était très musculeux et Mélodie ne pesait pas bien lourd. Elle sentit qu’elle n’avait aucune chance.
Dans la cabine, il l’a poussé sur le petit lit situe au-dessus des deux sièges.
« Si tu paies ta dette correctement, tu repartiras chez toi en entier, sinon tu pourrais le regretter »
Soumise Mélodie comprit qu’elle ne pourrait pas échapper, la cabine était étroite, et la portière bien gardée. Max remonta lui aussi dans le camion, et ferma la portière fermement. Même ses cris ne seraient pas entendus.
Elle était entre les deux hommes, et déjà il faisait chaud, elle se sentit étouffée, Max lui fit tomber la bretelle de la robe de son côté, et la robe glissa jusqu’ à sa taille. Ses petits seins se dressaient sous son soutien-gorge.
« Quelle belle petite pute » Dit Marcello. Il lui prit les deux melons dans ses mains de brute et pressa, jusqu’ à ce que Mélodie pleure un peu
« Je vous en prie, je n’y suis pour rien, Theo se trompe, il doit y avoir un malentendu » Dit Mélodie
« Theo s est barre, tu parles d’un malentendu » répondit Max
Il tira d’un coup sec sur son corsage, et ses seins surgirent comme des petits phares blancs dans la cabine sombre.
« Wow regardes moi ça, on a envie de la traire cette truie » et il pinça très fort les deux mamelons de Mélodie, jusqu’ au sang ». Des larmes se mirent à couler. Rien n’y ferait, ces deux hommes se vengeraient sur elle, pour une erreur qu’elle n’avait pas pu commettre.
Pendant que Max lui maltraitait ses seins, Marcello avait entrepris de lui retirer sa robe par le bas, dévoilant son petit slip blanc, assorti a son soutien-gorge.
« T inquiètes pas, on a promis à Theo, pas de bite dans ton petit trou de petite pute, tu n’es pas sous pilule et il veut te garder vierge ». A la fois cela rassura Mélodie et cela l inquiéta sur les intentions de Theo, mais comment son beau-père avait-il pu la laisser avec cet homme si ignoble ?
Elle sera ses longues jambes pour conserver le peu de dignité qu’il lui restait, mais deux grandes gifles s abattirent sur ses seins et la remmenèrent à la réalité.
« Pas de bite, mais un gros doigt c est pas interdit, hein Max »
« On va se gêner, ouvres tes jambes ! » ordonna-t-il. Elle décroisa ses jambes rousses, et laissa Marcella lui passer le doigt sur sa petite vulve, au travers du slip. Ses seins la brulaient énormément, ils étaient rouge vif. Surtout le téton droit, avait été malmené auparavant.
Theo approcha son visage et essaya de l’embrasser mais Mélodie tourna la tête, deux autres gifles tombèrent sur ses petits seins douloureux.
« On te conseille de collaborer, sinon tu vas repartir rouge comme un homard » dit Max
« Je vous en supplie, plus de gifles, cela fait trop mal, mes seins me brulent, je ferais ce que vous voulez, pitié »
Elle ouvrit la boucle et laissa Max lui glisser sa langue. Il devait être fumeur car Mélodie trouva un gout qu’elle ne connaissait, cela sentait la cendre froide. Max tournait sa langue dans sa bouche et Mélodie crut bien faire que de la lui mordre gentiment.
« Oh elle aime ça la petite pute » traduisit Max.
Marcello avait entrepris de lui faire glisser sa culotte jusqu’ aux chevilles. Son sexe était bien fermé, la vigueur de la jeunesse lui tenait ses lèvres bien serrées. Le doigt de Marcello commença à dessiner une ligne droite, du foret de ses poils, et descendit pour escalader le mont Clitoris, comme pour tomber dans la vallée de ses lèvres, légèrement entrouvertes. C’était comme si Marcello passait la charrue sur le sexe de Mélodie, les lèvres s entrouvraient et se refermaient, toujours un peu plus, au fur et à mesure. Elle sentit son clitoris se dresser, comme pour protester et réclamer plus d’attention. Max était maintenant sur ses seins, mordillant les tetons meurtris et palpitants.

Contrairement au restaurant, elle était à moitié allongée, et ils avaient une vue directe sur ses seins, et surtout sur son sexe.
Marcello se mit à lui lécher le clitoris plus précisément, sa petite boule se tendit, et Mélodie sentit une chaleur l’envahir. Elle crut qu’elle allait s’évanouir. Marcello dut le sentir car il entrouvrit la fenêtre. Un air plus frais pénétra la cabine, et la réveilla. Elle réalisa qu’elle était avec deux étrangers, deux ou trois fois son âge, et qu’elle était entièrement nue. Un de ses seins était dans la boucle de l’un, et l’autre se chargeait de sa vulve et son clitoris.

Marcello avait de l’expertise, c’était son dada favori, de lécher la chatte de sa femme. Elle avait 45 ans, ménopausée et des seins lourds et distendus, mais sa chatte était restée belle, malgré assauts répétés qu’il avait lancés au cours des 20 ans précédents. La chatte de Mélodie était différente toutefois, comme si les muscles de ses lèvres, et la force de son vagin étaient en tension maximale. Quand il mettait un doigt a sa femme, elle en réclamait deux ou trois, mais pour Mélodie c’est comme s’il devait se battre pour enfoncer son plus petit doigt sur 2cm. Une forteresse.

Dans les 5 minutes qui suivirent, les muscles des lèvres commencèrent à se détendre et dévoilèrent un orifice rose, et parfaitement rond.
« Vraiment dommage qu’on ne puisse pas tremper notre queue là-dedans, un vrai délice » Dit il
Mélodie frissonna à l’idée même, elle était vierge et se donnerait à Matt en premier, et pour cela elle devait d’abord se sortir de cette situation, appeler sa mère, et rentrer à la ferme.

Max, se redressa et baissa son pantalon, son slip cachait maladroitement un sexe en pleine érection.
« Tu sais ce qu’on attend, n’est-ce pas » dit-il. Mélodie acquiesça. Elle se rappelait du restau, et l’espace d’un instant, sentit le gout sirupeux du sperme au fond de sa bouche des deux hommes, elle faillit vomir.
Il baissa son slip, et sortit son sexe et ses grosses bourses poilues. Il avait un sexe de taille moyenne, Mélodie se sentit rassurée. Elle le prit sans sa bouche sans trop d’hésitation, ses seins lui rappelaient à chaque instant qu’il valait mieux obéir. Marcello lui aspirait la chatte, elle sentit que sa langue pénétrait dans son petit trou. Il lui tenait les jambes très écartées, et sa petite chatte était toute tendue et ouverte, elle n’avait pas d’autre choix que de subir l’assaut.

Max lui lançait sa bite entre ses lèvres, elle avait entendu que l’homme aime se sentir à l’étroit dans la bouche de la femme, au risque sinon qu’il veuille chercher l’étroitesse plus profondément. Il avançait et reculait, et elle positionnait sa langue comme un rempart, pour limiter la pénétration et donner la bonne impression. Le gland glissait sur sa langue et par moment elle ne pouvait empêcher qu’il touche le fond de sa gorge, créant un réflexe de vomissement. Marcello avait des deux doigts dans sa chatte et buvait le sirop clair et jeune de la jeune fille.
Leurs mains palpaient inlassablement ses reins, taille et ses seins douloureux, de temps à autre Marcello lui claquer ses fesses, elle ressentit une brulure a la longue et son fessier semblait éclairer toute la cabine.
« Mets-toi a 4 pattes, petite pute » dit Max
Mélodie refusa car elle avait trop peur que l’un d’entre eux oublie la promesse faite à Theo. Une claque lui emporta le sein droit, d’une telle violence qu’elle crut qu’il se détachait.
« Fais ce qu’on te dit »
Elle se retourna, totalement nue, et se mit à 4 pattes, en sanglotant. Dans cette position, elle tournait le dos à Max, mais elle avait le pénis de Marcello, droit comme un I, devant elle. Il lui mit dans la bouche sans un mot, elle entreprit de le branler entre ses joues. Son sexe sentait très fort, comme s’il avait beaucoup transpiré et probablement pas pris de douche depuis 24h, Il démarra les allers et retour mais semblait plus intéresser par le fond de sa gorge. Elle sentit qu’il ne resterait pas longtemps avec son demi sexe dehors.
Max contemplait ce derrière magnifique, la position ne laissait pas de secret et de cache possible pour la jeune fille. Les jambes écartées, le cul en hauteur, ouvrait sur un spectacle d’une chatte ouverte, petite, mais gonflée. Les poils roux avaient été trimées par la jeune fille, mais ils ne cachaient rien de son trou ouvert sur 2cm. L’invitation à la bite, lui monta une érection comme il n’avait pas eu depuis longtemps avec ses petites amies. Depuis son divorce, il baisait un peu ce qu’il trouvait, pas mal de putes, et quelquefois des femmes de son âge, mais généralement il les laissait tomber au bout de quelques jours.
Il écarta les fesses de la fille pour détendre encore sa chatte, et commença à lui lécher le trou du cul.
« Hmmmm non » murmura Mélodie qui sentait la langue sur son cul. Elle n’avait pas pris de douche elle non plus depuis le matin, et elle était allé aux toilettes après le lunch, elle se sentait dégradée par cet homme qui lui léchait son trou du cul.
« T’as bon gout, ton cul sent bon ». Au même moment Marcello se raidit, et lui prit la tête dans ses mains. Mélodie comprit que le moment arrivait. Il enfourna son sexe le plus loin possible, suffoquant Mélodie et lui barrant la trachée. Elle allait vomir mais le contraire se produisit : le sperme de l’homme lui remplit le fond de la bouche, et il ne bougeait plus, seuls quelques spasmes résilients. Il se vida complètement et elle avala en une fois la gelée masculine. Extrêmement salée. Quand il se retira. Il lui fit laver son gland, et sa queue que plus rien ne reste. Elle fit de son mieux. Il la remercia d’une claque sur l’autre sein, horrible. La bouche pleine de foutre, les seins qui la lançaient. Et Max qui introduisait sa langue dans son cul.
Elle ne voyait pas Max mais elle sentit qu’il lui mettait une sorte de graisse sur les fesses, quelques choses de gras.
« Avec ça, ça va rentrer comme dans du beurre » dit .il Mélodie eut un spasme de frayeur Max lui mis deux doigts dans l’anus.
« Tu vas lui faire le cul ? » demanda Marcello dont la bite était ramollie après l’effort.
« Juste un peu de gym pour ce trou, Theo n’a pas parlé de celui-là, juste de sa chatte »
Mélodie était maintenue par les deux hommes adultes, deux fois son poids, elle resta en position, et laissa Max lui enfonçait deux puis trois doigts dans le conduit anal. La douleur était insupportable mais petit à petit, Max lui titillait le clitoris, d’une main et appuyait de l’autre sur ses doigts. Elle sentit la dilatation incontrôlée et pas voulu de son anus. Une vraie invitation.
La bite de Marcello se gonflait à nouveau.
« Je vais lui mettre dans le cul, tiens la bien », Marcello lui saisit la taille pour l’empêcher de se retourner.
Max appuya son gland sur l’entrée de l’anus luisant de graisse de Mélodie, et commença à pousser. Le gland ne passait pas, il est turgescent et gonfle, cela ne passait pas. Mélodie pleurait mais son clitoris était tant manipulé qu’elle se savait plus. Ils décidèrent de changer de position.
Ils la retournèrent, cette fois elle était sur le dos, les jambes écartées en direction de Marcello, et presque en dessous de Max, qui était redresse.
« Lèches moi le cul, salope » dit Max et il s’assit sur le visage de Mélodie.
Mélodie reçut dans le visage le poids de l’homme, suant et dégoulinant, elle avait sa bouche devant l’anus de l’homme.
« Allez vas-y petite pute, comme je t’ai fait » dit Max
Elle refusa comme elle put, mais Max lui prit les deux seins méchamment comme des torchons et lui tordit sans management. Elle hurla de mal. Et pour le calmer elle se mit à lui lécher le trou du cul. Il était très poilu, et cela ne sentait pas bon, mais elle n’avait pas de choix. Elle entreprit de bien lui laver son anus avec sa langue. Marcello lui tapait avec sa main sur le clitoris qui était sorti de son capuchon. C’était entre la douleur et le plaisir

Mélodie faisait son possible, avec Max, elle était dégoutée, ce type était répugnant, et il lui tenait un tetons d’une main et il se branlait de l’autre. Il serrait et tournait son téton gauche, elle ne pouvait rien faire que de lécher et lécher cet anus. Et les bourses poilues lui tombaient dessus. A un instant, il se raidit « je vais gicler ! » dit-il.
« Ouvres ta bouche ! », Mélodie acquiesça et laissa Max mettre son sexe tout rigide sans sa bouche, mais la position à l’envers, il ne pouvait pas aller bien loin dans sa gorge. Il se mit à se branler plus vite, et soudainement elle sentit des giclées de foutre tomber dans sa bouche ouverte.
« Gardes bien la bouche ouverte si tu ne veux pas des claques sur tes nichons tout rouges »
Une, deux, trois puis quatre giclées et sa bouche était remplie. Elle en avait aussi sur les joues.
« Avales maintenant »
Elle déglutit, comme si elle avait trois huitres à avaler, il avait vraiment les bourses pleines. Son cul la brulait des assauts répétés, et ses seins étaient rouges écarlates.

Mélodie était étendue, cela faisait une heure qu’elle était leur sextoy. Elle était nue, et les deux hommes s endormirent. Elle s endormit aussi, épuisée. Quelques heures plus tard, Elle sentit que Max la tripotait, il lui passait la main sur les seins, un peu comme un sculpteur sur son œuvre. Les pointes de ses seins se dressèrent. Ce n’était pas désagréable. Le pénis de Max était en érection à nouveau, il lui mit son sexe dans la main, et elle commença à le branler. Elle ne pouvait pas partir, son cauchemar finirait quand ils seraient tous les deux rassasies. Elle montait et descendait le long de sa hampe. Marcello s’est aussi réveillé, et lui caressait les jambes. L’odeur de foutre la saisit, la cabine sentait la luxure et les jus de 2 hommes et de la demoiselle. Elle saisit le pénis de Marcello et commença à branler activement les deux en cadence.
« C’est bien, bonne petite pute que nous avons »
En quelques minutes l un déversa son jus sur ses jambes, et l’autre lui demande d’ouvrir sa bouche, elle obtempéra immédiatement et reçut l’éjaculation abondante du fond du palais. Elle avala d’un seul coup. Et se pencha d’un côté pour bien laver la bite de Marcello, et puis quand elle eut fini elle fit de même sur le compère.
Toute la nuit, ils la réveillèrent et elle les suça, des fois violement, des fois plus calmement. Elle était collante de foutre, même si généralement ils préféraient se vider les couilles dans sa bouche.

Vers 7h00, un premier camion arriva et c’était leur livraison, ils la firent descendre du camion.
« C’est bien Mélodie, tu as paye ta dette » lui lance Max. Marcello rigolait, la petite était vraiment bandante, c’est un plaisir de faire affaire avec Theo.

Et elle retourna à l’office.

Elle avait sucé deux hommes toute la nuit, dormie nue sans confort, avale 7 ou 8 grosses éjaculations, son cul la brulait du traitement de Max, et ses seins étaient toujours douloureux. Elle rêvait d’une douche…

La journée serait longue…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
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Posté le 28/04/2022


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